Le couple FLUCHAIRE / FAZENDE – 1797 

Contenu du mémoire et méthodologie

Les couples seront nommés et datés avec la date de leur mariage, permettant ainsi de s’y retrouver dans la chronologie. Chacun sera présenté, ainsi que ses parents, ses enfants et sa fratrie. Les noms en gras sont ceux de la branche suivante ou précédente étudiée. Seront ensuite ajoutés les documents retrouvés les concernant.
Les sources seront notées en bas de page, avec la mention AD pour les archives départementales et AC pour les archives communales.
Les termes « né et décédé » sont utilisés lors de la présence d’acte de naissance et de décès, les termes « baptisés et inhumé/enterré » lors de la présence d’actes de baptême ou de sépulture.
L’utilisation du terme « environ » signifie qu’il n’y a pas d’acte pour prouver cette date mais que d’autres informations nous dirige vers cette hypothèse (ex : l’âge lors de la mort).
J’ai pris le parti de noter dans mon mémoire toutes les dates en utilisant le calendrier grégorien afin de rendre la chronologie des évènements plus compréhensible. Cependant, dans les actes originaux, nous retrouvons les dates notées avec le calendrier républicain lorsque celui-ci était en vigueur.
J’invite le lecteur à consulter durant la lecture :
– L’annexe 1, représentant l’arbre généalogique de la famille, afin d’avoir une vision globale des liens entre les personnes étudiées.
– L’annexe 2, représentant un ensemble de cartes géographiques permettant de resituer et recontextualiser les lieux présents dans ce mémoire à savoir :
o Mens et ses environs (actuel)
o Commune de Mens (actuel)
o Plan cadastral de Mens (1835)
o Saint Baudille et Pipet et ses environs (actuel)
o Saint Baudille et Pipet et ses environs (XVIIIe siècle)
o Saint Baudille et Pipet et ses environs (1820-1866)

Le Trièves

Avant de décrire l’histoire de la ville de Mens, je trouve important de faire un petit paragraphe sur l’environnement géographique de celle-ci. En effet, comment comprendre le rôle d’une ville ou la place que peuvent avoir ses habitants dans un système social donné, si l’on ne prend pas en compte sa géographie globale ?
Le Trièves est donc un territoire qui se situe au Sud de la ville de Grenoble, en Isère, dans la région Auvergne Rhône Alpes. Il est frontalier avec la Drôme et les Hautes-Alpes. Constitué de 27 communes, il représente aujourd’hui un bassin de population d’environ 10 000 habitants. Mens en est la capitale historique.
Le Trièves est borné par 2 massifs montagneux. A l’ouest, le Vercors, avec des sommets culminant à plus de 2000 m et au sud par le Dévoluy, avec des cimes allant jusqu’à presque 2800 m de haut, (2789 m pour la Grande Tête de l’Obiou). C’est un plateau intermédiaire entre les Alpes du Nord et celles du Sud.
A l’est, le Drac, une rivière capricieuse (son nom signifie « le dragon »), clôt cet espace avec ses gorges escarpées. Nous avons donc une forteresse naturelle, accessible uniquement par les cols ou les ponts.
Les voies de communications ont longtemps été quasi-inexistantes et praticables uniquement à dos de mulet. A part les liens existants avec les routes commerciales allant de Grenoble à Die par les cols, ce territoire vivait dans une relative autarcie. Aujourd’hui, une route nationale traverse le territoire et une autoroute venant de Grenoble le dessert.
Cette région est drainée par quelques cours d’eau. L’Ebron et la Vanne sont les plus grands d’entre eux.
Plusieurs ruisseaux et torrents, dont les débits fluctuent selon les années et les saisons, complètent le paysage. Lors des périodes d’orages intenses, il n’était pas rare, avant la création du barrage de Monteynard, que ceux-ci grossissent et détruisent les terres arables, les enterrant sous les galets, les érodant ou les emportant tout simplement. Les terrains fertiles étant rares, précieux et inéquitablement répartis, les crues constituaient un malheur terrible.
Pour le climat, le Trièves est situé dans une zone de transition entre le climat continental et méridional. En effet, les étés sont chauds et la sécheresse touche régulièrement ce pays. Les hivers sont enneigés et rudes à cause de l’altitude moyenne du plateau.

