LE CENTRE DE TRANFUSION SANGUINE DE MADAGASCAR 

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Moyens de production du froid

Il y a plusieurs moyens de production du froid. Mais la technique de la production évolue selon le temps et la technologie. Dans cet ouvrage, nous ne rappelons que les trois moyens de production du froid.

Mélange réfrigérant

C’est un mélange de plusieurs substances qui permet d’obtenir une substance aqueuse dont la température est bien en dessous de la température de solidification de l’eau (0°C). Les mélanges réfrigérants se basent sur les propriétés colligatives des solvants. Lorsque l’on ajoute du sel dans de la glace, celle-ci devient instable et fond. La dissolution du sel peut être endo- ou exothermique. On peut citer, comme exemple, quelques mélanges réfrigérants classiques : 23% en masse de Chlorure de Sodium (NaCl) dans de la glace pilée permet d’obtenir un mélange jusqu’à -20°C ; 30% de Chlorure de Calcium (CaCl2) avec de l’eau (H2O) permet de descendre à -55°C.

Sublimation de certains solides

La sublimation est le passage direct d’un corps de l’état solide à l’état gazeux, sans passer par l’état liquide. Par conséquent, cette transformation se fait sans pas- ser par une étape de fusion de solide en liquide, ni une étape d’évaporation de li-quide en gaz. Le procédé inverse se nomme déposition ou condensation solide ou encore sublimation inverse. Tout solide stable est susceptible d’être sublimé si on le chauffe avec une pression inférieure à celle de son point triple.
La sublimation nécessite de fournir une énergie au corps qui la subit et est donc une transition de phase endothermique. La chaleur de sublimation (enthalpie) peut être calculée comme la somme de l’enthalpie de fusion et de l’enthalpie de vaporisa-tion. Par exemple : le dioxyde de carbone (CO2) solide sublime rapidement sous la pression atmosphérique à -78,5°C. Il est employé couramment pour maintenir les températures froides sous les noms « glace sèche » ou bien « neige carbonique ». Par contre, le CO2 liquide n’existe qu’aux pressions au-dessus du point triple de CO2 (5,2atm ; -56,4°C).

Utilisation d’une machine à compression

C’est le moyen le plus utilisé pour la production du froid. L’installation doit être constituée d’au moins de quatre appareils principaux qui accomplissent le cycle frigo-rifique : un moteur qui entraîne le compresseur ou l’ensemble moto-compresseur, un évaporateur, un détendeur et un condenseur. Dans ce cycle fermé circule un agent qui change d’état physique et de température en produisant du froid par absorption de la température des produits conservés.

Mécanisme de réfrigération par compression

Les éléments essentiels du cycle de réfrigération sont le compresseur, le con-denseur, le détendeur, l’évaporateur ou unité de réfrigération et le thermostat qui contrôle le cycle. La réfrigération repose sur la présence d’un gaz frigorigène, lequel se trouve d’abord à l’état gazeux, puis passe par un certain nombre de modifications avant de revenir à l’état gazeux. Cette série de changements est appelée « cycle de réfrigération » et c’est ce qui permet le refroidissement de l’enceinte et le maintien de la température désirée.

Le détendeur :

Pour atteindre la température désirée, le fluide doit être à la pression correspon-dant à la vaporisation. Le fluide subit ainsi une détente isenthalpique. Le fluide frigorigène se vaporise partiellement, ce qui abaisse sa température. Un mauvais contrôle de la quantité de fluide frigorigène admise dans l’évaporateur entraîne les conséquences suivantes :
 Trop peu de fluide frigorigène : il est immédiatement évaporé et il continue à se réchauffer. C’est l’effet de surchauffe. L’efficacité de l’évaporateur diminue.
 Trop de fluide injecté : l’excès de fluide n’est pas évaporé par manque de cha-leur disponible. Une partie du fluide reste liquide et est aspirée par le compresseur. Celui-ci peut alors être sérieusement endommagé parce que le compresseur ne peut pas compresser du liquide. C’est le coup de liquide.
La régulation de la surchauffe à la sortie de l’évaporateur conditionne l’ouverture ou la fermeture du détendeur. Cette régulation « auto-adaptative » se base sur le principe que l’évaporateur a une valeur minimale de surchauffe stable qui évolue en fonction des variations de sa charge.

