L’allaitement un vecteur du lien mère-enfant

L’allaitement un vecteur du lien mère-enfant

DISCUSSION ET CONCLUSION

Forces et biais de l’étude

Il n’existe que peu d’études concernant l’allaitement du nouveau-né prématuré après la sortie d’hospitalisation. Hormis l’étude américaine de Kavanaugh et al. [18] réalisée en 1995, la plupart des travaux réalisés sont quantitatifs et portent notamment sur l’évolution des taux et durées d’allaitement.
La nature qualitative de ce travail en fait son originalité, elle permet notamment d’étudier le vécu des mères et de mieux définir leurs attentes afin de nous fournir des pistes de travail pour mieux promouvoir l’allaitement en accord avec les recommandations de l’OMS.
Les participantes ont été sélectionnées en variation maximale selon la parité, l’existence d’un allaitement antérieur, l’âge maternel et l’âge gestationnel de naissance.
Un premier entretien test a permis d’étoffer les thèmes explorés et d’adapter les questions pour une meilleure compréhensibilité. L’exploration du vécu de l’allaitement au cours de l’hospitalisation a enrichi l’analyse de la question posée ; il semblait pour les mères indissociable du vécu de l’allaitement à domicile.
Tous les entretiens se sont déroulés au domicile des patientes. Le fait d’être dans un lieu familier auprès de leur bébé a permis d’instaurer un climat de confiance et de laisser libre cours à leur expression.
Le double codage des entretiens par la puéricultrice référente en lactation du CHU d’Angers a permis d’améliorer l’analyse thématique en apportant un regard différent mais complémentaire.
L’une des principales limites de cette étude est la petite taille de l’échantillon. Malgré une période de recrutement de 8 mois ce dernier a été difficile, le nombre de prématurés encore allaités à la sortie d’hospitalisation étant limité. Le problème des nouveaux né transférés secondairement vers les centres hospitaliers de la région s’est également posé. Le devenir de l’allaitement à la sortie d’hospitalisation n’étant alors pas connu et la distance géographique par rapport au lieu d’habitation
de l’investigatrice font qu’ils n’ont pu être inclus.
Un autre de biais de sélection venait du refus de l’entretien par certaines mères correspondant aux critères d’inclusion lors de l’appel téléphonique de la thésarde. La cause évoquée était toujours le sevrage et le désir de ne plus parler allaitement. Il aurait pourtant été intéressant de connaître les causes qui les ont conduites au sevrage une fois à domicile.

