L’APPUI DE VSF-CICDA MANAKARA DANS LA PRODUCTION VIVRIERE DES PAYSANS

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LA PRODUCTION DU RIZ

Généralités

Le riz est la principale culture vivrière à Madagascar et il est cultivé dans toutes les régions. Il est intimement lié à la vie culturelleet quotidienne malgache.
Malgré les efforts entrepris pour améliorer la production rizicole et la diffusion d’innovations, la productivité reste faible et l’utilisation d’intrants (engrais, semences) est limitée.
En 2005, la production de riz s’élève à 3 420 000t avec un rendement moyen pour un hectare de 1,8t à 2,57t alors qu’il est possible de produire jusqu’à 10 t par hectare. L’objectif de l’Etat malgache en 2012 est d’en obtenir un rendeme nt moyen de 3t à 5t par hectare. 1
Le secteur riz constitue la principale activité économique du secteur rural. C’est également la principale activité économique domestique. Son poids économique en fait un pilier majeur dans l’ensemble du développement socio-économique de Madagascar.

Le riz dans l’économie et la vie quotidienne malgache

L’agriculture (incluant la pêche et la sylviculture) est le pilier de l’économie comptant pour un tiers du PIB et contribuant à plus de 70% d es revenus de l’exportation et la valeur ajoutée économique directe de la filière riz contribue à hauteur de 12% au PIB en termes courants et de 43% au PIB agricole, en 19992. Les performances de la filière déterminent donc de manière significative les performances du secteur agricole.
Comme résultat de l’implantation très ancienne de al riziculture à Madagascar, la consommation moyenne par tête, évaluée à 138 kg enmilieu rural et 118 kg en milieu urbain3, classe le pays parmi les plus gros consommateurs de riz au monde.
En moyenne, les ménages urbains prennent 85% de leurs repas avec du riz. En tête, pour la fréquence de consommation du riz, on trouve Fianarantsoa (93% des repas) et Antsirabe (96%) ; à l’opposé les ménages de Tuléar (48% des epasr avec du riz) et de Mahajanga (78%). Le riz le plus consommé est le riz local (91% des ménages), particulièrement à Antananarivo où 98% des ménages déclarent consommer essentiellementdu riz local. A l’opposé, 37% des ménages de Toamasina et 54% de ceux de Tuléar, villes portuaires, consomment plus de riz importé. En matière de qualité de riz, le « vary gasy » est le plus consommé dans 84% des ménages. Cette demande forte de riz est propice à un développement de la production nationale.
La riziculture irriguée occupe plus de la moitié des terres cultivables à Madagascar. De 54% des communes ayant le riz comme principale source de revenus agricoles en 1991, il n’en reste que 45% en 20011.

Les atouts et les contraintes de la filière rizicole

Les atouts de la filière rizicole

Les facteurs géomorphologiques, pédologiques et hydrographiques se conjuguent avec la variabilité climatologique pour offrir à Madagascar des conditions agro-écologiques favorables à plusieurs types de riziculture. La grande diversité des itinéraires techniques et systèmes de culture en témoignent, de même que le savoir-faireancestral, largement reconnu, des riziculteurs malgaches dans la maîtrise de ces itinéraires techniques.

Un niveau de consommation élevé

Le riz est l’alimentation principale de la population malgache, les ménages malgaches consomment du riz en général 3 fois par jour, alorsle riz qui assure la sécurité alimentaire du pays.

Le développement d’un potentiel de recherche

L’Etat malgache accorde une importance réelle à la recherche rizicole. Elle représente une opération de recherche au sein du FOFIFA le «Département de Recherche Rizicole », il a acquis une envergure nationale et ses zones d’action se sont étendues à toutes les grandes régions rizicoles de Madagascar. Les progrès de la recherche rizicole au cours des dernières années sont importants. Ils portent aussi bien sur des variétésperformantes de riz pluvial et irrigué (notamment le riz d’altitude) que sur des techniques intensives, économes en main d’œuvre ou favorables à l’environnement (lutte anti-érosion, amélioration de la fertilité des sols). Un des principaux acquis de la recherche est le semis direct qui présente plusieurs avantages : bonne productivité du travail, coût de revient faible.

Les contraintes de la filière rizicole malgache

Les contraintes sociales

La croissance démographique accentue au cours des années la pression sur la terre, obligeant les paysans à étendre toujours plus les surfaces cultivées. Le riz, qui couvrait déjà la quasi-totalité des basses zones alluviales, s’étendsur des terres difficilement aménageables dont le potentiel productif est plus faible.