Le fluide frigorigène [3]

Un fluide frigorigène ou réfrigérant est un fluide pur ou un mélange de fluides purs pouvant être  présents en phase liquide, gazeuse ou les deux à la fois en fonc-tion de la température et de la pression de celui-ci. La principale propriété des fluides frigorigènes est de s’évaporer à une faible température sous pression atmosphé-rique. Les fluide frigorigènes sont utilisés dans les systèmes de production de froid comme la climatisation, la réfrigération, la congélation.
On distingue parmi les gaz réfrigérants différentes catégories de molécules :
 Les frigorigènes anciens (ou naturels) : NH3, hydrocarbures, CO2.
 Les chlorofluorocarbures (CFC) : R11, R12, R13, R113, R114, R115.
 Les hydro-chlorofluorocarbures (HCFC) : R22, R21, R142b, R123, R124, R141b.
 Les hydrofluorocarbures (HFC) : R134a, R23, R125, R143a, R404a, R407b.
 Les frigorigènes zéotropes : mélanges qui voient changer leur com-position volumétrique et leur température de saturation lorsqu’ils s’évaporent et se condensent à pression constante. Les numéros sont chronologiques par ordre d’apparition. Par exemple : R407, R408, R409.
 Les frigorigènes azéotropes (contraire de zéotropes) : R410A, R410c, R502, R507.
 Les frigorigènes quasi-azéotropes (mélange zéotrope avec un glis-sement de température et une modification de la composition) et qui, par conséquent, se comportent comme un azéotrope : R404a.
Du point de vue de la protection de l’environnement, la caractéristique la plus impor-tante du gaz frigorigène est qu’il doit être dépourvu de chlorofluorocarbones (CFC), étant donné que ces derniers contribuent à l’amincissement de la couche d’ozone de l’atmosphère terrestre. Les gestionnaires et les utilisateurs doivent tous vérifier que le matériel acheté est du matériel dont le gaz frigorigène est dépourvu de CFC et que le matériel existant contenant des CFC est remplacé, conformément au Protocole de Montréal.

Diagramme enthalpie-pression du cycle frigorifique

Le diagramme enthalpie-pression, dénommé diagramme des frigoristes est très important pour pouvoir calculer les enthalpies de ces différentes transformations thermodynamiques :
Ce diagramme a été établi afin de faciliter la lecture et le calcul des différents paramètres de fonctionnement de l’installation frigorifique.
Le premier principe de la thermodynamique Wth + qo = qc traduit le bilan énergétique de la machine frigorifique :
– La quantité de chaleur dégagée au condenseur : qc = h2 – h5.
– La quantité du froid produite à l’évaporateur : qo = h1 – h6.
– Le travail dépensé au compresseur : Wth = h2 – h1.
Le premier principe de la thermodynamique étant vérifié, le rendement de l’installation est déterminé par la relation .
Ce rendement supérieur à un (ƞ>1) montre qu’on extrait plus de calories à la source froide To que d’énergie ou travail fourni au moteur. Rappelons que ceci est contraire au rendement (ƞ<1) des machines thermiques.

Sources d’énergie électrique

Le CNTS a une source d’énergie électrique commune à celle de la plupart des sociétés ou des industries à Antananarivo qui est la ‘’Jiro sy Rano Malagasy ou JI-RAMA’’.
Pour une meilleure conservation des produits à température et humidité cons-tantes, le centre CNTS sécurise la fourniture d’énergie par l’utilisation de groupes électrogènes. Ces générateurs électriques fonctionnent automatiquement en cas de la coupure de la source de la JIRAMA.

