LA THEORIE DE L’ATTACHEMENT

LA THEORIE DE L’ATTACHEMENT

Cadre conceptuel

Le placement

Étant l’une des principales notions de notre question de départ, nous avons choisi de commencer par celle-ci, nous allons définir et expliquer les enjeux du placement en institution.
Depuis l’Antiquité, des enfants ont été placés dans des familles dites d’accueil, pour de multiples raisons : familiales et sociopolitiques, en référence à la morale d’une époque. D’après Malinsky (2005), ce sont les difficultés familiales qui ont constitué́ l’indication d’un tel déplacement de l’enfant hors de sa famille d’origine. Il s’agissait de soulager la souffrance de l’enfant, alors reliée à l’incapacité́ de ses parents à lui offrir un environnement affectif et éducatif favorable à son épanouissement.
Le placement signifie l’action de placer, de « mettre (quelqu’un) à une certaine place, à un endroit déterminé, en un certain lieu » (Le Parisien, 2016). Il désigne un fait social et implique l’acte de séparer, d’éloigner, de mettre à distance de son milieu d’origine.
Nous savons qu’un enfant devrait évoluer dans un milieu familial favorable à son développement. Les parents devraient être capables d’assurer la continuité et la qualité de son projet de vie. Les enfants placés s’avèrent être le plus souvent issus de familles présentant une pathologie du lien. S’ils avaient grandi dans leur famille, nous supposons que leur développement en aurait été altéré. En les séparant de ce milieu perçu comme défavorable, et en les accueillant dans un autre lieu, les professionnels espèrent les protéger en partie d’effets nocifs directs sur leur développement physique, intellectuel et psychoaffectif.
Selon Abillama-Masson (Abi121), pendant un certain temps, aller vivre ailleurs que dans sa famille était une pratique courante. Ensuite, à partir du XIXe siècle, le placement perd de son aspect coutumier pour être considéré de façon négative par une certaine catégorie de population. Il est alors mis au service de pratiques à visée pédagogique, dites « pédagogie de la séparation », à l’égard, notamment, des enfants dits marginaux et de classes sociales défavorisées. Il vient sanctionner une déviance et se réfère à une situation d’inadaptation sociale. Cela reste encore le cas actuellement.
Le placement représente la mesure la plus drastique qui peut être ordonnée. Cette mesure est mise en place uniquement si aucune autre forme de prise en charge socio éducative n’est envisageable. La loi distingue différents types de placement :
– Placement d’enfants à la journée (art. 30ss LJe)
– Placement avec hébergement chez des parents nourriciers (art. 34ss LJe)
– Placement en vue de l’adoption (art. 37ss LJe)
– Colonies, camps de vacances, homes et internats ne dispensant pas de prestations éducatives spécialisées (art. 39ss LJe)
– Placement institutionnel (art. 43ss LJe) (GSR, 2019)
En Valais, le placement institutionnel est mis en place lorsque le développement d’un enfant est entravé ou en danger et qu’il n’est pas possible de le protéger. Ordonnance fédérale du 19 octobre sur le placement d’enfants (OPE)
Art. 13 Régime de l’autorisation :
« 1 Sont soumises à autorisation officielle les institutions qui s’occupent d’accueillir :
a. Plusieurs enfants, pour la journée et la nuit, aux fins de prendre soin d’eux, de les éduquer, de leur donner une formation, de les soumettre à observation ou de leur faire suivre un traitement ;
b. Plusieurs enfants de moins de 12 ans, placés régulièrement à la journée (crèches, garderies et autres établissements analogues).
2 Sont dispensés de requérir l’autorisation officielle :
a. Les institutions cantonales, communales ou privées d’utilité́ publique soumis- es à une surveillance spéciale par la législation scolaire, sanitaire ou sociale ».
Enfin le rapport (Seiterle, 2018) de l’association professionnelle pour l’éducation sociale et la pédagogie spécialisée (PACH), offre un aperçu des placements d’enfants en famille d’accueil et en institution de 2015-2017. A ce jour, la Suisse ne dispose toujours pas de données statistiques fiables et actualisées sur le placement d’enfants et d’adolescents en famille d’accueil et en institution. Ce manque de données pose des lacunes importantes. C’est pourquoi l’association s’est engagée à combler ces lacunes. Il ressort de l’analyse quantitative que lors des années 2015-2017 une moyenne d’environ 1,1% à 1,2% des personnes résidant en Suisse et âgées de 0 à 18 ans étaient placées. Ce chiffre représente un total de quelques 18 000 à 19 000 d’enfants et jeunes placés, dont 4700 à 5800 dans des familles d’accueil et 12 000 à 14 200 dans des foyers pour enfants et adolescents, soit 0,7% à 0,8% de la population résidante. Toutes ces situations de séparation se retrouvent sous le terme générique de placement.
Lors de l’entretien exploratoire, le jeune explique avoir mal vécu son entrée en institution. Il se souvient de l’âge auquel il est arrivé, 9 ans. Cette période de sa vie le marque encore actuellement. En effet, quitter son environnement familial et ses amis fut une étape éprouvante pour lui. Selon Michel Chapponnais (2009) le fait d’institutionnaliser un enfant représente une certaine violence pour lui-même et sa famille.
Toujours selon Michel Chapponais (2009), le placement est représenté de nos jours comme étant un « acte de déconstruction » de la famille plutôt qu’un « acte de reconstruction de l’enfant. Dans les années 1950, le placement était une réponse sociale facile, « le placement systématique des très jeunes enfants a été mis en cause, au nom du traumatisme de la séparation » (Chapponnais, 2009, p. 78). De nos jours, des rapports concernant la politique de l’Aide sociale ont permis d’améliorer les pratiques et ainsi le vécu des jeunes institutionnalisés.
L’institutionnalisation a des effets socio-affectifs sur les enfants. On remarque qu’à travers le temps l’accompagnement en milieu institutionnalisé change, actuellement les enfants bénéficient d’un suivi plus individuel et cela n’a pas toujours été le cas.

La théorie de l’attachement

Nous décidons d’aborder le sujet de l’attachement, car souvent central dans la dimension du placement. Le cours de Madame Torrisi Raphaella (2019) a permis d’avoir des bases théoriques. La théorie de l’attachement développée par Bowlby dans les années 1950, explique que l’enfant a besoin d’un lien affectif spécifique. Ce lien affectif est nécessaire à garantir un attachement sécure au nourrisson.
L’attachement est un besoin primaire, avec une fonction de protection du bébé, il va être à la base d’échanges interactionnels. La capacité d’aimer est développée précocement dans les premières relations avec la mère ou le père. Cette capacité d’aimer est un atout pour le développement. Un nourrisson a besoin d’un attachement sécurisant et stable. L’enfant apprendra par la suite se séparer de cette figure d’attachement, ce qui est douloureux mais indispensable à son ouverture au monde extrafamilial.
Lorsque ce lien d’attachement est insécure, au cours de l’adolescence, le jeune s’isole. Son comportement devient agressif, il ne demande aucune aide, affiche une maladresse, dissimule ses sentiments de colère. Il n’a ni contact social, ni intimité. Ce sont des constats cliniques qui permettent de détecter des troubles de l’attachement.
L’environnement a un impact fondamental sur l’identité individuelle que se forme l’enfant. Dans notre problématique, l’institutionnalisation a une place importante dans l’identité de l’enfant.

L’identité sociale

Aujourd’hui, l’identité est fréquemment usitée, elle relève d’un discours banal et courant. Pourtant, en réalisant nos recherches nous constatons que l’identité peut être défini de différente manière. Il existe plusieurs formes d’identité, car elles sont étudiées dans de nombreux domaines tels que la psychologie, la sociologie, la philosophie, la biologie et la géographie.

La définition de l’identité sociale selon différents auteurs

L’identité sociale selon Mucchielli A. (1992), est l’ensemble des critères qui permettent une définition sociale de l’individu ou du groupe, c’est-à-dire qui permette de le situer dans la société. Chaque individu a différents rôles qu’il doit remplir au sein du groupe auquel il appartient. La notion d’identité est liée à la structure sociale parce qu’elle se caractérise par l’ensemble des appartenances de l’individu dans le système social.
Lors de l’entretien exploratoire effectué avec un jeune ayant quitté la structure institutionnelle, il nous a fait part de sa relation avec les autres enfants placés. Il a en effet conscience de ses difficultés scolaires et de gestion de la colère, mais ne semble pas trouver de similitudes avec les autres enfants. Il nous les définit comme anormaux et ne se définit pas « comme eux », ayant conscience de ses capacités. L’identité sociale se manifeste par rapport à d’autres groupes ou catégories de nonappartenance.
Selon la définition de Mucchielli A. (1992), l’identité sociale est l’ensemble des critères qui permettent une définition sociale de l’individu ou du groupe c’est-à-dire de se situer dans la société. En effet, chaque individu se caractérise, d’un côté, par des traits d’ordre social qui indiquent son appartenance à des groupes ou catégories et de l’autre, par des traits d’ordre personnel, des attributs plus spécifiques de l’individu.
D’après Henri Tajfel (1972), l’identité sociale d’une personne se réfère à sa connaissance de son appartenance à certains groupes sociaux et à la signification émotionnelle et évaluative qui résulte de cette appartenance. C’est donc à travers son appartenance à différents groupes que l’individu acquiert une identité sociale qui définit la place particulière qu’il occupe dans la société. Comme le remarque Lucy Baugnet (1998), l’identité sociale se définit à partir des effets de la catégorisation sociale qui découpe, pour un individu, son environnement social de manière à faire apparaître son propre groupe et les autres.
Lors de notre entretien, le jeune nous fait remarquer qu’il ne se reconnaît pas dans les caractéristiques du groupe de l’Institut, il les trouve différentes. Nous lui demandons ainsi s’il a des amis en dehors de l’institution. Il nous répond ; « j’ai cinq amis proches avec lesquels je me retrouve tous les weekends pour jouer à la console ». A partir de cet exemple, nous mettons en lien cette citation de Deschamps et Devos (1999, p. 151) : « l’identité se perçoit comme semblable aux autres de même appartenance « le nous », mais aussi à une différence, à une spécificité de ce « nous » par rapport à d’autres groupes. Plus il y aura identification à un groupe, plus il y aura de différenciation de ce groupe avec d’autres groupes ».
A travers cette analyse, nous nous sommes rendu compte de l’importance du groupe d’appartenance, et de l’importance de la société dans la construction de l’identité sociale de l’enfant.

L’identité personnelle / l’identité individuelle

Nous remarquons qu’il existe plusieurs formes d’identité, notamment l’identité sociale, individuelle, personnelle, professionnelle. Néanmoins, il est important de comprendre l’identité personnelle. Celle-ci apporte des notions quant au processus psychologique de l’individu. En psychologie sociale, l’identité personnelle désigne un processus psychologique de représentation de soi qui se traduit par le sentiment d’exister dans une continuité en tant qu’être singulier et d’être reconnu comme tel par autrui. C’est un ensemble des caractéristiques qu’un individu considère comme siennes et auxquelles il accorde une valeur socio-affective (Fischer, 1996).
L’identité personnelle comporte aussi bien des éléments liés aux rôles sociaux et à l’appartenance aux groupes que des éléments plus anciens, comme les valeurs liées à sa socialisation première et à son histoire personnelle, faisant à la fois sa différence et son unicité. Au cours de notre entretien nous avons pu constater l’importance du groupe d’appartenance, le jeune ne s’identifie pas au groupe dans lequel on semble l’attribuer. Malgré tout, dans son groupe d’amis, il nous décrit avoir une place et reconnaître son individualité.
De cette manière, nous nous sommes intéressés à l’identité individuelle. Cette identité est un système dynamique de valeurs, de représentations du monde, de sentiments nourris par les expériences passées, et de projets d’avenir se rapportant à soi. Il nous semble important de prendre en compte l’individualité de la personne. Ainsi, le placement n’est pas vécu de la même manière par chaque enfant.
Au cours de nos recherches, grâce aux enseignements et à l’entretien exploratoire, nous remarquons qu’il existe un lien entre l’individu, le groupe et l’environnement dans lequel il évolue et que ceux-ci s’influencent.

