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Les autres formes d’aphasie
La surdité verbale pure
Elle se limite à l’incapacité d’identifier les signes sonores, donc de comprendre le langage parlé ce qui explique les perturbations de la répétition
Siège de la lésion : atteinte temporal (T1) gauche et lésions bilatérales des circonvolutions de Heschl.
Formes aléxie – agraphie (Wernicke type II)
On a une anomalie de l’expression orale, limitée à peu près à un manque de mot, par opposition à une anomalie de l’expression écrite, se manifestant par une suppression ou par une jarganographie.
Une opposition entre la compréhension du langage parlé, normale ou à peine subnormale et la compréhension du langage écrit progressivement déficitaire.
Aphasie transcorticale motrice ou aphasie dynamique ou aspontanéité verbale
– Les lésions préfrontales gauches et droites donnent, lorsqu’elles sont modérées un syndrome associant une conservation du langage élémentaire et des difficultés du langage propositionnel.
– Les lésions étendues, bilatérales ou frontales gauches donnent une réduction massive, voire un mutisme contractant avec une répétition normale, voir écholalique.
L’aphasie thalamique
On a souvent :
– une préservation de la compréhension.
– une diminution du volume vocal.
– une spontanéité verbale.
– une répétition normale tandis que la dénomination et le langage spontané extériorisent des paraphasies verbales donnant au discours un caractère
incohérent, et suggérant l’implication du thalamus dans le contrôle de L’activation du langage et de l’accès au lexique [7].
– il existe habituellement d’importants troubles de la mémoire verbale.
L’aphasie due à des lésions putamino – caudées
Donnent des aphasies variées : transcorticale sensorielle, de conduction, de Wernicke, de Broca, ou aphasie complexe mêlée à des symptômes linguistiques de type thalamique. [7], [8].
L’aphasie de l’enfant
-Elle est caractérisée par une réduction du langage et de la syntaxe (agrammatisme).
– la compréhension est peu altérée.
– il peut exister des troubles arthriques.
– il n’y a ni jargon ni paraphasies.
– le langage est toujours sévèrement perturbé.
– En outre les troubles du langage par lésions droites sont d’autant plus fréquents que l’enfant est plus jeune, la proposition inverse s’appliquant à l’hémisphère gauche, et l’évolution est d’autant meilleure que l’enfant est plus jeune.
L’aphasie des gauchers
Elle est plus souvent le fait d’une lésion gauche que droite.
Les troubles sont souvent moins massifs que chez le droitier et la régression plus rapide.
Les aphasies par lésion droite chez le droitier sont rares (aphasie croisée).
Aphasies mixtes
Les aphasies peuvent se présenter à un moment ou à un autre de leur évolution dans des formes intermédiaires aux tableaux classiques d’aphasie (aphasie de Broca ou aphasie de Wernicke).
On ressent d’habitude le problème de terminologie en disant de tous ces tableaux sémiologiques, après en avoir décrit les éléments qu’il s’agit d’aphasies mixtes.
Ce problème se pose plus fréquemment chez les ambidextres et les gauchers que chez les droitiers.
Aphasie chez les polyglottes
Pitre constate que si un sujet polyglotte frappé d’aphasie perd en général à un égal degré l’usage de toutes les langues qui lui étaient familières, et qu’il recouvre simultanément la faculté de se servir de toutes à mesure qu’il guérit, il n’en est pas toujours ainsi : parfois, certaines langues, sont plus atteintes, ou si elles le sont toutes également, certains sont moins bien récupérés que d’autres au cours de la convalescence ou ne l’est pas du tout.
Etude de l’expression orale
Elle repose sur :
– le langage spontané : interroger le patient sur les thèmes familiers : nom, métier, histoire de la maladie.
– Répétition de syllabes, de mots, de phrases de longueur existants (langage provoqué).
– Langage automatique : formulation de sens automatiques : mois de l’année, jours de la semaine, suite des chiffres.