Les appareils de protections

Les stabilisateurs

Dans certains pays, les variations de tension du réseau électrique sont impor-tantes. Les variations de tension supérieures à 15% peuvent endommager les élé-ments électriques des appareils de la chaîne du froid et en particulier les compres-seurs et les moteurs.
Un stabilisateur élimine les effets des variations de tension sur la ligne élec-trique qui alimente le matériel de la chaîne du froid.

La chaîne du froid

La chaîne du froid pour le sang est un processus systématique destiné à assurer la sécurité du stockage et du transport du sang depuis son prélèvement chez le donneur jusqu’à son administration au patient qui a besoin d’une transfusion. Ce processus est appelé « chaîne du froid ».
Le sang étant une substance biologique, il doit être maintenu à la tempé-rature presque constante, afin de conserver et de prolonger sa durée de vie des cellules sanguines. Le sang total est à la température du corps lors de son prélève-ment mais doit être refroidi à 4°C et maintenu à cette température jusqu’au moment de la transfusion. [5]
Les principaux éléments du matériel de la chaîne du froid pour la conservation du sang total sont les réfrigérateurs et les conteneurs de transport. Mais les congéla-teurs sont également indispensables pour les centres de transfusion qui stockent du plasma. Les autres dispositifs et accessoires essentiels comprennent les générateurs de secours et les systèmes de surveillance de la température à installer dans les ré-frigérateurs pour avertir le personnel de santé dès que la température du stock de sang s’écarte des valeurs acceptables. [2]

Les matériels de la chaîne du froid

Matériel pour le transport

La quantité de réfrigérants, en général des briquettes utilisées pour maintenir une température acceptable pendant le transport, dépend de la quantité de sang pla-cée dans le conteneur de transport, de la durée du trajet et de la température am-biante. C’est d’ordinaire l’expérience qui permet à chaque banque de sang de déter-miner la quantité requise.
Il est important de s’assurer que le conteneur de transport est à la bonne tempé-rature avant de procéder au chargement des constituants du sang.
Les briquettes pour les poches de plasma congelé sont d’ordinaire utilisées pour aider à maintenir la température pendant le transport ; car vu la différence de nature entre l’eau et le plasma, elles sont plus susceptibles de fondre avant le plasma. Il faut donc déterminer la quantité effectivement requise par conteneur de transport. [12]

Les congélateurs

Une congélation est toute la technique visant à faire passer un produit à l’état solide à très basse température par des techniques de refroidissement forcé. La technique consiste à abaisser et à la maintenir en-dessous de la température de fu-sion de la glace afin de supprimer toute activité biologique. La congélation est éga-lement employée pour conserver des cellules vivantes telles que les gamètes ou les embryons, le plasma, …
En particulier, la conservation des cellules vivantes requiert des températures plus basses et des techniques un peu plus sophistiquées pour éviter leur destruction lors des phases de refroidissement et de réchauffement. Par exemple, le recours à des antigels comme le glycérol ou la trempe dans de l’azote liquide vont éviter la formation de cristaux susceptibles de percer des membranes cellulaires.
Les températures de conservation sont en général de – 20°C pour la congéla-tion standard, – 80°C qui correspond à un mélange carboglace-éthanol et – 196°C pour l’azote liquide.
Le CNTS a des congélateurs de même type. Ces congélateurs sont principa-lement utilisés pour conserver de plasma. Au sein du centre, on conserve les pro-duits dans une plage de température de ±1°C ou – 40°C±1°C.