L’image de soi

Nous décidons d’aborder le concept de l’image de soi, car celui-ci permet de définir la perception de soi. L’individu se perçoit par rapport à ce que l’autre lui renvoie de sa propre perception. Selon Dominique Picard (2008), la création de l’identité étant un processus que nous construisons dans le contact avec l’autre par identification et différenciation et à ce que nous percevons de l’image qu’ils ont de nous.
« On voit donc qu’à travers la question de son identité, chacun pose aussi celle de ses limites et de sa place par rapport à autrui dans un mouvement constant d’assimilation et de différenciation (Marc, 2005) : non seulement les autres ont à voir avec mon identité, mais sans « Autrui », « Je » n’existerait pas. » (Picard, 2008). C’est pourquoi pour pouvoir créer son identité, il est nécessaire de se percevoir dans le regard de l’autre.

Définition

L’image de soi concerne toute la population qu’il s’agisse des politiciens, des professionnels de la télévision ou encore du grand public. Le concept d’image de soi représente la façon dont nous nous percevons. C’est-à-dire, la représentation de l’image de chacun d’entre nous que nous nous faisons de soi et de notre corps. Cette notion est fortement liée au concept d’estime de soi. Lorsque nous portons un regard sévère sur notre apparence ou par exemple sur une partie de notre corps, nous pouvons avoir le ressenti d’être « nul » ou « peu important ». Nous faisons, en quelque sorte, une auto-évaluation de soi et de nos qualités et de nos compétences. Pour revenir à la définition de l’image de soi, cette notion est « assimilée à l’image que nous renvoie notre corps et à l’interprétation que l’on en fait ». (Grassi, 2008)

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Table des matières
PREAMBULE 
1 INTRODUCTION
2 PROJET DE RECHERCHE
2.1 ORIGINE DU QUESTIONNEMENT
2.2 HYPOTHESES DE DEPART
2.3 MOTIVATIONS
2.4 LIENS AVEC LE TRAVAIL SOCIAL
2.5 QUESTION DE RECHERCHE
2.6 OBJECTIFS DE LA RECHERCHE
2.7 PLAN DE RECHERCHE
2.8 NOS ATTENTES SUR LA SUITE DU TRAVAIL DE RECHERCHE
3 CADRE CONCEPTUEL
3.1 LE PLACEMENT
3.1.1 LA THEORIE DE L’ATTACHEMENT
3.2 L’IDENTITE SOCIALE
3.2.1 LA DEFINITION DE L’IDENTITE SOCIALE SELON DIFFERENTS AUTEURS
3.2.2 L’IDENTITE PERSONNELLE / L’IDENTITE INDIVIDUELLE
3.3 L’IMAGE DE SOI
3.3.1 DEFINITION
3.3.2 L’IMAGE DE SOI POSITIVE VS L’IMAGE DE SOI NEGATIVE
3.4 LA DEVALORISATION SOCIALE
3.5 LA STIGMATISATION
3.5.1 LA NOTION DE STIGMATISATION ET DE STIGMATE SELON ERVING GOFFMAN
3.5.2 UNE SOCIETE AVEC DEUX TYPES DE PERSONNES
3.5.3 LIENS ENTRE LA NOTION DE STIGMATE ET DE L’IDENTITE SOCIALE
3.6 MISE EN LIEN DES CONCEPTS ET DES NOTIONS
3.7 HYPOTHESES
4 METHODOLOGIE DE RECHERCHE 
4.1 DESCRIPTIF DES TERRAINS
4.2 ÉCHANTILLONS DE RECHERCHE
4.3 TECHNIQUES DE RECOLTES DE DONNEES
4.4 LES ENTRETIENS
4.5 LES RISQUES
4.6 ÉTHIQUE DE LA RECHERCHE
5 RESULTATS ET ANALYSE DES ENTRETIENS
5.1 PRESENTATIONS DES JEUNES INTERVIEWES
5.2 DESCRIPTIFS DES ENTRETIENS
5.2.1 EXPLICATION DE LA RÉCOLTE DE DONNÉE
5.2.2 LE QUESTIONNAIRE DE ROSENBERG
5.2.3 LE QUESTIONNAIRE SELF-PERCEPTION PROFILE FOR ADOLESCENTS (S.P.P.A.) DE HARTER
5.3 DESCRIPTION DES RÉSULTATS
5.3.1 ANALYSE DU QUESTIONNAIRE DE ROSENBERG
5.4 RÉSULTAT DES SCORES DU QUESTIONNAIRE DE ROSENBERG
5.5 ANALYSE DE L’ENTRETIEN SEMI-DIRECTIF BASÉ SUR LES ITEMS DU SELF-PERCEPTION PROFILE FOR ADOLESCENTS
(S.P.P.A.)
5.5.1 ITEM 1 : LA PERCEPTION DE LA COMPETENCE SCOLAIRE PAR LES JEUNES
5.5.2 ITEM 2 : L’APPROBATION DU PLACEMENT PAR LES JEUNES INSTITUTIONNALISE PERMETTE L’ACCEPTATION
SOCIALE
5.5.3 ITEM 3 : CONDUITE : LA PERCEPTION D’UNE ATTITUDE POSITIVE PAR LES JEUNES LES VALORISE
5.5.4 ITEM 4 : LA CONCEPTION ET LA CREATION DE LIENS D’AMITIES PERMETTENT L’ACCEPTATION SOCIALE
5.5.5 ITEM 5 : LA PERCEPTION DU DEGRE DE SATISFACTION DU JEUNES PLACES AU QUOTIDIEN
6 BILAN DE LA RECHERCHE
6.1 RESULTAT ET ANALYSE SUITE AUX HYPOTHESES POSEES
6.1.1 HYPOTHESE 1 : LE PLACEMENT DEVALORISE LES ENFANTS PLACES
6.1.2 HYPOTHESE 2 : LE PLACEMENT INFLUENCE L’IMAGE QU’A L’ENFANT PLACE DE LUI MEME
6.2 SYNTHESE DE LA RECHERCHE : LE PLACEMENT IMPACTE-T-IL DE MANIERE NEGATIVE LA PERCEPTION (DE SOI) DE L’ENFANT PLACE ?
6.3 BILAN ET CRITIQUE DE LA RECHERCHE
6.3.1 LES DIFFICULTES
6.3.2 LA COLLABORATION
6.4 PERSPECTIVES POUR LES PROFESSIONNELS EN TRAVAIL SOCIAL
6.4.1 PISTES D’INTERVENTION DE LA RECHERCHE
6.4.2 REFLEXIONS PERSONNELLES
6.5 CONCLUSION
7 BIBLIOGRAPHIE
7.1 OUVRAGES ET ARTICLES
7.2 COURS HES-SO
8 ANNEXES
8.1 ANNEXE 1 : LES EMOTIONS SUGGEREES LORS DES ENTRETIENS INSTITUTIONNELS
8.2 ANNEXE 2 : QUESTIONNAIRE DE ROSENBERG
8.3 ANNEXE 3 : QUESTIONNAIRES SELF-PERCEPTION PROFILE FOR ADOLESCENTS (S.P.P.A.) DE HARTER
8.4 ANNEXE 4 : RETRANSCRIPTION D’UN ENTRETIEN INSTITUTIONNEL
8.5 ANNEXE 5 : SYNTHESE DES REPONSES DES JEUNES PAR RAPPORT AUX ITEMS DE HARTER
8.6 ANNEXE 6 : EXTRAITS DES ENTRETIENS CONCERNANT LA SEPARATION AVEC LEUR ENVIRONNEMENT SOCIAL / FAMILIAL
8.7 ANNEXE 7 : EXTRAIT DES ENTRETIENS CONCERNANT LE RESSENTI DES JEUNES A L’ARRIVEE AU FOYER .

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