La théorie de la société post-industrielle, selon Daniel Bell
Selon Bell, qui s’appuie sur les travaux antérieurs d’économistes (Fuchs, Clark, Baumol, Fourastié), la tertiarisation en cours va se poursuivre parce que deux « lois » aux effets durables convergent pour la susciter. Du côté de la consommation finale, la « loi d’Engel » implique qu’en situation de croissance du pouvoir d’achat la demande des ménages porte successivement sur des biens primaires, puis sur des biens secondaires, principalement issus de l’industrie (accès à la consommation de masse, logement, automobile), et enfin sur des biens « supérieurs » qui sont pour l’essentiel des services. En d’autres termes, la croissance économique entraîne la tertiarisation de la demande finale. Du côté de la production, une seconde « loi économique » est à l’oeuvre : celle qui veut que le rythme de croissance de la productivité du travail soit en moyenne plus rapide dans l’industrie que dans les services. Plusieurs arguments empiriques et théoriques sembleraient confirmer la validité de cette loi.
La conséquence est alors claire : même si les demandes relatives de biens et de services évoluaient parallèlement, la seconde loi impliquerait une progression de l’emploi tertiaire plus rapide que celle de l’emploi industriel. La première loi énonçant que la demande finale de services croît plus rapidement, la tertiarisation de l’emploi est encore renforcée. Utilisant une analogie avec l’emploi agricole, Bell annonce l’envahissement progressif de la quasi-totalité de l’emploi par les services. C’est à ce genre de résultat qu’était parvenu William Baumol en 1967, sur la base d’un modèle macroéconomique assez simple qui constitue toujours une référence.
La progressive domination du tertiaire supérieur à caractère collectif, Victor Fuchs, auteur en 1968 d’un ouvrage pionnier. The Service Economy, avait déjà insisté sur ce point, que devait développer ensuite Joachim Singelmann [1976] à l’occasion d’une recherche comparative internationale. Pour apprécier la façon dont la structure interne du secteur tertiaire 6 Jean Gadrey, (2003), « Socio- économie des services », la decouverte,, 3eme édition, p.22-23 se transforme, Bell fait à nouveau appel à la « loi d’Engel », appliquée cette fois à une hiérarchie de services dont la demande s’exprimerait de façon décalée au cours de la croissance économique. Dans un premier temps viennent les services accompagnant les révolutions industrielles (transports, eau, gaz et électricité). Puis la demande s’oriente vers des services associés à la progression de la consommation de masse et de l’équipement des ménages (les services du « fordisme » : commerce, banque, immobilier, assurances). On en reste encore, à ce stade, à des services gravitant autour de la production et de la consommation de biens. La société de services commence à s’affirmer pour elle-même avec l’émergence de la demande de services personnels liés aux loisirs, à la culture, aux spectacles, etc. Elle atteint enfin son apogée avec l’exigence de services à caractère collectif, de bien-être et de formation : santé, éducation, environnement, services publics et administratifs.
La nature et la qualification des activités professionnelles dans la société postindustrielle. Une société dominée par les services, et en particulier par les services supérieurs, est le siège d’une transformation de la nature même de l’activité individuelle, qui, de plus en plus, se déroule selon des contacts directs entre personnes et consiste à produire et à échanger des informations et des savoirs. Deux thèmes sont ici exploités : d’une part, l’interactivité (entre prestataire et usager), caractéristique des services post-industriels ; d’autre part, et surtout, le fait que ce modèle d’économie et de société est centré sur le savoir, sur la maîtrise de l’innovation et sur des technologies à fondement scientifique.
Une nouvelle « structure de classe » et de nouveaux systèmes de valeurs et de gestion. il résulte de l’ensemble de ce qui précède que le système des classes sociales caractéristique de la société industrielle se trouve bouleversé, en particulier par la disparition progressive de la « question ouvrière » et par la montée en puissance d’une classe de cols blancs diplômés, scientifiquement qualifiés, professionnels et para professionnels dont les représentants dominent précisément les services supérieurs (santé, éducation, culture et information, scientifiques et ingénieurs, professionnels des services aux entreprises).