Discussion des principaux résultats

La décision d’allaiter était peu éclairée par une information en prénatal

L’allaitement maternel est particulièrement important chez l’enfant prématuré mais il nécessite une motivation maternelle solide. Pour certaines mères le choix d’allaiter était antérieur à la naissance de l’enfant mais pour les autres la prématurité va précipiter ce choix qui sera alors souvent déterminé par le discours médical. Cependant dans cette étude, les mères n’avaient reçu que très peu d’information au cours de leur suivi sur les bénéfices de l’allaitement chez le prématuré. Celle-ci, quand elle existait, était uniquement sous forme de documents écrits. De même la question de l’allaitement restait quelque chose de peu abordée au cours de la grossesse.
Plusieurs études ont rapporté l’effet positif d’une information sur l’initiation et la durée de l’allaitement maternel chez le prématuré.
Friedman et al. ont étudié l’impact d’une consultation avec un néonatologiste sur l’allaitement maternel chez le nouveau-né prématuré. Les enfants de mères ayant eu une consultation prénatale recevaient du lait maternel significativement plus longtemps aussi bien lors de l’hospitalisation qu’après la sortie [20]. Dans une autre étude, Sisk et al. rapportaient qu’après une information sur les bénéfices de l’allaitement maternel donnée aux mères qui ne souhaitaient pas allaiter, 85 % des mères initiaient la lactation et elles fournissaient 50 % du lait donné à leur bébé le premier mois.
Il semble primordial pour encourager l’allaitement de délivrer une information orale adaptée aux mères concernant les bénéfices de l’allaitement maternel chez le prématuré d’autant que parmi elles beaucoup ne sont pas conscientes de l’importance du lait maternel pour ces enfants plus vulnérables.
Celle-ci pourrait prendre la forme d’une consultation avec un professionnel de santé compétent dans le domaine, notamment en cas d’hospitalisation prénatale, afin que la mère puisse faire un choix éclairé.
Le maintien de l’allaitement était favorisé par l’accompagnement lors de l’hospitalisation, il existait néanmoins une attente concernant l’amélioration des conditions d’allaitement en néonatologie.
L’allaitement du prématuré est souvent difficile et le rôle des soignants sera essentiel tout au long de l’hospitalisation pour aider les mères dans leur allaitement. La séparation mère-enfant inhérente à l’hospitalisation reste un obstacle important à sa mise en place.
Dans notre étude, quand l’état de santé et le terme de naissance le permettaient, certaines mères avaient pu bénéficier d’une hospitalisation en unité mère-enfant ce qui leur permettaient de rester en permanence auprès de leur bébé. Toutes étaient unanimes pour dire que cela avait favorisé l’allaitement. Le passage en chambre mère accompagnante avaient permis aux autres mères de préparer activement le retour à domicile et se rassurer sur leurs capacités à nourrir leur enfant.
Les mères rapportaient également une attente quant à l’amélioration des conditions d’allaitement en néonatalogie que ce soit pour les conditions de tirage, l’intimité ou la formation du personnel soignant.
Il existe des programmes de soutien à l’allaitement maternel lors de l’hospitalisation qui ont fait leurs preuves comme l’Initiative Hôpital Ami de bébés (IHAB) ou le programme néonatal individualisé d’évaluation et de soutien au développement (NIDCAP) conçu par le Dr Als à l’université d’Harvard spécifique des prématurés. Le NIDCAP est « une approche globale des soins soutenant le développement, individualisée car tenant compte des objectifs du nouveau-né et de son niveau de stabilité. Il vise également à soutenir les familles et les professionnels de santé qui s’occupent de ces nouveau-nés ». Les parents sont reconnus comme acteurs essentiels des soins de leur enfant.
Une étude réalisée en Grande Bretagne a permis d’évaluer l’impact de l’implantation de ce programme où la collaboration d’une spécialiste certifiée NIDCAP et d’une consultante en lactation IBCLC a permis de faire passer le taux d’allaitement maternel à la sortie de 46 à 83% [23].
De même à Brest le taux d’allaitement des prématurés < à 32 semaines d’aménorrhée ayant reçu du lait de leur mère a progressé avec l’implantation du NIDCAP : 40% en 1998, 60% en 1999, 95% en 2002 [24].
On peut supposer que généraliser ces programmes à l’ensemble des services de néonatologie du pays et améliorer la proximité mère-enfant lors de l’hospitalisation permettraient d’accroître la prévalence de l’allaitement du prématuré en France.
Un suivi de l’allaitement n’était pas systématiquement proposé à la sortie malgré les attentes maternelles.
Dans notre étude, les mères ne rapportaient pas de proposition systématique de suivi de l’allaitement à la sortie d’hospitalisation et le regrettaient. Souvent les coordonnées du service de néonatologie ou de la référente en allaitement étaient laissées à disposition des parents. Certaines mères ont pu rencontrer la référente en lactation mais il s’agissait d’une démarche personnelle. Il existe en Pays de la Loire un suivi des enfants né prématurément avant 33 SA ou de poids inférieur à 1500 grammes via le réseau Grandir Ensemble mais il s’agit d’un suivi global et non spécifique de l’allaitement.
Dans son mémoire, Bouchereau Véronique consultante en lactation a étudié au moyen d’un questionnaire les besoins en matière d’accompagnement de l’allaitement du prématuré après la sortie de néonatologie à l’hôpital de Dreux. 14 mères sur les 15 interrogées étaient favorables à la mise en place d’une consultation d’allaitement après la sortie, 10 à des appels téléphoniques et 6 à des visites à domicile [25].
Il existe une attente des mères en matière de suivi de l’allaitement et proposer systématiquement une consultation avec un spécialiste de la lactation après la sortie pourrait être une piste pour soutenir la poursuite de l’allaitement à domicile.

