L’aromathérapie appliquée au stress et à l’anxiété 

Le système hypothalamo-sympathico-adrénergique

Le système nerveux autonome est composé du système nerveux sympathique et du système nerveux parasympathique (voir Figure 6).
Le premier a pour rôle de préparer le corps à l’activité. Ainsi, il accélère le cœur, augmente le rythme ventilatoire, dilate les bronches, contracte les artères (augmente donc la tension artérielle), provoque la sécrétion de sueur…
En agissant sur la médullosurrénale il provoque la libération de catécholamines : l’adrénaline et la noradrénaline.
Le second conserve l’énergie, il est donc opposé au système nerveux sympathique. Il ralentit les battements cardiaques et le rythme ventilatoire, contracte les bronches, dilate les artères (diminution de la tension artérielle), stimule la libération de glucose.
Il a pour médiateur chimique l’acétylcholine. (Servant, 2012)
Lors d’un stress, la réaction d’alarme aboutit à une libération rapide d’adrénaline et de noradrénaline permettant de maintenir le corps dans une situation d’éveil, prêt à agir : combattre ou fuir.
Le locus coeruleus joue un rôle important dans cette réaction. Il est constitué de neurones noradrénergiques ce qui le rend très sensible aux différents stimuli. (Feret, 2009)
Au repos, le système parasympathique reprend le dessus et permet au corps de retrouver son équilibre.
Le système sympathique prépare l’organisme à l’action alors que le système parasympathique permet un retour au repos.

Le système hypothamo-hypophyso-cortico-surrénalien

Aussi appelé axe neuroendocrinien car de nombreuses hormones sont impliquées.
L’hypothalamus synthétise la corticolibérine (CRH : Corticotropin Releasing Hormon) qui stimule l’hypophyse, cette dernière libère alors à son tour l’hormone corticotrope (ACTH : Adreno Cortico Trophic Hormon) dans la circulation sanguine. L’ACTH agit sur la corticosurrénale et provoque une libération de glucocorticoïdes, c’est-à-dire de cortisol. (Kolb et Whishaw, 2002)
Ces différentes libérations d’hormones prennent du temps, c’est pourquoi le système hypothalamo hypophyso-cortico-surrénalien est plus long que le système hypothalamosympathico-adrénergique.
Le cortisol inhibe les fonctions de l’organisme qui ne sont pas indispensables à la réponse au stresseur. Ainsi, il inhibe la libération d’insuline pour augmenter la production de glucose par le foie permettant la mise à disposition d’une grande quantité d’énergie. Il inhibe aussi les fonctions reproductrices et le système immunitaire. (Kolb et Whishaw, 2002)
Lorsqu’il y a suffisamment de cortisol libéré, il y a un rétrocontrôle négatif sur l’hypothalamus et sur l’hypophyse qui arrête la sécrétion de CRH et d’ACTH provoquant ainsi une diminution de la libération de cortisol. (Kolb et Whishaw, 2002).