Processus de travail sur la chaîne du froid pour le sang [2]

Un processus est une série d’activités ou d’événements impliquant des per-sonnes, du matériel, des informations, l’environnement, des mesures et des procé-dures. C’est la série de ces éléments interconnectés qui permet au sang de circuler en toute sécurité du bras du donneur au bras du receveur. La qualité est inhérente à tout processus ; il est par conséquent indispensable d’adopter une approche axée sur la qualité dans la gestion de la chaîne du froid pour le sang.
La chaîne du froid pour le sang est l’un des nombreux processus qui se dérou-lent dans une banque de sang. Des personnes, du matériel et des procédures concourent à produire un résultat final : du sang et des composants sanguins sûrs et utilisables.
Trois activités principales sont impliquées dans le processus de la chaîne du froid pour le sang :
 Le stockage: qui maintient le sang à la température correcte depuis le moment où il est prélevé jusqu’au moment où il est transfusé.
 L’emballage et le transport: qui comprennent le matériel et les fourni-tures nécessaires pour transférer les composants sanguins en toute sécu-rité tout au long de la chaîne du froid.
 La maintenance du matériel: qui fournit la gestion, l’infrastructure et le suivi nécessaires pour assurer un approvisionnement en sang qui soit fiable, durable et sûr.

Le fluide frigorigène

On rappelle que le fluide frigorigène soit un fluide qui permet la mise en oeuvre d’un cycle frigorifique. Il peut être pur ou être un mélange de fluides purs présents en phase liquide, gazeux ou la fois en fonction de la température et de la pression de celui-ci.
Presque la totalité des installations frigorifiques à Madagascar fonctionnent en R22. Du point de vue environnemental, ce fluide R22 contient de chlore et provoque un effet de serre direct. Par conséquent, il est parmi les fluides réglementés par le Protocole de Montréal, qui prévoit l’arrêt de toute consommation de HCFC dans les pays développés et dans les pays en développement vers 2030. Ce qui implique son remplacement par des réfrigérants plus respectueux de l’environnement tels que R410A, qui est un mélange zéotropique de difluorométhane et de pentafluoroéthane, R422a, R134a. C’est pourquoi, dans ce travail de mémoire, on choisit d’utiliser le R410A pour l’installation frigorifique de la chambre froide positive du CNTS.

Les produits à conserver

La chambre peut stocker en masse, 150 kg de réactif médical (produits phar-maceutiques) par an. C’est un produit médical de même importance que le vaccin. Ce produit est conservé à une plage de température de +2°C à +8°C. Avant l’entrée du produit à entreposer, il est traité à une température de +15°C.

Les appareils de régulation et de commande

Le CNTS utilise le système de régulation classique selon la norme de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) d’après laquelle chaque installation frigo-rifique est régulée par un appareil spécifique. La température est indiquée constam-ment sur le panel du boîtier électrique.

Le système de surveillance

Il y a plusieurs types de dispositif de contrôle et de surveillance de la tempéra-ture. Comme dans tous les centres de transfusion sanguine, on utilise séparément des sondes de température à l’intérieur de chaque chambre de conservation. Ce capteur de température est relié avec un écran LED appelé afficheur de température. Cet écran fait apparaître numériquement sur la face extérieure du boîtier la tempéra-ture exacte se trouvant à l’intérieur de chambre de conservation.

Appareils du système de surveillance

Le sonde de température

Jusqu’à l’invention du thermoscope de Galilée, les hommes étaient incapables de mesurer la température. Les thermomètres virent bientôt le jour, et avec eux les unités comme le degré Celsius et le Kelvin. Les sondes de température (ou capteur de température) sont des dispositifs permettant de transformer l’effet du réchauffe-ment ou du refroidissement sur leurs composants en signal électrique. Par la suite, les techniques automatisées voyant le jour, il fallut trouver le moyen de traduire les températures en signaux analogiques compréhensibles par des machines. [13] Pour le CNTS de Madagascar, on y utilise une sonde DS18B20. C’est un cap-teur de température numérique et imperméable à l’eau. Cette sonde utilise une inter-face à un fil et ne nécessite donc qu’une seule broche numérique pour la communi-cation. Elle est alimentée par une tension de 3 à 5,5V. Grâce à son tube en acier inoxydable de 6mm de diamètre par 35mm de long, elle peut être utilisée malgré la corrosion ou la rouille. Sa plage de température est de -10°C jusqu’à +85°C avec une précision de 0.5°C.