Cette étude permet d’apprécier le volume et les transformations du langage.
Etude du langage écrit
Compréhension écrite
Elle est explorée par :
– épreuve d’identification des lettres, syllabes des mots
– les épreuves d’exécution d’ordres écrits.
– épreuves de correspondance entre phrases et actions images.
.des mots et des
– lecture d’un texte suivi de son résumé.
Expression écrite
– écriture spontanée : nom, adresse, description d’image.
– écriture dictée : lettres, syllabes, mots, phrases.
– écriture copiée.
Sémiologie aphasie : (résultats de l’examen clinique)
Troubles de l’expression orale
Le volume verbal
⇒ Il peut être logorrhéique : aphasies fluides ou « fluentes ».
Les aphasies logorrhéiques ont comme discours abondant et fluide mais habituellement peu ou pas compréhensible par l’interlocuteur, réalisant alors un jargon coexistant souvent avec une anosognosie du trouble.
⇒ Le volume peut être réduit : aphasie réduite ou non « fluentes ». Au maximum c’est une suspension du langage. Parfois le langage se réduit à quelques syllabes ou mots inlassablement répétés, émis de façon involontaire à tout essai de verbalisation : les stéréotypes.
⇒ Le volume peut être adapté.
La dysprosodie
Elle traduit l’atteinte du langage qui prend alors son pseudo– accent [5] germanique ou britannique.
Les troubles de l’articulation verbale ou troubles arthriques (ou syndrome de désintégration phonétique)
Ces troubles s’accompagnent des difficultés de réalisation des phonèmes et entraînant des déformations complexes des mots, le parler est lent, syllabaire, haché, les mots sont souvent contractés, certains phonèmes y sont supprimés, d’autres réitérés, ce qui entraîne une « réduction des contrastes »[8]. Les consonnes sourdes sont préférées aux consonnes sonores, les groupes diconsonantiques sont supprimés.
Le manque du mot (Définition)
Il est parfois discernable dans le langage spontané et est électivement mis en évidence par l’épreuve de détermination d’objet qui se traduit :
– soit par une impossibilité de dénommer ;
– soit par une définition par l’usage (couteau pour couper), par l’approximation synonymique ou par la production de formules circonlocutoires, intégrées dans des conduites d’approche
– soit par la production au lieu du mot attendu, de paraphasies
Les paraphasies
Définition
Il existe plusieurs types de paraphasies
⇒ Les paraphasies phonémiques ou littérales réalisent des distorsions de mots en rapport non avec une difficulté de la réalisation phonétique mais avec des perturbations de l’agencement phonémique par omission, adjonction, inversion, déplacement de phonèmes.
Les paraphasies phonémiques correspondent à la désorganisation de la deuxième articulation du langage.
⇒ Les paraphasies verbales : désignent la substitution d’un mot par un autre mot du lexique. Il peut s’agir :
• de paraphasies verbales morphologiques (ou paraphonies) quand le mot émis est phonétiquement proche du mot cible
Elles correspondent à la désorganisation de la deuxième articulation.
• De paraphasies verbales sémantiques : quand le mot émis a son lien conceptuel avec le mot recherché.
Elles peuvent s’interpréter comme un désordre de la première articulation du langage c’est-à-dire choix des mots
⇒ Autres paraphasies
– le Néologisme : le malade annonce des mots très éloignés du mot cible
Les troubles de maniement de la grammaire et de la syntaxe
– L’agrammatisme :
Il se caractérise par la réduction des monèmes grammaticaux et l’emploi de verbes à l’infinitif donnant au langage son style « télégraphique »
– La dyssyntaxie :
Elle se caractérise par l’emploi de mots grammaticaux normaux mais inappropriés qui sont l’équivalent de paraphasies sémantiques Elles accompagnent d’ailleurs le langage paraphasique
Troubles de la compréhension orale
On peut retrouver des troubles de la compréhension orale dans
⇒ Les épreuves de désignation
⇒ Une anomalie de la compréhension du langage parlé
Les troubles de l’expression du langage écrit
On retrouve :
– Les agraphies aphasiques respectent les mouvements du graphisme et extériorisent des paragraphies analogues aux paraphasies et, selon les cas, une dyssyntaxie, un agrammatisme, une dysorthographie.
