LA VOITURE AUTOMOBILE, INSTRUMENT DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL

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ELEMENTS CONSTITUTIFS DU PLAN DE PROJET

Le plan de projet devrait inclure les éléments suivants :

le mandat de projet

La création d’un mandat de projet est chose facile. Il suffit d’indiquer le nom et le but du projet ainsi que le nom du gestionnaire de projet et une déclaration de soutien de la part des cadres supérieurs.

le calendrier d’activités

Le calendrier d’activités est l’un des éléments lesplus importants du coffre à outils du gestionnaire de projet, permettant de fractionner un projet et de répartir toutes les tâches nécessaires à son achèvement.

l’horaire de travail

L’horaire de travail précise le lien logique entre les activités du projet. Il assure que le personnel est disponible au moment approprié et aide à gérer le temps de façon efficace afin de terminer le projet au moment prévu.
Au moment d’établir l’horaire de travail, il faut examiner toutes les tâches et l’ordre dans lequel elles doivent être réalisées. Certaines tâches sont subordonnées à d’autres et ne peuvent être amorcées que lorsque d’autres sont terminées. D’autres tâches peuvent se faire simultanément si les ressou rces humaines sont disponibles. L’horaire peut aussi subir l’influence de facteurs externes.

la matrice de responsabilités

Un projet nécessitera la collaboration d’un grand nombre de personnes et d’organismes qui travaillent à un but commun. La gestion d’une équipe variée, souvent dispersée à plusieurs endroits, peut présenter des défis particuliers.
La matrice de responsabilités est un outil précieux de gestion de projet destiné à aider à relever ces défis. Une matrice de responsabilités attribue à quelqu’un la responsabilité de chaque activité principale du projet, évitant ainsi que certains éléments « échappent à la surveillance ».

le budget de plan de projet

Il est important d’avoir l’estimation la plus détaillée et la plus précise possible des principaux coûts du projet, dès son début (habituellement les salaires, les matériaux et les fournitures ainsi que les frais généraux). Avec ces renseignements, la production du budget du plan de projet sera simple.
Importation des voitures d’occasions

les étapes importantes, avec les dates cibles

Les étapes importantes marquent un événement significatif dans le cours du projet, habituellement l’achèvement d’un produit livrable important. Dans le cadre du plan d’action du projet, il faut définir les étapesimportantes et fixer des dates cibles en préparant la demande de financement.

la stratégie de gestion du risque

Le risque est inhérent à tous les projets. Dans le jargon de la gestion de projet, le « risque » désigne une condition ou un événement incertain ayant une cause et, lorsqu’il se produit, a un effet positif ou négatif sur les objectifs du projet ainsi qu’une incidence sur les coûts, l’échéancier ou la qualité du projet.
La première étape dans la création d’un plan de réponse consiste à définir les risques qui pourraient nuire au projet. Le gestionnaire de projet, les principaux membres du personnel et les partenaires du projet devraient lancer des idées en s’inspirant de la finalité du projet, du calendrier d’activités, de ’échéancierl et du budget afin de mettre en relief les risques possibles.

HISTORIQUE DU PROJET

LA VOITURE AUTOMOBILE, INSTRUMENT DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL

Posséder sa propre voiture est certainement un luxe pour la plupart de la population malgache, étant donné que Madagascar figure parmi les pays les plus pauvres du monde.
Cependant, la voiture automobile est un outil indispensable à la vie quotidienne du pays pour les transports urbains et les déplacements des voyageurs ainsi que les transports des marchandises. De ce point de vue, la voiture automobile ne constitue plus un luxe, mais une nécessité pour la vie de tous les jours. Sans elle, les mouvements des personnes et des produits industriels et agricoles seraient paralysés et aucun échange ne serait possible. C’est donc bien un outil de la vie économique et sociale de notre pays, pour ne parler que de cela, mais dans les autres pays qu’ils soient développés ou en développement, elle fait partie des échanges de marchandises entre les pays voisins.
Les transports internationaux routiers utilisent des camions de toutes sortes. Pour les pays comme Madagascar qui est une île, l’usage de la voiture n’est pas une moindre chose, cela va des taxis villes en passant par les taxis-brousse jusqu’aux gros camions. D’autant que l’infrastructure ferroviaire ne joue plus un rôle important dans les transports des marchandises et des voyageurs.
On peut donc conclure que posséder une voiture ne constitue plus un luxe, mais un bien nécessaire pour les transports des personnes et des marchandises. Il n’y a donc pas de développement possible sans avoir recours à elle.

