LE CAMEROUN ET SON SYSTÈME ÉDUCATIF

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OBSERVATOIRE NATIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE (ONEFOP)

Observatoire National de l’Emploi et de la formation Professionnelle (ONEFOP). Il s’agit de l’observatoire du ministère du même nom (Ministère de l’emploi et de la formation professionnelle) qui a pour objectif de connaitre le marché de l’emploi. 58 points focaux sur l’étendue du territoire alimentent la base de données par les recensements auprès de la population. Des données proviennent aussi des bases existantes des revues documentaires Institut National de la Statistique du Cameroun (INS) : organisme public qui a pour objectif d’offrir au public de statistiques fiables sur les plans socio-économique et structurel du Cameroun. Des enquêteurs et les correspondants d’autres ministères alimentent la base de données avec pour source les différents rapports, annuaires statistiques, enquêtes sur la population et recensements.
De tous ces observatoires étudiés, un a particulièrement attiré notre attention par sa représentation de l’information sous forme visuelle par des graphiques et des cartes. Il permet aussi l’anticipation des données par des simulations. Il s’agit du « Nigeria Security Tracker (NST)12. »

NIGERIA SECURITY TRACKER (NST)

Il s’agit d’un organisme indépendant du « Council on Foreign Relations’ Africa Program » qui fournit des statistiques fiables sur la criminalité dans le pays. Sa base de données est alimentée par l’équipe du chercheur principal du « Ralph Bunche pour les études politiques africaines » John Campbell. Ce dernier conduit les enquêtes et les sondages hebdomadaires et la collecte d’information auprès des médias internationaux.
Cependant, cet observatoire ne permet pas des études comparatives dans le temps (rétrospectivement). En outre, l’observatoire ne présente qu’un seul indicateur (le taux de criminalité), ce que nous trouvons insuffisant parce qu’il ne permet ni anticipation, ni correction. Étant donné que des objectifs à atteindre ne sont pas fixés à l’avance (par exemple voir le taux de criminalité baisser à x pourcent), une comparaison entre les statistiques réelles et l’objectif ne peut être établie par exemple faire des simulations ou des projections.
Dans un système d’aide à la décision, Robert (2007 : 65-68) indique dans son travail qu’un utilisateur doit composer une requête, celle-ci est transformée dans un format qui est en conformité avec les règles et les attributs dans le système informatisé. La requête est renvoyée à une base de données de connaissances qui est créée et la base d’’informations disponibles dans un domaine requis. Cette requête est mise en correspondance avec la base de données pour produire les sélections qui s’accordent avec la requête. Cet aspect compare le contenu de la requête aux attributs et aux valeurs dans une base de données. Le schéma suivant (fig. 14) résume les étapes de cette procédure de recherche d’information.
Figure 11 : Les étapes de la recherche d’information d’après Robert (2007 : 65-68)
Toujours d’après les travaux de Robert, quatre méthodes sont généralement utilisées pour développer les systèmes interactifs informatisés d’aide à la décision et les systèmes d’experts. Ce sont :
– Les raisonnements à base de cas ;
– Les raisonnements à base de règle ;
– Les réseaux neuronaux ;
– Les réseaux probabilistes.
La requête étant reformulée en fonction du résultat. Robert pense toutefois que le principal inconvénient des systèmes interactifs informatisés est que la plupart d’entre eux n’ont pas de place pour les commentaires personnels qui peuvent être ajoutés à l’interface de présentation. Ces commentaires souligne-t-il ainsi que la requête utilisée peuvent être un outil très important pour améliorer la base de données de source.
Les systèmes interactifs d’aide à la décision (SIAD en anglais Decision support system (DSS)) d’après McNurlin & Sprague (1989 : 105) sont des « systèmes informatisés qui aident des décideurs à confronter des problèmes mal structurés, par l’interaction directe avec des modèles de données et des modèles d’analyse ». Ces systèmes sont habituellement fortement quantitatifs et permettent à des utilisateurs d’explorer les conséquences de différentes décisions basées sur des données différentes.
Il peut être présentés entre autres systèmes :
– Le Système d’Information Exécutif (SIE) spécialisé dans la satisfaction des besoins d’information des décideurs dont les avantages ont été relevés par Leidner & Elam (1993). En effet, pour Leidner, le SIE permet d’augmenter la vitesse d’identification des problèmes dans le processus décisionnel ;
– Les systèmes d’aide à la décision de groupe (en anglais Group decision support systems -GDSS) aident la prise de décision collective de groupe qui vise à améliorer le processus de la prise de décision de groupe en enlevant les barrières communes de communication, fournissant des techniques pour structurer l’analyse de décision, et diriger systématiquement le modèle, la synchronisation, ou le contenu de la discussion dans un groupe (Davison, 1995 : 10-38). Les avantages présentés comprennent un degré élevé d’engagement pour l’exécution d’un projet et une meilleure gestion des conflits. En effet, les utilisateurs étudiés auraient amélioré leurs capacités dans le domaine de résolution des problèmes de planification et observé une grande amélioration dans la productivité, bien plus que dans le fonctionnement ordinaire d’une équipe (Lewis & Keleman, 1989 : 195-205).