A domicile, le poids de l’enfant était au centre des préoccupations maternelles

Le retour à domicile marque un tournant dans l’évolution de l’allaitement. A la fois vécu comme un soulagement il est aussi source d’inquiétudes. Dans cette étude la principale crainte des mères était que leur enfant ne prenne pas la quantité de lait suffisante, qu’il ne prenne pas de poids.
Une étude de Kavanaugh et al. réalisée aux USA auprès de 20 mères un mois après la sortie d’hospitalisation de leur enfant prématuré mettait en évidence des préoccupations maternelles spécifiques: la principale préoccupation maternelle était de savoir si leur enfant prenait assez de lait, préoccupation qui différait du manque de lait rapporté par les mères d’enfants nés à terme [21].
Dans notre étude, les tests de pesées systématiques avant et après les tétées à l’hôpital étaient souvent vécus comme stressants et arrêtés après le retour à domicile au profit de pesées régulières dans un but de réassurance.
Ceci diffère du travail de Hurst et al. qui a comparé les sentiments et perceptions de mères poursuivant ou non les tests de pesées à la maison. Cette étude démontrait que les mères qui utilisaient les tests de pesées à domicile trouvaient cette technique aidante pour la transition de l’allaitement à domicile. Cette expérience n’augmentait pas le stress et ne compromettait pas la réussite de l’allaitement. Cependant il n’y avait pas de différence significative sur la durée d’allaitement pendant la période d’étude [26].
Cet outil de pesée pourrait être proposé de manière personnalisée, aux mères qui en expriment le besoin pour la transition entre l’hôpital et la maison période clé dans la poursuite de l’allaitement. Il est important d’offrir aux mères un maximum d’alternatives, de leur laisser le choix et d’écouter leurs demandes pour leur permettre de vivre leur allaitement sereinement.

L’allaitement était favorisé par une expérience d’allaitement antérieur et son évolution fortement liée aux motivations initiales des mères

Dans notre étude, l’expérience d’un allaitement antérieur facilitait celui du nouveau-né prématuré et on observait que sa poursuite était conditionnée par les motivations initiales des mères. Le sevrage survenait, dans la plupart des cas, chez les mères pour qui la prématurité avait été le moteur de leur décision alors que les mères qui avaient prévu d’allaiter initialement étaient plus enclines à poursuivre.
Dans leur étude Purdy et al. observaient que la durée d’allaitement était significativement associée à celle des aînés. De plus, parmi les mères ayant allaité plus de 4 mois on retrouvait significativement plus de mères qui avait prédéterminé leur objectif d’allaitement avant la sortie de l’hôpital [27].
De même, le travail de Kaufmann et al. retrouvait que les mères qui avaient initialement planifié d’allaiter sur une longue durée le pratiquaient plus longtemps ainsi que celles qui avaient allaité antérieurement. Ils constataient de plus que les mères qui ne fournissaient plus de lait maternel à 4 mois étaient moins susceptibles de reconnaitre les avantages du lait maternel sur le plan immunitaire.
Ceci nous suggère d’axer particulièrement le soutien et l’information chez les mères primo allaitantes ou qui n’avaient initialement pas prévu d’allaiter pour accroitre dans ce groupe, plus à risque de sevrage, la durée d’allaitement.