La société programmée, selon Alain Touraine
La démarche d’Alain Touraine (La Société postindustrielle, 1969) est sensiblement différente, et insiste plus nettement sur les enjeux à la fois culturels et conflictuels du nouveau type sociétal. Non plus réductible à la seule accumulation du capital, la croissance dépend de facteurs sociaux de plus en plus diversifiés, de contributions indirectes à la production : éducation, consommation, information… Dans ce cadre, la nature de la domination et du conflit social se trouve modifiée, au delà de l’opposition classique du capital et du travail. Pour A. Touraine, l’appareil de production impose des conduites (dans le travail, mais aussi dans la consommation et la formation) qui soient en accord avec ses objectifs. Par ailleurs, il agit autant sur les besoins et les pratiques culturelles que sur le travail. Aussi, les mouvements sociaux inhérents à cette société sont plus de nature culturelle qu’économique. Le mouvement de Mai 68 sera, selon lui, emblématique de nouvelles mobilisations centrées sur la personnalité, la « vie privée », l’imagination, luttant contre la « pseudo-rationalité impersonnelle ». L’action collective déborde désormais la seule sphère du travail.
Les approches néo-industrielles macroéconomiques d’inspiration classique ou marxiste
Les conceptions dont il est question tiennent à analyser le rôle économique des services en partant de l’industrie, On distinguera trois types d’analyses :
Des analyses se réfèrent explicitement au caractère improductif des services, ou de certains d’entre eux. Dans ce cas, les services, qui ne sont pas considérés comme créateurs de richesses, ne sont pas nécessairement voués aux gémonies. Ils peuvent constituer un « mal nécessaire », pour autant qu’on en contienne l’expansion. La crise (ou le ralentissement économique) des économies développées, à partir des années 1970, est largement imputée à l’importance et au coût social excessifs des activités tertiaires. Cette variante de la pensée industrialiste considérant plus ou moins les services comme improductifs a exercé ses effets jusqu’aux années 1990, y compris au plus haut niveau des orientations de politique économique, de droite ou de gauche, comme si Smith et Marx continuaient à se donner la main pour influer ensemble sur des représentations que toutes les données de ce livre démentent. En 1991, Raymond Barre, ancien Premier ministre, écrivait : « L’industrie manufacturière est le fondement de la compétitivité. La « société de services » s’appuie sur l’industrie manufacturière, puisque la création d’emplois dans les services est pour une large part subordonnée à l’industrie ». Notre effort doit se porter d’abord sur la production et, notamment, la production industrielle, sur la création de vrais emplois qui sont des emplois directement productifs. » .
Des analyses de Petit en 1986 considèrent l’emploi tertiaire comme un « refuge » ou une « éponge » en situation de crise (ce qui n’est pas toujours connoté négativement), ou comme un phénomène négatif de « prolifération » pesant sur le fonctionnement efficace de l’économie. Les raisons qui pourraient rendre compte de la capacité particulière du secteur tertiaire à créer ou à retenir des emplois en période de ralentissement économique sont très diverses selon les auteurs : fonctionnement non concurrentiel de marchés locaux ; stratégies de gestion de la main-d’oeuvre dans les services privilégiant les bas salaires et les statuts dévalorisés ; stratégies (liées aux précédentes) freinant la modernisation, l’investissement et, par conséquent, la progression de la productivité du travail selon Thurow, suscitant ainsi des créations d’emplois dans des conditions de faible efficacité. On peut également citer à ce titre l’analyse de Cohen et Zysman [1987], pour lesquels « la croissance des services est un moyen d’utiliser, à de bas niveaux de salaires et pour tenir des rôles sans perspectives, un afflux de femmes sur le marché du travail ».
Des analyses de Cohen et Zysman en 1987 la dynamique industrie-services font jouer à l’industrie le rôle moteur. D’une part, on trouve ici des approches de la compétitivité internationale selon lesquelles l’industrie déterminerait les performances économiques d’ensemble d’un pays et, par ce biais, l’expansion tertiaire autorisée. D’autre part, certaines analyses menées dans des cadres nationaux entendent, elles aussi, démontrer que les services sont «subordonnés » à l’industrie, en ce sens que l’activité industrielle aurait d’importants effets induits sur son environnement de services, la réciproque étant beaucoup moins vraie. A cela s’ajouterait le fait que l’industrie crée plus de valeur ajoutée par salarié, qu’elle « tire » les salaires des services, que sa productivité progresse plus rapidement et qu’elle serait le lieu des innovations technologiques majeures. le poids du tertiaire marchand dans l’emploi coïncidait presque avec son poids dans la valeur ajoutée, ce qui montre que la valeur ajoutée par salarié.
