LA STRATEGIE ET LA POLITIQUE MARKETING À ADOPTER

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L’humidité atmosphérique

Le vent asséchant « VARATRAZA » souffle sur la plaine de Marovoay pendant la période de Juillet à Aout. L’humidité atmosphérique est l’une des conditions nécessaires pour le développement des plantes vertes et en particulier pour sa floraison.
Le trop faible ou le trop fort degré hygrométriquepeut inhiber le processus d’évolution des plantes utiles aux êtres vivants. En toute saison,le taux hygrométrique reste élevé à 81%, le matin avant le lever du soleil, il s’abaisse jusqu’à midi , et à partir de là, il va reprendre son essor.

Pédologique : les sols

Sur les 18 000 ha de la plaine se repartissent :
1000 ha de sols tourbeux et 1500 ha de sols semi-tourbeux à hydromorphie permanente ; 4500 ha de terres lourdes argileuses et très humides ;
11000 ha de terres bien exondées et de terrasse, argilo-limoneuses et limon-argileuses.

Situation économique

Les principales activités de la commune sont :
En élevage: des bovins de 3700 têtes, des caprins de 650 têtes, des volailles de 20.000 têtes, des ovins de 350 têtes, des porcinsed900 têtes ;
En artisanat : vannerie, ferronnerie, broderie, menuiserie, briqueterie, maçonnerie, sculpture, couture, peinture ;
En commerce : des détaillants (953 dont 321 informels), des grossistes (20), des collecteurs de produits locaux (paddy, oignons, sons de riz, poissons secs, crevettes sèches, chevaquine sèche, camaron, raphia, crabes, mangues, jujubiers, konikony, jambarao, tamarin)
En transport : terrestre (charrette, taxi-brousse, pousse-pousse, à dos d’homme) fluvial (pirogue, hors bord, vedette)
Sur le plan végétation,elle est constituée par de vastes plateaux de tere et ne dispose que très peu de superficie de forets naturelles (100 ha), composées principalement de manguiers, de tamariniers, de jujubiers et d’eucalyptus, localisées dans le Fokontany d’Itandravà, de Tsimahajao et de Mandrosoa. La forêt de la commune appartientau domaine du Sud ; c’est une forêt galerie moins dense.
En agriculture : des rizières de 34 000 ha, des manguiers de 200 ha, des maïs de 55 ha, des manioc de 706 ha, des patates douces de 50 ha, des arachides de 50 ha et des jujubiers ;
La riziculture occupe une superficie importante dans le district de Marovoay. La riziculture domine les autres cultures, tant en superficie cultivée que pour la production. Elle occupe 46% de la surface cultivable du district et constitue 25% de la production, en 2009. Le rendement varie entre 3,5 à 5,5 tonnes par hectare, chaque année.

Les saisons culturales

Les habitants de la plaine distinguent quatre périodes de riziculture :
La saison principale, Vary jeby : la culture du riz est irriguée tout au long de son cycle (Mai à Octobre) ;
La saison intermédiaire, Vary atriatry : le riz bénéficie des eaux de pluie en début de cycle et doit être irrigué pour atteindre sa maturationmi(-Février à début Août) ;
La saison de riz pluvial comprend le Vary Asara (dans les rizières, avec parfois une irrigation d’appoint) durant la période entre Janvier et Mai ;
Le « vary dimbialotra »En respectant des normes techniques définis durant la récolte Vary jeby, on obtient de nouvelles plantes qui donneront une seconde récolte appelée vary dimbialotra.

Le problème majeur de la riziculture de Marovoay

Les techniques culturales

Depuis longtemps, les produits agricoles dans le district de Marovoay ont échappé à la technique culturale moderne, plus performante par rapport aux techniques traditionnelles.

Le non respect de la production

Le non respect de la saison de la récolte peut avoir des conséquences sur la qualité et la quantité de la production.

Problème au niveau du stockage et de la colecte

L’inexistence de moyen de stockage fait que certains producteurs mettent les produits dans leurs chambres d’habitation pour attendre le jour de la livraison.
Manque de confiance des paysans producteurs, car la majorité des collecteurs trichent quant aux instruments de mesures, par l’utilisation de « Bonamaro » et l’agrandissement du diamètre des bidons utilisés lors de la collecte.

Les prix non incitatifs aux producteurs

Comme dans toutes les zones productrices de riz à M adagascar, la spirale de baisse des prix payés aux producteurs constitue la contrainte la plus importante qui empêche le dynamisme de la production de riz a Marovoay.

Le crédit agricole

Les paysans et les collectivités agricoles ont bénéficié, depuis longtemps, de crédit agricole. Cependant, le manque de suivi des organismes compétents sur l’utilisation de ce crédit et sur la technique culturale, on fait que le rendement est toujours médiocre. Cela est la conséquence de dépenses à outrance du crédit emprunté, par rapportaux cultures, auxquelles il a été destiné.

Les propositions d’amélioration de la production

Technique culturale adoptée SRI (Système riziculture Intensive)

La préparation du sol

La préparation du sol a des objectifs multiples, dont les plus importants sont :
La maitrise des mauvaises herbes ; La maitrise de l’eau ;
L’amélioration des caractéristiques physiques, dansle but de favoriser la germination des semences et le développement de leurs racines.
Plusieurs étapes peuvent être nécessaires pour parvenir à l’état du sol souhaité.

Le défrichement

Généralement, à Marovoay, la saison de défrichement commence à partir du mois d’avril par le « mikaoka » c’est–à-dire enlever le s mauvaises herbes sur les diguettes. Sur le sol en friche non cultivé, il est nécessaire de faire ’abattagel des arbres. Le sol ainsi apprêté peur être couvert par des débris végétaux de la précédente culture ; il est donc préférable d’exécuter un défrichement.

L’aménagement hydraulique

Est une phase importante, car il correspond à la g estion du drainage et de l’irrigation de la rizière avec un minimum d’eau. En effet, la plus part des rizières, chez nous les Malgaches sont irriguées, d’amont en aval, ce qui fait que l’eau d’irrigation doit passer d’une rizière à l’autre. Cette configuration hydro agricole rend difficile la maîtrise de l’eau pour la pratique de l’alternance d’assecs et d’irrigation.

Le labour et l’installation de la rizière

Un labour profond, suivi d’un nivellement à l’Angad y, permet une aération du sol. L’endiguement permet de fractionner la plaine en plusieurs parcelles de différents niveaux. Des diguettes larges faites à l’argile doivent perm ettre le passage des hommes. Des rigoles aménagées aux pieds des diguettes favorisent l’arrivée et l’évacuation d’eaux.
Au cours de cette préparation du sol, l’application de la fertilisation organique, notamment les défections animales, fumure de porc,compost, Guanomad sont souhaités.
II.3.1.5. Préparation des semences
Il est presque impossible, pour les paysans de la plaine, d’utiliser des semences certifiées fournies par les organismes de développement. Pour ce faire, ils choisissent les semences à partir de la plus belle récolte, en faisant un triage minutieux. Contrairement à la technique traditionnelle, les semences seront utilisées dès ’apparitionl de deux feuilles.

Le repiquage

Le repiquage s’effectue dans une rizière à boue vis queuse à l’aide de ficelle à nouet, d’un rayonneur ou autres. Ce repiquage de jeune plan se fait au stade de deux feuilles, brin à brin et en carré (25cmx25cm). Deux semaines après le repiquage, la rizière doit être maintenue humide, puis par la suite, faire alterner l’assec et l’irrigation, cela peut varier de 4 à 5 jours.

Le sarclage

Le sarclage est l’action qui consiste à arracher le s mauvaises herbes dans la rizière. Dans le cadre de la SRI, cette pratique se fait 1 à 2 se maines après le repiquage. D’autres sarclages sont indispensables toutes les 2 à 3 semaines.

La récolte

C’est la fin du cycle d’exploitation. Selon les var iétés cultivées, la moisson débute vers la fin du mois de mai à juin, pour la saison, et du mois d e novembre jusqu’au mois de décembre, pour la contre saison. Les espèces hâtives murissent en premier, suivies par les variétés et cycle plus long.
La date de la récolte du riz dépend du degré optimal de maturité. L’estimation du degré optimal est une affaire de coup d’œil et d’expérien ce. Si le paddy est destiné à être consommé, les paysans attendent la « maturité technologique » quicorrespond au meilleur rendement de l’usinage.
Quand les grains doivent servir de semences, ils attendent « la maturité physiologique » qui correspond au maximum de faculté et d’énergie germinative.

Le battage

Le battage est fait pour détacher les grains des épis. Pour ce faire, les paysans prennent une brassée de gerbes, portant encore des panicules, puis la battent sur une pierre placée au milieu de la même aire. Le fait de laisser les grains murir facilite le travail. Apres l’opération, on éparpille les pailles aux alentours du terrain.

Le pré-séchage

Le pré-séchage se fait après le battage. Pour cela,on répand le paddy en couche épaisse. De temps en temps il est remué au moyen des pieds. Lepré-séchage dure quelque jour. Lorsque la pluie tombe, ou lorsqu’il fait nuit, on masse le paddy au milieu du terrain, puis on le recouvre de pailles éparpillées précédemment.