Des guerres de religion à l’Edit de Nantes

La période des guerres de Religion marque durement et durablement le territoire. Le protestantisme (luthéranisme au départ) arrive dans le Trièves par Antoine Froment (1522) qui sera un des disciples de Guillaume Farel et qu’il rejoindra à Genève en 1529.
Farel, originaire de Gap, sera touché par les idées de l’évangélisme dans les années 1520 lors de ces études à Paris. Il sera ensuite un des grands diffuseurs de la Réforme, en Dauphiné d’abord, puis en Suisse principalement. Après avoir fait basculer les Vaudois du Dauphiné dans la Réforme (synode de Chanforan, 1532), il rallie les idées de Calvin. Il revient pour un ultime voyage de deux ans en Dauphiné en 1561 où ils organisent les communautés réformées.
La conversion du Trièves est rapide. Les idées de ses prédicateurs font leur chemin, si bien qu’en 1562, presque tous les habitants du Trièves embrassent les idées de cette religion réformée (90% de la population de Mens est protestante). Mais sitôt les conversions engagées, sitôt la répression s’abat, avec violence. Lors de la première guerre de Religion (1562-1563), la région est mise à feu et à sang. Les deux camps opposés prennent puis perdent les villes et villages. Les faubourgs de Mens sont incendiés courant du mois de février 1563 par une armée catholique.
Après ces combats s’ensuit plusieurs années de paix et si de nombreuses régions connaissent à nouveau la guerre, ce n’est pas le cas de Mens et du Trièves.
Mais le massacre de la Saint Barthélémy va remettre le feu aux poudres. Lors de ce début de 4e Guerre de Religion, un personnage va sortir de la mêlée dauphinoise, il se nomme François de Bonne de Lesdiguières.
Ce personnage mérite toute la bibliographie qui lui est associée, tant il a été important pour la province et pour le parti Réformé. Je ne ferais pas une biographie détaillée ici, cependant, il est important de noter quelques évènements de sa vie.
Ce personnage issu de la noblesse du Champsaur est converti durant sa jeunesse au protestantisme et il profitera du désordre ambiant pour s’imposer en tant que chef de guerre.
Il prend les armes en 1573 et conquit plusieurs villages aux alentours de Mens, ville où il fixera son quartier général.

Révolution et XIXème siècle

L’époque révolutionnaire mensoise rappelle celle de beaucoup de campagnes françaises. Les nobles fuient, laissant leurs demeures libres au pillage et à la destruction, ainsi qu’à la vente de leurs biens et de leurs terres. Le curé de Mens, M. Bac, prêtre réfractaire, sera exécuté à Privas (1794). Il sera le seul de la région, les autres seront cachés et protégés par la population, tant catholique que protestante.
La stabilité revient avec les années 1800. Le Concordat de 1801 permet la liberté de conscience en France.
En 1805, Mens devient le siège d’un consistoire protestant englobant tout le département de l’Isère. Les pasteurs André Blanc et Félix Neef fondent l’ « Ecole Modèle » en 1822, afin de former des instituteurs et des élèves pasteurs. D’autres écoles de ce type voient le jour dans le Dauphiné mais aucune n’eut autant de succès. En parallèle, de nombreuses écoles primaires sont créés à Mens et dans ses environs.
Le désenclavement de la ville commence aussi à cette période. La RN 75 est construite, traversant le Trièves de part en part. Entre 1820 et 1830, le réseau routier est agrandi, avec des routes allant de Mens à Clelles, à Corps, à Monestier de Clermont, à La Mure. Die, qui était la principale ville commerçante avec Mens, est peu à peu abandonné au profit de Grenoble et même de Marseille.
L’industrie du chanvre est en pleine essor, l’agriculture se porte bien, une période de prospérité s’installe dans la vallée.
Celle-ci fut de courte durée. La seconde moitié du XIXe siècle est marqué par un net ralentissement économique. Les jeunes commencent à déserter la campagne. L’instruction offre des possibilités nouvelles pour une main d’œuvre qui traditionnellement était aux champs. En conséquence, les industries liées au monde agricole périclitent. On ne tisse plus la laine ni le chanvre à cause de la trop grande concurrence du coton. A Mens, deux usines de soierie sont créées en 1881 et 1893 afin de palier à ce déclin manufacturier.
Des ponts sur l’Ebron et le Drac sont construits (en 1863 pour celui de Ponsonnas, 1883 pour celui de Brion).
On perce le tunnel sous le col de Menée en 1885. Tout est fait pour s’ouvrir au monde. Mais la fin de l’isolement du Trièves crée un situation ambivalente. Après avoir apporté la prospérité au début du siècle, cette ouverture va affaiblir la région. La concurrence des plaines riches devient plus intense. Les marchés et les foires perdent de leur importance. Les villages périphériques se tournent vers les plus grandes agglomérations et l’activité mensoise se ralentit.
Cependant, il est un domaine qui petit à petit va prendre de l’ampleur, c’est le tourisme. Nombre de curistes allant se ressourcer aux eaux d’Oriol font étape à Mens dans un des hôtels de la ville.
Enfin, la vie des Mensois se modifie. En 1864, cinq facteurs apportent quotidiennement le courrier, les journaux font leur apparition. L’amélioration de la nourriture et de l’hygiène fait reculer les maladies. Les toits se couvrent de tuiles, évitant les incendies. Les forêts sont reboisées et certains torrents maitrisés, limitant les catastrophes naturelles. Enfin, il n’y a plus de bêtes féroces rodant autour du village (1855, dernier loup ; 1858, dernier lynx ; 1898, dernier ours).