De la recherche d’information à la prise de décision

Cité par (Odumuyiwa, 2010 : 93), Calvin Mooers définit la recherche d’information comme « un processus ou une méthode par laquelle un utilisateur d’informations est capable de convertir son besoin informationnel en une liste de documents contenant les informations utiles à la satisfaction de son besoin » (Moers, 1951 : 20-32). Il poursuit en disant que la recherche d’information comporte des aspects intellectuels de la description de l’information et ses spécifications pour la recherche, et l’ensemble des systèmes, des techniques ou des machines qui sont employés pour effectuer cette tâche de recherche. Plus tard en 1979, à la suite des travaux de Moers, un autre auteur, Lancaster estime que le terme « recherche d’information » n’est pas satisfaisant étant donné qu’il ne ressort pas l’activité qu’elle implique. Ainsi, selon son interprétation, il définit à son tour la recherche de l’information comme « le processus de rechercher un ensemble de documents avec le but d’identifier des documents qui sont liés à un thème particulier » (Lancaster, 1979 : 13-33). Il distingue par-là, la recherche documentaire à la recherche de renseignement puisque d’après lui, un système de recherche d’information (SRI) ne permet pas de retrouver une information puisque cette dernière est intangible. Victor Odumyiwa souligne l’ambiguïté qui transparait dans la définition du terme « recherche d’information » et estime pour sa part qu’elle est issue du mélange entre le processus de recherche d’information avec le SRI. Il prend pour exemple une autre définition donnée cette fois par Baeza-Yates et Ribeiro-Neto qui circonscrivent la recherche d’information dans « la représentation, le stockage, l’organisation et l’accès aux objets informationnels » (Baeza-Yates, Ribeiro-Neto, Berthier, & Ricardo, 1999 : 63-67). Il ressort de cette définition que la recherche de l’information porte plutôt sur le système de recherche que sur son processus. Par contre, les auteurs Raya et al. vont plus loin en associant un ensemble de processus dans la recherche d’information. Ce sont « …des processus des processus tels que l’identification du problème informationnel, l’analyse de besoin informationnel, la formulation de la requête, l’interaction avec le système, l’évaluation des résultats, et leur présentation » (Raya, et al., 2001 : 235-247).
À la croisée des chemins entre plusieurs disciplines telles les sciences de l’information, l’informatique, la linguistique et même la psychologie cognitive, Odumuyiwa ressort deux principaux axes de recherche dans le domaine de la recherche d’information : l’étude du comportement informationnel de l’utilisateur et l’étude du SRI.
Dans ce chapitre, nous traiterons particulièrement du domaine du comportement informationnel de l’utilisateur et de la prise de décision. Il sera question de présenter quelques modèles existants du comportement informationnel de l’utilisateur puis du processus de prise de décision en fonction de l’information disposée.

