La Théorie Classique de la Croissance

La Théorie Classique de la Croissance

Les Intermédiaires Financiers

Les intermédiaires financiers sont des entreprises dont l’activité principale consiste à fournir des services et des produits financiers. Les institutions telles que les banques, les compagnies financières, et les compagnies d’assurance proposent une large gamme de produits qui incluent les comptes bancaires, les prêts commerciaux et immobiliers, les investissements financiers et une variété de contrats d’assurance.
L’intermédiaire financier assume deux risques que les individus ne voudront pas prendre : il sélectionne les emprunteurs et leur prête, en faisant ceci il immobilise des fonds alors qu’ils restent liquides pour les individus. Ceci est possible car l’intermédiaire, lorsqu’il rembourse un client (retrait ou payement de prime), il y a forcément un autre client qui lui prête (dépôt, cotisation ou souscription) ; donc sauf en cas de crise de liquidité ou de baisse de crédibilité de l’intermédiaire, le comportement de masse est statistiquement prévisible.5
On peut dégager deux remarques importantes à propos de l’évolution des intermédiaires financiers : i) du point de vue de croissance, une fraction considérable des prêts accordés par certains intermédiaires financiers traditionnels (prêteurs sur gages, associations de crédit rotatifs) est dirigée vers la consommation au lieu de financer des investissements6, ii) l’apparition des nouveaux intermédiaires et la mutation des fonctions de ceux déjà existants, ont été largement influencées par la structure financière d’une économie (élément à détailler dans la sous-section suivante).
On a dit précédemment que les fonctions d’un système financier sont à court et à moyen termes constantes à travers le temps et à travers les pays (Levine 1997) ; mais si on examine en détail les fonctions de chaque intermédiaire à part, on trouve qu’ils se sont métamorphosés à travers le temps, et que certaines institutions n’existent que dans certains pays, et même dans ce cas, il est probable qu’elles n’aient pas les mêmes fonctions à remplir.

