Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
La Direction du patrimoine et Logistique
La Direction des patrimoines et logistiques s‟engage à assurer un gestion optimale des biens et patrimoine de l‟entreprise. Elle veille également à l‟appui efficace et efficient du fonctionnement matériel de l‟organisation et oriente la Direction générale sur les décisions d‟achats.
Les chefs des services suivants sont sous sa subordination directe : le service Approvisionnement et Immobilisation, Logistique, Gros travaux, Valorisation du Patrimoine et le service Archives. Un certain nombre de tâches sont réalisés dans cette direction : le respect des normes des travaux de bâtiment et autre entretiens, la gestion saine des immobilisations et du patrimoine foncier, immobilier ou encore l‟orientation de la décision de la Direction Générale par rapport aux couts et aux qualités des dépenses engagées.
La Direction des Ressources Humaines
Cette direction est sous la supervision directe du directeur Générale et possède comme subordonnés directs le Chef de service développement Ressource Humaine, le chef de Service Administration du personnel et le Chef de service social.
Elle a pour mission d‟anticiper les politiques à adopter face aux changements et à la concurrence, veiller à la cohérence et à la qualité des ressources au fur et à mesure des évolutions constatées. Elles assurent aussi l‟amélioration des conditions de travail et le planning de formation efficace. La mise en place d‟un plan de gestion de carrière et la formalisation des cartographies des emplois de toutes les fiches de poste constituées font également des missions de la Direction.
La Direction Administrative et Financière
Elle subordonne les tâches des services ci-après : le service comptabilité, Trésorerie et service Administration qui appliquent la stratégie définie par la Direction Générale en l‟adaptant à son environnement local. Elles veillent à la régularité, la sincérité, l‟exhaustivité des opérations comptables à leur transcription fidèle dans les comptes jusqu’à leur conservation, et assurent le respect des procédures comptables en terme de risques opératoires ou techniques. Ces services assurent et effectuent la production des états financiers ainsi que les diagnostiques opérationnels et financiers et choisissent les moyens de placement des excédents de trésorerie.
La Direction Administrative et Financière garantit une « information » fiable et en assure sa cohérence et sa qualité, constate et explique les écarts et les évolutions et répond aux besoins immédiats pour les trésoreries des agences. Elle utilise les capitaux d‟une manière plus économique.
La Direction des systèmes d‟informations
Cette Direction concrétise la réalisation de la politique du système d‟information définie dans le schéma directeur. Elle propose auprès de la Direction Générale des moyens innovateurs permettant l‟optimisation des activités. Elle dispose de trois services ; le service des Etudes et Développement des systèmes, le Service Systèmes Réseaux et Maintenances et enfin le service Sécurité Informatique et Développement Infrastructures Télécommunications. Les taches suivantes sont concrétisées dans cette fonction :
Manager et animer les équipes de la DSI de même que les ressources SI déconcentrées, gérer le budget de la DSI avec le souci constant d‟une réalisation au moindre cout, élaborer les cahiers de charges et veiller aux respects des normes pour toutes prestations et services demandes. Piloter les ressources pour atteindre les résultats attendus et le soutien d‟une politique de qualité, dans une préoccupation constatée de la relation-client. Superviser les relations avec la sous-traitance et organiser la communication autour des SI.
La Direction du Contrôle Interne
Sous l‟autorité de la direction Générale, en tant qu‟auditeur interne, il a pour mandat général de mettre en pratique de façon professionnelle et permanente le manuel d‟audit interne. Elle exécute les missions d‟audit interne conformément aux normes d‟audit régissant la pratique professionnelle de l‟audit interne et assister les Auditeurs Externes dans le cadre de leur intervention. Assure la mise en pratique des recommandations des auditeurs externes. Recommander le cas échéant des mesures appropries d‟amélioration des procédures auditées permettant un fonctionnement efficient de la société.
Ses subordonnées directes sont les inspecteurs vérificateurs, le service de l‟Audit Interne Oriente Gestion, le service de l‟Audit Interne Oriente Métiers, le service du contrôle de Gestion.
Pour mission, elle effectue l‟établissement de programme annuel d‟audit et faire le rapport annuel sur le contrôle interne. D‟autre part, elle rassemble et analyse les données pour détecter des commandes déficientes, l‟effort reproduit, l‟extravagance, la fraude ou l‟infraction aux lois, aux règlements et aux politiques de gestion.
Elle gère et priorise les demandes (identifie les points de contrôle prioritaires, réagit en situation de crise, fournir des éléments de recadrage stratégique). Enfin, elle conclu la mission par des résultats de l‟audit aux audités et les restes de recommandation et des rapports.
Les produits et prix de la CEM
La CEM est spécialisée dans 3 types de produits qui constituent ses principales ressources. Elle les fructifie par des emplois pour pouvoir rémunérer ses épargnants par la suite. Il y a également d‟autres types de produits gérés par la CEM.
Les Ressources de la CEM
Les ressources sont des fonds qui proviennent des recettes d‟exploitation que la CEM détient et place afin de se constituer des bénéfices. Afin de mieux faire valoir les objectifs qu‟elle s‟est fixé, la CEM offre à sa clientèle les produits suivants :
Le Livret d‟épargne (LE)
Etant le produit principal de la CEM, c‟est le support permettant aux clients en compte épargne de verser et de se faire rembourser auprès des caisses dans les agences. Toutes les prestations en compte épargne sont gratuites. Chaque client peut avoir un compte ordinaire ou un compte stable.
L‟étude de marché des produits concurrents en matière de service de transfert d‟argent sera traitée dans un premier temps. Le deuxième chapitre illustrera le diagnostic de la situation actuelle de la Caisse d‟ Epargne de Madagascar. Alors que le troisième chapitre parlera des problèmes liés à la Caisse d‟Epargne de Madagascar.
Il convient de noter que le système bancaire malgache intervient dans les différents secteurs d‟activité de l‟économie du pays et s‟adresse aussi bien aux entreprises (entreprises domestiques et en zone franche) qu‟aux particuliers, professionnels et autres associations.
Par ailleurs, la présence de plusieurs intervenants dans le secteur bancaire a contribué à favoriser un cadre concurrentiel très marqué par l‟offre de plus en plus compétitive de services et de moyens de paiement.
Le marketing de la banque est un marketing de services marqué par une orientation générale vers la clientèle.
Pour mieux vendre ses services selon les besoins de sa clientèle, la banque mise sur :
La personnalisation des offres et l‟entretien d‟une relation de confiance de longue durée. A cet effet, la banque joue trois rôles principaux : conseillère, partenaire et assureur. La personnalisation est devenue pour la clientèle un critère important dans le choix d‟une banque ;
Les actions de fidélisation pour asseoir son image ;
La prospection de nouveaux marchés ;
Une force de vente très poussée vers la clientèle ;
Une technologie poussée pour répondre à la demande et pour mieux assurer la prestation. Les cibles de la banque sont de plusieurs catégories :
Les grandes entreprises de tout secteur ;
Les PME et PMI ;
Les professionnels ;
Les cadres d‟entreprises ;
Tout particulier justifiant d‟un niveau de revenu acceptable.
De fait de la banalisation rapide des services, les banques ne se limitent plus aux produits traditionnels tels que les comptes de dépôt à vue et les comptes épargnes mais étouffent leurs activités par d‟autres produits financiers tels que les produits d‟assurance et les bons de trésor. Les produits de base sont à peu près les mêmes, la différence se marque par la façon de les offrir. Les offres package auxquelles la clientèle ciblée est susceptible de répondre sont des moyens pour maintenir la clientèle et pour marquer la différenciation. Les moyens de paiement facilement standardisés entre les banques ne leur permettent pas d‟avoir un avantage concurrentiel sauf avec de l‟innovation.
En matière de communication dans son marketing de service, la banque mise surtout sur la communication institutionnelle, vecteur d‟image important pour vendre ses services. Les communications sur les produits rendent ces derniers facilement imitables par la concurrence c‟est pourquoi elles ne sont pas souvent pratiqués sauf au moment d‟un lancement de nouveaux services.
Les banques ciblent en fonction du flux financier qu‟elles peuvent dégager à leur profit. Elles ne se concentrent pas sur un seul segment de clientèle. Toutefois, sa politique sélective laisse voir sa spécialisation sur un marché cible en particulier. Parmi les banques les plus connues figurent:
La BMOI : elle a comme segment principal les clients à fort moyen financier ou haut de gamme ;
La BNI : elle cible les grandes entreprises, les PME et les PMI ;
La BFV : elle cible les entreprises et les cadres. La BFV est la banque la plus proche de la clientèle et devient la banque la plus appréciée des particuliers entre autres les salariés privés et les fonctionnaires par ses services ;
La BOA : elle cible la masse populaire c’est-à-dire la catégorie de clientèle moyenne ou à faible revenu. Elle est la plus proche du monde rural.
Par rapport à la CEM, la BOA et la BFV sont les concurrentes directes vue que la CEM offre également ses produits à la masse populaire entre autres aux salariés.
La banque est une institution dont la matière première pour toute opération est l‟argent. Aussi, la clientèle est à la fois un fournisseur et un client de la banque.
Voyons alors le cas de la BOA et de la BFV qui sont les banques les plus proches des particuliers.
Diagnostics de la situation de services offerts par la BOA
Allons détaillées les forces et faiblesses de la BOA, ensuite récapitulons les données par des tableaux.
Les forces de la Bank Of Africa (BOA)
L‟ouverture d‟un compte de dépôt auprès de la BOA par les salariés leur permet d‟obtenir des prêts comme les avances sur salaire, les prêts de scolarité, les prêts habitats, les prêts immobiliers et les prêts personnels.
Ces avantages procurent à la BOA une bonne image vis-à-vis de sa clientèle et permet de la différencier positivement par rapport à la CEM. Parmi les besoins les plus ressentis par la clientèle figure l‟obtention de prêt. La CEM est en position de faiblesse par rapport à la BOA.
Concernant les moyens de paiement, la BOA a un compte de chèques qui est un compte à vue pouvant bénéficier :
D‟un chéquier, délivré gratuitement,
D‟une carte de retrait appelée carte CESAME qui est destinée uniquement aux particuliers titulaires d‟un compte de chèques.
Sans aucun frais d‟adhésion, elle est délivrée dans toutes les agences sur simple demande. La première carte a une durée de validité de 2 ans.
Le titulaire du compte peut retirer de l‟argent aux Guichets Automatiques Bancaires (GAB) à concurrence du solde disponible en compte, et d‟avoir accès à certains services bancaires à titre gratuit : consultation de solde, édition de relevé.
L‟utilisation des GAB est protégée par un code secret connu du seul titulaire.
A propos de la gestion du compte de chèques le taux de rémunération de l‟intérêt créditeur est de 1% par an. Les frais fixes mensuels de tenue de compte sont limités à 7 920 Ar TTC par trimestre. La commission de mouvement est égale à 0.5/1000. La commission de plus fort découvert est égale à 0.175%.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : PRESENTATION DE LA SITUATION ACTUELLE
Chapitre 1 : Présentation générale de la Caisse d’Epargne de Madagascar
Section 1. La Caisse d‟Epargne de Madagascar
11. Historique de la CEM
12. Les missions de la CEM
13. Les objectifs de la CEM
131. Les objectifs économiques
132. Les objectifs financiers
133. Les objectifs sociaux
14. La structure organisationnelle de la CEM
141. L‟organigramme de la CEM
142. Les fonctions pour chaque Directions et services
1421. La Direction Générale
1422. La Direction des Etudes et du Marketing (DEM)
1423. La Direction des affaires juridiques
1424. La Direction des relations avec la clientèle
1425. La Direction des Opérations
1426. La Direction du patrimoine et Logistique
1427. La Direction des Ressources Humaines
1428. La Direction Administrative et Financière
1429. La Direction des systèmes d‟informations
1430. La Direction du Contrôle Interne
Section 2. Les produits et prix de la CEM
21. Les Ressources de la CEM
211. Le Livret d‟épargne (LE)
2111. Le compte ordinaire
2112. Le compte stable
212. Le Compte Spécial Epargne (CSE)
213. Le Compte Spécial Retraite (CSR)
22. Les Emplois de l‟épargne
221. Les Bons de Trésor par Adjudication (BTA)
222. La Caisse de Dépôt et Consignation (CDC)
23. Produit en partenariat avec la CEM
231. Western Union
Section 3. La communication et la distribution de la CEM
31. La communication de la CEM
311. La communication institutionnelle de la CEM
312. La communication sur les produits de la CEM
32. La distribution de la CEM
Section 4. L‟environnement concurrentiel
41. L‟environnement interne
42. L‟environnement technologique
Chapitre 2 : Le cadre d’études
Section 1. Le service de transfert d‟argent à Madagascar
11. Les faits actuels
12. Les acteurs dans le service de transfert d‟argent
121. Sur le plan international
122. Sur le plan local
13. Le cas de Western Union vis-à-vis de ces représentants à Madagascar
Section 2. Le cadre légal et réglementaire des institutions financières
21. Les institutions mutualistes financières
22. Institution de la micro finance de type bancaire
221. Accès Banque Madagascar
23. Les établissements bancaires
231. PAMF (Projet d‟Appui de la Micro finance)
232. MICROCRED
24. Les banques
241. La BOA Madagascar (Bank of Africa)
242. La BFV-SG (Banky Fampandrosoana ny Varotra – Société Générale)
243. La BNI-CA (Bankin‟ny Indostria – Crédit Agricole)
Section 3. Les limites réglementaires à une extension de la portée des IMF
Chapitre 3 : La théorie générale sur la stratégie Marketing
Section 1. Les concepts de base en Marketing
11. Le Marketing de Service
12. L‟esprit Marketing
13. La démarche Marketing
14. Les caractéristiques des biens et services
141. L‟intangibilité
142. L‟impossibilité de stockage
143. La participation des clients à la production de service
144. Le contact direct entre les clients et le personnel de service
145. L‟inconstance de la qualité des services
Section 2. Etudes de marché
21. Les intervenants
22. Les facteurs environnementaux
23. La segmentation d‟un produit
Section 3. Le positionnement d‟un produit ou d‟une entreprise
31. Définition
32. Les deux dimensions du positionnement
321. L‟identification
322. La différenciation
3221. Les attentes du public
3222. Les atouts potentiels du produit considéré
3223. Le positionnement des concurrents
33. Les axes possibles de différenciation
PARTIE II : ANALYSE DE LA SITUATION ACTUELLE EN MATIERE DE SERVICE DE TRANSFERT D’ARGENT
Chapitre 1 : Etudes de marché des produits concurrents en matière de service de transfert d’argent
Section 1. Diagnostics des produits de transfert d‟argent domestique des banques (cas de la BOA et BFV-SG)
11. Diagnostics de la situation de services offerts par la BOA
111. Les forces de la Bank Of Africa (BOA)
112. Les faiblesses constatées chez la BOA
12. Diagnostics de la situation actuelle de services offerts par la BFV-SG
121. Les forces de la BFV-SG
122. Les faiblesses de la BFV-SG
Section 2. Diagnostics des produits de transfert d‟argent par téléphonie mobile
21. Diagnostics des relations de services offerts par Airtel et la banque BOA
212. Les faiblesses d‟Airtel Madagascar
22. Diagnostics des relations de services offerts par Orange Madagascar et la banque BMOI
221. Les forces d‟Orange Madagascar
23. Diagnostics des relations de services offerts par TELMA et la banque BFV
231. Les forces de TELMA
2311. Le partenaire bancaire
2312. Les partenaires réseaux
23121. Tahiry Ifamonjena Amin‟ny Vola (TIAVO)
23122. JOVENNA
23123. LA CNAPS
24. Diagnostics des services offerts par Western Union
241. Les forces de Western Union à Madagascar
242. Les faiblesses de Western Union
Section3 : Résultats des enquêtes
31. Les principaux axes d‟analyses
311. Les critères de segmentation et les éléments à étudier
312. Les cibles de l‟étude de marché
313. L‟échantillonnage
31. Les clients potentiels exclusifs de la Caisse d‟Epargne de Madagascar
32. Les clients de la CEM et qui déposent des fonds à la banque
33. Les non clients de la CEM mais qui sont clients de la banque
34. Les non clients de la CEM ni clients de la banque
Chapitre 2 : Diagnostics de la situation actuelle de la CEM
Section 1. Les forces et faiblesses de la Caisse d‟Epargne de Madagascar
11. Les forces de la Caisse d‟Epargne de Madagascar
111. La segmentation de marché de la CEM
112. Les cibles de la CEM
113. Le positionnement de la CEM
1131. La CEM dans son environnement interne
11311. La fonction Administration de la CEM
113111. La gestion des moyens humains
113112. La gestion des moyens logistiques
113113. La gestion des moyens financiers
11312. La fonction Organisation de la CEM
113121. Organisation de travail
113122. Les moyens de contrôle
11313. La fonction Marketing de la CEM
1132. La CEM dans son environnement externe
114. La communication Marketing de la CEM
115. La force de vente de la CEM
116. Les agences de la CEM
1161. La couverture géographique de la CEM
1162. L‟organisation interne de la CEM
1163. La performance au niveau des agences de la CEM
12. Les faiblesses de la Caisse d‟Epargne de Madagascar
Section 2. Les opportunités et menaces de la Caisse d‟Epargne de Madagascar
21. Les opportunités de la Caisse d‟Epargne Madagascar
22. Les menaces de la Caisse d‟Epargne de Madagascar
Chapitre 3 : Les problèmes liés à la Caisse d’Epargne de Madagascar
Section 1. Problèmes au niveau du personnel de la CEM
11. Personnel non qualifié pour le nouveau produit de transfert d‟argent locale
12. Services clientèles mal exploités
Section 2. Problèmes au niveau de la techno-logistique
21. Agences mal organisées
22. Locaux exigus
23. Insuffisance de parking
Section 3. Problèmes au niveau de la communication
31. Manque de communication sur le produit
32. Inexistence d‟un département chargé de la communication
33. Inexistence des Publicités sur les Lieux de ventes
34. Carence en matière de relation externe avec la clientèle et son environnement
Section 4. Problèmes au niveau de l‟administration
41. Procédure trop lourde
42. Caisses de retrait et de dépôt confus
Section 5. Problème au niveau du réseau de distribution
51. Réseau de distribution trop court
Section 6. Problème au niveau du prix
61. Taux d‟intérêt annuel de l‟année 2010 non payé
PARTIE III : SOLUTIONS PROPOSEES ET RECOMMANDATIONS
Chapitre 1 : Création d’un nouveau produit de transfert d’argent locale
Section 1. Solution d‟un nouveau produit
Section 2. Présentation du nouveau produit
21. Le transfert d‟argent « Cash To Cash » (CTC)
22. Les caractéristiques du nouveau produit
23. Mécanisme
24. Proposition de procédure
25. Les avantages du transfert d‟argent Cash To Cash au sein de la CEM
26. Les inconvénients du CTC
27. Les directions et Parties concernées de ce nouveau produit
Chapitre 2 : Les solutions ligotées à la stratégie de la CEM
Section 1. Les solutions liées à la stratégie opérationnelle de la CEM
11. Les solutions au niveau du personnel de la CEM
111. Former le personnel à la qualité d‟accueil et au nouveau produit de transfert
112. L‟importance du personnel en contact, marketing relationnel, marketing interne et marketing externe
12. Solutions au niveau de la techno-logistique de la CEM
121. Améliorer l‟état des agences et locaux
122. Organiser et aménager les locaux et agences
13. Solutions au niveau de la communication de la CEM
131. Matérialiser l‟offre et donner une image de compétence et de disponibilité. 89XIX
132. Créer un département chargé de la communication
1321. L‟importance de la communication au sein de la CEM
13211. La communication interne
13212. La communication marketing
133. Implanter des PLV au niveau des agences de la CEM
134. Organiser et participer à des événements
14. Solutions au niveau de l‟administration
141. Simplifier les procédures de dépôt et de retrait
142. Organiser les méthodes de travails des agences
15. Solution au niveau de la distribution
151. Amplifier le nombre des agences
16. Solution au niveau du prix
161. Proposition en matière de politique de prix
1611. Les contraintes externes déterminant la tarification
1612. La politique de prix adaptée à la clientèle de masse
162. Les suggestions sur le compte « épargne »
Section 2. Les solutions relatives à la stratégie fondamentale de la CEM
21. Les nouveaux objectifs de la CEM
22. La nouvelle mission de la CEM
Section 3. Les recommandations pour la CEM
311. Le rôle de la veille
312. Les étapes du processus de veille
3121. L‟analyse des besoins
3122. La recherche ou collecte d‟information
31221. Les types de sources et d‟informations
3123. Le traitement de l‟information
3124. La Diffusion
Chapitre 3 : Solutions et résultats pour le nouveau produit de transfert d’argent locale
Section 1. Les solutions relatives au nouveau produit
11. Les stratégies de lancement du produit de transfert d‟argent Cash To Cash
111. L‟audace
112. La prudence
12. Mise en place de deux agences pilotes
13. Le choix des supports média pour le nouveau produit
Section 2. Les résultats attendus du nouveau produit de transfert CTC
21. Les résultats attendus au niveau de la Caisse d‟Epargne de Madagascar
211. Résultats au niveau de la qualité d‟accueil
212. Résultats au niveau de l‟organisation des agences
213. Résultats au niveau des états des locaux
22. Les résultats attendus au niveau de la clientèle de la Caisse d‟Epargne de Madagascar
221. Résultats économiques
222. Résultats financiers
223. Résultats sociales
Section 3. Le budget prévisionnel pour le nouveau produit
CONCLUSION
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE I : Questionnaire des clients exclusifs de la CEM
ANNEXES II : Questionnaire des clients de la CEM et de la Banque
ANNEXES III : Questionnaire des non clients de la CEM mais qui déposent à la banque
ANNEXE IV : Questionnaire des non clients de la CEM ni de la Banque
BIBLIOGRAPHIE
Télécharger le rapport complet