la vallee de la seine : un dessein politique sensible aux evenements mondiaux

LA VALLEE DE LA SEINE : UN DESSEIN POLITIQUE SENSIBLE AUX EVENEMENTS MONDIAUX

La Vallée identifie et nomme la perception d’une totalité, appréhendée comme telle sur les échelles locale et hexagonale, positionnée comme telle sur celles européenne et mondiale. L’expression Vallée de la Seine et particulièrement la référence à la Seine sont une fabrique d’« unanimité ». « Seine Amont », « Seine aval », « Basse-Seine » évoquent une organisation administrative de la voie fluviale, articulée sur les références à Paris et à la mer.

A cette expression, à ce nom correspondent un historique retracé par « l’axe Seine 65 d’études normandes » (EN, N°2-2016). Il inscrit le dessein politique national de la Vallée dans une maturation de plus d’un demi-siècle articulant les principales dynamiques successives sur quatre grandes périodes. Celle des plans et schémas initiaux (1928/1960) limités géographiquement autour de Paris. Cette première période est suivie des projets des années 1960 initiés par Paris conçus comme une réponse à « l’expansion parisienne », notamment celui significatif du SDAURP (1965) de la période P. Delouvrier appréhendant la Basse-Vallée de la Seine comme un axe d’expansion. Le schéma d’aménagement de la Basse-Seine (1965/1972), animé par le « desserrement d’une région parisienne hypertrophiée », concrétise cette approche avant de céder la place à la politique des métropoles d’équilibre, jusqu’en 1974, pour équilibrer nationalement une croissance concentrée sur la région parisienne. L’extension des métropoles régionales d’équilibre (1973) permit à Rouen d’être appréciée comme une métropole assimilée. La quatrième période, celle du dernier quart du XXè siècle correspond pour la Vallée à une période de moindre intérêt. Des années 1972 à 1990 les différents schémas d’aménagement de la Basse-Seine, d’une ambition géographique cernée sur un grand estuaire, souffrent d’un manque d’approche globale, de celui d’une coordination entre les différents schémas. A partir des années 1990, l’échelle de la Vallée entre dans l’histoire plus que dans celle d’une perspective d’aménagement.

La redynamisation du développement de l’aménagement de la Vallée de la Seine est issue d’une double dynamique de même temporalité. D’une part, celle des « plateformes de discussions » (2008/2009) des Conférences C8 et P8 ayant pour objet d’appréhender les coopérations utiles à un positionnement du Bassin parisien dans l’échelle des méga-régions. Ces Conférences, supprimées consécutivement à la nouvelle organisation régionale (Loi du 16/01/2015), non remplacées ; ne furent pas à l’origine de projets concrets ; ont cependant permis de formaliser «des enjeux importants à très grande échelle » (agences d’urbanisme, 2017.) Et, d’autre part celle de la prise de conscience (années 2000) de « l’émergence de nouvelles puissances économiques », du constat d’une « concurrence accrue » aux échelles globale et continentale ; conduisirent à l’appréciation en 2007 (P. Subra, 2017), d’un sérieux risque de décrochage international de Paris par le Président de la République (rapports et documents). La recherche de J. Chauvel (2015), centrée sur les questions de politique et de géopolitique locales du Grand Paris , apporte un éclairage : sur la perception des compétitions et des concurrences d’attractivités entre les grandes métropoles mondiales ; sur la recherche d’un accroissement de la notoriété et des influences, à l’origine de l’impulsion politique du Grand Paris puis de la résurgence du développement de la Vallée de la Seine.