Le syndrome général d’adaptation

La réaction d’alarme

En 1992, Robert Sapolsky, professeur américain de biologie et de neurologie, se rapproche despropos de Selye en expliquant que les réponses au stress sont semblables que le stresseur soit triste, joyeux ou effrayant. Le point commun étant que, dans chaque situation, l’organisme est en situation d’éveil accompagnée d’une grande dépense d’énergie. (Kolb et Whishaw, 2002)
Il utilise l’image d’un lion chassant un zèbre, même si chaque animal ressent une émotion différente, leurs systèmes physiologiques réagissent de la même façon avec une forte libération d’adrénaline. (Kolb et Whishaw, 2002)
Ainsi, le syndrome général d’adaptation correspond à la réaction de l’organisme face au stress.
Il est actuellement composé de deux étapes majeures (Servant, 2012):
– La réaction d’alarme
– La phase de résistance
La réaction d’alarme correspond à la perception d’un stresseur par le cerveau. Après analyse par le système limbique et confirmation par le cortex frontal, l’hippocampe active le système nerveux autonome et il y a donc libération des catécholamines (adrénaline et noradrénaline) dans la circulation sanguine par la medullosurrénale, c’est la « décharge d’adrénaline ».
Elle est ressentie lorsque l’on est victime d’une agression physique, mais aussi devant un évènement provoquant une sensation de joie, de peur (provoquée par quelqu’un ou quelque chose) et/ou de tristesse (compétition sportive, examen scolaire, mariage).
L’adrénaline agit, entre autres, sur les cellules de l’organisme pour les préparer à l’activité.
Elle a aussi une action dans le cerveau et sur les glandes endocrines provoquant ainsi des perturbations physiologiques et biologiques (Bartolami, 2015) :
– Accélération du rythme cardiaque
– Augmentation de la tension artérielle
– Redistribution de l’irrigation sanguine pour favoriser l’apport en oxygène et glucose aux organes de défense (cerveau, cœur).
– Augmentation du rythme respiratoire.
– Contraction de la rate pour augmenter la quantité de globules rouges et donc augmenter l’apport en oxygène.
– Augmentation de la production de glucose et de son utilisation par les organes de défense.
– Augmentation de la dégradation des lipides dans le tissu adipeux pour produire de l’énergie.
– Augmentation de la miction et du péristaltisme intestinal.
L’organisme est mis en alerte, c’est le fameux « fight or flight », il se prépare à se battre ou à s’enfuir. Ainsi, les organes de défense sont activés et les fonctions inutiles sont inhibées.
Ce « bon » stress peut améliorer la motivation et les performances de l’individu, il peut être un facteur de stimulation pour l’aider à surmonter l’évènement stressant plus facilement.

La phase de résistance et l’état d’épuisement

Si le stress persiste et que la phase d’alarme ne suffit pas à le surmonter, l’organisme entre en phase de résistance, c’est-à-dire qu’il recherche d’autres solutions pour maintenir l’homéostasie.
C’est alors le système hypothalamo-hypophyso-cortico-surrénalien qui est mobilisé avec la stimulation de la corticosurrénale et la libération de cortisol. En temps normal, le cortisol exerce un rétrocontrôle négatif sur l’axe corticotrope ce qui permet de réguler sa concentration. Cependant, si le stress se prolonge, la concentration de cortisol reste élevée et endommage l’hippocampe. Ainsi, ce dernier ne parvient plus à réguler correctement le taux de cortisol. Il y a alors une hypercortisolémie et le déclenchement de l’anxiété pathologique, c’est l’état d’épuisement. (Kolb et Whishaw, 2002)
Le cortisol présent en excès dans la circulation sanguine se complexe avec son récepteur puis il entre dans le noyau des cellules afin de se fixer sur l’ADN. Ainsi, il modifie l’expression de certains gènes. Ces modifications irréversibles ont un impact physiologique durable (Bartolami, 2015) :
– Augmentation de la production de glucose par le foie et diminution de la consommation de glucose par les viscères avec un risque d’hyperglycémie.
– Régulation de la vasodilatation afin d’éviter l’hypotension avec un risque d’hypertension sur le long terme.
– Inhibition du système immunitaire.
– Augmentation du catabolisme des protéines et des lipides.
L’hypercortisolémie provoque aussi d’importants troubles du sommeil.
Il s’agit en réalité d’un cercle vicieux car l’anxiété amène une perturbation du cycle du sommeil et le manque de sommeil augmente l’anxiété.
En effet, les concentrations plasmatiques de cortisol varient en fonction de l’heure. Il est au plus bas au milieu de la nuit. Cependant, en cas d’hypercortisolémie, le taux de cortisol ne diminue pas, il n’y a donc pas d’endormissement.
Si l’organisme n’entre pas en phase de repos, le taux de cortisol ne diminue pas et les dommages sur l’hippocampe sont d’autant plus importants.