Les contraintes physiques et techniques

L’enclavement des zones rizicoles
Il est l’un des principaux blocages à l’efficacité de la filière. Il est dû au délabrement général des routes nationales, à l’absence d’ouvrages de franchissement sur la plupart des pistes rurales et à l’insuffisance d’entretien des voies d e manière générale. Les conséquences des déficiences à ce niveau sont de deux ordres : sur le niveau de production (effet à la baisse) et sur les prix au producteur (effet à la hausse).
Les atteintes à l’environnement
Ils sont liés à certains systèmes de culture (« tavy » et pluvial) sont de plusieurs natures : déforestation, érosion des bassins versants… Ces at teintes portent préjudice aux riziculteurs eux-mêmes (ensablement des périmètres, baisse de fertilité des rizières suite à épuisement du sol…) et aux autres usagers de l’environnement.
Le niveau d’équipement des riziculteurs très limité
La faible utilisation des intrants majeurs (engrais minéraux, semences sélectionnées, produits phyto-sanitaires) est liée à la fois à la mentalité paysanne, au prix de ces produits et à l’approvisionnement insuffisant des zones rizicoles du fait de l’état délabré des routes. Les techniques nécessaires pour permettre aux semences améliorées d’extérioriser leurs potentialités ne sont pas toujours mises en oeuvre. L’apport des bonnes doses de fertilisation, une des exigences des variétés améliorées, n’est pas respecté.

Les contraintes économiques et institutionnelles

L’accès insuffisant au crédit
Elle est citée par les producteurs comme une des principales contraintes à une bonne campagne culturale, notamment à l’achat des intrant s. 6% des agriculteurs ont bénéficié d’un crédit de campagne formel en 2005. La majorité des producteurs passe par le crédit nformeli (sous forme de prêts ou d’avance en intrants) au taux élevé. Le crédit apparaît comme une des contraintes économiques majeures pour la plupart des agents de la filière.
L’insécurité foncière
Dans laquelle se trouvent des nombreux d’exploitants qui découlent de plusieurs types de contraintes : la rareté des terres, le coût élevé ’acquisitiond des titres, la complexité de la procédure d’acquisition des terres, l’éloignement ud service des Domaines et la longueur du traitement des dossiers.
Les infrastructures de marché
Les infrastructures de marché sont déficientes dansles zones rurales et le riz local y est
peu commercialisé en dehors de la période de récolte.

L’autosuffisance en riz

Bien que le gouvernement a tout mis un point d’honneur à régler la question de l’autosuffisance en riz, l’augmentation de la production n’a pas suivi l’augmentation démographique.
Au sein des exploitations, la culture de riz irrigué et parfois riz pluvial ne varie que par les surfaces qu’on leur consacre. Elles constituent la base de l’alimentation quotidienne et sont donc principalement destinées à l’autoconsommation. Le riz est consommé deux à trois fois par jour, en quantités plus ou moins importantes selonles disponibilités et les moyens financiers des foyers. La part commercialisée a donc diminué et en2001, 72% des ménages producteurs de riz ont dû acheter du riz au cours de l’année.
L’autosuffisance en riz n’est pas assurée, preuve de l’existence de riz importé dans les marchés.

L’INSECURITE ALIMENTAIRE

Contexte général

Alors même que la production alimentaire mondiale uffiraits à nourrir toute l’humanité, des majorités de la population n’ont, aujourd’hui dans le monde, pas accès à une alimentation suffisante pour assurer leurs besoins journaliers. L’essentiel de cette population vit dans les pays en développement, alors que grande partie d’entre elle dépend paradoxalement de l’activité agricole pour vivre.

Définition

L’expression « sécurité alimentaire » apparaît en 1974 lors de la 1ère conférence mondiale de l’alimentation. Il s’agit avant tout d’unconcept pour une aide à l’action et à la réflexion quant aux politiques nationales ou locales et aux moyens à mettre en œuvre pour assurer en particulier l’alimentation des populations, la souveraineté alimentaire, la qualité des produits consommés.
« D’après la définition de la FAO de 1996, la sécurité alimentaire est « l’accès pour tous à chaque moment à une alimentation suffisante pour un e vie saine et active ». Cette définition fait donc référence à des notions importantes dequantitéet qualitédes aliments, mais aussi de continuitéet régularitéd’approvisionnement »1.

