L’attrait pour l’exercice professionnel aux AG

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La population et les critères d’inclusion

La population cible
Elle représentait les lauréats en catégorie médecine, de 1998 à 2006, du concours de la première année des études médicales à l’UAG. La liste officielle de ces anciens étudiants nous a été fournie par le service administratif de la faculté de médecine des Antilles.Nous avons choisi cette période car : 1998 fut l’année d’ouverture de la première année des études médicales aux AG, et l’année 2006pour avoir un recul suffisant face à la durée du cursus. Du premier au troisième cycle d’étude s’étend une dizaine d’année selon la spécialité médicale choisie (annexe 1).
Les critères d’inclusion
Ils étaient les suivants :
– avoir réussi le concours de la PCEM1 en catégorie médecine à l’UAG entre 1998 et 2006 ;
– être diplômé d’état de docteur en médecine ;
– exercer son activité professionnelle actuelle en dehors des territoires Guadeloupe, Martinique et Guyane.

Les critères d’exclusion

Nous avons exclutous les médecins de la population cible qui exercent actuellement sur les territoires : Guadeloupe, Martinique et Guyane. Etaient également exclus,les médecinsnon porteurs du diplôme de docteur en médecine.

Le recueil de données

Plusieurs moyens ont été employés afin de déterminer quels étaient les médecins dont le lieu d’exercice était hors des Antilles et de la Guyane.Tout d’abord, l’accèsau site internet du conseil national de l’ordre des médecins, qui détientun annuaire officiel permettant de rechercher un médecin et son lieu d’exercice professionnel actuel(6). Ces résultats ne concernaient que les médecins inscrits à l’ordre. Puis lesannuaires en ligne, tel que les « pages jaunes », le moteur de recherche « Google » ;les réseaux sociaux professionnels et amicaux, les réseaux sociaux en ligne tel« Facebook » ou« Linkedln » ont été les autres moteurs de nos recherches. Pour favoriser un taux de participation élevé, l’emploi d’un questionnaire en ligne nous semblait être le moyen le plus approprié du fait à la fois, des contraintes de décalage horaire et de notre population de médecins peu disponible. Il a été créé à l’aide du logiciel « Google forms »,un lien hypertexte permettaitaux destinataires d’arriver directement sur le questionnaire de l’étude en ligne. Une fois sur la page internet, il suffisait de le remplir puis de le valider, ce qui permettait son transfert sur une boite mail prévue à cet effet. Seuls l’investigateur et le statisticien de l’étude étaient les destinataires.
Plusieurs moyens ont été employés pour joindre les destinataires de l’étude. Des coordonnées téléphoniques ont été retrouvées sur internet (site de centre hospitalier, cabinet médical, clinique, maison de retraite). Des adresses mail nous ont été délivrées par des professionnels de santé et amis. Via le réseau social en ligne « Facebook » nous avons également pu communiquer. Les médecins étaientcontactés par téléphone, sur leur lieu de travail. Au cours de ces appels téléphoniques, l’étude leur était brièvement présentée, et ils communiquaient leur adresse mail. Le contenu du questionnaire n’a jamais été délivré par voie téléphonique. Plusieurs moyens de communication ont été utilisés pour certains correspondants, permettant d’accroitre les chances d’établir le contact. Des relances ont eu lieu par mail, et messages « sms » ou via «Facebook». A l’issue de la quatrième relance infructueuse, les médecins étaient considérés comme non répondeurs. Le motif de refus de participation était demandé.

L’enquête

Le questionnaire se composait d’une vingtaine de questions, le nombre variait selon les réponses choisies. Il était répartien 4 thématiques : les données sociodémographiques, les données professionnelles, le choix du lieu d’exercice actuel et les perspectives d’avenir. La durée moyenne du temps de remplissage était de 3 minutes. L’envoi des formulaires a été réalisé par un investigateur unique. Il a été élaboré à partir de recherches bibliographiques permettant le respect de critères de qualité requis(7)(8).Des pré-tests ont été réalisés, par des médecins, amis, dont certains remplissaient les critères d’inclusion de l’étude. Ceci a permis d’améliorer la conception des questions, vérifier la présence d’éventuels oublis et d’évaluer le temps réel de passation. L’échantillon pré-test se composait de 6 personnes.
Le questionnaire est présenté en annexe 2.

L’analyse statistique des données

L’analyse statistique des données a été réalisée grâce au logiciel « STATA-13 ». Les caractéristiques de la population ont été décrites en effectifs et en pourcentage pour les variables qualitatives et en moyenne et écart-type pour les variables quantitatives. Le test de Student a été utilisé pour analyser les variables quantitatives et le test de Chi2 pour les variables qualitatives. La puissance des tests était déterminée par le taux de participation à l’étude et un risque de première  espèce de 5%.