Les maladies psychosomatiques

D’après le Larousse médical, une maladie psychosomatique est une « maladie caractérisée par la transformation d’un trouble psychologique, ne pouvant pas s’exprimer en tant que tel, en un trouble somatique (organique). » (Site du Larousse médical, 2016)
De nos jours, la réaction d’alarme face à une situation stressante n’aboutit pas toujours à une action utilisant l’énergie mobilisée par le système sympathique. Ainsi, cette dernière est mise en réserve et peut alors devenir nocive.
Bergson, philosophe du XXè siècle, a dit : « Quand l’homme des cavernes voyait un ours, il avait peur, sécrétait de l’adrénaline ; celle-ci mobilisait le glycogène. Le sucre ainsi produit était brûlé au cours de la lutte. Quand le financier apprend dans son confortable fauteuil l’effondrement des cours de la bourse, aucune réaction physique n’interviendra, le sucre en excès favorise un diabète.» (Graziani et al., 2001)
La réaction d’alarme est arrivée en même temps que l’espèce humaine. Ainsi, notre organisme est fait pour libérer de l’adrénaline face à un stresseur. Cependant, l’évolution de la vie quotidienne et l’arrivée des nouvelles technologies fait que ce système biochimique naturel n’est plus utilisé à bon escient. En effet, l’énergie gagnée grâce à la libération d’adrénaline n’est plus dépensée physiquement, elle est alors stockée et provoque un épuisement des capacités physiques et psychiques de l’organisme. Cette énergie favorise alors l’apparition de pathologies. (Bartolami, 2015).
Ce côté néfaste de la réaction d’alarme est donc assez récent, d’où l’apparition récente du terme « stress » et son appellation de « maladie du siècle ». Toute cette énergie accumulée peut être à l’origine de différentes pathologies (Bartolami, 2015) :
– Cardiovasculaires : hypertension, athérosclérose (lipolyse associée à un taux sanguin élevé de cholestérol), infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral.
– Gastro-intestinales : troubles du transit, ulcère, cancers digestifs
– Arthrite
– Diabète, obésité
– Troubles anxieux, dépression, irritabilité

Traitements médicamenteux allopathiques

Les médicaments agissant sur le système nerveux sont appelés des psychotropes. La découverte et le développement de ces molécules a débuté dans les années 1950, un peu par hasard puisqu’à cette époque il n’existait pas de modèle neurophysiologique précis sur le stress et l’anxiété.
La description du fonctionnement de ces pathologies a été déduite du mécanisme d’action des molécules découvertes petit à petit. (Servant, 2012)
Il existe deux grandes classes de psychotropes utilisés dans le stress et l’anxiété : les antidépresseurs et les anxiolytiques.
A la fin des années 90, il apparaît que les antidépresseurs montrent une certaine efficacité dans la gestion de l’anxiété sur des périodes longues en agissant sur les symptômes psychiques. Au contraire, les anxiolytiques, et notamment les benzodiazépines, montrent une plus grande efficacité dans les symptômes physiques (insomnie, troubles musculaires et digestifs). (Servant, 2012)

Les neurotransmetteurs de l’anxiété

Un neurotransmetteur est une « substance chimique de l’organisme permettant aux cellules nerveuses de transmettre leurs messages ». (Larousse, 2016)
Il est synthétisé par un neurone qui le libère dans la synapse (zone de jonction entre un neurone et une autre cellule). Il va ensuite se fixer sur un récepteur qui lui est spécifique afin de provoquer une réponse. (Larousse, 2016)