Le comportement informationnel de l’utilisateur

Cette partie est essentiellement basée sur les travaux de Victor Odumuyiwa pour sa thèse sur la gestion de la recherche collaborative d’information dans le cadre du processus d’intelligence économique (Odumuyiwa, 2010). Dans son développement, il aborde l’aspect du « comportement informationnel de l’utilisateur » ou la manière dont un utilisateur aborde le problème de recherche d’information. Il présente certaines théories ou approches de différents chercheurs dans le domaine, telles :
– L’approche cognitive qui étudie la façon dont un utilisateur traite de l’information depuis les années 1980 dans un domaine de recherche appelé « étude des utilisateurs » (Wilson, 1981 : 3-15). Plus tard Amos David et Odile Thierry s’inspirant des habitudes évocatrices de l’apprenant utiliseront cette même approche pour développer un modèle cognitif de recherche d’information – EQuA²te (David & Thierry, 2003 : 16-27). Les auteurs Ingwersen et Karlevo quant à eux mettent l’accent sur l’aspect cognitif de l’utilisateur vis-à-vis de son problème, de sa connaissance du domaine exploré, de ses expériences et du SRI (Ingwersen & Karlevo, 2005 : 23-53). Cette théorie est appuyée plus tard par Ihadjadene et Chaudiron qui l’aperçoivent comme « particulièrement féconde, tant sur le plan conceptuel que méthodologique, par une communauté de chercheurs en sciences de l’information ayant placé l’usager au centre de leur préoccupations » (Ihadjadene & Chaudiron, 2008 : 183-207) ;
– L’approche phénoménologique qui étudie le comportement informationnel de l’utilisateur comme une pratique quotidienne comportant l’accès à l’information, l’utilisation de l’information et son partage (Savolainen, 2008 : 15-35) ;
– L’approche de constructivisme social s’oriente vers l’interaction sociale dans le comportement informationnel de l’utilisateur (Tuominen, Talja, & Salvolainen, 2005 : 329);
– L’approche de théorie d’activité, permet d’étudier le comportement informationnel de l’utilisateur du point de vue de son « activité » se déroulant dans socioculturel. Chaque activité correspondant à un besoin est suscitée par un problème informationnel. Wilson estime que résoudre un tel problème conduit à un ensemble d’actions aboutissant à l’accès l’information correspondante (Wilson, 2006 : 260).
Wilson distingue entre autres, la recherche d’information (RI) et le comportement informationnel (CI) de l’utilisateur dans ce sens que le RI est concept qui concerne les méthodes employées par l’utilisateur pour découvrir les sources d’information ou pour y avoir accès (Wilson, 1999 : 50-62). Les comportements informationnels incluent la manière dont une personne détermine ses besoins d’information dans une situation spécifique (de travail ou de vie de tous les jours), son processus de recherche, et l’utilisation qu’elle fait de l’information recueillie (sources et systèmes d’information utilisés, critères de préférence, types d’utilisation, etc.).
Alors que le CI est l’ensemble des pratiques informationnelles de l’utilisateur recherchant de l’information. Wilson de même que Ihadjadene pense que cela intègre la recherche tant active que passive ; qu’il recouvre la totalité du comportement humain en relation avec des sources ou canaux d’information en incluant toutes les activités dans lesquelles s’engage l’utilisateur (Ihadjadene M. , 2004).

La prise de décision par l’utilisateur

Pour prendre une décision, un utilisateur a besoin d’avoir à sa disposition l’information appropriée or la notion de pertinence de l’information abordée ici mérite d’être approfondie car quel que soit l’angle d’approche (utilisateur ou SRI), elle doit être définit avec rigueur afin d’écarter toute ambiguïté. Mais d’abord, il faut comprendre que pour prendre sa décision, un utilisateur doit pouvoir trouver son chemin dans le flot d’information à sa portée pour ne pas se retrouver noyé. Pour cela, il a besoin d’organisation car de tout temps, pour réduire la sensation d’insécurité, l’homme a toujours cherché à assimiler son environnement en l’organisant. Ce que confirme Weinberger, traduit par Michèle Hudon : « Nous investissons beaucoup de temps à nous assurer que notre monde n’est pas désordonné en partie parce que le désordre est inefficace, mais aussi parce que le désordre réduit notre sensation de bien-être » (Weinerger, 2007 : 55)13. L’homme actualise ses méthodes et les adapte selon son environnement et bien que les méthodes ou les approches d’organisation soient multiples, nous retiendrons dans notre travail, les notions de classification, annotation et indexation.