Contrat de mariage

Le contrat de mariage de Jean Pierre et Angélique a été réalisé le 16 février 1797 par Maitre Jean Pierre FLUCHAIRE (son oncle, notaire royal puis public), à Saint Baudille et Pipet . Il sera fait dans la maison du père de la mariée, à Mens.
On y apprend que le père d’Angélique lui accorde une dot de 2000 livres numéraires, dont 1000 sont payables à requête avec intérêts, et 1000 payables après son décès, sans intérêts. En accord avec les mariés, tant que ceux-ci habiteront et seront entretenus par celui-ci, il ne sera pas tenu de payer ces intérêts.
En cas de séparation, pour tenir lieu des 1000 livres non reçus, il donnera au marié le pré qu’il possède au lieu-dit des abreuvoirs, d’une contenance d’environs une sétérée.
Le mariage se faisant au gré d’Antoine FLUCHAIRE, père du marié, il lui a donné « en contemplation de celui », la somme de 2000 livres, payable ainsi :
– 1000 livres dans une année sans intérêt jusqu’au terme passé et sinon au taux permis par les lois.
– 1000 livres après son décès sans intérêt.
Pour augment (douaire), le futur époux (avec l’aval de son père) a donné à sa future épouse le tiers denier de sa constitution, en contre augment, la future (avec l’aval de son père à elle), prévoit le sixième denier de sa constitution. Ces augment et contre augment appartiendront aux enfants à naitre de ce mariage. S’il n’y a pas d’enfant, ils iront au survivant.

Testament

Ce testament a été trouvé dans les minutes de Maitre ACCARIAS. Il a été rédigé le 06 juin 1828 soit 6 jours avant la mort de Jean Pierre. Dans celui-ci, il explique la nécessité d’écrire ce testament, étant « d’une mauvaise santé mais dans l’intégrité de tous ses sens ».
Dans celui-ci, il lègue à son fils ainé Jean Pierre Joseph, la portion de son bien « dont la loi le permet de disposer pour s’en prévaloir par lui par préciput ».
Il lègue aussi à sa « chère » femme Angélique FAZENDE, une pension annuelle et viagère de la somme de 200 franc argent, 4 setiers blé froment (en mesure « actuelle ») et un hectolitre de vin de Provence ou du Diois, le tout payable par quartier et d’avance par le légataire et les héritiers, chacun à proportion de ce qu’ils auront reçu de la succession.

Mutation après décès

Nous trouvons la déclaration de mutation après décès au numéro 720 et datée du 05 décembre 1828.
Celle-ci nous indique qu’est comparue Dame Angélique FAZENDE, veuve de Jean Pierre FLUCHAIRE, demeurant à Mens, agissant pour Jean-Pierre-Joseph, Jean Pierre, Augustin, Sophie et Pauline Fluchaire, ses enfants majeurs ou en couple, Adolphe et Calixte FLUCHAIRE, ses enfants mineurs dont elle est la tutrice légale.
Elle indique que Jean Pierre son mari, décédé le 12 juin 1828, a fait son testament chez Maître ACCARIAS à Mens le 06 Juin 1828 (enregistré le 1erjuillet).
Par celui-ci, il lègue à Jean-Pierre-Joseph FLUCHAIRE, son fils ainé, la portion disponible de son bien et à sa femme une pension annuelle et viagère de la somme de 200 francs, 4 setiers de blé froment et 1 hectolitre de vin.
La succession comprend :
En mobilier :
– La somme de 6847.05 francs, provenant des créances et de la valeur du mobilier portés dans l’inventaire reçu par Me ACCARIAS les 17 et 18 juin 1828.
Sera reçu la somme de 17.15 francs de taxe.
En immeubles :
– Un domaine situé à Guichardières, dans la commune de St Baudille et Pipet consistant en :
o Maison
o Bâtiments ruraux
o Plaçage
o Jardins
o Prés
o Terres
o Portion de montagne, hermes et bois
o 12 ares de vigne au Rouzet, commune de Mens
Le tout non affermé, produisant un revenu annuel de 585 francs
– Une petite maison composée d’une seule pièce, et une autre au-dessus, produisant un revenu de 15 francs.
– 40 ares de terre situés à Mens, mas du Contours, produisant un revenu de 15 francs.
Le total du revenu annuel est donc de 615 francs au capital de 12 300 francs.
Il sera perçu sur cette somme, 123 francs de droit d’enregistrement de succession.

Catherine GACHET

Elle est née vers 1682. Elle décédera et sera inhumée à Saint Baudille le 09.12.1737 . Elle est la fille de Pierre GACHET et Marie CUCHET. Elle a au moins un frère, vivant en 1701 qui se prénomme Jean Pierre.

Quittance dotale

Cette quittance a été trouvée dans les minutes Me ROUYER, notaire à Saint Baudille et Pipet.
Dans celle-ci, Jean FLUCHAIRE, père et fils sont présents, « de gré lun pour lautre et un pour tous le mieux que faire se pourra, le fils de laliiance et actorité du père et led[it] fils en qualité de mary et maittre des droits doteaux». Ils attestent avoir reçu des mains d’honnête Claude PELLET GONNON, la somme de 150 livres de constitution dotale, en sa qualité de beau-père, en accord avec Marie CUCHET mère de Catherine et de Jean Pierre, son frère. Cette somme a été réglée en louis d’or, d’argent et autres monnaies ayant cours.
Celle-ci vient en acompte du versement des 410 livres prévues dans la transaction (le contrat de mariage). Catherine ROYER
Elle est la fille de Pierre ROYER, né aux environs de 1678 et de Françoise REYMOND, née pour sa part vers 1673. Ces parents se sont mariés le 13.01.1699 à Saint Baudille. Son père est châtelain au château de Pipet. Elle est la deuxième enfant du couple qui en comptera six.
♂ Estienne, baptisé le 10.04.1701 à Saint Baudille et Pipet.
Il sera notaire royal de 1726 à 1756.
♀ Catherine, baptisée le 23.03.1704 à Saint Baudille et Pipet
♀ Une fille, baptisée le 14.01.1708, inhumé le 15.01.1708 sans prénom à Saint Baudille
♂ Pierre, baptisé le 14.01.1708 à Saint Baudille et Pipet.
♀ Louise, baptisée le 20.01.1709 à Saint Baudille et Pipet.
♀ Françoise, baptisée le 15.01.1713 à Saint Baudille et Pipet.

Testament

Ce testament a été trouvé dans les minutes de Me ROUYER, notaire à Saint Baudille et Pipe.
Celui-ci date du 10.11.1701. Jean FLUCHAIRE père, atteint d’une « maladie corporelle qu’il n’y a de si certain que sa mort » dicte ses dernières volontés. Il est à noter qu’il ne décèdera qu’en 1729 soit 28 ans plus tard.
Dans ce testament où il demande à Dieu à l’heure où son âme sera séparée de son corps, qu’il veuille bien l’accueillir et le recevoir dans son saint paradis, il met aussi en œuvre l’après sa mort.
Il demande à ce que son corps soit enterré au cimetière paroissial de l’église de Saint Pancrace (hameau de Saint Baudille et Pipet), proche de la tombe de ses prédécesseurs. Que le jour de son enterrement il soit fait aumône aux pauvres qui assisteront à son enterrement à la discrétion de l’héritier désigné.
– A Pierre et André FLUCHAIRE, à chacun il lègue la somme de 90 livres soit 60 livres lorsqu’ils auront atteint l’âge de 25 ans ou s’ils trouvent leur partie en mariage, et 30 livres l’année d’après.
– A Anthoinette FLUCHAIRE, il donne la somme de 150 livres soit 100 livres à ses 25 ans ou s’il elle trouve son parti avant et 50 livres l’année d’après.
– Si sa femme est enceinte au moment de sa mort, et qu’un enfant vient à naitre, il lègue la somme de 45 livres à celui-ci.
– A Jean et Jacques, la somme de 3 livres qui vient en plus de ce qu’ils ont reçu en constitution de leur contrat de mariage, payable un an après son décès.
– A sa « bien-aimée » femme, pour les bons et agréables services qu’il à reçu d’elle, qu’il reçoit et qu’il espère recevoir si Dieu lui donne la vie, il lègue la somme de 60 livres. Les 45 livres de l’enfant posthume entrant dans ces 60 livres si celui-ci ne vient pas au monde.
Au-delà de ces sommes d’argent, il fait de sa femme, Charlotte GOYRAND, son héritière universelle. Elle sera la mère et l’administratrice des enfants en bas âge, qu’elle élèvera selon son vouloir et son pouvoir. A elle, de gérer aussi les dettes, créances et les funérailles.

La vie militaire d’Albert

D’après le répertoire alphabétique de la classe 1897 du bureau de Bourgoin , Albert Ennemond Léon est le matricule 802 dans le 2 e volume. Voilà ce que nous apprend sa fiche.
En 1897, il habite Lyon, canton du Rhône. Il est élève en pharmacie. Il est le fils d’André Ennemond
FLUCHAIRE et Julie Louise DEMARTINI, domicilié à Crémieu en Isère. Il reçoit le numéro 140 du tirage dans le canton de Crémieu.
Il a les cheveux et les sourcils châtains ainsi que ces yeux. Le front découvert, le nez moyen, la bouche moyenne, le menton rond et le visage ovale. Il mesure 1 m 50.
A cause de sa taille, il sera ajourné en 1898, puis en 1899. En 1900, il sera classé dans les services auxiliaires.
Il sera réformé définitivement et proposé pour pension temporaire, invalidité temporaire à 25% par la commission du Rhône Sud du 5 Mars 1920 pour « Albuminurie persistante ». Il sera ensuite proposé pour pension permanente de 25% par la Commission du centre spécial de Lyon du 05 Janvier 1924 pour « néphrite chronique avec albuminurie paraissant permanente et emphysème léger »

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Table des matières
Remerciements
Engagement 
Consignes de recherche 
Introduction
Contenu du mémoire et méthodologie
Le Trièves
Mens
Les Fluchaire
Blason
Localisation des familles
Le couple FLUCHAIRE / EYRAUD – 1841 
Calixte Marius FLUCHAIRE
Alexandrine EYRAULT
Contrat de mariage
Le cadastre
Registre des hypothèques
La vie militaire de Calixte
Fonction municipale
Mutation après décès
Le couple FLUCHAIRE / FAZENDE – 1797 
Jean Pierre FLUCHAIRE
Marie Angélique FAZENDE
Contrat de mariage
Testament
Inventaire après décès
Mutation après décès
Le couple FLUCHAIRE / CORREARD – 1771 
Antoine FLUCHAIRE
Marianne CORREARD
Contrat de mariage
Donation et partage
Le couple FLUCHAIRE / ROYER – 1738
Jean FLUCHAIRE
Catherine GACHET
Quittance dotale
Catherine ROYER
Contrat de mariage
Testament
Le couple FLUCHAIRE / GOYRAND – Env. 1670-1682 
Jean FLUCHAIRE
Charlotte GOYRAND
La vie du couple
Testament
Le couple FLUCHAIRE / DESMARTINI – 1874
André Ennemond FLUCHAIRE
Julie Louise DESMARTINI
La vie militaire d’André
Contrat de mariage
Le couple FLUCHAIRE / FOURNEL – 1903 
Albert Ennemond Léon FLUCHAIRE
Fleurine Antoinette Clémence FOURNEL
La vie militaire d’Albert
Le couple FLUCHAIRE / DUVAL – 1942
Roger Ennemond Maurice FLUCHAIRE
Conclusion 
Bibliographie
Iconographie 
ANNEXE 1 
ANNEXE 2 
ANNEXE 3 
ANNEXE 4

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