Les anxiolytiques

Les benzodiazépines

Les benzodiazépines représentent les principaux anxiolytiques utilisés en cas de stress, de « crise d’angoisse » ou d’anxiété. Elles permettent de calmer rapidement les patients très angoissés en exerçant une action désinhibitrice sur le comportement anxieux au niveau de l’hypothalamus et du système limbique. Cela permet la suppression des réponses émotionnelles psychiques et somatiques. (Fusi et Bontemps, 2012)
On les retrouve prescrites en cas de stress intense qui paralyse le patient (examen, discours en public,…) ou en cas d’anxiété qui nécessite un contrôle rapide. En effet, elles agissent plus rapidement que les antidépresseurs. (Latapy et al., 2007)
Le mécanisme d’action des benzodiazépines est lié à l’acide gamma-aminobutyrique (GABA) qui est décrit comme étant l’un des neurotransmetteurs de l’anxiété.
Le récepteur GABA est un récepteur canal qui, selon la stimulation, permet de laisser passer des ions chlorures, chargés négativement. Cela a pour effet de diminuer l’excitabilité du neurone. Il s’agit donc d’un neurotransmetteur inhibiteur.

Législation

Les HE n’ont pas le statut de médicament, elles n’ont donc pas d’AMM.
Cependant, l’article L.4211-1 6° du Code de la Santé Publique précise que « la vente au détail et toute dispensation au public des huiles essentielles dont la liste est fixée par décret, ainsi que leurs dilutions et préparations ne constituant ni des produits cosmétiques, ni des produits à usage ménager, ni des denrées ou boissons alimentaires appartiennent au monopole pharmaceutique. » (ANSM, 2008)
Le décret N°2007-1221, datant de 2007, liste quinze plantes qui sont donc réservées au monopole officinal. Parmi ces différentes HE, allant de la grande absinthe au thuya en passant par la sauge officinale, aucune ne sera utilisée dans ce travail pour traiter le stress et l’anxiété. (ANSM, 2008)
Les HE font l’objet d’une standardisation répondant à plusieurs normes. Leurs caractéristiques physiques, organoleptiques, chimiques et chromatographiques sont définies à l’échelle nationale par l’AFNOR (Association Française de NORmalisation). Les normes ainsi élaborées sont, pour la plupart, reprises à l’échelle internationale afin d’obtenir des normes ISO (International Organization for Standardization). (ANSM, 2008)

Les fournisseurs d’huiles essentielles et les contrôles obligatoires

D’après l’article L. 5138-3 du Code de la Santé Publique : « Sauf à en assurer la responsabilité du contrôle, le pharmacien ne peut utiliser que des matières premières en provenance d’un établissement pharmaceutique certifié ».
Le pharmacien doit donc, autant que possible, s’approvisionner auprès d’établissements pharmaceutiques. En effet, dans ce cas les contrôles relèvent de la responsabilité du laboratoire. Si ce n’est pas le cas, le pharmacien doit contrôler les HE qu’il met en vente dans son officine, ou faire sous-traiter le contrôle auprès d’un laboratoire d’analyse compétent. (Duval, 2012)
Il existe de nombreux laboratoires fournisseurs d’HE en officine. Ils possèdent tous un statut juridique différent. Parmi les plus connus, Phytosun aroms® est l’un des seuls établissements pharmaceutique. Pranarôm® est un « commerce de gros de produits chimiques » et Puressentiel® est un « commerce de détail de parfumerie et de produits de beauté en magasin spécialisé ». (Duval, 2012)
Il est possible d’obtenir auprès des laboratoires fournisseurs d’HE des certificats assurant l’identité de l’HE. Ces derniers doivent préciser (ANSM, 2008) (Duval, 2012) :
– Les caractères botaniques macroscopiques de la matière première végétale utilisée permettant son identification
– Les caractères botaniques microscopiques : l’examen microscopique permet d’identifier les caractères spécifiques de la plante et de repérer l’éventuelle présence d’éléments étrangers
– Les caractères organoleptiques et physiques de l’HE tels que son odeur, sa couleur, sa densité,…
– La chromatographie sur couche mince (CCM) ou chromatographie en phase gazeuse (CPG)
Ces contrôles sont importants car les HE peuvent subir un traitement ultérieur modifiant leur action et leur innocuité (ANSM, 2008) :
– HE déterpénée : les hydrocarbures monoterpéniques sont retirés partiellement ou totalement.
– HE déterpénée et désesquiterpénée : les hydrocarbures mono- et sesquiterpéniques sont retirés partiellement ou totalement.
– HE rectifiée : elle subit une distillation fractionnée afin de supprimer certains composants ou d’en modifier la teneur.
– HE privée de « x » : un ou plusieurs constituants est retiré partiellement ou entièrement.