– Les agraphies apraxiques : elles réalisent une désorganisation des mouvements de l’écriture avec un graphisme rudimentaire (gribouillage) des perturbations de l’agencement spatial des signes graphiques, des phénomènes de persévération avec réalisation itérative de certaines lettres ou de certains mots.
Les troubles de la compréhension du langage écrit
La lecture à haute voix permet d’objectiver l’alexie dont il existe 2 types :
– l’alexie aphasique
Les lettres sont plus difficilement reconnues que les mots, qui peuvent être déformés, voire rendues méconnaissables par la production de paralexies analogues aux paraphasies.
– L’alexie agnosique
– Elle concerne les perturbations de la reconnaissance des lettres (alexie littérale) et des mots (alexie verbale)
ETIOLOGIES DES APHASIES
Pathologie vasculaire
Les accidents vasculaires sont la cause la plus fréquente des aphasies de l’adulte. Ces maladies s’accompagnent fréquemment, en effet, de lésions cérébrales circonscrites et permanentes – C’est l’examen neuropathologique de telles lésions, mis en relation avec l’étude des comportements linguistiques anormaux qu’elles peuvent déterminer, qui a permis pour une très large part, la description anatomoclinique des aphasies et, de ce fait, la définition du rôle de plusieurs parties du cerveau dans la fonction linguistique . A vrai dire, l’analyse systématique des anomalies linguistiques imputables à des lésions cérébro-vasculaires localisées reste le point de départ ou la pierre d’achoppement de toutes les théories qui cherchent à relier le plus spécifique des comportements humains au substrat biologique qui lui est propre.
Le terme de Maladie vasculaire cérébrale regroupe un grand nombre de conditions pathologiques caractérisées par des modifications de la structure des vaisseaux qui irriguent le cerveau et/ou de la circulation du sang qui le nourrit, qu’il s’agisse de l’occlusion d’une artère par un thrombus ou par un embole, d’une anomalie de la paroi d’un vaisseau qui réduit son calibre et son débit, modifie sa perméabilité ou entraîne sa rupture, ou d’une insuffisance circulatoire par chute de la pression artérielle systémique, une réduction critique de l’apport sanguin a des conséquences immédiates sur le parenchyme cérébral. Une interruption de courte durée moins de 3 minutes provoque une ischémie transitoire avec un déficit fonctionnel réversible, tandis que la persistance de l’arrêt s’accompagne d’une nécrose irréversible du tissu cérébral (ramollissement cérébral) et d’un déficit durable. Lorsqu’il y a rupture vasculaire, par suite d’anomalie congénitale ou acquise, l’hémorragie intra parenchymateuse peut ajouter ses effets néfastes à ceux de l’ischémie ou constitue une véritable lésion expansive cérébrale, elle – même responsable d’un trouble neurologique.
L’exemple typique de l’accident vasculaire cérébral est celui de l’apoplexie, résultat d’une hémorragie cérébrale massive, où le malade s’écroule, brusquement paralysé, devient rapidement comateux et meurt en quelques heures. Dans d’autres cas une hémiplégie survient en quelques minutes, en quelques heures et la victime reste consciente, sans autre déficit apparent ; il est d’ores et déjà évident qu’elle survivra à sa maladie, avec ou sans récupération. Le plus souvent, l’accident cérébro-vasculaire s’accompagne d’une Kyrielle de symptômes et signes neurologiques, par exemple des troubles de la force musculaire, de la sensibilité, de la vision etc… L’aphasie peut être l’un d’entre eux. Il arrive aussi et c’est la localisation des lésions qui détermine ce fait qu’elle constitue la seule manifestation d’une maladie vasculaire cérébrale, en particulier dans certaines formes de l’aphasie de Wernicke.