Confidentialité et éthique

Les identités des médecins étaient relevées dans le questionnaire, pour s’assurer de l’authenticité de l’échantillon. Par respect de la confidentialité, ces données ne seront pas mentionnées dans nos résultats d’étude. Les médecins en étaient préalablement informés. Cette enquête a fait l’objet d’une déclaration à la Commission Nationale de l’Informatique et des libertés (CNIL) sous le récépissé n°2161813.

L’échantillon d’étude

Notre population cible se composait de 289 lauréats au concours de la première année de médecine, de 1998 à 2006. Le décompte selon les numerus clausus officiels par année universitaire est présenté en annexe 3.
– 23 personnes n’ont pas étéretrouvées:
Sept avaient été affectées à Paris en deuxième année et nous ne disposions pas de leurs identités afin de pouvoir les rechercher. Les autres dont nous avions les identités étaient composés de 11 femmes et cinq hommes pour lesquels même les anciens camarades de leurs promotions n’avaient pas d’information à leurs sujets. Parmi eux, cinq n’étaient pas mentionnés dans le registre national du classement à l’ECN, ce qui laissait présager qu’ils n’avaient pas poursuivi leurs études.
– On a relevé septarrêts de cursus médical et deux décès. Ces informations ont été recueillies auprès des personnes concernées et des camarades de formation.
Après exclusion de ces données manquantes il restait 257 médecins ayant réussi leur PCEM1 à l’UAG de 1998 à 2006. Ils ont été identifiés et, 114 exerçaient hors des territoires AG soit 44,4%. Dans ce groupe,22 médecins non doctorants ont été exclus secondairement, 17 provenaient de la promotion 2005-2006, quatre de 2004-2005, et un médecin de la promotion 2001-2002.
La population incluse dans l’étude se composait en finalité de 92 docteurs en médecine exerçant hors des AG.Ils étaient Localisés pour la majorité en France hexagonale, trois à la Réunion et un en Nouvelle-Calédonie (annexe 4).
76 médecins ont répondu au questionnaire en ligne et constituaient l’échantillon de notre étude, soit, un taux de participation de 82,6 %. Parmi les non répondants un médecin a refusé de répondre au questionnaire à cause de l’absence d’anonymat. Les motifs des autres refus de participation n’ont pas été exprimés. Les non répondants étaient constitués de 13 femmes et 3 hommes.

Les données sociodémographiques

Notre échantillon (n = 76) se composait de 45 femmes et 31 hommes ayant une moyenne d’âge de 32 ans (tableau I). Ils étaient pour la moitié d’entre eux (n = 39, 51,3%) mariés ou pacsés et originaires en majorité de l’île de la Guadeloupe (n = 49, 64,4%). 34 médecins avaient des enfants.

Le mode d’exercice professionnel

– Public en hospitalier
La moitié des médecins, (n=40, 52,6%), exerçaient en secteur hospitalier. Il s’agissait de 10 médecins généralistes, 23 médecins spécialistes médicaux autre que la médecine généraleet sept chirurgiens.
– Libéral en cabinet
Ce mode d’exercice concernait 20 médecins (23.6%). Des généralistes et un ophtalmologue. Six médecins n’étaient pas installéset avaient le statutde remplaçants. Les 14 médecins installés en cabinet libéral avaient eu un temps d’installation entre *1 – 3] ans pour la majorité.
– Privé en clinique
Quatre médecins, soit deux généralistes, un psychiatre et un médecin MPR exerçaient en clinique.
– Activité partagée
Huit médecins exerçaient en secteur d’activité partagé (Tableau III).
– Autre mode d’exercice :
Quatre médecins exerçaient chacun dans : un hôpital militaire, un centre médical libéral d’urgence (SOS-médecin), un EPHAD et dans un établissement de santé privée d’intérêt collectif (ESPIC).

Le choix du lieu d’exercice professionnel

L’attrait pour l’exercice professionnel aux AG

Dès le début de leurs études 55 médecins (72,3%) aspiraient à retourner exercer leur profession future aux AG. A la fin de leur internat 41 médecins(54%) maintenaient ce souhait.

Les recherches d’emploiaux AG

20 médecins (26%) avaient réalisé des recherches ou des demandes de poste salarié aux AG. Parmi eux14 souhaitaient y exercer à la fin de leur internat. Ces recherches concernaient le secteur public hospitalier en majorité. Sept médecins ont eu des refus à leurs demandes. Leurs spécialités étaient : l’ophtalmologie (n =2), la pneumologie (n=2), la chirurgie infantile (n=2) et la médecine générale.
Dans le secteur libéral, quatre médecinsde notre échantillon avaient recherché ou tenté de s’installer en cabinet. Il s’agissait d’un médecin généraliste, un psychiatre, un pneumologue et un cardiologue.
Parmi les plus anciens doctorants (thèse> 4 ans), 10 n’avaient jamais effectué de recherche ou de demande de poste aux AG (soit 58,8% des anciens doctorant n = 10 / 17).

