LA TRYPANOSOMOSE A  CHEZ LES EQUIDES

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Races d’âne en Afrique de l’ouest

DOUTRESSOLE (1948) a décrit six races d’ânes en Afrique de l’Ouest qui sont les suivantes :
 Ane de l’Aïr
Cette race abrite le nord de la boucle du Niger et est appelée Kobé par la population locale. Sa robe est grise et blanche ou rouanne et blanche. Avec une taille moyenne allant de 1 à 1,1 m, elle est plus ou moins trapu et comporte une tête longue et fine, un crane étroit et court ainsi qu’une face longue. Elle possède une encolure moyenne, un garrot puissant et une croupe peu avalée.
 Ane de Mauritanie
Il a une taille petite (0,9 à 1,05m) ainsi qu’une robe allant du gris-claire au bai-foncée. Avec une bande cruciale marquée, il possède des poils ras ainsi qu’une tête carrée munie d’un front large et de naseaux minces. Les membres sont nets, la croupe est courte et le dos est horizontal.
 Ane du Sahel
Cette race de robe grise parfois dépourvue de raie cruciale est plus élancée, plus étriquée et possède un système pileux plus grossier que l’âne de l’Aïr. Elle est plus musclée et plus osseuse.
 Ane du Gourma
L’âne du gourma est retrouvé dans la Boucle du Niger. Sa robe est grise avec une dominance du blanc. Il possède une taille d’environ 1,05 à 1,10 m. Son corps est solide et ses lignes sont harmonieuses.
 Ane de Minianka
Il est un peu léger avec une taille plus petite (0,90 à 1m). Il possède une tête longue, un chanfrein rectiligne et des oreilles longues. Sa robe est beige avec une  bande dorsale et une raie cruciale sombre. Il est clair sous le ventre et aux membres, légèrement zébré au canon.
 Ane du Yatenga
Il est fortement charpenté et possède une taille de 1, 05 à 1,15 m. Sa tête est lourde, disgracieuse avec un chanfrein rectiligne et porte de grandes oreilles. Cette race possède un squelette et une musculature plus développés que les autres. Sa robe est gris-ardoisée quelque fois nuancée de poils noirs. Elle possède une raie cruciale apparente. Sa crinière est forte et ses poils sont fins.

Cheptel asin en Afrique de l’Ouest

Les pays de l’Afrique de l’Ouest surtout les pays sahéliens possèdent un important nombre d’asins. Le cheptel asin est estimé à 1 136 900 têtes au Burkina Faso, 1 731 450 têtes au Niger, 939 832 au Mali et 463 279 têtes au Sénégal (FAO, 2017). L’effectif des ânes reste néanmoins faible comparativement aux autres animaux surtout les ruminants. Dans la zone CEDEAO, les ânes représentent 2% (figure 2) du cheptel total soit 5 138 000 têtes (FAO, 2012).
Mode d’élevage des ânes en Afrique de l’ouest
Le mode d’élevage de l’âne reste traditionnel. Pendant la saison sèche les ânes sont généralement laissés en divagation. Ils ne sont récupérés pendant la saison sèche que pour des travaux ponctuels ou pendant la saison des pluies. Dans certains cas on observe de l’élevage transhumant en association avec les bovins (Kaboret, 1984).

Alimentation de l’âne en Afrique de l’Ouest

Comme tout animal, les besoins de l’âne sont fonction de son poids, de son activité physique et de son état physiologique. Les besoins d’entretien de l’âne avoisinent les 1,5 à 2 kg de foin par jour pour 100 kg de poids vif. Cette ration est majorée de 20% pendant la gestation et de 30 à 40% pendant la lactation (Ponseele et al. 1992). En Afrique de l’Ouest l’âne se nourrit essentiellement de résidus de récolte tels que les tiges de céréales, la paille, les pâturages à proximité des habitations. Il est abreuvé soit par le propriétaire à la maison, soit aux points d’eau de proximité. Il peut recevoir occasionnellement des concentrés tels que les grains de sorgho ou de mil pendant la saison des récoltes ou lorsque l’on veut l’utiliser pour un travail donné (Kaboré, 2014).
Importance socio-économique de l’âne en Afrique de l’Ouest
Force de traction
Grace à sa force de traction l’âne est utilisé dans plusieurs activités telles que :
 la culture attelée (figure 3A) : l’agriculture en Afrique de l’Ouest étant très peu modernisée, la traction mécanique est rarement utilisée. La traction asine et équine est alors utilisée dans l’agriculture familiale (Andriantsoavina, 2015).
 le transport de biens et des personnes (figure 3B) : l’âne est aussi très sollicité dans la traction des charrettes pour le transport de biens et personnes. En milieu rural, les ânes sont utilisés dans le transport des récoltes, dans le transport d’eau à partir des forages et dans bien d’autres  activités. En milieu urbain l’âne est utilisé pour le transport des marchandises, l’évacuation des déchets de ménage (figure 3C).
Production de viande
La viande d’âne est consommée dans certains pays d’Afrique de l’Ouest comme au Burkina Faso
(Tapsoba, 2012). Dans ce pays plus de 776 tonnes de viande asine sont produites annuellement représentant 16000 têtes abattues (Savadogo, 2016). Mais dans des pays comme le Sénégal la viande d’âne est surtout destinée à la consommation des carnivores domestiques (chiens surtout) et des carnivores sauvages (lions surtout) dans les parcs zoologiques (Andriantosavina, 2015)
Production de cuir et de fumier
L’âne produit du fumier qui sert à fertiliser les champs des agro-pasteurs. Le cuir de l’âne est très prisé surtout par les Chinois qui ont montré récemment un intérêt très particulier. En effet dans certains pays comme le Burkina Faso, 19 tonnes de cuir d’âne ont été convoyés en Chine entre 2015 et 2016 (Sidwaya, 2016). Ce qui a élevé le nombre de têtes abattues à 32000.
Vente et les courses hippiques
La vente d’âne peut être une source de financement pour l’achat des intrants agricoles, l’achat du matériel, le payement de la scolarité des enfants et tout autre besoin des ménages surtout dans les villages en Afrique de l’Ouest. Au Sénégal par exemple, un âne coûte environ 70 000 francs CFA soit environ 110 US$ (Andriantsoavina, 2015).
L’âne est également utilisé dans les courses hippiques lors de certaines manifestations culturelles (Savadogo, 2016). Au Sénégal, les courses hippiques utilisant des ânes existent depuis l’époque coloniale à Saint-Louis. Des championnats sont organisés dans plusieurs régions du pays (Andriantsoavina, 2015).
Autres rôles de l’âne en Afrique de l’Ouest
Dans les sociétés ouest africaines l’âne joue également un rôle dans l’exhaure de l’eau (Sow, 2012). Il est par ailleurs vu comme un compagnon des femmes particulièrement, leur permettant de simplifier les travaux quotidiens. En outre l’âne peut être confié à un paysan ne disposant pas de moyen pour s’acheter un cheval ou un bovin pour les travaux champêtres (Andriantsoavina, 2015).
Contraintes liées à l’élevage de l’âne en Afrique de l’Ouest
Contraintes nutritionnelles
L’âne est pour la plupart du temps utilisé pour les travaux intenses par son propriétaire. Cependant son alimentation est très souvent pauvre et est constituée de résidus de récolte. L’animal est même délaissé à lui-même à la recherche de rare pâturage constitué de pailles ou d’herbes sèches. Par ailleurs il s’abreuve dans des endroits pas très bien adaptés s’exposant ainsi à des maladies comme celles liées aux parasites (Andriantsoavina, 2015).
Contraintes pathologiques
Pathologies traumatiques :
Les pathologies traumatiques de l’âne sont pour la plupart du temps dues à des maltraitances (coup de bâton par exemple) de la part de son propriétaire. Elles représentent 38% des pathologies asines (Tapsoba, 2012). Ces pathologies diminuent les performances de l’animal (Mouchel-Vichard, 2010) et sont diverses (Tapsoba, 2012). Elles sont entre autres :
– les plaies sur le dos liées au harnachement (figure 4A). Le harnachement est souvent inadapté et mal conçu (utilisation d’un harnachement destiné aux chevaux chez les ânes) (Andriantsoavina, 2015) ;
– les blessures de contention dues la plupart du temps aux cordes servant à entraver (figure 4B et figure 4C);
– les entorses souvent remarquées lorsque l’animal travaille sur un terrain accidenté ;
– les tendinites qui sont les conséquences des pressions sur les tendons.
Cela aboutit à des plaies chroniques, des fractures, des foulures, des entorses pouvant se localiser dans diverses régions du corps (figure 4) (Savadogo, 2016). Les maltraitances de l’âne peuvent être également à l’origine des affections du pied comme les fourmilières, les fourbures, les abcès du pied, les seimes (fentes longitudinales), les bleimes (lésions de la sole), les pourritures de la fourchette, les clous de rue. morve due à Burkholderia mallei, les salmonelloses dues à Salmonella typhimirium et/ou Salmonella abortus equi, les clostridioses intestinales dues à Clostridium perfringens et Clostridium difficile, la leptospirose due à Leptospira interrogans, etc.
LA TRYPANOSOMOSE A Trypanosoma evansi CHEZ LES EQUIDES
Le Surra est une maladie parasitaire provoquée par la présence et la multiplication dans le sang, la lymphe et les organes des mammifères, d’un protozoaire flagellé, appartenant à la famille des Trypanosomatidae du nom de Trypanosoma evansi. Ce protozoaire est le premier trypanosome pathogène découvert par Griffith Evans à la fin du XIXème siècle chez les chevaux et les dromadaires en Inde, d’où son nom Trypanosoma evansi (Evans, 1880). La maladie était surtout observée chez les chevaux et chez les dromadaires en Inde et était localement appelée « Surra ». Une première description détaillée a été effectuée par John Henry Steel et Edouard-Gerard Balbiani respectivement en 1885 et 1888 (Antoine-Moussiaux et al., 2008). Elle se traduit cliniquement par l’anémie, la cachexie, l’immunodépression et l’atteinte du système nerveux central (Andriantsoavina, 2015).
Importance
Le Surra a été inscrit sur la liste des maladies à déclaration obligatoire par l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE, 2008). C’est une maladie entrainant des mortalités, de la cachexie, des avortements, des mortalités néonatales. La mortalité entrainée s’élève à plus de 13% chez les chevaux atteints (Adriantsoavina, 2015). Par ailleurs, le Surra entraine une baisse de la productivité se traduisant par la diminution de la capacité de travail de l’animal de 30%, une baisse de la croissance des animaux à l’engrais entrainant une dépréciation de la carcasse qui perd 40% de sa valeur marchande (Reid, 2002) et une baisse de la production laitière (Al Qarawi et al., 2004). En outre, il ne faut pas omettre la perte économique engendrée par les coûts de traitement. Toutes ces conséquences économiques entrainées par la maladie font qu’elle figure sur la liste des 20 maladies ayant le plus grand impact sur les populations pauvres (Perry et al., 2002) et également sur la liste des maladies influençant le commerce international par OIE.
Répartition géographique, Synonymie et espèce affectées
Trypanosoma evansi est le trypanosome pathogène le plus largement reparti dans le monde (Kocher, 2013). En Afrique Sahélienne et du Nord, le Surra est une enzootie. La maladie sévit également dans la grande partie du Moyen orient, de l’Asie centrale et du Sud Est, en Indonésie et en Philippine, mais aussi dans la quasi-totalité de l’Amérique du Sud où elle est connue sous le nom de « Mal de Cadeiras ». L’Europe reste jusque-là épargnée bien que des incursions récentes aient été observées en France et en Espagne (VERGNE, 2009). Compte tenu de sa très large répartition dans le monde, la trypanosomose à T. evansi possède de multiple synonyme. On a entre autres Al Debab (au Maghreb), Guifar (Tchad), Tahaga (Mali), Doukane (Ethiopie), Murrina (Mexique), (Hoare 1972).
Dans ces différentes zones, T. evansi touche beaucoup d’espèces animales. Les camélidés, les équidés ainsi que les carnivores sont les plus atteints. Les petits ruminants, les bovins, les éléphants d’Asie et les porcs sont sensibles mais dans une moindre mesure (Vergne, 2009).
Vecteurs et transmission Mécanique du Surra
La transmission du Surra se fait par des vecteurs hématophages exclusivement mécaniques dont les plus importants sont ceux appartenant à la famille des Tabanidae surtout le genre Tabanus. Il faut également noter les genres Haemotopota, Chrysops, Philoliche, Pangonia, Atylotus et Ancala qui sont des vecteurs potentiels de la maladie (Dirie et al., 1989). Leurs piqûres douloureuses entrainent une réaction de défense de l’hôte qui oblige l’insecte à interrompre le repas sanguin pour le poursuivre chez un autre hôte, augmentant ainsi le risque de transmission de la maladie. Les pièces buccales du parasite ne peuvent porter que 0,01 µl (Foil et al., 1987) ; rendant nécessaire une forte parasitémie, c’est-à-dire supérieure à 106/ml chez les animaux infectés pour que la transmission ait lieu. Les insectes de la famille des Miscidés (Stomoxys et Haematobia) (Cuisance et al., 2003) et des Hippoboscidés peuvent intervenir dans une moindre mesure, dans la transmission de T. evansi (Oyieke, 1987). En Amérique Latine, les chauves-souris vampires jouent un rôle également dans la transmission de T. evansi (Vergne, 2009). D’autres voies de transmission ont rarement été citées comme le cas de la transmission par voie orale chez les chiens (Raina et al., 1985), la transmission congénitale chez les cochons d’Inde ( Kranevelt et al, 1954) et la transmission iatrogène même si ces voies de transmission restent très peu documentées (Vergne, 2009).
Pathogénie du Surra
La pathogénie passe d’abord par une multiplication des trypanosomes au point d’inoculation (Lukins et al., 1992) avant le passage dans la circulation sanguine et lymphatique. Ce passage dans le sang et la lymphe est responsable de la réponse immunitaire et de la fièvre (Connor et al., 1994). Les parasites possèdent une affinité vis-à-vis des cellules. Au stade avancé, les trypanosomes non seulement franchissent la barrière hémato-méningée mais également se distribuent au niveau des articulations, du péritoine et des nœuds lymphatiques. La parasitémie varie tout au long de l’infection car le parasite a la possibilité de changer de couverture antigénique qui est la glycoprotéine (Jones, 1985). C’est le phénomène de « switch antigénique ». Le changement de la couverture antigénique permet au parasite d’échapper aux anticorps qui sont spécifiques aux anciens antigènes. Le parasite pendant cette période peut se multiplier, ce qui justifie l’augmentation de la parasitémie et de la fièvre. L’organisme de l’hôte s’adapte en fabriquant de nouveaux anticorps spécifiques aux nouveaux antigènes, d’où la chute de la parasitémie et de la fièvre. On observe alors une parasitémie et une fièvre intermittentes (Rodrigues et al., 2009). Par ailleurs, le parasite entraine une immunodépression qui se traduit par une diminution de la réponse immunitaire à médiation cellulaire et humorale. En effet, la maladie entraine une prolifération de 70% de lymphocytes B produisant des anticorps non spécifiques (Onah et al., 1998) et une inhibition de la prolifération des lymphocytes T. En outre, le manteau glycoprotéique permet au parasite de résister à la destruction du système de complément. On remarque également une modification de l’activité des monocytes et une production de lymphotoxines (Kocher et al., 2013). L’immunodépression causée par le parasite expliquerait les échecs vaccinaux (Holand et al., 2003), la persistance des signes cliniques, le développement des maladies intercurrentes (Vergne, 2009).
Le Surra entraine également une anémie. Les raisons de cette anémie ne sont pas encore élucidées, mais on soupçonne une modification de la surface des hématies entrainant ainsi leur phagocytose. La modification de la surface érythrocytaire serait liée à une adhésion du parasite à leurs membranes (Kocher, 2013). On observe également une anomalie de la forme des hématies (microspherocytes, acanthocytes, dacryocytes, présence de vacuoles, poikilocytose, anisocytose, polychromasie) (Silva et al., 1995).
Etude clinique de la maladie
Symptômes
La trypanosomose à T. evansi aurait la même symptomatologie chez les ânes, les chevaux et les mulets pour ce qui concerne la forme chronique (Desquesnes et al., 2013). L’étude clinique que nous allons présenter a été faite chez les chevaux. La période d’incubation se situe entre 1 à 4 semaines voire 8 semaines. Une fièvre intermittente est ensuite observée en rapport avec la parasitémie. Cette fièvre est suivie d’une perte de l’appétit, d’une faiblesse, d’un amaigrissement. Egalement des éruptions cutanées, des pétéchies au niveau des paupières et de la membrane nictitante, des hémorragies au niveau de la chambre antérieure de l’œil sont aperçues. Ces symptômes oculaires sont à l’origine des larmoiements. Des symptômes génitaux comme des pétéchies de la vulve et souvent des avortements sont constatés. Outre ces symptômes, il y a l’anémie, l’œdème des parties déclives (membre, abdomen, fourreau), l’hypertrophie des nœuds lymphatiques et un pelage terne. En phase terminale, des symptômes nerveux qui se traduisent par une incoordination motrice, un balancement de la croupe, une somnolence, et une paralysie générale apparaissent, occasionnant le plus souvent la mort de l’animal.
Il y a souvent des cas suraigus dans lesquels la mort peut intervenir sans apparition de symptômes ou souvent après des excitations et des signes de lutte qui durent quelques heures.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR L’ELEVAGE DE L’ANE EN AFRIQUE DE L’OUEST
I.1 – Généralités sur l’âne
I.2 – Races d’âne en Afrique de l’ouest
I.3 – Cheptel asin en Afrique de l’Ouest
I.4 – Mode d’élevage des ânes en Afrique de l’ouest
I.5 – Alimentation de l’âne en Afrique de l’Ouest
I.6- Importance socio-économique de l’âne en Afrique de l’Ouest
I.6-1- Force de traction
I.6-2- Production de viande
I.6-3- Production de cuir et de fumier
I.6-4- Vente et les courses hippiques
I.6-5- Autres rôles de l’âne en Afrique de l’Ouest
I.7 – Contraintes liées à l’élevage de l’âne en Afrique de l’Ouest
I.7-1- Contraintes nutritionnelles
I.7-2- Contraintes pathologiques
I.7.2-1- Pathologies traumatiques :
I.7.2.4- Parasitoses
I.7.2.4- 1- Parasitoses externes
I.7.2.4- 2- Parasitoses internes
I.7.2.4-3- Les parasitoses sanguines
CHAPITRE II : LA TRYPANOSOMOSE A  CHEZ LES EQUIDES
II.1- Définition
II.2- Importance
II.3- Répartition géographique, Synonymie et espèce affectées
II.4- Classification
II.5- Morphologie du parasite
II.6- Biologie du parasite
II.6-1- Localisation et cycle de reproduction
II.6-2- Nutrition
II.7- Vecteurs et transmission Mécanique du Surra
II.8- Pathogénie du Surra
II.9- Etude clinique de la maladie
II.9-1- Symptômes
II.9-2- Lésions
II.9-3- Evolution
II.10- Diagnostic
II.10-1- Diagnostic épidémio-clinique
II.10-2- Diagnostic de laboratoire
II.10-2-1- Méthodes directes de diagnostic
II.10-2-2-Méthodes indirectes de diagnostic
II.11- Traitement
II.12-Prophylaxie
II.12-1- Prophylaxie médicale
II.12-2-Prophylaxie sanitaire
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1- Cadre d’étude
I.1-1- Burkina Faso
I.1-2-Mali
I.1-3-Niger
I.1-4- Sénégal
I.2- MATERIEL
I.2-1- Matériel de prélèvement :
I.2-2- Matériel de laboratoire :
I.2-3- Matériel biologique
I.3- Méthodologie
I.3-1- Méthode d’échantillonnage :
I.3.2. Enquêtes auprès des éleveurs :
I.3-2- Prélèvement de sang
I.3-3- Analyse sérologique
I.3-3-1- Principe d’utilisation du CATT/T. evansi
I.3-3-2- Dilution du sérum
I.3-3-3- Reconstitution des contrôles et de l’antigène
I.3-3-4- Préparation de la réaction d’agglutination
I.3-3-5- Lecture
I.3-3-6- Analyses statistiques
CHAPITRE II : Résultats, Discussion et Recommandations
II.1. Résultats
II.1.1. Caractérisation des populations d’ânes des pays étudiés
II.1.2-Détermination de la séroprévalence
II.1.2.1-Séroprévalence globale et séroprévalence par pays
II.1.2.2- Prévalence selon la région
II.1.2.3- Séroprévalence selon le sexe, le poids, la robe, la NEC, l’utilisation et l’âge
II.1.3- Identification des facteurs de risque
II.2. Discussion
II.2.1- Caractérisation de la population asine étudiée
II.2.2- Prévalence de la Trypanosomose à T. évansi
II.2.3-Facteurs de risques liés à la transmission de T. evansi
II.3- Recommandations
Conclusion
Références bibliographiques
Webographie

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