L’allaitement vecteur de bénéfices émotionnels

De nombreuses études montrent l’impact favorable de l’allaitement maternel sur la santé du nouveau-né prématuré. Dans notre étude les mères rapportaient également des bénéfices émotionnels de l’allaitement non négligeables notamment dans le renforcement du lien mère enfant.
L’étude qualitative réalisée par Kavanaugh et al. identifiait également 5 principaux bénéfices émotionnels rapportés par les mères : fournir l’alimentation la plus saine pour leur enfant, augmenter la proximité mère-enfant, percevoir la satisfaction et la tranquillité de leur enfant, se sentir indispensable, apprécier le côté pratique. Ces bénéfices étaient supérieurs aux efforts fournis.
Cette étude suggère que les bénéfices émotionnels de l’allaitement peuvent être également mis en avant pour promouvoir l’allaitement maternel chez le prématuré au même titre que les bénéfices sur la santé de l’enfant.

L’entourage avait un rôle majeur dans le soutien de l’allaitement

Devant la complexité du parcours d’allaitement il est probable que les mères de prématurés aient un besoin accru de soutien et d’encouragements. Dans notre étude on pouvait voir que le support de l’entourage comme celui des professionnels de santé était essentiel pour soutenir leur investissement.
Dans leur étude Kaufman et al. ont étudié l’influence du soutien du réseau social (professionnels de santé ou non) sur la durée d’allaitement. Les mères qui étaient très soutenues allaitaient significativement plus longtemps : les mères qui rapportaient n’avoir aucun soutien avaient une durée moyenne d’allaitement de 17 jours contre 270 jours chez les mères qui rapportaient 5 ou 6 personnes support [28].
Le soutien du père a un rôle majeur dans l’initiation et la poursuite de l’allaitement, les mères interviewées rapportaient bien souvent l’allaitement comme un choix de couple. Dans une étude australienne de Scott et al. 30% des femmes qui percevaient que leur partenaire était plus favorable au biberon ou ambivalent ont maintenu l’allaitement jusqu’à 6 mois et 26% ont allaité exclusivement jusqu’à 3 mois contre 59% et 53%, respectivement, des femmes qui percevaient que leur partenaire était plus favorable à l’allaitement [29].
Il faudra porter une attention particulière aux mères n’ayant que peu de personnes ressources dans leur entourage pour les aider au mieux dans leur allaitement. Il semble également important de veiller à ce que les pères soient également informés sur l’allaitement et peut être un peu plus impliqués dans les préparations à la naissance afin de soutenir au mieux leurs compagnes face aux difficultés qu’elles pourront rencontrer.