La classification

Alors que le désordre crée l’impression de suffoquer, l’ordre lui au contraire crée l’espace. Poussé dans sa quête de sérénité, l’homme a toujours cherché à tout organiser autour de lui et cette pratique s’acquérant naturelle, instinctive à force de l’exercer. Pour organiser son environnement, l’homme utilise plusieurs méthodes parmi lesquels, la classification. Pour certains auteurs comme Michèle Hudon, la classification est probablement l’une des méthodes les plus raffinées de segmentation de la réalité, de mise en ordre et de production de cadres de référence utiles. Celle-ci serait inhérente au processus de définition, lequel consiste à déterminer à la fois ce qu’est une entité et ce qu’elle n’est pas, une distinction nécessaire à la compréhension du monde dans lequel nous évoluons. Elle est d’ailleurs définie comme « l’opération qui consiste à organiser des entités en classes, de sorte que les entités semblables ou parentes soient regroupées et séparées des entités non semblables ou étrangères » (Hudon & Widad, 2010 : 3-15). Kwasnik la considère comme une façon de voir et de décrire (Kwasnik, 1999 : 22-47). Pour ne pas se perdre dans le flot d’information, il faut forcément classifier et la classification d’après nos auteures suppose deux principes fondamentaux : le regroupement (grouping) et le classement (ordering).
L’acte de regroupement selon elles, consiste à rapprocher les entités qui possèdent au moins une caractéristique commune nommée quelquefois la « caractéristique de division ». La deuxième étape du processus est moins instinctive car exige la mise en séquence des groupes ainsi constitués selon des critères orientés vers la satisfaction d’un besoin réel ; par exemple, classer les résultats de la date, l’origine ou si ce sont des statistiques, les classer par région ou département. Ce qu’il faut noter est qu’il existe une pléiade de critères de classification, l’essentiel étant de pouvoir se retrouver, reconnaitre, identifier l’information. Toutefois, même s’il existe une multitude de critères de choix d’une classification, force est de constater que le choix de sélection a une forte influence sur le résultat final et nos auteures (Hudon et Widad) soulignent en citant Bowker et Star que « le choix d’une caractéristique de division, la création de regroupements et la séquence de présentation de ceux-ci valorisent nécessairement un point de vue particulier et condamnent à l’invisibilité d’autres critères valables d’analyse et de regroupement » (Bowker & Star, 1999 : 125). Les règles de classification n’étant pas universelles, elles exigent néanmoins une rigueur dans l’analyse afin d’éviter des erreurs d’interprétation et de discrimination.