Les labels de qualité

En règle général, un label de qualité est fondé sur sept critères : l’identification de la plante, l’organe distillé, le chémotype, le mode de culture, l’origine géographique, le stade végétatif à la cueillette et la qualité de la distillation. (Zhiri et al., 2013)
Il existe différents labels de qualité réservés aux HE utilisées en thérapeutique (Duval, 2012) (Zahalka, 2010) :
– Le label H.E.B.B.D (Huiles Essentielles Botaniquement et Biochimiquement Définies) déposé par l’Institut Scientifique d’Aromatologie garantit une parfaite innocuité ainsi qu’une composition non falsifiée. Il est utilisé par Phytosun® et Puressentiel® qui s’engagent à respecter différents critères tels que la qualité de la matière première végétale et des méthodes d’extractions utilisées, la garantie d’une HE 100% pure et naturelle et le contrôle de l’identité et de la qualité de l’HE par CPG.
– Le label H.E.C.T (Huiles Esssentielles Chémotypées), utilisé par Pranarom®, signifie qu’il s’agit bien de la bonne espèce au bon chémotype. Pranarom® n’étant pas un laboratoire pharmaceutique, il est dans l’obligation de faire contrôler ses lots d’HE par un laboratoire compétent.
– Le logo AB précise que l’HE est extraite de plantes issues de l’agriculture biologique.
Cependant, il ne certifie pas une essence pure.
Il est nécessaire d’utiliser des HE chémotypées et standardisées respectant les normes françaises et/ou internationales pour traiter les patients afin de garantir efficacité et innocuité.

Les matières premières végétales

Ce sont des métabolites secondaires produits en petites quantités par la plante. Ils sont le fruit d’une réaction adaptative de la plante à son environnement.

La dénomination botanique

En fonction de l’origine botanique des plantes, leur composition chimique peut changer. Il est donc important de préciser leur dénomination scientifique botanique selon les règles linnéennes : le nom est exprimé en latin avec le nom du genre suivi du nom d’espèce et éventuellement du nom de sous-espèce ou variété. Il est terminé par l’abréviation du botaniste qui fut le premier à décrire la plante en question. (ANSM, 2008)