L’étiologie de la maladie vasculaire cérébrale responsable d’une aphasie influence bien sur le mode d’apparition de celle – ci, la forme clinique dans laquelle elle se présente et l’évolution du trouble du langage. Une fois reconnue l’existence d’une maladie vasculaire, il est cependant rare que ce soient des facteurs étiologiques qui constituent le trait distinctif d’une aphasie. L’étude sémiologique de l’aphasie peut, en revanche, contribuer à l’identification du processus pathologique sous -jacent, au même titre d’ailleurs que celle de tout autre signe neurologique.
La thrombose cérébrale
La thrombose cérébrale peut se définir comme l’occlusion d’une ou de plusieurs artères nourricières du cerveau par formation d’un thrombus au niveau d’une anomalie de la paroi vasculaire.
Par extension elle désigne aussi communément la lésion cérébrale dont elle est responsable, le ramollissement cérébral.
La cause la plus fréquente de ramollissement cérébral est l’athérosclérose des artères cervicales.
Les dépôts d’athérome se forment aux sites de bifurcation et de courbure des artères de gros et de moyens calibres, affectant électivement les troncs carotidiens et vertébro-basilaires, et la portion extra cérébrale de leurs branches terminales.
La thrombose survient en général à l’endroit où la lumière du vaisseau est le plus fortement rétrécie. Par conséquent, les thromboses responsables d’aphasie se trouvent surtout à l’origine de la carotide interne dans le cou (sinus carotidien), dans la portion intra pétreuse et caverneuse de la carotide interne (syphon carotidien) ; elles se trouvent plus rarement dans le premiers tiers de l’artère cérébrale moyenne.
L’hypertension artérielle et le diabète contribuent à l’extension du processus artérioscléreux aux artères de petit calibre et l’on observe souvent, dans ces maladies, de petits foyers de ramollissement secondaires à l’occlusion des branches intraparenchymateuses des artères cérébrales : ces petites lésions sont connues sous le nom de lacunes.
L’effet de la thrombose athéroscléreuse sur le parenchyme cérébral varie considérablement d’un individu à l’autre. La topographie et l’étendue du ramollissement dépendent en effet de la disponibilité d’une circulation collatérale. Les suppléances peuvent s’effectuer par le cercle anastomotique des Willis, à la base du cerveau, par des anastomoses entre les branches superficielles (corticales) des artères cérébrales, et par une circulation à contrecourant dans l’artère ophtalmique, permettant à la carotide externe de compenser l’obstruction de la carotide interne correspondante. Parfois, la circulation collatérale est suffisamment développée pour que l’occlusion complète d’une artère, la carotide interne par exemple, passe complètement inaperçue. Dans d’autre cas au contraire la thrombose du vaisseau s’accompagne d’un ramollissement dans tout le territoire de sa distribution.
Entre deux extrêmes, tous les intermédiaires sont possibles, expliquant la diversité de la localisation et de l’étendue des ramollissements cérébraux superficiels et ou profonds et en conséquence diversité du tableau clinique observé.