LA RAISON DE CHOISIR LA VOITURE D’OCCASION

L’avantage des pays riches est que les gens ont un pouvoir d’achat qui leur permet de changer de voiture tous les deux ou trois ans. Après ce laps de temps, les voitures sont vendues en qualité de voitures d’occasion. Etant donné que ces pays ont une infrastructure routière excellente, les voitures se trouvent encore dans d’excellentes conditions.
C’est pour cela que nous avons décidé d’importer des voitures d’occasion, qui coûtent moins cher que les voitures neuves, et donc celles accessibles à la grande majorité de la population active malgache qui les utiliseront pour les transports urbains et ceux des marchandises pour aider les agriculteurs et les éleveurs à écouler leur produit vers le centre de consommation, en particulier la capitale.
C’est cette couche laborieuse qui constituera notre cible. Puisqu’on ne peut plus se passer de voitures pour le désenclavement des zones où se trouvent les biens et les produits agricoles, nous avons pensé qu’acheter des voitures d’occasion ferait leur affaire.
Nous pensons que les collecteurs et les transports des produits agricoles et fermiers constituent un marché potentiel important pour notre projet d’importation de voitures.
Il faut aussi penser à une certaine catégorie de personnes qui veulent avoir leurs propres voitures pour leurs usages personnels.
Nous pensons donc satisfaire toute cette clientèle potentielle, en important toute une gamme de voitures afin que chacun puisse faire son choix.

CHOIX DE L’IMPLANTION

L’IMPORTATION, ELEMENT ESSENTIEL DU DEVELOPPEMENT DE L’ENTREPRISE

 Il va de soi que le lieu d’implantation choisi est la ville de Toamasina elle-même, dans le voisinage immédiat du port, pour réduire les frais de transport et de manutentions après dédouanement, et ainsi de désengorger le port.
Le choix idéal est donc bien à cet endroit, non loin du Port, pour normaliser la vente des voitures importées et regrouper la distribution vers les différents points de vente. Elle favorisera également la rentrée de fonds pour l’Etat, et la création d’emplois dans la région.

LE PORT AUTONOME DE TOAMASINA

La puissance du port de Toamasina par rapport aux autres ports de Madagascar, nous a poussé à choisir l’implantation de ce projet à Toamasina. Toutes les marchandises transitent par là, que ce soit à l’importation ou à l’exportation.
Son rôle est donc vital pour l’économie de notre pays.
« Les navires qui portent des voitures d’occasions au port de Toamasina sont en moyenne de trois fois par mois » 2.
Nous avons aussi choisi le port de Toamasina parce qu’il y a une grande évolution en ce qui concerne les matériaux de débarquement des marchandises c’est-à-dire au niveau de la manutention. Ainsi, nous pouvons envisager un minimum de risque au débarquement des marchandises.

NATURE DU PROJET

Dans ce chapitre, nous allons nous occuper du choix de la forme juridique, de la conduite du projet en soulignant auparavant la nature d’une entreprise de services, de la capacité d’approvisionnement et de la politique de distribution.

CHOIX DE LA FORME JURIDIQUE :

Le choix est vaste, mais il faut quand même tenir c ompte de différents facteurs, clé de réussite pour la réalisation de ce projet. Ces facteurs sont les moyens matériels, le financement, et surtout le savoir-faire technique.
Notre choix s’est orienté vers la forme : « Société à responsabilité limitée » pour les multiples raisons qui suivent :
– l’impôt à payer est faible ;
– la responsabilité de chacun des associés est limitée au montant de leurs apports respectifs ;
– les associés doivent être en contact permanent et se connaître ;
– les apports sont intégralement libérés une fois la société formée, puisqu’ils sont le seul gage des créanciers. Sauf les apports en industrie du fait qu’on ne peut pas les libérer immédiatement.

CONDUITE DU PROJET

Nous définissions un service comme étant toute activité, tout bénéfice ou toute satisfaction qui est offerte à la vente.
Il est essentiellement intangible et ne résulte pas de la possession de quelque chose.
La production peut ou ne peut pas être liée à un pr oduit physique.
Louer une chambre d’hôtel, déposer de l’argent à labanque, voyager par avion, visiter un psychiatre, aller chez le coiffeur, faire réparer sa voiture, assister à un sport professionnel, aller au cinéma, faire nettoyer les vêtements à sec, avoir les conseils d’un avocat, tout évolue dans l’achat d’un service. L’entreprise doit considérer quatre caractéristiques de service, lorsqu’elle établit un programme de marketing, à savoir :
– L’Intangibilité
– L’Inséparabilité
– La Variabilité
– La Périssabilité

L’INTANGIBILIT

Les services sont intangibles. On ne peut pas les voir, ni les sentir, ni les entendre, ni les goûter avant de les avoir achetés. L’acheteur doit avoir confiance au fournisseur de services.
Les fournisseurs de services peuvent alors faire certaines choses pour améliorer la confiance du client.
Premièrement, ils peuvent augmenter la tangibilité d’un service.
Deuxièmement, les fournisseurs de services peuvent mettre l’accent sur les bienfaits des services plutôt que décrire uniquement les traits caractéristiques.
Troisièmement, les fournisseurs de services peuvent développer des noms, des marques pour leurs services, afin d’augmenter la confiance, tels que PHILIPS ou SONY par exemple, pour la qualité de leurs services.
Quatrièmement, les fournisseurs de services peuvent utiliser le nom d’une célébrité (acteurs ou actrices ou artistes célèbres) pour créer la confiance dans les services offerts.

L’INSEPARABILITE

Un service ne peut pas exister séparément des fournisseurs, que ce soit des personnes ou des machines.
Un service ne peut pas être placé sur une étagère et acheté par le client chaque fois que l’on en a besoin. Le fournisseur doit être présent.
L’organisation de services peut entraîner plusieursfournisseurs de services et susciter la confiance des clients.

LA VARIABILITE

Les services sont hautement variables. Leur qualité dépend de celui qui les fournit et où et quant ils sont fournis. Les achete urs de services sont souvent au courant de cette haute variabilité et en parlent aux autres avant de choisir un fournisseur.
Les firmes de services peuvent prendre deux étapes vers le contrôle de qualité. Premièrement, elles peuvent sélectionner soigneusement et former leur personnel. Les compagnies de transport aérien, les banques, et les hôtels dépensent
d’énormes sommes d’argent pour dispenser de bons services.
Deuxièmement, la firme peut tester régulièrement lasatisfaction de la clientèle à travers les systèmes de suggestions et de plaintes et par la comparaison des achats. Quand un service médiocre est identifié, il peut être corrigé.

LA PERISSABILITE

Les services ne peuvent pas être stockés. C’est la raison pour laquelle beaucoup de médecins font payer aux patients les rendez-vous manqués c’est-à-dire que la valeur du service existait seulement à ce moment là où le patient ne s’est pas présenté.
La périssabilité des services n’est pas un problème lorsque la demande est constante, parce que c’est facile de préparer les services d’avance. Lorsque la demande fluctue, les firmes de services ont des problèmes difficiles à résoudre. Par exemple, les sociétés de transport public doivent posséder beaucoup plus d’équipements parce que la demande pendant l’heure de pointe est énorme, que si la demande était la même pendant toute la journée.
Les sociétés de services doivent appliquer plusieurs stratégies pour fournir une meilleure adaptation entre la demande et l’offre de services.
Pendant l’heure de pointe, les employés doivent être multipliés (exemple : beaucoup plus de caisses ouvertes dans une grande surface pour accélérer les services rendus aux clients et éviter les files d’attente et moins de caisses disponibles pendant les heures creuses).

CAPACITE D’APPROVISIONNEMENT

Pour un tel projet, il faut connaître la capacité ’approvisionnement,d en d’autres termes, savoir combien de voitures d’occasion nous envisageons d’importer chaque année, pour répondre aux besoins du marché local.
L’objectif est de ne pas enregistrer ni des stockages de voitures parce que cela entraîne un gel de la trésorerie, ni des ruptures ed stock parce que cela veut dire des ventes manquées.
Une bonne gestion de stock consisterait donc en un bon équilibre entre le stock et les ventes.

PENDANT LA PREMIERE ANNEE D’EXPLOITATION

Il faut remarquer tout d’abord que les voitures d’occasion en Europe, au Japon, où USA sont encore dans d’excellentes conditions pu isqu’elles sont âgées de 3 à 4 ans seulement.
En ce moment là, les usagers peuvent déjà vendre leurs voitures pour en acquérir des neuves. C’est bon pour les industries automobiles de ces pays tels que les USA avec Ford général Motors et Chrysler, où les constructeurs sont prêts à faire des rabais conséquents pour vendre leurs productions. De plus, ces pays développés ont une bonne infrastructure routière qui fait que les voitures ne s’abîment pas trop vite et sont donc classées comme des voitures d’occasion, destinées à être vendues aux pays en développement.
D’après les statistiques d’importations de voitures d’occasion, le prix moyen d’une voiture est de 2.400.000 ariary (Prix FOB).
Compte tenu du marché local et du pouvoir d’achat qui prévaut à Madagascar, nous envisageons, pendant la première année de notre exploitation d’importer en moyenne 20 voitures d’occasion genre fourgonnette (4L, Pick-up, DATSUN). Cela nous ferait au total environ 240 par an. Nous ciblons ainsi 12% du marché. Ce qui nous parait faisable au début. Il ne faut pas trop surestimer notre capacité d’approvisionnement, il faut rester prudent et vigilant pour éviter toute précipitation. Il y a toujours un risque qu’il faut anticiper.