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Table des matières
Tableaux
Figures
Introduction 
1 Le stress et l’anxiété 
1.1 Définitions
1.2 Historique
1.2.1 L’homéostasie de Cannon
1.2.2 Selye, le père fondateur
1.3 Neurobiologie
1.3.1 Rappels sur le système nerveux
1.3.1.1 Le système nerveux central
1.3.1.2 Le système nerveux périphérique
1.3.2 La réaction de l’organisme face au stresseur
1.3.2.1 Le système hypothalamo-sympathico-adrénergique
1.3.2.2 Le système hypothamo-hypophyso-cortico-surrénalien
1.4 Le syndrome général d’adaptation
1.4.1 La réaction d’alarme
1.4.2 La phase de résistance et l’état d’épuisement
1.4.3 Les maladies psychosomatiques
1.4.4 L’importance des facteurs personnels
1.5 Les troubles anxieux
1.6 Traitements médicamenteux allopathiques
1.6.1 Les neurotransmetteurs de l’anxiété
1.6.2 Les antidépresseurs
1.6.3 Les anxiolytiques
1.6.3.1 Les benzodiazépines
1.6.3.2 L’hydroxyzine
1.6.4 La prégabaline
1.6.5 Utilisation des médicaments dans le stress et l’anxiété
2 L’aromathérapie appliquée au stress et à l’anxiété 
2.1 Généralités
2.2 Législation
2.2.1 Les fournisseurs d’huiles essentielles et les contrôles obligatoires
2.2.2 Les labels de qualité
2.3 Les matières premières végétales
2.3.1 La dénomination botanique
2.3.2 La cueillette des plantes
2.3.3 Le chimiotype
2.4 Modes d’obtention des huiles essentielles
2.4.1 L’entrainement à la vapeur d’eau
2.4.2 L’expression à froid
2.4.3 La distillation sèche
2.5 Identification et caractères physico-chimiques
2.6 Voie d’administration
2.6.1 Voie orale et sublinguale
2.6.2 Voie cutanée
2.6.2.1 Généralités
2.6.2.2 Les huiles végétales
2.6.3 Voie respiratoire
2.6.4 Voie rectale
2.7 Toxicité
2.8 Composition
2.8.1 Les terpénoïdes
2.8.1.1 Les hydrocarbures monoterpéniques = Les monoterpènes
2.8.1.2 Les hydrocarbures sesquiterpéniques = Les sesquiterpènes
2.8.1.3 Les alcools monoterpéniques
2.8.1.4 Les alcools sesquiterpéniques
2.8.1.5 Les phénols terpéniques
2.8.1.6 Les aldéhydes terpéniques
2.8.1.7 Les cétones terpéniques
2.8.1.8 Les esters terpéniques
2.8.1.9 Les oxydes terpéniques
2.8.2 Les composés aromatiques dérivés du phénylpropane
2.8.2.1 Les coumarines
2.8.2.2 Les phénols phénylpropanoïdiques
2.8.2.3 Les phénols méthyl-éthers
2.9 Les huiles essentielles utilisées dans le stress et l’anxiété
2.9.1 Basilic exotique – Ocimum basilicum ssp basilicum L. – Lamiaceae
2.9.2 Bergamotier – Citrus x bergamia Risso & Poit. – Rutaceae
2.9.3 Camomille noble – Chamaemelum nobile (L.) All. – Asteraceae
2.9.4 Lavande vraie – Lavandula angustifolia ssp. Angustifolia Mill. – Lamiaceae
2.9.5 Lavandin super – Lavandula x burnatii clone super Briq. – Lamiaceae
2.9.6 Litsée citronnée – Litsea citrata Blume – Lauraceae
2.9.7 Mandarine – Citrus reticulata Blanco – Rutaceae
2.9.8 Marjolaine à coquilles – Origanum majorana L. – Lamiaceae
2.9.9 Néroli – Citrus x aurantium ssp. amara Engl. – Rutaceae
2.9.10 Orange douce – Citrus x sinensis (L.) Osbeck – Rutaceae
2.9.11 Petit grain bigarade – Citrus x aurantium ssp. amara Engl. – Rutaceae
2.9.12 Ravintsara – Cinnamomum camphora CT cinéole (L.) J. Presl -Lauraceae
2.9.13 Romarin à verbénone – Rosmarinus officinalis CT verbénone L. -Lamiaceae
2.9.14 Verveine citronnée – Lippia citriodora Kunth – Verbenaceae
2.9.15 Ylang ylang – Cananga odorata (Lam.) Hook. f. & Thomson – Anonaceae
2.9.16 Les huiles essentielles inhabituelles pouvant être utilisées dans le stress et l’anxiété
3 Conseil à l’officine 
3.1 Questionnaire
3.1.1 Résultats
3.1.2 Interprétation des résultats
3.2 Cas de comptoir
3.3 Fiches pratiques
Conclusion 
Annexes
Bibliographie 
Sitographie

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