Les opportunités et expériences professionnelles aux AG

31 médecins (40,7%) ont refusé une opportunité ou proposition professionnelle émanantd’un établissement médical des AG. Il s’agissait à part égale de médecins généralistes, de spécialistes médicaux autres (n=13) et de 5 chirurgiens. 19 médecins de notre échantillon, avaient une expérience professionnelle sur les territoires AG, en tant que remplaçant ou autre poste non précisé. 57 médecins (75%) n’avaient jamais exercé aux AG dont 18 déclaraient avoir refusé des opportunités professionnelles émanant des AG.

Les facteurs ayant influencé le choix du lieu d’exercice

Trois catégories de facteurs étaient présentées dans le questionnaire, pour lesquelles les médecins pouvaient s’identifier et citer plusieurschoixà la fois. 58 médecins (76,3%) citaient des facteurs d’ordre professionnel comme ayant influencé leur choix de lieu d’exercice. 18 (23,6%)ne souhaitaient pas résider aux AG, décrit comme le facteur territorial.Le facteur familial était cité par 45 médecins (59,2%) et correspondait au fait que leur situation maritale ou familiale était située en dehors des AG.

Les médecins doctorants de la faculté des Antilles.

Six médecinsavaient soutenu leur thèse à l’UAG, dont trois de chaque sexe. Leurs spécialités respectives étaient : l’ophtalmologie, l’urologie, la médecine générale, la chirurgie orthopédique, la cardiologie et la radiothérapie. Ils exerçaient dans le secteur public hospitalier. Deux avaient un statut universitaire au titre de CCA-AHU, et on dénombrait trois assistants spécialistes, un praticien hospitalier contractuel. Ils étaient quatre à avoir exercé dans leur département d’origine après leur diplôme, avant de s’installer ailleurs. Deuxavaient réalisé des recherches ou des demandes de postes salariés aux AG, en secteur public hospitalier, dont un déclarait avoir essuyé un refus à la suite d’une demande de poste. Aucun de ces spécialistes n’avait tenté une installation en secteur libéral. Cinq médecins avaient refusé des opportunités ou propositions professionnelles émanant d’établissements médicaux aux AG.Selon eux, des facteurs d’origine professionnels ont motivé leur choix de lieu d’exercice. Enfin, en perspective d’avenir, cinq exprimaient le souhait de revenir exercer aux AG et de participer éventuellement, à un projet de parrainage des étudiants Antillo-Guyanais en deuxième cycle dans l’hexagone.