La sécurité alimentaire et les diverses perspectives

· pour un travailleur urbain, la sécurité alimentairesignifie rémunérer suffisamment la vente de sa main d’œuvre pour l’achat d’aliments à bas prix ;
· pour un petit producteur qui se trouve sur un marché contrôlé par des intermédiaires usuriers, la sécurité alimentaire se traduit par la production d’une grande partie de l’alimentation familiale sur l’exploitation : la vente de produits agricoles sur le marché présente en effet des risques élevés (vente en prix bas au moment de récolte contre achat en prix hausse au période de soudure)
· pour le gouvernement d’un Etat, assurer la sécuritéalimentaire nationale implique notamment la définition de politiques agricoles, qui prennent en compte des mesures plus ou moins strictes sur l’ouverture des marchés, l’importationde denrées alimentaires, la promotion des exportations pour la production de richesses, ou au contraire, la protection des importations et l’appui à la production vivrière nationale, etc.

L’implication de la sécurité alimentaire

Dans la société, la sécurité alimentaire implique uxd capacités différentes :

Capacité de produire

De pouvoir produire des aliments en quantité suffisante et de qualité,ce qui suppose :
– de disposer au niveau national ou local des ressources et des conditions nécessaires à la production : accès à la terre, accès à l’eau, accès au financement de l’activité agricole, existence de mesures d’accompagnement et d’appui de la part des Etats (assistance technique, infrastructures : routes, écoles, etc.),
– d’assurer la reproduction de ces ressources, en évitant notamment la dégradation de l’environnement et des conditions bioclimatiques de production.

Capacité de consommer

De pouvoir consommer, c’est à dire de disposer en milieu rural et urbain du pouvoir d’achat suffisant pour l’achat de produits alimentaires (pour les paysans, grâce à des cultures de rente et la vente de surplus de cultures vivrières, ou encore la pluriactivité), et donc également de bénéficier de filières organisées de commercialisation et de distribution de ces productions au niveau local, régional, national ou international

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : L’INTRODUCTION DU SYSTEME DE L’AGROECOLOGIE AU MONDE RURAL
CHAPITRE I L’ONG AGRONOMES ET VETERINAIRES SANS FRONTIERES
Section 1. L’ONG VSF-CICDA DANS LE MONDE
§ 1. Généralités
§ 2. Historique .
Section 2. LES PROJETS DE L’ONG VSF-CICDA A MADAGASCAR
§ 1. Projet de Diffusion de l’agro-écologie sur les bassins versants des périmètres irrigués de Manakara .
§ 2. Projet de restauration de la sécurité alimentaire dans le district de Vohipeno
§ 3. Projet de Gestion des Ressources Agropastorales (Toliara / Sakaraha / Betioky / Ampanihy)
§ 4. Projet de gestion des ressources agropastorales (Amparafaravola)
§ 5. Projet d’amélioration de la santé animale (Ambatondrazaka)
Section 3. PRESENTATION DE L’ONG VSF-CICDA MANAKARA
§ 1. La description du projet
§ 2. La localisation
§ 3. Les bénéficiaires
§ 4. Les partenaires ..
4.1. Les partenaires financiers
4.2. Les partenaires techniques
4.3. Les partenaires institutionnels
4.4. Les situations existantes et les buts poursuivis
4.5. Les ressources humaines
4.6. La zone d’intervention
CHAPITRE II LE MONDE RURAL ET LES DIVERSES PERSPECTIVES
Section 1. LES ACTIVITES AGRICOLES
§ 1. Les activités agricoles au niveau national
§ 2. Les activités agricoles dans la zone du projet
2.1. Généralités
2.2. Les cultures vivrières
2.3. Le maraîchage
2.4. Les cultures de rente
2.4.1. Le poivre
2.4.2. La vanille
2.4.3. Le girofle
2.4.4. Le café
2.5. Les fruitiers
2.5.1. La banane
2.5.2. Le litchi
2.6. L’élevage
Section 2. LA PRODUCTION DU RIZ
§ 1. Généralités
§ 2. Le riz dans l’économie et la vie quotidienne malgache
§ 3. Les atouts et les contraintes de la filière rizicole
3.1. Les atouts de la filière rizicole
3.1.1. Un niveau de consommation élevé
3.1.2. Le développement d’un potentiel de recherche
3.2. Les contraintes de la filière rizicole malgache
3.2.1. Les contraintes sociales
3.2.2. Les contraintes physiques et techniques
3.2.3. Les contraintes économiques et institutionnelles
§ 4. L’autosuffisance en riz
Section 3. L’INSECURITE ALIMENTAIRE
§ 1. Contexte général
§ 2. Définition ..
§ 3. La sécurité alimentaire et les diverses perspectives
§ 4. L’implication de la sécurité alimentaire
4.1. Capacité de produire
4.2. Capacité de consommer
§ 5. L’insécurité alimentaire dans l’arrière pays de Manakara
5.1. La soudure alimentaire
5.2. La soudure du riz
CHAPITRE III L’INTRODUCTION DE L’AGRO-ECOLOGIE DANS LA ZONE DE VSFCICDA MANAKARA
Section 1. LA DIFFUSION DE L’AGRO-ECOLOGIE PAR VSF-CICDA MANAKARA
§ 1. L’agro-écologie .
1.1. Bref historique
1.2. Contexte de base en agro-écologie
1.3. Définitions
1.3.1. Définition de l’agro-écologie
1.3.2. Définition de SCV (Système de culture sous Couverture Végétale)
1.3.3. La saison agricole
§ 2. La participation de VSF-CICDA Manakara à la mise en oeuvre du projet principal
2.1. Le projet principal
2.2. Les objectifs globaux du projet principal
2.3. La mise en oeuvre du projet de diffusion de l’agro-écologie par VSF-CICDA
Section 2. PRESENTATION DE LA ZONE DE VSF-CICDA MANAKARA
§ 1. Les diagnostics de la zone
1.1. Les situations géographiques et climatiques de la zone
1.2. Le milieu humain
1.3. L’infrastructure
§ 2. La vision générale de la zone
§ 3. Les situations agro-écologiques de la zone
3.1. La zone d’Amboanjo
3.2. La zone de Bekatra, Vohimasy et Anorombato
3.3. La zone de Sakoana et Lokomby
§ 4. L’exploitation agricole et le système de production traditionnel
Section 3. LA METHODOLOGIE D’INTERVENTION DU PROJET
§ 1. Les contextes d’intervention
1.1. Le contexte d’intervention au niveau de l’agriculture
1.2. Le contexte d’intervention au niveau de l’élevage
1.3. L’intégration de l’agriculture-élevage
§ 2. Les méthodologies générales d’intervention
§ 3. Les stratégies de l’intervention
3.1. Les paysans individuels et l’appui à la structuration
3.2 La mise en place de groupe d’intérêt (souvent sur une filière) et non de groupement
3.3. L’émergence des paysans pilotes
3.4. Les formations adaptées, techniques puis organisationnelles
3.5. La formalisation de la collaboration par un contrat : responsabilisation
3.6. L’approche globale et l’équipe polyvalente
§ 4. Les activités pour la mise en oeuvre de l’intervention
4.1. Les activités au niveau de l’agriculture
4.1.1. Les enquêtes communales
4.1.2. La campagne de sensibilisation
4.1.3. Les séances de formations
4.1.4. L’encadrement des paysans adoptants et le suivi des cultures
4.1.5. La mise en place d’une parcelle témoin
4.1.6. L’approvisionnement en intrants
4.1.7. L’union en groupe d’intérêt
4.1.8. La facilitation à l’accès au financement