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Table des matières

1 INTRODUCTION GÉNÉRALE
1.1 Contexte
1.2 Problématique et hypothèse
1.3 Organisation du mémoire
PREMIÈRE PARTIE : Aspects théoriques
2 LE CAMEROUN ET SON SYSTÈME ÉDUCATIF
2.1 Le Cameroun
2.1.1 Histoire
2.1.2 Situation géographique
2.1.3 Population
2.1.4 Relief
2.1.5 Climat
2.1.6 Hydrographie
2.1.7 Économie
2.1.8 Emploi
2.2 Le système éducatif camerounais
2.2.1 Organisation
2.2.2 Structure
2.2.3 Organigramme des départements ministériels
2.2.4 Organes chargés des examens officiels
3 L’ÉTAT DE L’ART
3.1 Institut National de la Statistique et des ÉTUDES ÉCONOMIQUES (INSEE)
3.2 Observatoire de l’éducation pour tous
3.3 Observatoire National de l’Emploi et de la formation Professionnelle (
3.4 Institut National des Statistiques du Cameroun (INS)
3.5 Nigeria Security Tracker (NST)
3.6 Les systèmes d’aide à la décision (SIAD)
3.7 De la recherche d’information à la prise de décision
3.7.1 Le comportement informationnel de l’utilisateur
3.7.2 La prise de décision par l’utilisateur
3.7.3 La classification
3.7.4 L’annotation
3.7.5 L’indexation
3.7.6 Le problème de pertinence de l’information
3.8 Conclusion
4 APPROCHE DE L’INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE DE L’OBSERVATOIRE DYNAMIQUE
4.1 ÉMERGENCE
4.2 Performance
4.3 Processus décisionnel
4.4 Intelligence économique
4.5 Tableau de bord/Observatoire
4.6 Conclusion
DEUXIÈME PARTIE : aspects pratiques
5 LA CONCEPTION DE L’OBSERVATOIRE DYNAMIQUE
5.1 Spécification de l’environnement
5.1.1 Technologie
5.1.1.1 Drupal
5.1.1.2 Internet
5.1.2 Accessibilité
5.1.3 Communications
5.2 Fonctionnalités de l’observatoire
5.2.1 Spécification des acteurs du Système éducatif
5.2.2 Spécification des objectifs
5.2.3 Spécification des indicateurs
5.2.3.1 Indicateurs généraux
5.2.3.2 Indicateurs spécifiques
5.3 Modèle Conceptuel de Données (MCD)
5.4 Modèle Logique de Données (MLD)
6 MISE EN OEUVRE DU PROJET
6.1 Synthèse des fonctionnalités et des résultats
6.1.1 Utilisateur Lambda
6.1.2 Utilisateur authentifié. Ce sont les décideurs.
6.1.3 Opérateur de saisie de données avec accès par authentification
6.2 Avantages de l’ODSE
6.2.1 Une meilleure visibilité de la carte scolaire
6.2.2 Une meilleure gestion du personnel
6.2.3 Transparence et crédibilité des statistiques
6.2.4 Discrétion et confidentialité de l’information
6.3 Alimentation du système
6.4 Implémentation et enquête
6.4.1 Contexte
6.4.2 Méthodologie
7 ÉVALUATION DE L’OUTIL
7.1 Résultats de l’enquête
7.1.1 Évaluation des réactions
7.1.2 Évaluation du niveau de transfert
7.1.3 Évaluation des résultats
7.1.4 Évaluation des pratiques comportementales
7.1.5 Appréciation de l’impact
7.2 Éléments de synthèse
7.3 Difficultés rencontrées
7.4 Conclusion
8 OBSERVER POUR MIEUX DÉCIDER
8.1 Contexte
8.2 Place de l’observatoire dans la littérature
8.3 Décisions éclairées par ODSE
8.3.1 Meilleure gestion du personnel
8.3.2 Amélioration des conditions de travail des enseignants et des appren
8.3.2.1 Des salles de classe
8.3.2.2 Des commodités
8.4 Observer : Pourquoi ? Comment ?
8.5 Observer pour évaluer
8.6 Observer pour mieux planifier
9 CONCLUSION GÉNÉRALE ET PERSPECTIVES
9.1 La première partie
9.1.1 Du rappel de la problématique
9.1.2 De l’état de l’art
9.1.3 De la définition des concepts
9.2 La deuxième partie
9.3 L’apport de notre projet
9.4 Les limites du travail
9.5 Les perspectives
10 BIBLIOGRAPHIE
11 ANNEXE 1 : GUIDE DE L’UTILISATEUR
11.1 Qu’est-ce que ODSE
11.2 Sommaire
11.3 Page d’accueil
11.4 Contact
11.4.1 Choix du destinataire du message
11.4.2 Le formulaire d’envoi du message
11.5 Liens utiles
11.6 Ministères
11.6.1 Indicateurs
11.6.1.1 Taux de scolarisation
11.6.1.2 Taux d’encadrement
11.6.1.3 Ratio apprenants-commodité
11.6.1.4 Taux de réussite aux examens officiels
11.6.1.5 Taux résultat interne
11.6.1.6 Taux de déperdition
11.6.2 Tableaux de bord
11.7 Login profile
11.7.1 Compte « Chef d’établissement »
11.7.2 Compte « Opérateur »
11.7.2.1 La création
11.7.2.2 La modification
11.7.3 Compte « Décideur »
11.7.3.1 Efficacité interne
11.7.3.2 Liste des apprenants de mon ministère
11.7.3.3 Liste des enseignants de mon ministère
11.7.3.4 Liste des établissements de mon ministère
11.7.3.5 Tableau de bord
12 ANNEXE 2 : QUESTIONNAIRE
13 ANNEXE 3 : Script MySQL

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