Les Banques Commerciales

Les premiers banquiers étaient initialement des gardiens de coffres-forts, ils détenaient les bijoux et l’argent que les individus évitaient de garder chez eux par crainte de vol. Les individus payaient la location du coffre et recevaient des certificats attestant de la valeur de leurs dépôts. Avec la vulgarisation de cette pratique, il était plus facile de payer une dette en endossant un certificat de dépôt au lieu de se déplacer, retirer l’argent et le remettre au créancier. Même entre les différents banquiers, une entente générale s’est installée afin de faciliter la conversion des certificats. Pour éviter la perte de ces derniers, il était même possible de diviser un certificat de dépôt en coupures de cent ou cinquante unités chacune.
La quantité des dépôts étant devenue importante, avec une tendance à utiliser plus les certificats de dépôt comme mode de paiement, les banquiers étaient en mesure de prêter, initialement, une partie de ces dépôts ; et plus tard ils pouvaient prêter une quantité jusqu’à quatre fois la quantité de pièces gardées dans les coffres. Cette procédure de création monétaire avec multiplicateur est devenue très répandue parmi les banquiers afin de répondre à une demande croissante de fonds.1
Actuellement, les banques représentent le pivot de tout système financier dans le monde, même là où le financement via les marchés prend de l’ampleur ; les systèmes de paiements sont typiquement organisés autour des banques, les intermédiaires non-bancaires et les marchés des capitaux dépendent des services de transactions offerts par les banques, les ménages placent leurs épargnes dans les banques, et ces dernières sont aussi le premier créancier des entreprises.
En tenant compte des fonctions communes entre les différents intermédiaires financiers, les banques commerciales se démarquent par quelques caractéristiques supplémentaires :
* La collecte des dépôts est un aspect très important pour chaque banque, elle détermine sa part du marché, sa capacité à distribuer des crédits et sa trésorerie. Le rapprochement des guichets bancaires de la population ainsi que la vulgarisation des moyens de paiement modernes ont beaucoup aidé à augmenter le taux d’épargne des ménages ;
* La distribution des crédits est l’activité centrale des banques. Selon la théorie du multiplicateur, une banque peut créer plus de monnaie en accordant des prêts que ce qu’elle détient en dépôts. Ceci est possible grâce au nombre important des épargnants, l’avantage de cet effet d’échelle est que le problème des retraits excessifs peut être évité ;
* Malgré toutes les précautions, le risque de liquidité suite aux retrais excessifs est toujours envisageable, pour s’immuniser, les banques sont obligées de tenir une réserve de liquidité déterminée selon sa taille, le nombre des clients et les conditions économiques prévalant ;
* En cas d’insuffisance de ressources, les banques font appel au marché interbancaire, à la banque centrale ou au marché des titres négociables. Les taux d’intérêt appliqués sur les marchés interbancaires varient selon le montant, la durée et surtout le type de crédit (crédit de trésorerie, découvert bancaire, prêt personnel, crédit immobilier) ;
* Les banques développent aussi un certain nombre d’activités financières telles que l’investissement en titres financiers émis par l’état ou par les entreprises, l’assistance des entreprises pour des opérations de souscription, d’introduction en bourse et d’offres publiques d’achat. Dans le volet gestion du patrimoine, les banques commerciales créent des fonds d’investissement au bénéfice des agents non financiers ;
* La gestion des moyens de paiement et leur modernisation constituent une tâche importante pour les banques, ceci permet d’attirer un nombre croissant de clients et augmente l’efficacité de ces institutions.
L’évolution des systèmes financiers, particulièrement en matière de structure financière, a engendré la divergence entre deux systèmes bancaires ; d’un coté il y a celui où les banques dites “universelles” occupent une place importante dans la sphère financière en incorporant le rôle de plusieurs intermédiaires à la fois, et celui où les banques se spécialisent dans l’industrie du crédit, dans la prestation de services, ou dans la gestion du patrimoine.
L’économie qui se base sur des petits prêteurs (petites banques) favorise le financement à court terme, alors qu’un système financier centralisé (basé sur un nombre réduit de grandes banques) économise sur les coûts de l’information et peut s’engager dans des financements longs puisqu’il peut compenser les pertes dues aux projets inefficaces par les gains des projets efficaces.1
Une particularité très importante des banques universelles est qu’elles collectent des dépôts et sont simultanément prêteuses et actionnaires. Elles ont un ou plusieurs représentants au conseil d’administration des entreprises emprunteuses, ce qui leur donne un grand pouvoir de contrôle contribuant à l’augmentation de productivité des entreprises.2 Empiriquement, Steinherr et Huveneers (1994) ont trouvé que parmi les pays de l’OCDE, là où les banques sont universelles, la croissance est légèrement plus rapide qu’ailleurs.
Cependant, la propriété publique et la grande concentration de l’activité bancaire peuvent générer plusieurs problèmes ; premièrement, la forte concentration peut réduire la compétition entre les banques existantes, réduire leur efficacité et décourager l’émergence de nouvelles banques ; deuxièmement, lorsqu’un nombre réduit d’entreprises détient le pouvoir dans le système financier (dans certains pays, les banques non détenue par l’état appartiennent à des groupes d’entreprises spécifiques), l’octroi de crédit est probablement biaisé vers les propriétaires, la compétition dans le secteur réel est ainsi altérée ; troisièmement, la propriété des banques par la banque centrale crée un conflit d’intérêts avec les responsabilités de cette dernière à faire valoir une politique monétaire sereine.

La Banque Centrale

Historiquement, La Swedish Riksbank est la plus ancienne banque centrale à voir le jour ; elle a été créée initialement en 1656 en tant que banque privée (sous le nom de la Banque de Stockholm), mais suite à une panique en 1668 la banque a reçu l’aide du gouvernement en contrepartie d’une réorganisation de la banque sous l’autorité du parlement. Cependant, la banque garde son entière indépendance vis-à-vis du trône. La majorité des banques centrales Européennes ont été crées entre les Dix-huitième et Dix-neuvième Siècles ; l’Angleterre et l’Ecosse : 1695, la Danemark : 1736, l’Allemagne : 1765, en plus de la Première Banque des Etats Unis créée en 1791 à la suite de la déclaration de l’indépendance.
Depuis ce temps, les banques centrales ont vu leurs fonctions évoluer considérablement, cependant, cette évolution n’a pas été unanime. Si on compare les banques centrales actuelles, on trouve qu’elles n’ont pas toutes la même importance, pas les mêmes fonctions et probablement pas la même structure, mais on peut considérer quelques fonctions que la plupart des banques centrales tendent à remplir :
* L’activité la plus traditionnelle de la banque centrale est l’émission des moyens de paiement (billets et pièces), l’importance de cette activité a diminué avec l’accroissement de l’utilisation des chèques et des moyens de paiement électronique plus récemment. Le volume de l’émission dépend théoriquement des réserves en or et en devises, cependant la politique monétaire peut affecter ce volume surtout dans les pays où le degré d’indépendance de la banque centrale est très bas ;
* La banque centrale est considérée comme la banque de l’Etat ; elle centralise les opérations des comptables du Trésor, elle effectue les encaissements et les virements de l’Etat, elle avance des fonds non rémunérés au gouvernement, elle détient les réserves d’or et de devises étrangères, et gère les opérations de change. En plus de ces opérations, la banque centrale est le premier conseiller du gouvernement en matière de politiques économiques ;
* Afin de faciliter les transferts entre circuits monétaires, les banques commerciales ont opté pour la centralisation des règlements interbancaires multilatéraux à la chambre de compensation tenue par la banque centrale, ces règlements s’effectuent par mouvement de leurs comptes ouverts dans cette institution. Après chaque séance (sauf pour les systèmes très développés où la télé-compensation se fait instantanément), un solde global se dégage pour chaque banque qui sera incorporé à son compte (en atteignant un certain seuil, la banque peut-être invitée à alimenter son compte), les règlements se font donc au montant du solde et non pas à la totalité des montants transférés ;
* En cas de besoin de liquidité, les banques commerciales peuvent s’en procurer de différentes manières (vente d’effets détenus, marché monétaire), mais c’est possible qu’elles soient obligées à faire appel au refinancement par la banque centrale, cette dernière est alors considérée comme prêteur ultime. Durant les crises de liquidité, même si son statut d’institution indépendante lui donne le droit de refuser un financement qu’elle juge inapproprié, la banque centrale est tenue de garantir la disponibilité de la liquidité dans le but de rassurer les épargnants et éviter d’aggraver la situation ;
* Une autre procédure utilisée dans le but de garder un bon niveau de confiance de la population dans le système financier est l’assurance des dépôts. Les banques commerciales payent une cotisation à un organisme relié à la banque centrale, en contrepartie cet organisme se porte garant des dépôts en cas de retraits massifs ou de risques de faillite. Ce mécanisme a été initié aux Etats Unis, et s’est répandu dans plusieurs pays dans le monde ; on estime qu’il a permis d’éviter certaines crises, et d’atténuer l’intensité d’autres.

Les Fonds d’Investissements

Les fonds d’investissement sont des institutions qui collectent des participations auprès d’un large éventail d’investisseurs (des ménages jusqu’aux investisseurs institutionnels) et les placent dans un portefeuille diversifié. La différence majeure entre les banques et les fonds d’investissement réside dans la façon d’obtenir les fonds ; alors que les banques utilisent les dépôts de leurs clients, les fonds d’investissement émettent des parts à souscrire par les investisseurs. Les différents fonds se distinguent à deux niveaux : par leurs statuts et par leurs objectifs.

Différentiation par statut

Dans les fonds ouverts, la valeur des parts émises est déterminée par la valeur totale des actifs inclus dans le portefeuille géré et le nombre des parts ; cette valeur peut donc varier d’un jour au l’autre. Le fonds émet de nouvelles parts lorsqu’il a besoin de plus de fonds et est obligé de reprendre les parts de ses clients s’ils veulent d’en débarrasser.
Dans les fonds fermés, le nombre des parts est fixé depuis leur création, par contre leur valeur est déterminée par les marchés boursiers puisque c’est dans ces marchés qu’un détenteur de parts peut vendre sa participation comme s’il s’agissait d’une action d’entreprise. Dans ce cas là, leur cours peut différer de la valeur de la part (valeur totale des parts divisée par leur nombre).2

Différentiation par objectif

Dans ce sens, on trouve que les fonds d’investissement se fixent généralement des objectifs ou des grandes lignes à suivre. On trouve alors :
* Les fonds orientés actions sont des fonds dont le portefeuille est composé majoritairement d’actions ; ces fonds offrent de plus grandes opportunités de bénéfices mais courent des risques à cause des fluctuations des marchés ;
* Les fonds orientés obligations sont des fonds dont le portefeuille est composé majoritairement d’obligations ; ces fonds sont caractérisés par des revenus relativement bas mais stables ;
* Les fonds des marchés monétaires investissent uniquement dans des instruments de courte durée, ils offrent donc à leurs clients une liquidité maximale ;
* Les fonds diversifiés se basent sur la diversification des actifs inclus dans leurs portefeuilles (actions et obligations, à court et à long termes, titre émis par des entreprises ou par le trésor) afin de garantir un certain niveau de protection contre les risques ;
* Les fonds d’investissements garantis s’oriente principalement aux investisseurs extrêmement prudents en leur offrant des garanties sur la valeur des actifs constituant leurs portefeuilles.

Les Compagnies d’Assurance

Les compagnies d’assurance sont des institutions financières spécialisées dans le transfert et le partage des risques ; elles reçoivent des primes de la part de clients souhaitant se prémunir contre un quelconque risque (accidents corporels ou matériels, catastrophes, vols) et s’engagent à leur verser des prestations si le risque couvert par le contrat d’assurance survient. En plus des assurances imposées par la loi, tels que la sécurité sociale ou les assurances automobiles, il existe un certain nombre de prestations facultatives, telles que les assurances vie, domicile, récoltes et autres, dont la vulgarisation dépend majoritairement de la culture de l’assurance chez la population.
Pour pouvoir faire face à leurs engagements, les compagnies d’assurances profitent de l’abondance de fonds dont elles disposent pour investir dans les marchés financiers ; cette participation se fait généralement par le biais des fonds d’investissement qu’elles créent et dirigent. Les compagnies d’assurance n’étant pas des institutions de dépôts, leurs actifs ne sont pas garantis par l’état, ce qui leur pousse à s’orienter principalement vers l’investissement dans les obligations et les actions très peu fluctuantes.

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Table des matières

Introduction Générale
Premier Chapitre : La Croissance Economique, de la Théorie à l’Application
Introduction
Section I. La Croissance Economique depuis les Classiques
1.1. Généralités sur la Croissance
1.1.1. Les Déterminants de la Croissance Economique
1.1.2. Les Conditions Requises pour la Croissance Economique
1.1.3. Caractéristiques de la Croissance Economique Moderne
1.1.4. Les Obstacles de Croissance chez les Pays du Tiers-Monde
1.1.5. Les Cycles Economiques
1.2. La Théorie Classique de la Croissance
1.2.1. La Croissance Economique vs. La Croissance Démographique
1.2.2. La Théorie de la Croissance Démographique
1.2.3. La Théorie Classique de Croissance Face à la Réalité
1.2.4. Le Besoin d’une Reformulation de la Théorie de Croissance
1.3. Le Progrès Technologique
1.3.1. Les Sources de la Connaissance
1.3.2. Les Formes du Progrès Technologique
1.3.3. Complémentarité et Substitution entre les Technologies
1.3.4. Les Externalités de la Technologie
Section II. La Théorie Néoclassique de Croissance
2.1. Présentation du Modèle Néoclassique
2.1.1. Caractéristiques du Modèle Néoclassique
2.1.2. La Durabilité de la Croissance Economique
2.2. Le Modèle de Base de Solow
2.2.1. Le Modèle
2.2.2. Etats Comparatifs
2.2.3. Résoudre pour les Valeurs à l’Etat Stationnaire
2.3. Le Modèle de Solow et la Technologie
2.3.1. Introduire le Progrès Technologique
2.3.2. Etats Comparatifs
2.4. Le Modèle Néoclassique Elargi
2.4.1. L’Accumulation du capital Humain
2.4.2. L’Adaptabilité du Modèle Elargi
Section III. Les Théories de Croissance Endogène
3.1. La Croissance Endogène sans Technologie
3.1.1. La Lignée de Pensée de Schumpeter
3.1.2. Le Modèle “AK”
3.2. Le Modèle de Croissance par la Technologie (Romer 1986)
3.3. La Convergence
3.3.1. Les Travaux Empiriques sur la Convergence
3.3.2. La Convergence à travers le Modèle Néoclassique
Conclusion
Deuxième Chapitre : Le Développement Financier et sa Relation avec la Croissance Economique
Introduction
Section I. Les Systèmes Financiers
1.1. Les Fonctions du Système Financier
1.2. Les Intermédiaires Financiers
1.2.1. Les Banques Commerciales
1.2.2. La Banque Centrale
1.2.3. Les Fonds d’Investissement
1.2.4. Les Compagnies d’Assurance
1.2.5. Les Caisses de Retraite
1.2.6. Les Autres Institutions Financières
1.2.7. Les Marchés Financiers
1.3. La Structure du Système Financier
1.4. La Métamorphose de la Finance
1.4.1. L’Innovation Financière
1.4.2. L’Intégration des Marchés Financiers
Section II. Les Déterminants du Développement Financier
2.1. La Théorie du “Droit et la Finance”
2.1.1. La Naissance et la Prolifération des Droits Européens
2.1.2. Les Canaux de Transmission des Traditions Légales
2.1.3. Les Différences de Performance entre les Droits
2.1.4. Convergence ou Divergence entre les Traditions Légales
2.2. Les Théories Politiques
2.3. Les Théories des Dotations
2.4. Les Autres Théories Expliquant le Développement Financier
2.5. Les Institutions et le Développement Financier
Section III. La Relation Finance-Croissance : Une Revue de la Littérature
3.1. L’Effet Positif Unidirectionnel de la Finance sur la Croissance
3.2. Les Autres Alternatives à la Relation Finance-Croissance
3.2.1. La Mise en Question de la Causalité
3.2.2. La Mise en Question de la Relation Positive
3.3. La Relation Finance-Croissance dans les Pays Exportateurs de Pétrole
Conclusion
Troisième Chapitre : Le Développement Financier et la Croissance Economique en Algérie
Introduction
Section I. Le Système Financier Algérien
1.1. Le Système Financier Algérien de 1962 à 1969
1.2. Le Système Financier Algérien de 1970 à 1985
1.3. Le Système Financier Algérien de 1986 à 1989
1.4. Le Système Financier Algérien depuis 1990
1.5. Le Système Financier Algérien Actuellement
Section II. Etude des Propriétés Stochastiques des Variables
2.1. Présentation des Indicateurs Utilisés
2.2. Etude des Corrélations entre les Variables
2.3. Etude de la Stationnarité des Variables
2.3.1. La Fonction d’autocorrélation simple
2.3.2. Les tests de la racine unitaire
2.3.2.1. Les tests de Dickey-Fuller
2.3.2.2. Le test de Phillips et Perron (1988)
Section III. Etude des Relations entre le Développement Financier et la Croissance Economique en Algérie
3.1. Etude de la relation entre la taille relative des banques commerciales (LBANQUE) et la croissance économique (LPIB)
3.2. Relation entre la taille relative des banques commerciales (LBANQUE) et la croissance économique hors hydrocarbures (LPIBHP)
3.3. Relation entre la taille relative du système financier (LFINANCE) et la croissance économique (LPIB)
3.4. Relation entre les crédits bancaires contractés par le secteur privé (LPRIVE) et la croissance économique hors-hydrocarbure (LPIBHP)
Conclusion
Conclusion Générale
Bibliographie
Tables des Matières
Annexes
Liste des Tableaux
Liste des Schémas

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