DISCUSSION

Notre étude montre que la raison première pour laquelle les médecins issus de la faculté de médecine Hyacinthe BASTARAUD n’exercent pas dans leurs territoires d’origine est d’ordre professionnelle. Leurs choix de lieu d’exercice résultent d’opportunités professionnelles plus intéressantes ailleurs que celles émanant des AG. Il s’agissait du facteur professionnel principalement cité. L’autre raison majeure est d’ordre familiale, avec pour motif une situation maritale basée hors des AG. Ce travail s’inscrit dans la continuité d’études réalisées sur l’enseignement de la médecine aux Antilles-Guyane et les pratiques professionnelles des médecins de ces territoires. Nous avons utilisé une approche originale par le ciblage de facteurs de non-retour prédominants. De plus, la précaution prise de n’inclure que des médecins ayant obtenu leur grade de docteur en médecine était un atout supplémentaire pour l’intérêt du sujet. Cela permettait d’éliminer un facteur de non-retour en rapport avec la finalisation du cursus d’étude. Le recueil de données s’est effectué de manière standardisée, par un investigateur unique. L’emploi d’un questionnaire en ligne donnait une liberté aux participants, en terme de temps, pour répondre aux questions.La force de cette étude réside aussi par le taux de 82,6 % de participation des médecins. Cependant, des limites à ce travail méritent d’être soulignées. En premier lieu, l’échantillon d’étudeest d’un nombre restreint. Les facteurs qui en sont responsables sont : la longue durée des études de médecine, les perdus de vue et les 20 médecins encore étudiants au moment de notre enquête.D’autre part, Il s’agissait d’une enquête nominative fondé sur le déclaratif, les personnes interrogées par pudeur ou volonté de paraitre pouvaient avoir donné des réponses erronées. Néanmoins, l’utilisation de notre outil de mesure nousparaissait la procédure la plus adaptée à notre étude quantitative. On note une proportion minime des médecins d’origine Guyanaise, dueà notre recrutement se limitant à l’année 2006. Année d’ouverture du site de formation à la première année de médecine en Guyane. Des facteurs d’ordre professionnels 39% des médecins de notre étude citaient une crainte d’un environnement technique de travail pauvre aux AG et l’indiquaientcomme facteur ayant influencé leur choix de lieu d’exercice. Parmi eux on comptait une grande proportion des médecins disposant d’une expérience professionnelle au AG. Cette problématique sur la disponibilité ou la qualité des équipements, mériterait d’être comparée au vécu des médecins exerçant au long cours aux AG.Ce résultat s’apparente aux données d’une enquête nationale réalisée en partenariat INCa-ONDPS (Institut national du cancer – Observatoire national de la démographie des professions de santé) quia été menée en 2011 auprès des jeunes oncologues, anatomo-cytopathologistes et radiothérapeutes. L’objectif était d’étudier les mobilités, les choix d’installation et les modes d’exercice de ces spécialistes médicaux ayant achevé leur post-internat (9) . Parmi les critères majoritaires influant sur le choix du lieu d’exercice, ils indiquaient la qualité du plateau technique de la structure de soins. Cette enquêtecomptait un échantillon de 214 médecins. Notre étude révélait également la crainte de débouchés professionnels limités aux AG. Elle ne ressortait pas comme un facteur majoritaire et concernait plus significativement les chirurgiens par rapport aux autres spécialistes.
Cette donnée était retrouvée dans une enquête parallèle qui s’était intéressée aux lieux d’installation des jeunes médecins spécialistes diplômés de l’université de Franche-Comté, et qui concernait 147 médecins (10). Elle a été réalisée par l’Observatoire Régional de Santé (ORS) en 2008, face à une problématique de densité médicale inférieure à la moyenne nationale pour cette région. Un des motifs majoritaires de leurs départs étaient un problème de débouchés professionnels énoncé par unmanque de poste hospitalo-universitaire (CCA ou AHU) dans certaines disciplinesen Franche-Comté. Cette problématique de débouchés professionnels a également été mise en avant dans un rapport édité par le ministère de l’éducation national en 2010 qui évoquait la problématique du manque de postes de post-internat (11). Certaines régions de France hexagonale y étaient affectées, la région Parisienne offrait en 2011 le plus de disponibilité de postes de chef de clinique (11). Dans notre étude le facteur professionnel majoritairement évoqué (50% des médecins) était le fait d’avoir saisi une meilleure opportunité hors des AG. Ce résultat s’apparentait à l’un des motifs de départ des médecins de Franche-Comté, énoncé dans l’étude précitée (10). Un quart de ces médecins évoquaient un projet professionnel plus attractif ailleurs et cette étude faisait ressortir que les propositions professionnelles qui sont faites aux médecins à la fin de leur internat comptaient pour beaucoup dans leurs décisions de s’installer ou non dans une région(10). Cette donnée est corrélée à nos résultats car il s’agissait du facteur professionnel principal. Notre enquête met en exergue que les propositions ou opportunités professionnelles émanant des AG existent mais sont non satisfaisantes. En effet, 40% des médecins indiquaient avoir refusé des propositions ou opportunités des AG.Le fait que les taux de refus ne variaient pas entre les différentes spécialités des médecins montre que les problématiques responsables des refus s’appliquaient à tout type d’exercice médical. Par ailleurs, quelque soit leurs modes d’exercice (libéral ou hospitalier), les médecins de notre étude indiquaient en majorité un motif d’ordre professionnel. Dès lors, les possibilités d’installation en cabinet aux AG, selon nos résultats, seraient moins disponibles ou avantageuses qu’ailleurs.

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Table des matières

ABREVIATIONS ET ACRONYMES
INTRODUCTION
MATERIELS ET METHODES
1. LE SCHÉMA D’ÉTUDE
2. LA POPULATION ET LES CRITÈRES D’INCLUSION
La population cible
Les critères d’inclusion
3. LES CRITÈRES D’EXCLUSION
4. LE RECUEIL DE DONNÉES
5. L’ENQUÊTE
6. L’ANALYSE STATISTIQUE DES DONNÉES
7. CONFIDENTIALITÉ ET ÉTHIQUE
RESULTATS
1. L’ÉCHANTILLON D’ÉTUDE
2. LES DONNÉES SOCIODÉMOGRAPHIQUES
3. LES DONNÉES PROFESSIONNELLES
3.1 Les diplômes
3.2 Le mode d’exercice professionnel
3.3 Le statut professionnel
4. LE CHOIX DU LIEU D’EXERCICE PROFESSIONNEL
4.1 L’attrait pour l’exercice professionnel aux AG
4.2 Les recherches d’emploi aux AG
4.3 Les opportunités et expériences professionnelles aux AG
4.4 Les facteurs ayant influencé le choix du lieu d’exercice
5. LES PERSPECTIVES D’AVENIR
6. LES MÉDECINS DOCTORANTS DE LA FACULTÉ DES ANTILLES.
DISCUSSION
CONCLUSION

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