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Table des matières
I. Introduction
II.RAPPEL
1.Le langage
1.1 Organisation neuroanatomique du langage
1.2 Structure linguistique du langage
2. Clinique : Types d’aphasies
2.1 Aphasies à langage réduit
2.1.1 Aphasie de Broca
2.1.2 L’anarthrie pure de Pierre Marie
2.1.3 L’aphasie totale de Déjerine ou grande aphasie de Broca
2.2 Aphasies à langage fluide
2.2.1 L’aphasie de Wernicke
2.2.2 Aphasie de conduction
2.2.3 Aphasie amnésique
2.2.4 Aphasie sensorielles transcorticale (Wernicke Type II)
2.3. Les autres formes d’aphasie
2.3.1 La surdité verbale pure
2.3.2 Formes aléxie – agraphie (Wernicke type II)
2.3.3 Aphasie transcorticale motrice ou aphasie dynamique ou aspontanéité verbale
2.3.4L’aphasie thalamique
2.3.5 L’aphasie due à des lésions putamino-caudées
2.3.6 L’aphasie de l’enfant
2.3.7 l’aphasie des gauchers
2.3.8 Aphasies mixtes
2.3.9 Aphasie chez les polyglottes
3. Examen clinique d un aphasique
3.1 Examen clinique
3.1.1 Etude du langage oral
3.1.1.1 Etude de la compréhension orale
3.1.1.2 Etude de l’expression orale
3.1.2 Etude du langage écrit
3.1.2.1 Compréhension écrite
3.1.2.2 Expression écrite
3.2 Sémiologie aphasie : (résultats de l’examen clinique)
3.2.1 Troubles de l’expression orale
3.2.1.1 Le volume verbal
3.2.1.2 La dysprosodie
3.2.1.3 Les troubles de l’articulation verbale ou troubles arthriques
3.2.1.4 Le manque du mot (Définition)
3.2.1.5 Les paraphasies
3.2.1.6 Les troubles de maniement de la grammaire et de la syntaxe
3.2.2 Trouble de la compréhension orale
3.2.3. Trouble de l’expression du langage écrit
3.2.4. Trouble de la compréhension du langage écrit
4. ETIOLOGIES DES APHASIES
4.1 Pathologie vasculaire
4.1.1La thrombose cérébrale
4.1.2Embolie cérébrale
4.1.3Hémorragie intracrânienne
4.1.3.1 Hémorragie d’origine hypertensive
4.1.3.2 Hémorragie par rupture d’un anévrysme artériel
4.1.3.3 Hémorragie par rupture d’un L’anévrysme artério veineux
4.2 Traumatismes crâniens
4.3 Pathologie tumorale
4.4 Autres causes d aphasie
5. Paraclinique
6.Prise en charge
6.1 Objectifs :
6.2 Moyens et indications
6.2.1 Les tthérapies médicamenteuses
6.1 . 2 La rééducation du langage
7. Pronostic et évolution
7. . 1 Facteurs cliniques
7.2 Facteurs biographiques :
7.3 .Récupération fonctionnelle
II Deuxième Partie: Travail personnel
A. Patients et Méthodes
1. Cadre d’étude et lieu d études
2. Type d’étude
2.1Durée de l’étude
2.2Définition des cas
2.3Méthodes
3. Support des données
B.RESULTATS
3. CARACTERISTIQUES SOCIO – DEMOGRAPHIQUES.
1.1 Fréquence:
1.2 AGE
1.3 Sexe
1.4 Niveau d’instruction
1.5 Profession
1.6 Origine géographique
1.7 Ethnie
1.8 Le nombre de langues parlées:
4. DONNEES CLINIQUES ET EXAMENS COMPLEMENTAIRES
2.1 Antécédents
2.2 La latéralité
2.3 Nature de L’AVC
2.4 Territoires lésionnels de l’ AVC
2.4.1 L’AVCH
2.4.2 L’AVCI
a. Type d’aphasie
2.6 Signes associés
C.Discussion
1. CARACTERISTIQUES SOCIO-DEMOGRAPHIQUES
1.1 Fréquence:
1.2 AGE
1.3 Sexe
1.4 Niveau d’instruction
1.5 Profession
2. DONNEES CLINIQUES ET EXAMENS COMPLEMENTAIRES
2.1 Antécédents
2.2 La latéralité
2.3 Nature de L’AVC
2.4 Type d’aphasie
2.5 Territoires topographiques de l’AVC
2.5.1 AVCI
2.5.2 AVCH
2.6 Signes associés
III.Conclusion
IV.REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
V.RESUME
VI.SOMMAIRE
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