PENDANT L’ANNEE DE CROISIERE

Nous pensons atteindre notre vitesse de croisière à la deuxième année d’exploitation.
Nous pourrons alors augmenter le nombre de voitures d’occasion importées de 20% dès la deuxième année de notre exploitation.
De toute évidence, cela dépendra de la conjoncture d’incertitude et d’insécurité croissante.
Il nous faut rester prudent dans notre prévision de ventes. Cependant, il ne faut pas que nous soyons traumatisés par l’avenir de plus en plus incertain.
Il nous faut garder un certain optimisme dans la progression de nos ventes afin de pérenniser notre exploitation et de survivre quoi qu’il arrive.
Nous gardons une volonté tenace pour mener à bien notre projet et de réussir en conséquence.
Il faut aussi s’attendre à l’appui de la politique actuelle de nos dirigeants qui préconisent un développement rapide et durable pour lutter contre la pauvreté à Madagascar.
Si tout réussit bien selon les prévisions, le pouvoir d’achat de chaque citoyen malgache va croître de plus en plus.
En fin de compte, chaque ménage aura sa propre voiture, ce sera au moins des voitures d’occasion. Les voitures neuves coûtant en core trop cher pour la masse de la population active.
Aussi, dès la quatrième année de notre exploitation, si la stratégie actuelle du gouvernement réussit, nous pourrons augmenter nos ventes de 30%.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITE DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : INITIATION AUX PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA GESTION DE PROJET
1.1.DEFINITION DU PROJET
1.2.CARACTERISTIQUES DES PROJETS
1.3.PLANIFICATION DU PROJET
1.4.ELEMENTS CONSTITUTIFS DU PLAN DE PROJET
Section 2 : HISTORIQUE DU PROJET
2.1. LA VOITURE AUTOMOBILE, INSTRUMENT DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL
2.2.LA RAISON DE CHOISIR LA VOITURE D’OCCASION
Section 3 : CHOIX DE L’IMPLANTION
3.1. L’IMPORTATION, ELEMENT ESSENTIEL DU DEVELOPPEMENT DE L’ENTREPRISE
3.2. LE PORT AUTONOME DE TOAMASINA
CHAPITRE II : NATURE DU PROJET
Section 1 : CHOIX DE LA FORME JURIDIQUE :
Section 2 : CONDUITE DU PROJET
2.1. L’INTANGIBILITö
2.2.L’INSEPARABILITE
2.3.LA VARIABILITE
2.4.LA PERISSABILITE
Section 3 : CAPACITE D’APPROVISIONNEMENT
3.1. PENDANT LA PREMIERE ANNEE D’EXPLOITATION
3.2. PENDANT L’ANNEE DE CROISIERE
Section 4 : STRATEGIE DE DISTRIBUTION
4.1. DISTRIBUTION PAR L’ENTREPRISE ELLE-MEME
4.2. DISTRIBUTION PAR LES RESEAUX DE VENTE
Section 5 : ORGANISATION
5.1. ORGANISATION ET DESCRIPTION DES PRINCIPALES FONCTIONS
5.2. CHRONOGRAMME DES TRAVAUX ET DES ACTIVITÉS
CHAPITRE III : PROCESSUS DE L’IMPORTATION DE VOITURES D’OCCASION
Section 1 : PROCESSUS AVANT L’ARRIVEE DE LA VOITURE
1.1.RECHERCHE DES FOURNISSEURS
1.2.METHODES DES REGLEMENTS
Section 2 : PROCESSUS A L’ARRIVEE DE LA VOITURE
2. 1. LES PROCÉDURES D’IMPORTATION
2.2. LES REGLES QUI RÉGISSENT L’IMPORTATION DE VOITURES D’OCCASION A MADAGASCAR
DEUXIEME PARTIE : STRATEGIE MARKETING ET ETUDE DE MARCHE
CHAPITRE I : MARKETING STRATEGIQUE
Section I : GENERALITE DE MARKETING STRATEGIQUE
1.1. LE MARKETING EST UN ETAT D’ESPRIT
1.2. LE MARKETING EST UNE METHODE
1.3. LE MARKETING EST UN ENSEMBLE DE TECHNIQUES
Section 2 : LES QUATRE COMPOSANTES DU MARKETING MIX
2.1. LA POLITIQUE DE PRODUIT
2.2. LA POLITIQUE DE PRIX
2. 3. LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION
2.4. LA COMMUNICATION PUBLICITE- PROMOTION
CH APITRE II :ETUDE DU MARCHE
Section 1 : ETUDE DE L’OFFRE
1.1. ETUDE DE LA CONCURRENCE
1.2. STATISTIQUES DU NOMBRE DE VOITURES D’OCCASION IMPORTEES
1.3. STATISTIQUES DU NOMBRE DE VOITURES D’OCCASION IMPORTEES SELON LES PAYS D’ORIGINE
Section 2 : ETUDE DE LA DEMANDE
2.1. ETUDE DE LA DEMANDE EN GENERALE
2.2. LES VOITURES DE TOURISME
2.3. LES VOITURES UTILITAIRES
2.4. L’ENQUETE REALISEE DANS LA VILLE DE TOAMASINA
2.5. LES CLIENTS POTENTIELS
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES ET LES COMPTES DE GESTION
Section 1 : LES IMMOBILISATIONS
1.1.LES TERRAINS A BATIR
1.2.LES BATIMENTS
1.3. LES EQUIPEMENTS NECESSAIRES
1.4. LE MATERIEL DE TRANSPORT
1.5. RECAPITULATION DE TOUS LES CAPITAUX INVESTIS
Section 2 : LES AMORTISSEMENTS
Section 3 : LES FINANCEMENT DU PROJET
3.1. LES MODES DE FINANCEMENT POSSIBLE DU PROJET
3.2. CHOIX DU MODE DE FINANCEMENT
Section 4 : BILAN D’OUVERTURE
Section 5 : LES COMPTES DE GESTION
5.1. LES CHARGES
5.2. LES PRODUITS
CHAPITRE II : PRESENTATION ET ANALYSE DES ETATS FINANCIERS DU PROJET
Section 1 : PRESENTATION
1.1. 1.2. PLAN DE TRESORERIE PREVISIONNEL
1.3. TABLEAU DE GRANDEUR CARACTERISTIQUE DE GESTION
1.4. BILAN PREVISIONNEL
Section 2 : ANALYSE DES ETATS FINANCIERS DU PROJET
2.1. LE SEUIL DE RENTABILITE
Section 3 : EVALUATION DU PROJET
3.1. EVALUATION ECONOMIQUE
3.2. EVALUATION FINANCIERE
3.3. EVALUATION SOCIALE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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