Caractéristiques principales [15]

Voici les caractéristiques principales du capteur DHT11 :
 Supporte une alimentation et des signaux de 3,3V ou de 5V .
 Consommation 0.5mA en nominal et maximale de 2,5mA lors de la col-lecte de données .
 Efficace pour 20 à 80% d’humidité, avec une précision de 5% .
 Efficace sur la plage de 0 à 50°C, avec une précision de 2°C .
 Fréquence maximale d’échantillonnage : 1Hz.

Broches analogiques

La carte Uno dispose de 6 entrées analogiques (numérotées de 0 à 5), cha-cune pouvant fournir une mesure d’une résolution de 10 bits à l’aide de la fonction analogRead du langage Arduino. Par défaut, ces broches mesurent entre le 0V et le 5V, mais il est possible de modifier la référence supérieure de la plage de mesure en utilisant la broche AREF et l’instruction analogReference du langage Arduino. Ces broches analogiques peuvent être utilisées en tant que broches numériques. Elles sont numérotées en tant que broches numériques de 14 à 19.

Alimentation

La carte Arduino Uno peut être alimentée soit via la connexion USB (qui four-nit 5V jusqu’à 500mA) ou à l’aide d’une alimentation externe. La source d’alimentation est sélectionnée automatiquement par la carte.
Dans notre cas, on utilise un adaptateur de secteur d’alimentation externe. L’adaptateur secteur est connecté en branchant une prise 2,1mm au centre dans le connecteur jack de la carte ; car la carte peut fonctionner avec une alimentation ex-terne. Cependant, si la carte est alimentée avec moins de 7V, la broche 5V pourrait fournir moins de 5V et la carte pourrait être instable. Si on utilise plus de 12V, le ré-gulateur de tension de la carte pourrait chauffer et endommager la carte. La plage idéale recommandée pour alimenter la carte Uno est aussi entre 7V et 12V.
Les broches d’alimentation sont les suivantes :
 VIN : la tension d’entrée positive lorsque la carte Arduino est utilisée avec une source de tension externe (à distinguer du 5V de la con-nexion USB ou autre source 5V régulée). On peut alimenter la carte à l’aide de cette broche ou si l’alimentation est fournie par le jack d’alimentation.
 5V : la tension régulée utilisée pour faire fonctionner le microcontrô-leur et les autres composants de la carte. Le 5V régulé fourni par cette broche peut donc prévenir soit de la tension d’alimentation VIN via le régulateur de la carte, ou bien de la connexion USB ou de tout autre source d’alimentation régulée.
 3V3 : une alimentation de 3,3V fournie par le circuit intégré FTDI de la carte. L’intensité maximale disponible sur cette broche est de 50mA
 GND : Ground (broche de masse)