Une théorie néo-industrielle originale (L’économie du self-service)
Selon cette théorie le consommateur a le choix entre l’achat de biens et celui de services pour obtenir un type de satisfaction donné. La critique fondamentale adressée par l’auteur à Bell est la suivante : l’analyse de la demande des consommateurs en biens et en services ne doit pas s’appuyer directement sur des familles de biens ou de services, mais sur des familles de satisfactions, de besoins ou de fonctions. Le consommateur n’achète pas un bien ou un service pour lui-même, mais selon des besoins ressentis. Ainsi, s’il éprouve le besoin d’être transporté d’un point à un autre, il ouvre dans l’espace de ses besoins une fonction, dont la réalisation sera une satisfaction. Mais cette même fonction peut être remplie de deux façons. D’une part, en achetant un service. Dans ce cas, un prestataire prend en charge l’opération (services de transports, taxis…). D’autre part, en achetant un bien (véhicule personnel). Alors, la fonction sera remplie en combinant ce bien avec du travail domestique (fonction domestique de production d’une satisfaction). Les exemples de tels arbitrages abondent : repas au domicile/ repas à l’extérieur ; entretien domestique du linge/services des blanchisseries- teintureries ; faire le ménage soi-même/payer du personnel domestique ; cinéma, concerts et spectacles vivants/ télévision et chaînes haute fidélité. On peut contester qu’il s’agisse exactement de la même « satisfaction » dans l’une et l’autre de chaque alternative, mais on ne peut nier qu’il y ait des formes de substitution, au moins partielle, ce qui pourrait justifier l’usage d’une même « fonction ».
Pour terminer sur ce point, Gershuny ne conteste pas l’usage de la « loi d’Engel » en matière de transformation de la structure de la consommation finale lorsque le niveau de vie augmente, à condition d’appliquer cette loi aux fonctions (ou familles de besoins). Mais selon lui, contrairement à l’un des axes logiques du raisonnement de Bell, on ne peut rien en conclure quant à l’évolution de la demande relative de biens et de services. Par exemple, le fait que la fonction « culture, spectacles » prenne de plus en plus d’importance en regard de la fonction « alimentation » peut fort bien s’accompagner dans les deux cas d’une progression de l’achat de biens (alimentaires, culturels, équipements), par rapport à l’achat de services (restaurants, cinémas, spectacles). C’est d’ailleurs, selon l’auteur, ce qui tend à se produire. Selon cette théorie la part de l’emploi tertiaire devrait progresser bien que de façon ralentie.
Deux raisons amènent l’auteur à penser que le poids relatif de l’emploi tertiaire pourrait continuer à croître :
D’une part, une fraction importante et grandissante de l’emploi tertiaire est en fait concentrée dans des services destinés à l’industrie, dans le commerce, le financement et l’assurance des biens, leur réparation et leur entretien, etc. Ce sont des services dont la croissance accompagne celle d’une économie dominée par les biens ;
D’autre part, indépendamment de ce phénomène, il n’y a aucune raison pour que les structures de la consommation finale et de l’emploi évoluent de concert, et il y a même une raison majeure pour qu’elles divergent : l’écart de productivité plusieurs fois mentionné, qui fait que la production d’un volume relativement croissant de biens peut s’accompagner d’une réduction relative de l’emploi industriel, parce que la productivité progresse plus rapidement dans ce dernier secteur.
La théorie de la société informationnelle
Les principales thèses industrialistes en vogue au cours des années 1980 et jusqu’au milieu des années 1990 sont aujourd’hui assez essoufflées. Depuis la fin des années 1990, une théorie fort intéressante a pris le relais. C’est celle de la « société informationnelle », dont la variante la plus connue est sans doute celle de Manuel Castells [1996], actualisée sur le plan empirique en 2002 par Castells et Aoyama [2002]. Ces chercheurs prolongent, en la renouvelant, une problématique qui remonte aux travaux de l’économiste Marc Porat [1977] sur la mesure de l’économie de l’information.
L’idée de ces chercheurs est la suivante : ce qui caractérise le plus profondément l’économie et le travail (et, au-delà, les relations sociales) dans les économies développées de la fin du xx siècle ne réside pas dans la place prépondérante — qu’ils admettent — des services dans l’emploi, mais dans la montée en puissance des activités de traitement de l’information.