4.1.9. La réunion de restitution des résultats de saison
4.1.10. La mise en place des paysans traiteurs
4.1.11. Les paysans pilotes
4.1.12. La visite d’échange
4.2. Les activités au niveau de l’intégration agriculture élevage
4.2.1. La formation et mise en place des ACSA
4.2.2. L’appui à l’élevage bovin
4.2.3. L’appui à l’amélioration des techniques d’élevage avicole
4.2.4. L’appui à l’amélioration de l’élevage apicole
4.2.5. L’appui à la pisciculture
Section 4. LES COLLABORATIONS AVEC LES PARTENAIRES
§ 1. Le Bureau d’étude BRL
§ 2. L’ONG TAFA ..
§ 3. L’ONG Inter Aide Agricole
§ 4. L’antenne du C.N.C.C.
§ 5. La caisse de micro crédit et d’épargne TIAVO
§ 6. Le FOFIFA, Département Recherche Agronomique (Manioc)
DEUXIEME PARTIE :L’APPUI DE VSF-CICDA MANAKARA DANS LA PRODUCTION VIVRIERE DES PAYSANS
CHAPITRE I L’EVOLUTION DE LA DIFFUSION DE L’AGRO-ECOLOGIE DANS LA ZONE DE VSF-CICDA MANAKARA
Section 1. GENERALITES
Section 2. L’APPROCHE DE L’AGRO-ECOLOGIE ENVERS LES PAYSANS
Section 3. L’EVOLUTION DU NOMBRE DES PAYSANS ADOPTANTS EN AGROECOLOGIE .
§ 1. Les familles bénéficiaires
§ 2. Les abandons des paysans
§ 3. Le décroissement brusque de l’effectif des nouveaux paysans
Section 4. L’EVOLUTION DE LA SURFACE DES CULTURES EN AGROECOLOGIE ..
§ 1. La progression de la surface en agro-écologie de manière exponentielle
§ 2. Le nombre de nouveaux paysans et la surface des nouvelles parcelles
§ 3. L’utilisation des anciennes parcelles
CHAPITRE II L’INTERVENTION DE VSF-CICDA MANAKARA DANS LA PRODUCTION VIVRIERE DES PAYSANS
Section 1. ETUDE PRELIMINAIRE
§ 1. Généralités .
§ 2. Contexte de l’étude
§ 3. Echantillonnage .
Section 2. EVALUATION DE VSF-CICDA MANAKARA DANS L’EXPLOITATION VIVRIERE
§ 1. Généralités
1.1. Les cultures vivrières
1.2. L’exploitation vivrière
§ 2. L’exploitation vivrière des paysans avant intervention du projet
2.1. Le paysan type 1
2.2. Le paysan type 2 et type 3
2.3. Le paysan type 4
§ 3. L’exploitation vivrière initiale en SCV
§ 4. L’exploitation vivrière globale à la 4è année du projet
4.1. L’exploitation vivrière en SCV à la 4è année du projet
4.2. L’exploitation vivrière traditionnelle à la 4è année du projet
4.3. La surface d’exploitation vivrière à la 4è année du projet.
§ 5. Evaluation du projet dans l’exploitation vivrière
5.1. Proportion de l’exploitation en SCV par rapport à la variation positive de surface d’exploitation
5.2. La proportion de l’exploitation en SCV par rapport à la surface de l’exploitation vivrière globale
Section 3. EVALUATION DE VSF-CICDA MANAKARA DANS LA PRODUCTION VIVRIERE
§ 1. Généralités
1.1. La production vivrière
1.2. Le produit vivrier
§ 2. Evaluation du projet dans la production vivrière à la 4è année du projet
2.1 Evaluation du projet au niveau de la pratique de la culture vivrière
2.2. Evaluation du projet au niveau de la récolte des produits vivriers
CHAPITRE III. L’ANALYSE DE L’INTERVENTION DE VSF-CICDA MANAKARA
Section 1. LES INCONVENIENTS ET AVANTAGES DE L’INTERVENTION DE VSFCICDA MANAKARA .
§ 1. Les avantages et les inconvénients sur le plan économique et social
1.1. Les inconvénients sur le plan économique et social
1.1.1. L’adaptation à une nouvelle méthode
1.1.2. La dévalorisation de la culture traditionnelle
1.1.3. La nécessité de recours externe
1.2. Les avantages sur le plan économique et social
1.2.1. La création de relation partenariale
1.2.2. L’amélioration de la relation inter-paysanne
1.2.3. La contribution du projet à l’auto-développement de la population rurale
1.2.4. L’amélioration du niveau de compétence
1.2.5. La maîtrise du coût
1.2.6. Coût de production moins cher
1.2.6. La restructuration et l’aménagement du territoire agricole
1.2.7. La diversification culturale
1.2.8. Amélioration des marges brutes
§ 2. Les avantages et les inconvénients sur le plan technique et environnemental
Section 2. LES FAIBLESSES ET LES POINTS FORTS DU PROJET
§ 1. Les faiblesses du projet
1.1. La manque de suivi évaluation
1.2. L’utilisation des matériels usés
1.3. Les évènements non-maîtrisés
§ 2. Les points forts du projet
2.1. La permanence de l’assistance auprès des paysans
2.2. Les systèmes de communication efficaces
2.3. Une équipe compétente et active
2.4. L’acquisition de nouvelles compétences
Section 3. LES RECOMMANDATIONS PROPOSEES
§ 1. Le renforcement du suivi et évaluation
§ 2. La commercialisation des produits locaux
§ 3. La contribution au développement de la zone
§ 4. Le renouvellement des matériels
CONCLUSION
ANNEXES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
BIBLIOGRAPHIE

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