Conclusion

L’allaitement du prématuré est complexe tant dans son initiation que dans son maintien. Le retour à domicile marque une étape clé dans sa poursuite. Il semble donc essentiel de faire du soutien spécifique et individualisé une priorité afin d’accroitre les taux et durées d’allaitement chez ces bébés fragiles pour qui les bénéfices du lait maternel sont encore plus importants.
En Pays de la Loire les enfants nés prématurément sont souvent suivis dans le Réseau Sécurité Naissance Grandir Ensemble par un médecin référent. Cependant différents professionnels hors réseau peuvent être amenés à rencontrer les familles dans le parcours de périnatalité : médecins généralistes, pédiatres, gynécologues, sages-femmes… Il est important que ces acteurs veillent également à informer les parents sur les bénéfices de l’allaitement pour leur permettre un choix éclairé. Il semble aussi opportun qu’ils sollicitent le père notamment dans les préparations à la naissance, qu’ils aient une écoute non jugeante du couple et lui apportent un soutien référencé et souple. L’OMS recommandant un allaitement exclusif jusqu’à 6 mois, la réalisation d’une étude interrogeant les mères 6 mois après la sortie serait intéressante pour étudier le devenir de l’allaitement à plus long terme et voir si d’autres besoins ou attentes maternelles émergent.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières
LISTE DES ABRÉVIATIONS
INTRODUCTION
MÉTHODES
RÉSULTATS
1. Caractéristiques de la population
2. La décision d’allaiter influencée par la prématurité mais peu éclairée par
une information en prénatal
2.1. La décision d’allaiter était influencée par la prématurité
2.2. La question de l’allaitement avait été peu abordée au cours de la grossesse et
ses bénéfices chez le prématuré rarement énoncés pour les mères concernées malgré
leurs attentes
3. Une mise en place de l’allaitement souvent difficile mais motivée par la
prématurité et facilitée par une expérience d’allaitement antérieur
3.1. La prématurité était source de difficultés particulières exigeant un fort
investissement maternel
3.2. Une expérience moins satisfaisante que celle attendue
3.3. Un allaitement maintenu avec force pour le bien de l’enfant
3.4. Une expérience facilitée par un allaitement antérieur mais compliquée par
l’aspect moins « naturel » et les inquiétudes en lien avec la fragilité du bébé
4. Le maintien de l’allaitement favorisé par l’accompagnement lors de
l’hospitalisation et un suivi souhaité à domicile
4.1. Le temps d’hospitalisation permettait de répondre aux interrogations des
femmes et de fournir les conseils nécessaires
4.2. L’unité mère enfant (UME) et le passage en chambre maman accompagnante
étaient des facteurs favorisant l’allaitement et préparant le retour à domicile
4.3. Un suivi de l’allaitement n’était pas proposé de manière systématique à la
sortie malgré les attentes
5. Le retour à domicile, à la fois attendu et source d’inquiétudes : une
transition d’un allaitement encadré vers une personnalisation du soin maternel
5.1. Il était vécu comme un soulagement permettant de profiter de l’allaitement et
d’investir d’avantage la relation mère-enfant
5.2. Un retour à domicile parfois angoissant après une hospitalisation encadrée
mais soutenu par l’entourage et les professionnels
5.3. Le poids de l’enfant était au centre des préoccupations maternelles avec un
recours à la pesée nécessaire mais adapté
5.4. L’évolution des modalités d’allaitement était fortement liée aux motivations initiales des mères
6. Une com plexité du parcours d’allaitement fortement compensée par les bénéfices émotionnels
6.1. L’allaitement un vecteur du lien mère-enfant
6.2. Les mères rapportaient une satisfaction de donner à leur enfant une
alimentation saine naturelle et adaptée
6.3. Les côtés pratique et financier étaient aussi évoqués
6.4. Les apports de l’allaitement étaient supérieurs aux efforts fournis
7. Les principales attentes des mères étaient un désir de soutien,
d’encouragements de la part de l’entourage et des professionnels de santé et un
souhait d’amélioration des conditions d’allaitement en néonatalogie
7.1. Les mères s’appuyaient sur le soutien de l’entourage et en particulier sur celui
du père et de sa participation
7.2. Les mères attendaient des professionnels de santé un soutien, des conseils
basés sur des connaissances et une écoute non jugeante qui accompagnent leur choix
7.3. Il existe une attente quant à l’amélioration des conditions d’allaitement en
néonatalogie
DISCUSSION ET CONCLUSION
1. Forces et biais de l’étude
2. Discussion des principaux résultats
2.1. La décision d’allaiter était peu éclairée par une information en prénatal
2.2. Le maintien de l’allaitement était favorisé par l’accompagnement lors de
l’hospitalisation, il existait néanmoins une attente concernant l’amélioration des
conditions d’allaitement en néonatologie
2.3. Un suivi de l’allaitement n’était pas systématiquement proposé à la sortie
malgré les attentes maternelles
2.4. A domicile, le poids de l’enfant était au centre des préoccupations maternelles
2.5. L’allaitement était favorisé par une expérience d’allaitement antérieur et son
évolution fortement liée aux motivations initiales des mères
2.6. L’allaitement vecteur de bénéfices émotionnels
2.7. L’entourage avait un rôle majeur dans le soutien de l’allaitement
2.8. Conclusion
BIBLIOGRAPHIE
LISTE DES FIGURES
TABLE DES MATIÈRES
ANNEXES

Rapport PFE, mémoire et thèse PDFTélécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *