Filière avicole
La filière avicole regroupe l’aviculture traditionnelle très développée dans les milieux ruraux et l’aviculture industrielle rencontrée autour des grandes agglomérations.
L’aviculture traditionnelle approvisionne 60 à 70 % du marché sénégalais. Ces effectifs étaient estimés à environ 20 millions de têtes en 2003 (tableau I). La volaille locale constitue, avec les petits ruminants, le compte courant des familles sénégalaises rurales. Cette aviculture est pratiquée par les femmes et les jeunes, à l’échelle familiale.
Les volailles locales ont un poids adulte très faible compris entre 1 à 2 kg chez les coqs et 1,5 kg chez les poules et une production d’ oeufs assez modeste allant de 40 à 60 par poule et par an. L’aviculture traditionnelle enregistre des pertes considérables dues à une mortalité de l’ordre de 60% et la maturité sexuelle tardive. Cependant, ces volailles possèdent d’autres avantages telsque la bonne saveur des oeufs et de la viande, la solidité de la coquille de l’œuf, des rendements à l’abattage élevés et surtout des coûts de production très faibles ainsi que des soins spéciaux insignifiants (AHAMET, 2004).
Des progrès observés ces dernières années sur l’aviculture industrielle sont surtout dus à une augmentation nette de l’investissement privé qui a atteint 20 milliards de FCFA. si l’aviculture industrielle demeure largement tributaire d’intrants que sont les céréales, les médicaments et les équipements pour la plupart importés, elle a dégagé au niveau de la vente au détail un chiffre d’affairesde l’ordre de 20,5 milliards de FCFA en 2000 répartis en 11,5 milliards pour la viande et 9 milliards pourles œufs malgré une baisse de production de 6 % entre 1999 et 2000 (SENEGAL, 2004).
La filière connaît des difficultés liées à l’acquisition de facteurs de production clés, notamment l’aliment-volaille qui constitue le poste de dépenses le plus élevé soit 2/3 des dépenses d’élevage. Le maïs qui est incontournable dans l’alimentation des volailles est entièrement importé. Cette situation est à l’origine de l’exclusion progressive des fabricants d’aliments de faiblepuissance financière de la compétition.
En réalité, seuls deux fabricants contrôlent le marché des aliments de volaille et les prix s’en trouvent donc indûment élevés.
Filière équine
Le cheptel équin est estimé à 500 000 têtes en 2003 et l’essentiel de cet effectif est utilisé pour des travaux agricoles et le transport. Ce rôle des chevaux n’a pas fait l’objet d’une attention particulière, alors que ce sont les animaux les plus utilisés dans la traction du fait de leur vitesse. On peut mêmeaffirmer que le statut du paysan peut être appréhendé à travers le nombre de chevaux qu’il possède. L’importance des chevaux réside également dans le transport hippomobile en milieu urbain (SENEGAL, 2004a).
Environ 0,1 % du cheptel équin est exploitécomme chevaux de course ou dans les sports équestres. Avec la fermeture du haras du Centre de Recherches Zootechniques de Dahra-Djolof en 1984, le Sénégal, jadis exportateur de chevaux métissés dans la sous-région, est devenu importateur de chevaux de sang.
Principales contraintes au développement de l’élevage au Sénégal
SECK (2005) estime que les problèmes du développement de l’élevage au Sénégal sont ceux de l’élevage pris dans son ensemble en milieu tropical. En effet, l’élevage est freiné par des problèmes aussi bien zootechniques, financiers, alimentaires que sanitaires. Ils sont importants au même titre et doivent être levés en vue de moderniser et donc développer le sous secteur-élevage.
Les contraintes zootechniques
La productivité numérique et pondérale est généralement bassepar reproductrice dans les diverses espèces en raison des variations importantes de fourrage disponible au cours de l’année.
Le potentiel boucher du Zébu Gobra par exemple est relativement bon, ce qui n’est pas le cas du bovin Ndama et des ovins et caprins Djallonké des régions Sud. En matière de production laitière,les races bovines locales sont très peu performantes. Ellesassurent une production moyenne de 1 à 2 litres de lait par vache et par jour pour une durée de lactation de 150 à 180 jours. Des efforts encore limités sont entrepris pour faire des élevages laitiers en races pures (Montbéliarde, Jerseyaise, Holstein) ou pour améliorer le potentiel laitier des femelles locales à travers l’insémination artificielle.
Grâce à de telles opérations, la production laitière peut être portée entre 10 à 15 litres par jour et par vache. L’amélioration génétique intéresse également la volaille locale par l’introduction de coqs raceurs (SENEGAL, 2001a).
Contraintes alimentaires
Les effectifs des cheptels bovins et petits ruminants subissent une évolution erratique, très probablement marquée par des mortalités importantes pendant les périodes difficiles. Selon CHICOTEAU, cité par DIEDHIOU(2002), la principale contrainte à la productivité du zébu est la sous-alimentation. Cette contrainte empêche les animaux d’extérioriser leur potentiel génétique, entouchant en premier lieu la fonction de reproduction. Quand les conditions redeviennent favorables, le renouvellement de matrices fait que l’exploitation du cheptel demeure faible. Ceci est dû aux problèmes sanitaires divers, renforcés par la diminution inéluctable des meilleurs pâturages défrichés par une agriculture enperpétuelle extension et peu soucieuse de la protection de l’environnement.
L’extension qui concerne les zones cultivées et liée au croit démographique humaine, engendre une concurrence grandissante entre l’agriculture etl’élevage, au détriment des meilleurs pâturages et du cheptel. Elle réduit considérablement les possibilités decomplémentarité entre les pâturages du nord et du sud, et ceux de la transhumance, à long terme. Cette compétition entre l’agriculture et l’élevage peut se traduire par la mise en place des cultures très fréquentes dans les couloirs traditionnels réservés aux passages des troupeaux vers les pâturages, les points d’eau ainsi que les canaux detranshumance.
En effet, les pâturages naturels constituent l’essentiel de l’alimentation du cheptel sénégalais. Ils sont estimés à 12 millions d’hectares et leur productivité varie de 500 à3000 kg de matière sèche à l’hectare du Nordau Sud. L’hivernage est marqué par une importante biomasse fourragère,tandis qu’en saison sèche, les pâturages naturels, du fait des nombreuses agressions dont ils font l’objet ne permettent pas la couverture des besoins d’entretien du bétail (SENEGAL, 1997).
L’eau constitue un des facteurs essentiels pourla production animale et les populations pastorales connaissent de sérieux problèmes d’accès à cette eau. Il urge d’améliorer le remaillage des forages d’une part, et, d’autre part de réhabiliter certains forages existants en vue de rendre plusefficace le fonctionnement des comités de gestion des -dits forages pastoraux. Au niveau de la vallée, l’accès au Fleuve Sénégal et à ses affluents est rendu difficile par l’insuffisance des couloirs de passage.
Situation sanitaire
Les maladies animales demeurent aujourd’hui encore un des facteurs limitants essentiel du développement de l’élevage en Afrique, car elles entraînent de lourdes pertes directes et indirectes dans les cheptels nationaux (SIDIBE, 2001). La situation zoosanitaire est globalement satisfaisante et stable dans l’ensemble au Sénégal.
Toutefois, les maladies classées dans les listes A et B de l’OIE entraînent des mortalités et des morbidités non négligeables. Le Sénégal dans le souci d’être déclaré indemne de la peste bovine s’est engagé depuis janvier 1997 dans la procédure de l’Office International des Epizooties (OIE). Il a été déclaré provisoirement indemne de cette maladie pour enfin être définitivement déclaré indemne de cette maladie le 21 avril 2004 (Annexe 1). Concernant la péripneumonie contagieuse bovine (PPCB), qui est une maladie en forte recrudescence dans bon nombre de pays africains, elle a été bien maîtrisée au Sénégal et aucun cas n’a été signalé depuis 1997 (SENE, 2002). Néanmoins, une action de veille est menée en continue, car la PPCB est bien présente dans les pays voisins et peut être introduite à l’occasion des mouvements d’animaux aux frontières qui favorisent le contact prolongé et de ce fait, la propagation de la maladie. La vaccination contre cette maladie est donc maintenue jusqu’à ce que ces pays aient une situation satisfaisante.
La première épizootie de la fièvre de la vallée du Rift (FVR) a éclaté au Sénégal en 1987 dans la région de Saint-Louis. Puis, cettemaladie a été signalée dans la zone de Aioun El Altrouss en Mauritanie en 1998 et, dans la zone de Ranérou en 1999 avec 3 foyers, mais aucune mortalité n’a été enregistrée (SENEGAL, 2000). Les pertes économiques engendrées par la FVR sont importantes car la plupart des femelles en gestation avortent quelque soit le stade de lagestation. Cette maladie pose plus de problèmes à l’élevage laitier périurbain (SONED, 1999).
De toutes les maladies animales prioritaires, la peste des petits ruminants a enregistré durant ces 5 dernières années le plus grand pourcentage de suspicions soit 31 %, malgré la vaccination rendue obligatoire sur toute l’étendue du territoire sénégalais (tableau VI). La maladie de Newcastle constitue la principale contrainte de l’aviculture villageoise et entraîne des pertes de l’ordre de 32 % en cas d’éclatement d’un foyer.
Elle est également signalée dans les exploitations avicolesmodernes des régions de Dakar et Thiès notamment. A cause des pertes engendrées par cettepathologie et de son caractère zoonotique, cette affection est classée parmi les maladies prioritaires et àce titre la vaccination est rendue obligatoire (SENEGAL, 2000).
Les maladies telles que la peste des petits ruminants, la peste équine, la clavelée, les charbons bactéridien et symptomatique, sont présentes dans plusieurs régions du Sénégal. Ces différentes pathologies ont des effets limitants sur la productivité des ruminants etentraînent des mortalités qui dépassent 5% des effectifs (SENEGAL, 2004 b). Un meilleur suivi des pathologies animales est entrepris dans le cadre du Système National de Surveillance Epidémiologique mis en œuvre grâce notamment à l’appui du
Projet PACE-Sénégal. La pérennisation de cesystème passe par la maîtrise des principes de surveillance épidémiologique.
Epidémiosurveillance et suivi épidémiologique
Le terme épidémiosurveillance est courammentutilisé pour désigner la surveillance épidémiologique. Pour plus de compréhension et pour la distinguer de l’épidémiovigilance, ELLA ABOGHE (2001) a retenu comme étant la surveillance des maladies présentes sur le territoire considéré. Selon PUTT et al. (1987), le terme surveillance se réfère en général à l’observation continue de la maladie donnée chez les populations animales. Cette surveillance est effectuée dans le domaine avicole et dans le programme d’éradication définitive de la peste bovine au Sénégal, au Tchad (REPIMAT), en Mauritanie (REMEMA). Le suivi épidémiologique connaît de nombreuses définitions. L’acception générale englobe l’ensemble des activités permettant de produire une information sur la situation épidémiologique d’une maladie sur un territoire donné (TOMA, 1999).
Epidémiovigilance
L’épidémiovigilance désigne au sein de la surveillance épidémiologique, les actions de veille destinées à détecter l’apparition d’une maladie, soit exotique etintroduite à partir d’un autre pays, soit d’une maladie réellement nouvelle comme l’ont été l’Encéphalomyélite Spongiforme Bovine (ESB) en Europe et l’encéphalomyélite aviaire au Sénégal.
La vigilance est une démarche à suivre pour détecter le plus tôt possible l’apparition d’une maladie exotique. Elle est différente de la démarche visant à estimer régulièrement de façon précise, l’incidence d’une maladie sévissant dans un pays.
Ainsi, pour la vigilance, tout cas et notamment le premier doit être détecté afin de déclencher l’alerte alors que pour l’épidémiosurveillance d’une maladie présente, non soumise à une déclaration obligatoire, la représentativité de l’échantillon, est capitale. La démarche d’épidémiovigilance diffère donc de celle de l’épidémiosurveillance (tableau VII)
Catégories de réseaux de surveillance épidémiologique
TOMA et al. (2001) définissent le réseau de surveillance épidémiologique comme un ensemble de personnes et d’organismes structurés pour assurer la surveillance sur un territoire donné, d’une ou deplusieurs maladies. Les mailles d’un réseau de surveillance épidémiologique, les personnesimpliquées et les modalités de fonctionnement peuvent être très variées. Néanmoins, tous les réseaux d’épidémiosurveillance ont en commun une gestion centralisée. Il convient alors de distinguer deux grands types de réseaux en épidémiologie : ceux à vocation essentielle d’épidémiosurveillance d’une part,, et d’autre part, ceux dont l’objectif est la recherche en épidémiologie. La distinction entre ces deuxgrandes catégories de réseaux, qui sont de finalité et des caractéristiques de fonctionnement différentes, mérite quelquescommentaires. Selon TOMA et al. (1999), il existe différents types de réseaux et plusieurs critères peuvent être utilisés pour les catégoriser.
En fonction de la situation épidémiologique
Les réseaux d’épidémiosurveillance peuvent s’intéresser à desmaladies évoluant dans une zone donnée. Dans ce cas, ils participent à la hiérarchisation des maladies sévissant dans cette zone et évaluent le plan de lutte. D’autres réseaux peuvent aussi s’intéresser aux maladies exotiques, qui sont comprises comme les maladies sévissant dans d’autres pays et non dansle pays concerné.
En fonction de l’aire géographique couverte et de l’échantillonnage
L’aire géographique couverte par un réseau peut être locale, nationale ou internationale. Les réseaux du Système National Surveillance Epidémiologique (SNSE) au Sénégal sont nationaux et couvrent toute l’étendue du territoire national.
La catégorisation des réseaux en fonction de l’échantillonnage ne dépend pas de l’aire géographique concernée, car l’épidémiosurveillance peut s’effectuer sur la population entière ou sur un échantillon. A l’échelle nationale, la population entière est prise en compte dans deux situations que sont les maladies à déclaration obligatoire et les prophylaxies collectives obligatoires. Concernant la premièresituation, dans laquelle se retrouvent les maladies réputées contagieuses, toute la population visée par la réglementation peut faire l’objet d’une collecte de données. Dans les maladies à prophylaxie collective obligatoire, également, les statistiques portent sur l’ensemble de la population. Les actions d’épidémiosurveillance animales peuvent aussi porter sur un échantillon. La représentativité doit être bien assurée.
En fonction du mode de production et de centralisation des données
Le mode de production des données peut être actif ou passif. La production est active lorsqu’elle est organisée spécifiquement, avec, par exemple, un plan d’échantillonnage, des prélèvements et analyses effectués dans un but exclusif d’épidémiosurveillance.
La production est dite passive lorsqu’elle correspond à des données fournies spontanément, sans démarche spécifique de la part du réseau. Un exemple est celui des maladies à déclaration obligatoire dontles données sont soumises à la bonne volonté et à l’action spontanée des médecins et des vétérinaires, sans démarche active de la structure de surveillance épidémiologique.
|
Table des matières
Introduction
Première partie: L’élevage au Sénégalet le concept de surveillance épidémiologique
Chapitre 1. Les systèmes de production et de commercialisation au Sénégal
1.1. Les systèmes de production
1.1.1. Le système agropastoral ou pastoral semi-intensif
1.1.2. Le système pastoral pur ou associé aux cultures pluviales
1.1.3. Les systèmes périurbains et urbains
1.2. Estimation de l’effectif du cheptel en UBT
1.3. La commercialisation
1.3.1. Filière bétail – viande
1.3.2. Filière lait
1.3.3. Filière avicole
1.3.4. Filière équine
1.4. Principales contraintes au développement de l’élevage au Sénégal
1.4.1. Les contraintes zootechniques
1.4.2. Contraintes alimentaires
1.4.3. Situation sanitaire
Chapitre 2. Approches en surveillance épidémiologique
2.1. Définitions
2.1.1. La surveillance épidémiologique
2.1.2. Epidémiosurveillance et suivi épidémiologique
2.1.3. Epidémiovigilance
2.1.4. Prophylaxie et surveillance épidémiologique
2.2. Objectifs et importance de la surveillance épidémiologique
2.2.1. Objectifs de la surveillance épidémiologique
2.2.1.1. Objectifs prioritaires
2.2.1.2. Objectifs spécifiques
2.3. Catégories de réseaux d’épidémiosurveillance
2.3.1. En fonction de la situation épidémiologique
2.3.2. En fonction de l’aire géographique couverte et de l’échantillonnage
2.3.3. En fonction du mode de production et de centralisation des données
2.4. Importance de la lutte et de la surveillance des maladies animales
2.5. Modes de surveillance épidémiologique
2.5.1. La surveillance active
2.5.2. La surveillance passive
2.5.3. La surveillance sérologique ou sérosurveillance
Chapitre 3 : Etat des lieux sur la surveillance épidémiologique au Sénégal
3.1. La surveillance épidémiologique avant le PACE
3.2. Stratégies d’intervention zoosanitaire actuelle au Sénégal
3.2.1. Le PACE- Sénégal
3.2.2. La Division de la Protection Zoosanitaire et le Système National de Surveillance Epidémiologique
3.2.2.1. La Division de la Protection Zoosanitaire
3.2.2.2. Le Système National Surveillance Epidémiologique
3.2.3. Les Réseaux de surveillance épidémiologique
3.2.3.1. Objectifs des réseaux
3.2.3.2. Organisation générale des réseaux au Sénégal
3.2.3.2.1. Unité centrale
3.2.3.2.2. Dispositif de terrain
3.2.3.3. Méthode de surveillance
3.2.3.4. Fonctionnement type d’un réseau
3.2.3.4.1. Collecte des données
3.2.3.4.2. Transmission des données
3.2.3.4.3. Analyse des données
3.2.3.4.4. Diffusion des données
3.2.3.4.5. Animation etcoordination du réseau
3.3. Impacts socio-économiquesdes maladies animales
3.3.1. Effets directs
3.3.1.1. Pertes visibles
3.3.1.2. Les pertes invisibles
3.3.2. Les coûts de la maladie
2 ème Partie : La surveillance épidémiologique au Sénégal : Coûts et perspectives de pérennisation du système en place
Chapitre 1. Méthode de recherche
1.1. Collecte des données
1.2. Cibles et déroulement de l’enquête
1.2.1. Enquête au niveau de la Coordination PACE- Sénégal et du BSE
1.2.2. Enquête de terrain
1.2.3. Zones d’enquête
1.2.4. Supports de collecte des données
1.3. Choix méthodologique de l’estimation des coûts de la SEV
1.3.1. Dotations aux amortissements
1.3. 2. Entretien du matériel
1.3..3. Salaires et indemnités
1.3.4. Frais de communication
1.3.5. Frais de transport
1.3.6. Frais d’électricité et d’eau
1.3.7. Consommables
1.4. Ressources humaines
1.5. Données calculées
1.6. Collecte de données complémentaires dans la sous-région
1.7. Limites de l’étude
Chapitre 2. Présentation des résultats
2.1. Coûts de la SEV au niveau central
2.1.1. Les charges fixes
2.1.1.1 Les charges en personnel
2.1.1.2. Amortissement des investissements
2.1.1.3. Entretien du matériel
2.1.2. Charges de fonctionnement
2.1.2.1. Coûts de la communication
2.1.2.2. Coûts des formations et recyclages
2.1.2.3. Coûts des réunionsd’organisation de la SEV
2.1.3.4. Fonctionnement courant
2.2. Coûts de la SEV au niveau régional
2.2.1. Les coûts fixes au niveau régional
2.2.1.1. Entretien du matériel
2.2.1. 2. Amortissements des investissements
2.2.1.3. Charges en personnel au niveau régional
2.2.2. Frais liés au fonctionnement courant du système au niveau régional
2.3. Coûts de la SEV au niveau du poste vétérinaire
2.3.1. Coûts fixes au niveau du poste vétérinaire
2.3.1.1. Dotations auxamortissements
2.3.1.2. Charges en personnel auniveau poste vétérinaire
2.3.1.3. Entretien du matériel
2.3.2. Frais de fonctionnement du système au niveau poste vétérinaire
2.4. Structure des coûts de la SEV
2.4.1. Structure des coûts de l’Unité Centrale
2.4.2. Structure des coûts de l’Inspection régionale
2.4.3. Structure des coûts du poste vétérinaire
2.5. Prix moyens de vente des ruminants domestiques au Sénégal
2.6. Coût de revient de la SEV par paramètre considéré
2.7. Simulation des coûts en tenant compte de la part consacrée à la SEV par niveau
2.8. Coût total de la SEV par rapport aux prix moyens des animaux au Sénégal
Chapitre 3. Discussion et recommandations
3. 1. Discussion
3.1.1. Discussion de la méthode
3.1.1.1. La collecte des données
3.1.1.1.1. Echantillonnage
3.1.1.1.2. Support de l’enquête
3.1.1.2. Méthode d’estimation des coûts
3.1.2. Discussion des résultats
3.1.2.1. Structure des coûts
3.1.2.2. Interprétation des ratios et pourcentages calculés
3.1.2.3. Part de la SEV dans le prix de vente des animaux
3.2. Recommandations
3.2.1. Etat et DIREL
3.2.3. Organisations d’éleveurs et éleveurs
3.2.4. Vétérinaires
3.2.5. La recherche vétérinaire
3.2.6. Les structures de diagnostics
Conclusion
Bibliographie
Annexes