L’opposition biens-services (que privilégient les théories post-industrielles dont ces auteurs se démarquent) est selon eux secondaire par rapport à l’opposition biens-information : « En 2000, le traitement de l’information a effectivement remplacé le traitement des biens comme activité centrale, et cela s’est reflété dans la structure de l’emploi. » La notion d’information doit ici être entendue dans un sens très large, incluant la production et la diffusion de connaissances. Elle n’est pas limitée aux informations codées, celles qui peuvent être traitées automatiquement par l’ordinateur et qui circulent dans les systèmes techniques d’information. Mais les nouvelles technologies de l’information (NTI) jouent néanmoins pour eux un rôle décisif et moteur dans l’expansion d’un « nouveau système informationnel ». Ces thèses rejoignent, en étant beaucoup moins caricaturales, celles qui avaient annoncé dès décembre 1996 aux États-Unis selon Gadrey en 2002 le « triomphe de la nouvelle économie », avant d’être mises en échec par la débandade de la spéculation boursière à partir de mars 2000. Elles participent elles aussi d’un certain retour de l’optimisme technologique (l’attente toujours déçue — pour l’instant — d’un rebond de la productivité et de la croissance sous l’effet des NTI), mais elles méritent un examen sérieux car, contrairement à la propagande des lobbies de la nouvelle économie, elles sont argumentées avec soin et transparence sur le plan théorique et empirique.
présentation des structures de gouvernance
Structures et Cadres de Gouvernance
S’appliquant à la conception, à la gestion et au pilotage des Grands Projets, la notion de mode de gouvernance peut être utilement approchée et définie, en le considérant tour à tour quant à son objet et quant à son contenu.La structure de gouvernance est présentée comme ayant vertu l’ordre (c’est l’apport d’une vision juridique de l’organisation), ordre qui repose sur l’atténuation des conflits (c’est l’apport d’une théorie de la décision en rationalité cognitive limitée) et la réalisation de gains mutuels (c’est l’apport d’une réflexion économique, réflexion portant sur l’efficacité d’une structure).
Quant à son objet et à ses fonctions
Une structure de gouvernance est un système de rapports entre agents permettant au cours du temps et à travers les différentes phases du cycle de vie du projet, d’assurer la cohérence des intentions et des actions en vue de réaliser l’oeuvre (produit ou service) qui a associé les partenaires initiaux. Cette structure de gouvernance opère à travers une division du travail et des fonctions incluant des formes multiples d’incitations et de sanctions et dont l’objet est, tout au long de la vie du projet, d’assurer la coordination des compétences nécessaires à la réalisation de l’oeuvre, tout en garantissant un minimum de compatibilité dans la gestion des intérêts des différentes partie prenante. la gouvernance doit pouvoir assumer la triple fonction suivante :
– Une fonction de coordination des informations et des connaissances en vue de parvenir à un arbitrage efficient en matière de choix techniques garantissant la qualité de l’oeuvre ; celle ci doit prendre en compte, autant que faire se peut, les irréversibilités et les risques écologiques ou environnementaux lorsque ceux ci existent (y compris dans une vison inter-générationnelle) ; ces choix techniques supposent une capacité à « décomposer » le projet en sous systèmes, à localiser les acteurs disposant des compétences pour assurer la réalisation des sous-systèmes et à assurer la coordination entre acteurs séparés concepteurs et pilotes de la réalisation des sous-systèmes.
– Une fonction de coordination des intérêts économiques permettant la délivrance des « oeuvres » à des conditions satisfaisantes pour les exploitants et les usagers finaux, tout en tenant compte à la fois des intérêts des différentes entreprises parties prenantes et des exigences posées par les « sponsors » et les commanditaires à l’origine de la commande, lesquels en général, assument l’essentiel du risque financier.
– Une fonction de « légitimation », garantissant la bonne acceptation de l’oeuvre et la reconnaissance de son utilité par le public : cette condition est spécialement importante toutes les fois qu’il s’agit d’oeuvres possédant un caractère d’utilité publique (ou inséré dans un réseau possédant cette caractéristique) ou d’oeuvres (barrages, centrales nucléaires…) susceptibles de générer des externalités « négatives ».
Quant à son contenu et aux modalités
Par lesquelles une structure de gouvernance opère, il convient de remarquer qu’elle ne peut se mettre en oeuvre qu’à travers une multiplicité de modes de coordination, qui puisent dans l’ensemble des techniques offertes par un système de relations fondées sur le contrat, la confiance, la routine ou l’autorité, – mettant en oeuvre les ressources de l’incitation et de la sanction- suivant des configurations multiples au coeur desquelles se nouent des intérêts économiques et financiers tant immédiats que de long terme .