L’historique dessein politique du développement-aménagement de la Vallée semble ainsi être sous la dépendance des variations du contexte international évoluant d’évènements géolocalisés à spatiaux (C. Delacroix, 2013) vers phénomène généralisé. La fin des schémas d’aménagement des années 1970 a été provoquée par des questions géopolitiques (guerre du Kippour ; chute du Shah d’Iran et révolution islamique du pays) à résonnance géoéconomique et sociale mondiale (chocs pétroliers : 1973, 1979). La redynamisation des années 2009 2012 correspond au lendemain d’une crise économique (2008) mondiale majeure (récessions généralisées, plans de relance, creusement des dettes publiques) qui permit d’appréhender, sur l’échelle mondiale, le risque de perte des influences de la ville-monde. Dix ans plus tard, la question de santé publique (Covid-19), initialement géolocalisée (Wuhan, Chine), s’est transformée en très peu de temps (environ un trimestre) en un phénomène généralisé (pandémie) se traduisant comme les précédents en une question économique et sociale mondiale. Ces trois phénomènes permettent d’observer une installation, voire une banalisation, de l’échelle du Monde ; ne font pas disparaître les mouvements du Monde, les évolutions de sa marche ; orientent l’appréciation des risques sur cette échelle, notamment celui à l’origine des dynamiques de la résurgence de la Vallée. Les très sérieuses difficultés économiques et sociales associées à la pandémie en cours peuvent cependant détenir une utilité ; peuvent s’appréhender comme un accélérateur de transitions (Allemagne : motorisation des automobiles vers l’hydrogène et l’électrique. France : exigence de neutralité carbone pour l’aérien) ; pourraient conduire à accélerer la construction de PSN, notamment par l’affirmation de son positionnement dans les enjeux et risques globaux (M. Reghezza-Zitt, C. Distler : 2012. J. Lévy, 2013). Interviennent, dans une même temporalité la dimension Géo [Politique. Economique] de la combinaison sur l’échelle mondiale des phénomènes : de la croissance démographique et l’attrait de l’humanité pour la concentration urbaine ; de la croissance des inerdépendances (échanges internationaux) ; des enjeux climatiques,environnementaux et écologiques. Ces phénomènes bouleversent les façons d’occuper espace/territoire,les rapports entre les Etats, le positionnement de leur ville emblématique, de leur ville-monde, face à la croissance des concurrences d’attractivité.Ce risque identifié, qualifiant « des catégories et des objets spatiaux », constitue « un enjeu social mais aussi politique » (B. Debarbieux, M-C. Fourny, 2004.)  .

DU DESSEIN POLITIQUE DE LA VALLEE DE LA SEINE A CELUI GEO [POLITIQUE. ECONOMIQUE] DE PARIS-SEINE-NORMANDIE

Les expressions mondiales des polarisations (territoriale : Grand ; spatiale : Méga), ainsi que le diagnostic (2007) du Président de la République conduisirent au lancement de la consultation internationale (2008) sur le Grand Paris. Le projet d’A. Grumbach (2009) « Seine Métropole », structure l’architecture spatiale de la Vallée sur l’orientation maîtresse, éminemment politique, de systèmes de transport. La première étape de ce projet stratégique est l’initiation du débat public (03/2011) de l’infrastructure ferroviaire de la Ligne Nouvelle Paris Normandie appréciée comme prioritaire.

Dans une continuité stratégique et pour compléter ce projet technique, le gouvernement confie à A. Rufenacht (24/05/2011), maire du Havre, la mission de définir une stratégie globale du développement de la Vallée « valorisant les atouts de l’ensemble des territoires franciliens et normands » concernés. Cette mission est architecturée (mots clés) sur : la conception des « modalités d’un développement économique durable et intégré » ; l’identification des « vecteurs culturels et socio-culturels, […] les initiatives » pour renforcer la « cohésion territoriale » ; la définition d’un dispositif de gouvernance (« consensus », « arbitrer les divergences », « coordonner les actions », « assurer un suivi ».) In fine, la finalité est l’accroissement des attractivités de la ville-monde/région-capitale et des territoires normands.

Ce rappel du primat du politique dans l’élaboration des orientations de développement de la Vallée positionne l’origine des rassemblements, politique et économique, des mobilisations (2009-2012) d’acteurs multiples ; ainsi que celle de la production par le CGDVS (Commissaire Général au Développement de la Vallée de la Seine) du rapport de 2012, clé de voûte d’un point de mûrissement du processus de maturation d’aménagement de la Vallée ; dans la géographie politique centrée sur « les rapports entre espace géographique et politique » (G. Prévélakis, 2013, se référant à J. Gottmann). Les motivations conduisant l’aménagement de la vallée de la Seine ont ainsi migré d’une préoccupation sous dynamique d’une géographie politique parisienne vers celle de la solidification du positionnement mondial de la villemonde/région-capitale par son accessibilité à la mer, tout en restant impulsées par l’Etat. Les concurrences d’attractivité entre les villes mondiales ou globales, « territoires très spécifiques » (Subra P., 2011), les risques associés de perte d’influences, élargissent conséquemment le champ de la géographie politique vers celui de la géopolitique. Les contradictions et tensions, dissensus et recherche de consensus (F Haegel, 2013), voire les conflits inhérents aux interactions spatiales (F. Moriconi-Ebrard, 2013), bases de l’une et de l’autre, s’appréhendent alors, simultanément, sur l’échelle de la production de l’ensemble à construire (accords multipartites, système de gouvernance), ainsi que sur celle mondiale entre grands ensembles économiques et de vie, permettant à la ville monde, avec PSN, de conserver sa place, ses influences.

La création du CGDVS et la nomination du Commissaire général (24/05/2011, lettre de mission), le rapport au Premier ministre (02/2012) font référence à la vallée de la Seine et à son développement comme finalité. L’appellation est reprise dans les décrets n° 2012 420 du 29/03/2012 (Conférence); puis dans celui n° 2013-336 du 22/04/2013 (Délégué interministériel) ; dans la structure de l’adresse du centre de ressources (www.vdseine.fr ). Les explorations des pratiques d’identification et de géo-localisation de grandes unités spatiales, territoriales, sur les échelles, mondiale (J-P. Rodrigue, 2015, 2017) et européenne (annexes A3.2. R. Brunet, 2002 ; P. Hall et K. Pain, 2006 ; P. J. Taylor et K. Pain, 2007 ; R. Florida et al., 2007 ; E. Evrard, 2013, 2017) ; les initiatives et projets déclenchés par le rapport de 2012, orientent cependant vers Paris-Seine-Normandie (PSN).

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
LE CADRE GENERAL : LES MOUVEMENTS DU MONDE
LA VALLEE DE LA SEINE : UN DESSEIN POLITIQUE SENSIBLE AUX EVENEMENTS MONDIAUX
DU DESSEIN POLITIQUE DE LA VALLEE DE LA SEINE A CELUI GEO [POLITIQUE. ECONOMIQUE] DE PARIS-SEINE-NORMANDIE
PRESENTATION DE LA PROBLEMATIQUE ET DES HYPOTHESES DE RECHERCHE
LA PROBLEMATIQUE DE PSN ET SON HORIZON DANS LA LOGIQUE DE RAISONNEMENT
BASES THEORIQUES, CONCEPTS ET NOTIONS MOBILISEES
APPROCHE METHODOLOGIQUE : PARIS-SEINE-NORMANDIE UN CHEMINEMENT D’APPROPRIATIONS. PRATIQUE, MATERIAUX ET TRAITEMENT
PRESENTATION GENERALE DE L’ARCHITECTURE DE LA THESE
CHAPITRE I-PARIS-SEINE-NORMANDIE UNE CONSTRUCTION INTERTERRITORIALE AUX RACINES PROFONDES, SYNCHRONE AVEC LES MOUVEMENTS DU MONDE
PRESENTATION DU CHAPITRE I ET LOGIQUE DU RAISONNEMENT
1.1-Le dessein politique de Paris-Seine-Normandie ou la gestation d’une maturation de plus d’un demisiècle
1.1.1 -Une maturation accompagnée d’analyses toujours d’actualité
1.1.2-Une dynamique de l’aménagement de la Vallée impulsée par la perception d’un risque de perte des influences mondiales de Paris
1.1.3 -Six représentations du développement de la Vallée de la Seine
1.2-La Vallée : une position stratégique dynamisée par les rythmes du monde, structurée par une conception globale
1.2.1-Paris-Seine-Normandie appuyée par les complémentarités stratégiques d’axe et de façade
1.2.2 -Une organisation spatiale dans les rythmes du Monde
1.2.3-2009-2012 : la conception globale de l’aménagement de la Vallée, cle de voûte de la maturation
1.3 -L’intensité peu fréquente d’une dynamique de mobilisations des forces et parties prenantes
1.3.1 -Une mobilisation très significative des forces économiques et sociales
1.3.2 -Des travaux préparatoires de haute qualité de diverses provenances
1.3.3-Des orientations stratégiques appréhendées, formalisées par une approche d’ensemble à l’échelle de la Vallée
1.4-La référence d’un dispositif composite d’une gouvernance de rassemblement orientée vers le développement de la Vallée
1.4.1 -Une architecture duale d’équilibré entre les forces et parties prenantes
1.4.2-Le dispositif : une plateforme décisionnelle du projet global d’aménagement et de développement de la Vallée
1.4.3-Un dispositif adaptatif pour traverser les évolutions inhérentes à la durée du projet global
1.5-Le temps de l’Agir : une maïeutique féconde
1.5.1-La continuité des dynamiques premières
1.5.2-Impulsant un mouvement de structuration du « territoire »
1.5.3-La construction de Paris-Seine-Normandie en dépendance du triptyque « Politique/Moyens/Acteurs »
CONCLUSION. LA CONSTRUCTION D’UNE CHANCE : LEÇONS
CHAPITRE II-PARIS-SEINE-NORMANDIE APPREHENDE PAR LES MOUVEMENTS MONDIAUX DES POLARISATIONS, SPATIALE ET METROPOLITAINE
PRESENTATION DU CHAPITRE II ET LOGIQUE DU RAISONNEMENT
2.1-De nouveaux ensembles Géo [Politiques. Economiques. Graphiques.]
2.1.1-Représentations mondiales des mouvements de structuration spatiale
2.1.2-Principaux enseignements issus des explorations des grands ensembles asiatiques
2.1.3-Principaux enseignements issus de l’exploration des mégarégions (MR) d’Amérique du nord
2.2 -Les représentations spatiales des grands ensembles économiques mondiaux européens
2.2.1-Les représentations de Brunet, de Baudelle et le « Z » européen
2.2.2 -Approches d’identification des ensembles économiques européens majeurs
2.2.3-Enseignements d’une construction interterritoriale transfrontalière : la Grande Région (GR) Saar-LorLux, ou, la référence d’un laboratoire européen de coopérations avancées
2.3-Dynamique des grands ensembles : vitalité des concepts-notions et caractéristiques générales
2.3.1-La vitalité de concepts matures appréhendée par la littérature et les classements mondiaux
2.3.2-Les dynamiques des polarisations font émerger une urbanisation d’échelle supérieure
2.3.3-Caractéristiques générales issues des explorations-observations des grands ensembles mondiaux et méga-régions
2.4-Paris-Seine-Normandie inscrit dans l’émergence de la nouvelle unité spatiale mondiale
2.4.1 -Illustrations de territorialisations d’échelle supérieure
2.4.2 -La présence illustrée du Monde qui vient
2.4.3-Paris-Seine-Normandie, la structuration des échelles de l’urbanisation et de la « spatialisation »
2.4.4-La production d’un « solide » pour incarner l’espace par une articulation coopérative de territoires
2.5-Instabilité des concepts-notions de qualification des phénomènes de polarisation et difficile terminologie de « Région » : vers une proposition de neutralité sémantique
2.5.1 -Définitions floues et ordres de grandeur pour appréhender notions et concepts utilisés
2.5.2-De l’ambiguité de la référence à « région » vers la neutralité d’Espace Economique Etendu
2.5.3 -Echelle et limite de la notion
CONCLUSION. PARIS-SEINE-NORMANDIE : UN COEUR ECONOMIQUE EUROPEEN INITIALISANT UN POSITIONNEMENT GEO [POLITIQUE. ECONOMIQUE] MONDIAL
CHAPITRE III-LES DYNAMIQUES DE LA CONSTRUCTION DE PARIS-SEINE-NORMANDIE POUR SOLIDIFIER LE POSITIONNEMENT MONDIAL DE LA VILLE-MONDE
PRESENTATION DU CHAPITRE III ET LOGIQUE DU RAISONNEMENT
3.1-La production de Paris-Seine-Normandie ou l’existence par les projets
3.1.1-La production d’un Espace Economique Etendu et les modalités d’organisation de sa fabrication
3.1.2-L’hypothèse du cadre d’une entité territoriale spécifique comme préalable à la formation de ParisSeine-Normandie
3.1.3-La modalité d’action du projet et le pré-requis de la gouvernance
3.1.4-L’horizon de la production de PSN : sa fabrique par l’institutionnalisation/centralisation de la gouvernance
3.1.5-La modalité des coopérations interterritoriales comme principe de la production de PSN
3.1.6-La VDS un construit d’acteurs : développement de coopérations, de la capacité à travailler ensemble
3.2-L’appropriation de la VDS par l’articulation du triptyque ressources/projets/territoire
3.2.1-La production de PSN positionnée dans les évolutions de la notion du développement
3.2.2-Paris-Seine-Normandie, une composition entre une diversité/multiplicité d’acteurs et le retournement de l’appréhension du futur
3.2.3-La territorialisation de Paris-Seine-Normandie : une articulation entre risque politique et constitution d’un facteur de stabilité
3.2.4-Le projet : clé de la territorialisation de PSN et lieu de la cristallisation des contestations sociales
3.2.5-La Vallée de la Seine face à la géomorphologie de la Normandie : fragmentation et antidote
3.3-Les évolutions des appropriations de la Vallée de la Seine (VDS) : variations des positionnements
3.3.1-La VDS : incarnation du positionnement mondial par le lien ville-monde/politique maritime
3.3.2-Le positionnement européen de la VDS : connexion fluviale (CSNE) ; présence auprès de la Commission
3.3.3-L’intégration portuaire de la VDS : technique d’intégration, représentativités décisionnelles
3.3.4 -La logistique : reconnaissance d’un secteur stratégique, de multiples tensions sur la VDS
3.3.5-Les infrastructures de la VDS : une tension ternaire à articuler Besoins/Capacités/Temps
3.3.6-La VDS positionnée dans les enjeux globaux (développement durable / environnement / climat)
3.3.7-Synthèse des évolutions de positionnement des principales forces et parties prenantes
3.4-Les appropriations de la pertinence de la VDS par les pratiques de territorialisation
3.4.1-L’ADAS : « construire une vision partagée du développement de l’Axe Seine»
3.4.2-« Réinventer la Seine: proposer des sites tout le long de l’Axe Seine», par « la mise en œuvre de projets innovants. »
3.4.3-Les pratiques d’appropriations : l’épeuve de l’horizon et la permanence de la «culture PSN.»
3.4.4-Trois critères d’appréciation de la pertinence : le diagnostic géopolitique mondial, la méthode de conception, la gouvernance spécifique
3.4.5-L’appropriation de Paris-Seine-Normandie appréhendée par la terminologie
CONCLUSION. LA PRODUCTION DE PARIS-SEINE-NORMANDIE : DES ENTHOUSIASMES DE LA CONCEPTION, AUX REALITES D’UNE FABRICATION DE LONG TERME
CONCLUSION

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