Entrées et sorties numériques

Chacune des 14 broches numériques de la carte UNO (numérotées de 0 à 13) peut être utilisée soit comme une entrée numérique, soit comme une sortie numé-rique, en utilisant les instructions PinMode, digitalWrite et digitalRead du langage Arduino. Ces broches fonctionnent en 5V. Chaque broche peut fournir ou recevoir un maximum de 40mA d’intensité et dispose d’une résistance interne de « rappel au plus » (ou pull-up) de 20-50k. Cette résistance interne s’active sur une broche en entrée à l’aide de l’instruction digitalWrite.
De plus, certaines broches ont des fonctions spécialisées :
 Communication Série : broches 0 (RX) et 1 (TX), utilisées pour recevoir (RX) et transmettre (TX) les données séries de niveau TTL. Ces broches sont con-nectées aux broches correspondantes du circuit intégré ATmega328 pro-grammé en convertisseur USB-vers-série de la carte, composant qui assure l’interface entre les niveaux TTL et le port USB de l’ordinateur.
 Interruption Externes : broches 2 et 3. Ces broches peuvent être configurées pour déclencher une interruption sur une valeur basse, sur un front montant ou descendant, ou sur un changement de valeur.
 Impulsion PWM (largeur d’impulsion module) : broches 3, 5, 6, 9, 10 et 11. Ces broches fournissent une impulsion PWM 8-bits à l’aide de l’instruction.
 SPI (Interface Série Périphérique) : broches 10 (SS), 11 (MOSI), 12 (MISO), 13 (SCK). Ces broches supportent aussi la communication SPI. Les broches SPI sont également connectées sur le connecteur ICSP qui est mécanique-ment compatible avec les cartes Mega.
 I2C : broches 4 (SDA) et 5 (SCL). Elles supportent les communications de protocole I2C ou Interface TWI (Two Wire Interface).
 LED : broches 13. Il y a une LED incluse dans la carte connectée à la broche 13. Lorsque la broche est au niveau haut, la LED est allumée, lorsque la broche est au niveau bas, la LED est éteinte.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

PARTIE I : BASES THEORIQUES SUR LA PRODUCTION DU FROID ET SUR L’ACQUISITION DES DONNEES NUMERIQUES
CHAPITRE.I : LA PRODUCTION DU FROID
I.1 Historique de la production du froid
I.2 Moyens de production du froid
I.2.1 Mélange réfrigérant
I.2.2 Sublimation de certains solides
I.2.3 Utilisation d’une machine à compression
I.3 Mécanisme de réfrigération par compression
I.3.1 Le compresseur
I.3.2 Le condenseur
I.3.3 Le détendeur
I.3.4 L’évaporateur
I.3.5 Le thermostat
I.4 Le fluide frigorigène [3]
I.5 Circulation du fluide frigorigène
I.6 Diagramme enthalpie-pression du cycle frigorifique
CHAPITRE.II : LE CENTRE DE TRANFUSION SANGUINE DE MADAGASCAR 
II.1 Généralités
II.1.1 Les coordonnées
II.1.2 Historique du CNTS
II.1.3 Les dirigeants
II.1.4 Organigramme
II.2 Installations thermiques
II.2.1 Sources d’énergie électrique
II.2.2 Les appareils de protections
.II.2.2.1 Les stabilisateurs
.II.2.2.2 Les disjoncteurs
.II.2.2.3 Le thermostat mécanique
.II.2.2.4 La protection de la chambre froide
II.3 La chaîne du froid
II.4 Les matériels de la chaîne du froid
II.4.1 Matériel pour le transport
II.4.2 Les réfrigérateurs
II.4.3 Les congélateurs
II.5 Processus de travail sur la chaîne du froid pour le sang [2]
II.6 La chambre froide
II.6.1 Dimensionnement
II.6.2 L’isolation
II.6.3 Le fluide frigorigène
II.6.4 Les produits à conserver
II.7 Les appareils de régulation et de commande
II.8 Le système de surveillance
II.8.1 Principes
II.8.2 Appareils du système de surveillance
.II.8.2.1 Le sonde de température
.II.8.2.2 L’afficheur de température
.II.8.2.3 L’alarme d’alerte
II.9 Les composants frigorifiques de la chambre froide
II.9.1 L’unité extérieur
II.9.2 L’unité intérieur
CHAPITRE.III : DIMENSIONNEMENT DE LA CHAMBRE FROIDE
III.1 Surfaces des parois et volumes de la chambre froide
III.2 Charge thermique par transmission à travers les parois [3]
III.3 Charge thermique due au renouvellement d’air [3]
III.4 Charge thermique due à l’éclairage [3]
III.5 Charge thermique due aux personnes [3]
III.6 Charge thermique due aux produits entrants Qde [3]
III.7 Puissance frigorifique de l’évaporateur [3]
III.8 Charge thermique due aux moteurs des ventilateurs de l’évaporateur
III.9 Charge thermique due à la résistance de dégivrage
III.10 Puissance frigorifique effective de l’évaporateur
III.11 Détermination de la température de condensation
III.12 Détermination de la température de vaporisation
III.13 La température à la sortie de l’évaporateur
III.14 La température à l’entrée du compresseur
III.15 La surchauffe totale
III.16 Tableau des paramètres et Diagramme enthalpie-pression
III.17 Débit masse de fluide frigorigène en circulation
III.18 Débit volumique du fluide aspiré par le compresseur
III.19 Taux de compression
III.20 Rendement volumétrique
III.21 Volume du fluide balayé par le compresseur
III.22 Puissance à fournir sur l’arbre du compresseur
III.23 Puissance absorbée par le moteur électrique
III.23.1 Travail dépensée au compresseur
III.23.2 Puissance théorique
III.24 Coefficient de performance frigorifique
III.25 Coefficient de performance de Carnot
III.26 Rendement de l’installation
III.27 Puissance rejetée au condenseur
III.28 Comparaison du résultat des calculs par rapports à celui du Solkane
PARTIE II : ACQUISITION DE DONNEES
CHAPITRE.IV : MATERIELS ET OUTILS NECESSAIRES
IV.1 Notion de définition
IV.2 Principe de l’acquisition [7]
IV.3 Présentation de la chaîne d’acquisition à réaliser
IV.3.1 La partie émettrice
IV.3.2 La partie réceptrice
IV.4 Le capteur
IV.4.1 Présentation [15]
IV.4.2 Caractéristiques principales [15]
IV.4.3 Caractéristiques techniques [15]
IV.4.4 Dimensionnement [15]
IV.4.5 Brochage du DHT11 [16]
IV.4.6 Montage avec une carte Arduino UNO [11]
IV.5 La carte Arduino UNO
IV.5.1 Description
IV.5.2 Caractéristiques
IV.5.3 Brochage de la carte
.IV.5.3.1 Broches analogiques
.IV.5.3.2 Alimentation
.IV.5.3.3 Entrées et sorties numériques
.IV.5.3.4 Autres broches
IV.5.4 Communication
IV.5.5 Mémoire de la carte
IV.6 Le microcontrôleur [1]
IV.6.1 Les principales caractéristiques
IV.6.2 Brochage de l’ATmega328
IV.7 Le Module TC35
IV.7.1 Présentation du Module TC35 [14]
IV.7.2 Schéma simplifié
IV.7.3 Caractéristiques
IV.7.4 Importance du module TC35
.IV.7.4.1 Les SMS
.IV.7.4.2 La communication
.IV.7.4.3 Montage du module TC35 à la carte Arduino Uno
IV.8 L’ordinateur
IV.9 Le téléphone portable
CHAPITRE.V : LA PROGRAMMATION
V.1 Langage de programmation
V.2 Logiciels utilisés [17]
V.2.1 Installation
V.2.2 Caractéristiques du développement
V.3 Configuration de la LED
V.4 Exploitation des registres du microcontrôleur ATmega328
V.5 Exploitation des Timers
V.6 Changement des broches ou « PIN CHANGE »
V.7 Programme du capteur DHT11 [15]
V.8 Programme du module TC35
CHAPITRE.VI : MONTAGES, RESULTATS ET INTERPRETATIONS
VI.1 Branchements et emplacements des matériels au sein du CNTS de Madagascar
VI.1.1 Le capteur DHT11
VI.1.2 La carte Arduino uno et le module TC35
VI.2 Interface sans le module TC35
VI.3 Test et montage du Module TC35 à la carte Arduino uno
VI.4 Interface avec le module TC35
VI.5 SMS au téléphone portable
VI.6 SMS à l’ordinateur
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE ET WEBOGRAPHIQUE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *