LA TOXICOMANIE A THIES

Esquisse historique

      L’antiquité connaissait déjà les vertus de certaines plantes, appelées parfois divinatoires : le pavot, dont on extrait l’opium, était cultivé par les Egyptiens ; on en faisait des philtres et des breuvages sédatifs, comme υηπευής dont parle Homère au IVe livre de l’Odyssée, breuvage qu’Hélène, fille de Zeus, fit boire à Ménélas et qui donne l’oubli des maux. Les propriétés enivrantes du cannabis cultivé sur les plateaux de l’Inde, dont le haschich est la résine, étaient utilisées pour provoquer l’exaltation dionysiaque dans certaines cérémonies religieuses. La migration est la diffusion de ces plantes et de leurs extraits se firent lentement au cours des siècles á traverse tout l’Orient, où s’établit pour quelques sujets l’habitude d’une consommation fréquente ou permanente. Si l’on excepte quelques produits de l’ancienne pharmacopée, comme le diascordium de Fracastor et le laudanum de Sydenham en usage depuis le XVe siècle, ce n’est guère qu’au début du XIXème siècle que l’opium et le haschich firent leur apparition en occident et le  public apprit surtout à les connaître à travers le mirage d’une littérature d’esthètes et de poètes en quête de sensations nouvelles (De Quincey T., Gautier T.); Baudelaire C. les exalta dans ses Paradis artificiels. A cette période de curiosité littéraire succéda vite une période d’intérêt médical et psychologique. Déjà, en 1840, un aliéniste français Moreau (de Tours) publiait un important travail sur les désordres hallucinatoires et mentaux causés par le haschich. Cet intérêt scientifique n’a fait que se développer par la suite ; on s’est penché sur le problème psychologique que soulevait le phénomène paradoxal de l’accoutumance et de l’état de besoin et les dégradations que pouvaient faire subir à l’organisme ces intoxications prolongées. L’alerte médicale se justifiait d’autant plus que l’industrie chimique et pharmaceutique qui commençait alors son prodigieux essor, mettait en abondance sur le marché toute une série de produits : alcaloïdes de l’opium (morphine, codéïne, héroïne…) puis la cocaïne. La cupidité et l’organisation de trafiquants clandestins favorisèrent depuis la fin du XIXe siècle de véritables vagues d’assaut sous forme d’épidémies de morphinomanie d’abord, puis de cocaïnomanie, d’éthéromanie, enfin d’héroïnomanie, dont durent se préoccuper les pouvoirs publics comme de véritables fléaux sociaux. Le problème de toxicomanie devint alors un problème social. La lutte doit être entreprise à l’échelon national d’abord à l’aide de décrets de réglementations, et sur le plan international par des organismes. Cette vigilance est d’autant plus nécessaire que d’une part ceux La toxicomanie à Thiès : étude sociologique d’une forme de déviance au Sénégal qu’on a appelé les gangsters de la drogue n’ont pas désarmé et que d’autres part l’industrie chimique continue à produire en grande série des hypnotiques nombreux qui favorisent de véritables narcomanies. Elle a réalisé des stupéfiants synthétiques créant pour ceux qui en usent le même asservissement et leur faisant courir les mêmes dangers que les anciennes toxicomanies opiacées. Mais à côté de ces toxicomanies qui ne frappent pas le commun des mortels et restent, pourrait-on dire, des intrusions accidentelles dans la vie de certains sujets, il faut faire une place à des produits qui sont des familiers de notre vie journalière mais dont l’usage quotidien peut créer une habitude un peu tyrannique et dont l’abus crée vite une servitude toxicomaniaque susceptible parfois de répercussions psychiques et somatiques plus ou moins sérieuses. Ce sont les boissons alcooliques, le tabac, le café et le thé, inoffensifs cependant à des doses modérées chez la plupart des sujets. Leur étude n’est pas indifférente cependant ; l’alcoolisme en particulier, véritable fléau social dans quelques pays, peut devenir chez certains individus une cause de profondes dégradations morale et physique, sans parler de ses graves répercussions sociales.

Le cannabis ou chanvre indien

      Il pousse à l’état sauvage et est cultivé aussi bien sous les climats tempérés que sous les climats tropicaux. Depuis 3 ou 4000 ans, des millions d’êtres humains en Afrique et en Asie ont utilisé le cannabis sous des formes diverses. Selon la Convention unique de 1961, le terme cannabis désigne les sommités florifères ou fructifères de la plante de cannabis (à l’exclusion des graines et des feuilles qui ne sont pas accompagnées de sommités) dont la résine n’a pas été extraite ; Cette drogue difficile à classer est considérée dangereuse pour certains et inoffensive pour d’autres. Selon Lewin, elle appartient à la catégorie des Phantastica. Elle provient du cannabis Sativa L., qui est une plante annuelle et normalement dioïque (ce qui signifie que la plante mâle porte uniquement des étamines, et la plante femelle ne porte que le pistil). D’une hauteur de 1,50m en moyenne, elle peut atteindre jusqu’à 6 mètres dans les conditions optimales. Les effets psychotropes sont fonction de la teneur en tétrahydrocannabinol (T.H.C.), commun aux différents dérivés du cannabis. Cette teneur varie considérablement et a augmenté significativement depuis une vingtaine d’années, passant progressivement de 1 à 5% à des taux de 10 à 15%. Aux Pays-Bas, une variété cultivée sous serre, le Nederwiet contient plus de 20% de T.H.C. Selon Hérédote, cette drogue était utilisée dans les rites funéraires, et ses fumigations servaient à purifier les vivants de leurs contacts avec les morts. Son usage dans les sociétés primitives joue un rôle considérable, lié aux rituels des cérémonies initiatiques. Il symbolise l’appartenance à la tribu. La coutume de consommer le chanvre indien, appelé selon les pays: kif, sisbi, djamba, marihuana, yamba, haschisch, herbe, boon… est répandue dans le monde entier. On en fume, on en boit, on en mange. Au moyen âge, les Arabes répandirent sa consommation, et substituèrent cette drogue à l’alcool interdite par le Coran. L’ivresse, la sensation d’évasion du haschisch furent maintes fois décrites comme l’avant-goût du paradis. Le libérateur du péché, le paradis du pauvre, l’herbe des prairies, donna son nom à la secte des haschischins. Grâce aux effets de cette plante, le chef de cette secte obtenait une soumission totale de ses membres et parvenait à réaliser ses desseins politiques et religieux. Le cannabis tient une place prépondérante dans les toxicomanies modernes. Ses effets euphorisants et analgésiques l’apparentent aux opiacés. Ses effets excitants aux amphétamines, ses effets dysleptiques aux hallucinogènes. Cette substance peut devenir toxicomanogène mais ne provoque pas d’asservissement au sens d’une dépendance physique. Cependant, son utilisation fréquente est à l’origine de délires hallucinatoires violents, ainsi qu’une diminution de la résistance immunologique. Certains pays à l’heure actuelle veulent dépénaliser ou légaliser son usage et sa vente tandis que d’autres l’ont déjà fait: les Pays Bas. Les dérivés du cannabis
1- la marijuana (Marie-Jeanne) ou herbe est un dérivé du cannabis. Seules les tiges et les fleurs sont utilisées. On les sèche et les effrite pour les fumer (ce produit ressemble au tabac mais de couleur verte). Les consommateurs d’herbe et de haschisch sont appelés les fumeurs. La cigarette artisanale ou joint (associant tabac et cannabis), ou encore le shilom (pipe spéciale), sont les modes les plus fréquents d’utilisation (1% de T.H.C.) ;
2- On appelle ganga le dérivé de cannabis en provenance des Indes, intermédiaire entre le haschisch et l’herbe (3% du T.H.C.), composé des inflorescences terminales ;
3- On appelle haschisch ou hasch la résine du Cannabis Sativa ou cannabis, extraite des feuilles de la plante au moment de la floraison, raclée, puis pressée en blocs. Le hasch contient du T.H.C. (tétrahydrocannabidol en grande quantité) et se fume effrité et mélangé au tabac (5% de T.H.C.) ;
4- Huile.

Absence de mythes et crise des valeurs

      Les structures du mythe reflètent et déterminent les structures de l’esprit humain. Semblables aux rêves, ils participent à l’équilibre mental et psychique de l’individu. Ainsi, durant des siècles, les légendes, les contes, les chants ont traversé le temps, facilitant la transmission de messages culturels, de normes, de repères. Les mythologies s’enracinent dans les cultures et les modes de vie et permettent à la société de se projeter dans l’avenir et d’espérer. Or, quand les mythes s’effondrent, ils entraînent dans leur chute les valeurs morales et les symboles qu’ils contenaient. Les mythes qui servaient à la transmission des valeurs dans le monde traditionnel sont contestés et abandonnés pour de nouvelles formes de croyances et l’on assiste à une déstructuration progressive de l’ordre social. Ne rejoignons-nous pas DURKHEIM E., lorsqu’il parle d’anomie dans le sens de perturbations profondes de l’ordre collectif ? En tout cas, sans être catégorique, tout porte à le croire. La liberté des choix des individus s’est accrue. Divers mouvements sociaux, tels la liberté sexuelle, les mariages homosexuels, l’avortement, l’euthanasie, la remise en cause du rôle des femmes dans la société, le renversement des rapports de l’autorité entre les jeunes et les adultes, ont contribué à l’effondrement du mythe de l’autorité traditionnelle. Des ressorts sont ainsi entrain de se briser. Il est vrai que les rapports d’autorité se sont transformés et tels des apprentis sorciers, les nouvelles générations expérimentent de nouveaux modes de vie qui présentent des avantages mais aussi des inconvénients dont on n’a pas encore fini de mesurer tous les effets. Pour certains penseurs, notre époque est passionnante ; pour d’autres, la société n’est plus maîtresse d’elle-même, mais, au contraire, elle conditionne les hommes à subir de nouvelles et terribles contraintes qui occasionnent des déséquilibres structurels du corps social. Quoi qu’il en soit, la toxicomanie s’inscrit dans une étape du développement des sociétés marquée par de profonds bouleversements et séismes qui brouillent les normes et les repères, détruisent les réseaux de communication, déchirent le tissu social déjà fragile et déstabilisent les communautés.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
1. Présentation du sujet
2. Pertinence du choix du sujet
3. Délimitation de la recherche
PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE
CHAPITRE 1 : PROBLEMATIQUE GENERALE
1.1 Problématique
1.1.1 Position du problème
1.1.1.1 Problème général de la recherche
1.1.1.2 Problème spécifique de recherche
1.2 Objectifs de recherche
1.2.1 Objectif général
1.2.2 Les objectifs spécifiques
1.3 Hypothèses
1.4 Revue critique de la littérature
CHAPITRE 2 : CADRE CONCEPTUEL ET MODELE D’ANALYSE
2.1 Définition des concepts
2.1.1 Toxicomanie
2.1.2 Drogue
2.1.3 Déviance
2.1.4 Anomie
2.1.5 Assuétude
2.1.6 Tolérance-accoutumance
2.1.7 Syndrome de sevrage
2.1.8 Narcotique
2.1.9 Psychotique
2.1.10 Stupéfiant
2.1.11 Exclusion sociale
2.2 Modèle d’analyse
Les approches fonctionnalistes de la déviance
La déviance comme le produit d’une interaction sociale
CHAPITRE 3 : METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
3.1 Histoire de la recherche
3.1.1 La pré-enquête
3.1.1.1 La recherche documentaire
3.1.1.2 L’entrevue avec des personnes ressources
3.1.2 L’enquête proprement dite
3.1.2.1 La procédure d’échantillonnage
3.1.2.2 Condition du choix et présentation des outils de recherche
3.1.2.2.1 Techniques de recueil de données et méthode d’observation qualitatives
3.1.2.2.2 L’enquête quantitative
3.2 Les techniques de traitement et d’analyse des données
3.2.1 Classification de l’information
3.2.2 Les techniques d’analyses retenues
3.2.2.1 L’analyse de contenu
3.2.2.2 L’analyse statistique
3.3 Les conditions du terrain : les difficultés et les facilités rencontrées
DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION DES DONNEES DE L’ENQUETE
CHAPITRE 1 : LA PRESENTATION DU CADRE GENERAL D’ETUDE : LA REGION DE THIES
1.1 Présentation de la région de Thiès
1.2 Environnement naturel et humain
1.2.1 Milieu naturel
1.2.1.1 Le relief
1.2.1.2 Le climat
1.2.1.3 Les sols
1.2.1.4 La végétation et la faune
1.2.1.5 Hydrologie
1.2.1.6 Les zones éco-géographiques
1.2.2 Milieu humain
1.2.2.1 Nuptialité, fécondité, mortalité, répartition spatiale et par sexe
1.2.2.2 La démographie
1.2.2.3 Etablissements humains ruraux
1.2.2.4 Migrations et urbanisations
1.3 Espace économique
1.3.1 L’agriculture
1.3.2 L’élevage
1.3.3 La forêt
1.3.4 La pêche
1.3.5 Hydraulique
1.3.6 Industries et mines
1.3.7 Energie
1.3.8 Artisanat
1.3.9 Commerce
1.3.10 Tourisme
1.4 Secteurs sociaux
1.4.1 Santé
1.4.2 Education et formation
1.4.3 Emploi
1.4.4 Jeunesse et sport
1.4.5 La culture
1.4.6 Urbanisme et habitat
1.4.7 Hydraulique urbaine et assainissement
1.4.8 Les réseaux de communication
1.4.8.1 Le réseau routier
1.4.8.2 Le réseau ferroviaire
1.4.8.3 La téléphonie
1.4.8.4 La radiophonie
1.4.8.5 Les N.T.I.C
1.4.8.6 La Poste
1.4.9 Environnement et cadre de vie
1.5 Développement et gestion du territoire
1.5.1 Occupation du sol
1.5.2 Les grands .projets
1.5.3 Tendances régionales
CHAPITRE 2 : LA PRESENTATION DU CADRE SPECIFIQUE D’ETUDE: LE CENTRE DE SANTE MENTAL DALAL XEL DE THIES
2.1 Présentation de l’institution
2.2 Historique
2.3 Evolution
2.4 Les objectifs
2.5 Organisation et fonctionnement
2.5.1 Les locaux
2.5.2 Le fonctionnement
2.5.3 Le personnel
2.5.4 Clientèle
2.5.5 Biens matériels et immobiliers
2.5.6 Les activités du centre
CHAPITRE 3: LES PRODUITS PSYCHOACTIFS
3.1 Esquisse historique
3.2 Les types drogues
3.2.1 Les drogues naturelles
3.2.1.1 Le cannabis ou chanvre indien
3.2.1.2 La coca
3.2.1.3 L’opium et ses dérivés
3.2.2 Les drogues synthétiques
3.2.2.1 Les solvants volatils
3.2.2.2 Le L.S.D. 25
3.2.2.3 La morphine
3.2.2.4 L’héroïne : la poudre, le cheval
3.2.2.5 La cocaïne
3.2.2.6 Le crack et le free-base
3.2.2.7 Les amphétamines
3.3 Statistiques des interpellés et des prises de drogues pour les années
Année 1999
Année 2000
Année 2001
Année 2002
Année 2003
Statistiques nationales des interpellés
Statistiques nationales par type de drogues
CHAPITRE 4: IDENTIFICATION DE LA POPULATION ENQUETEE
4.1 Les caractéristiques sociologiques
4.1.1 La structure de la population par âge
4.1.2 La structure de la population par sexe
4.1.3 Structure de la population selon l’ethnie
4.1.4 Structure de la population selon le niveau de scolarisation
4.1.5 Distribution selon le statut matrimonial
4.1.6 Distribution selon que les parents vivent ensemble ou non
4.1.7 Distribution selon la religion et la nationalité
4.2.1 Nature des relations familiales des personnes enquêtées
4.2.2 La vie associative
4.3 Groupes sociaux vulnérables
4.3.1 La jeunesse
4.3.2 Le cas des femmes
TROISIEME PARTIE : ANALYSE ET INTERPRETATION DES DONNEES
CHAPITRE 1 : LA TOXICOMANIE INTERPRETEE PAR SES PROPRES ACTEURS
1.1 La parole aux acteurs
1.1.1 Récit de vie n°1
1.1.2 Récit de vie nº2
1.1.3 Récit de vie nº3
1.1.4 Récit de vie nº4
1.2 Restitutions des témoignages
1.2.1 L’emprise du phénomène boulfale
1.2.2 La recherche effrénée du plaisir masque un mal de vivre
1.2.3 Un appel au secours
1.2.4 Les bandes de copains
1.2.5 Le lieu de consommation
1.2.6 Le refus de l’état morbide
CHAPITRE 2 : LE CHANGEMENT SOCIAL ET LE CONTEXTE DE DEVELOPPEMENT DE LA TOXICOMANIE
2.1 Un monde en mutation
2.1.1 Le monde post-moderne
2.1.2 Une situation économique morose
2.1.2.1 La crise de l’emploi
2.1.2.2 La faible présence des politiques de développement
2.1.3 Absence de mythes et crise des valeurs
2.1.4 La quête de sens
2.1.5 L’intrusion de l’irrationnel
2.2 Une société sénégalaise frappée de plein fouet
2.2.1 La crise du lien social traditionnel
2.2.2 Essoufflement des solidarités primaires
2.2-3 Devenir adulte dans sa culture
2.3 La famille : reflet d’une civilisation handicapée
2.3.1 L’orientation culturelle
2.3.2 Les soubassements du fléau des temps modernes
2.3.2.1 Les facteurs de risques environnementaux
2.3.2.2 Les facteurs socio-économiques et socio-professionnelles
2.3.2.3 Les problèmes de la famille
2.3.2.4 L’individu
2.3.2.5 La crise de l’adolescence: une crise d’insertion dans le monde des adultes
2.3.2.6 La pression des pairs
2.3.4 L’impact de l’urbanité
CHAPITRE 3 : LA TOXICOMANIE COMME STRATEGIE
3.1 Les produits psychotropes
3.1.1 Les trafiquants de drogue
3.1.2 Banalisation ou démocratisation de la drogue
3.1.3 Les produits utilisés
3.2 Des stratégies diversifiées
3.2.1 De la première prise de drogue à l’état de dépendance
3.2.2 On devient toxico
3.2.3 La toxicomanie : une forme d’existence
3.2.4 La toxicomanie : une auto satisfaction rythmée par le manque et la dépendance
3.2.5 La toxicomanie : une stratégie de fuite
3.2.6 La toxicomanie : un autre langage
3.3 …aux effets néfastes
3.3.1 Un drame intérieur
3.3.2 Drogue et violence
3.3.3 Des conséquences tous azimuts
3.4 La famille et la société face à ce phénomène
3.4.1 La carence informationnelle
3.4.2 La représentation sociale de la toxicomanie
3.4.3 De la déviance à la tolérance
3.4.4 Drogue et célébrités
3.4.5 Les médias face à la drogue et à la toxicomanie
3.4.6 La religion face à la drogue et à la toxicomanie
3.4.7 L’école face à la drogue
3.4.7.1 L’enseignement public
3.4.7.2 L’enseignement privé
3.4.7.3 L’enseignement coranique
3.4.8 Relation soignant – toxicomane
CHAPITRE 4 : LA LUTTE CONTRE LA TOXICOMANIE
4.1 L’Etat face aux phénomènes de drogues et de toxicomanie
4.1.1 Le code des drogues
4.1.1.1 Présentation
4.1.1.2 Exposé du motif
4.1.2 Le comité interministérielle de lutte contre la drogue
4.1.3. L’Office centrale de répression du trafic illicite de stupéfiants
4.2 Les O.N.G. et les associations thiessoises face à ce phénomène
4.2.1 A.S.P.A.T
4.2.2 A.S.P.J./W.A.T.T
4.2.3 Difficultés des ONG et associations
4.3 La prévention comme alternative
4.4 La journée mondiale de lutte contre la drogue
CONCLUSION GENERALE
ANNEXE
– BIBLIOGRAPHIE
– LISTE DES TABLEAUX ET SCHEMAS
– QUESTIONNAIRE

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