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Table des matières
Introduction générale
Première partie : la mutation vers le post-industriel Cas d’étude le secteur des télécommunications Et présentation théorique des structures de gouvernance
Chapitre I : Aspect théorique du post industriel et des structures de gouvernance
Introduction
Section I: Les théories de la mutation vers le post-industriel
I. La typologie des services
II. Les théories de la mutation vers le post-industriel
Section II: Présentation des structures de gouvernance
I. Structures et Cadres de la Gouvernance
II.Les trois formes de structure de gouvernance
III.Les traits principaux et la cohérence de chacune de ces structures de gouvernance
IV.Les transactions sont effectuées au sein de structures de gouvernance
V.Le choix entre différentes formes de structures de gouvernance
Conclusion
Chapitre II : La montée des services
Introduction
Section I : Les services (définition, types et caractères)
I. La définition du service
II. Différence entre service et industrie
III. Caractéristiques des activités de services
IV. Comment mesurer un service
V. Les Types de services
Section II : Analyse du déclin industriel et de La croissance des Services
I- Le mythe du déclin industriel
II. La croissance du secteur des Services
III. Les raisons de la montée des services
IV. Les transformations qu’implique l’économie de service
V. Les implications et conditions de ce type de développement
Section III : structure et dynamique des services –exemple de la France-
I- La structure des services
II- La dynamique des services dans l’économie : de 1978 à 2006: Exemple : la France
Conclusion
Chapitre III : L’évolution du secteur des télécommunications
Introduction
Section I : Présentation du secteur des télécommunications
I- Le secteur des télécommunications
II- L’économie du téléphone
Section II: Mutation du secteur des télécommunications
I. L’évolution du cadre institutionnel des télécommunications
II. L’Impacte de la mondialisation sur le secteur des télécommunications
III. Mutation en vue pour le secteur des télécoms
IV. Une évolution technique et technologique dans le secteur des télécommunications
V. La concurrence dans les services de télécommunications
VI. La contribution du secteur des télécommunications au développement économique
VII. Les méthodes d’introduction de la concurrence dans le secteur des Télécommunications
VIII. L’avenir des télécommunications
Conclusion
2 eme partie : l’évolution du secteur des services en Algérie ; Une analyse williamsonienne des structures gouvernance –cas d’étude Algérie Télécom-
Chapitre 1 : la place du secteur des services dans l’économie algérienne
Introduction
Section I: Économie Algérienne (Conjoncture et Orientation)
I. L’Algérie :Conjoncture économique
II. Taux de croissance
III. La stratégie économique algérienne
IV. Le plan de soutien à la relance économique
V. Le climat de l’investissement en Algérie
VI. Orientation économique future pour l’Algérie
Section II: Le secteur des services en Algérie
I. Les Principaux secteurs d’activité
II. La Dynamique du secteur des services en Algérie
III. L’emploi dans le secteur des services Algérien
Conclusion
Chapitre II : l’évolution du secteur des télécommunications en Algérie
-Cas d’étude Algérie Télécom-
Une analyse williamsonnienne des structures de la gouvernance
Introduction
Section I: l’évolution du secteur des télécommunications en Algérie
I. Le secteur des télécommunications en Algérie
II. Le secteur des PTT en Algérie « restructuration »
Section II: présentation d’Algérie télécom et de la téléphonie mobile en Algérie
I. Algérie Télécom
II. Algérie Télécom en chiffre (2010)
III. Introduction massive des nouvelles technologies
IV. Algérie Télécom occupe une place centrale dans le programme de modernisation du
secteur des télécommunications
V. Projet Algérie Télécom
VI. partenariat Algérie télécom
VII. sous-traitance Algérie télécom
VIII. La Téléphonie Mobile en Algérie
Section III : Analyse williamsonnienne des structures de la gouvernance – cas d’étude Algérie Télécom-
I. Organigramme P&T
II. Organigramme général de la Direction de la wilaya d’Alger
III. Organigramme Général D’Algérie Télécom
IV. Organigramme de la filiale Mobilis
V. Organigramme en étude « pole djaweb »
VI. Analyse williamsonnienne des structures de la gouvernance,cas d’étude«Algérie télécom»
Conclusion
Conclusion générale
Annexe : Le décret exécutif N° 03-233 correspondant au 24 juin 2003
Bibliographie
Table des Graphiques
Table des Figures
Table des Tableaux
Table des Matières
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