La ventilation

La ventilation consiste à débarrasser les grains de toute impureté. A cet effet, comme son nom l’indique, on soumet le paddy à l’action du vent, e n le mettant dans un panier, pour le verser d’une certaine hauteur et petit à petit. Le paddy sera tr ansporté au stockage.

Avantage du SRI

On peut faire un économie de semences, grâce au repiquage brin a brin : 6kg de semences seulement pour un hectare, en comparaison de 40kg de semence pour le système traditionnel.
Economie d’eau :
La gestion de la rizière au minimum d’eau, et lorsque c’est possible, la réalisation d’assec permet de réduire la consommation d’eau de la rizière, en comparaison avec le système traditionnel requérant la culture du riz en condition de submersion.
Moins de dépendance vis avis des intrants :
Le SRI permet à la plante d’exprimer sa capacité de tallage. Des augmentations importants (fois 2 ou 3) de rendement sont aussi obtenues, sans recourir a des semences améliorés ou à des fertilisations chimique.
Rendement :
Avec seulement 6kg de semence à l’hectare utilisé, ces paysans ont tous vu leur rendement augmenter jusqu’à 5 ,5 a 7tonnes par hectare.

Diagnostique de la situation actuelle

Cette partie consiste à faire une analyse pour mett re en évidence les forces, les faiblesses, les opportunités et les menaces de ce contrat agricole.
Les forces :
Pour les agriculteurs :
Accès à la fourniture d’intrants et de services de production ; Accès aux nouvelles technologies agricoles appropriées ; Bénéficie d’un transfert de compétence ;
Accès à des marchés fiables ;
Présence d’une structure d’établissement de prix fixe et de garantis.
Pour les promoteurs
En ce qui concerne les promoteurs, les forces sont surtout :
Personnel qualifié et professionnel ;
Fiabilité de la production et partage de risque ; Capacité de la maitrise des couts ;
Pérennisation de l’uniformité de la qualité ; Maitrise des variables du marché ;
Domination de difficultés liées à la propriété foncière.
Les faiblesses
Pour les agriculteurs
Les faiblesses des agriculteurs sont surtout caractérisées par :
Non contrôle des risques de la nouvelle technique d e production ; Incompatibilité des cultures et une technologie nonadaptée ;
Possibilité de stipuler la qualité de production.
Pour les promoteurs
Il s’agit surtout :
Difficultés relatives à la propriété foncière, compromettent les opérations durables à long terme ;
Contraintes sociales et culturelles pouvant influer les capacités de production ; Non contrôle des ventes hors contrat, du fait du no mbre croissant des agriculteurs.
Les opportunités
L’agriculture contractuelle peut être à l’ origine des opportunités suivantes :
Enjeux du développement rural ;
Des productions de meilleures qualités ; Possibilité d’obtenir 3 récoltes par an ;
Réduction des risques de spéculation des prix ;
Présence d’un grand nombre de consommateurs régionaux.
Les menaces
Les menaces auxquelles est soumise l’agriculture contractuelle sont :
Instabilité politique et économique dans le pays ;
Accroissement du risque d’une défaillance sur la production ;
Risque de hausse des prix dans les zones rurales ;
Les systèmes de fixation de prix d’achat aux agriculteurs, par rapport au prix du marché ;
Cataclysmes naturels ;
Envahissement de riz importé.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION GÉNÉRALE DE L’AXIUS ET PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU PROJET
CHAPITRE I : IDENTIFICATION DE L’AXIUS ET DU PROJET
SECTION I : PRESENTATION GENERALE DE LA SOCIETE AXIUS
I.1.Identification et historique de l’AXIUS
I.1.1. Identification de l’AXIUS
SECTION II : HISTORIQUE DE LA SOCIETE AXIUS
II.1. Création de la société AXIUS
II.1.1. Objectifs et activités de la société AXIUS
II.1.1.1. AXIUS AGRI
II.1.2. Environnement interne et externe de la société AXIUS
II.1.2.1. Environnement interne
II.1.2.1.1. Les moyens humains
II.1.2.1.2. Les moyens financiers
II.1.2.1.3. Les moyens matériels
II.1.2.2. Environnement externe
II.1.2.2.1. Macro environnement
II.1.2.2.1.1. Environnement politico-économique
II.1.2.2.1.2. Environnement géographique et géologique
II.1.2.2.2. Micro environnement
SECTION III : ORGANISATION ET RESSOURCE DE LA SOCIETE AXIUS
III.1. Organigramme de l’AXIUS
III.1.1. AXIUS Mahajanga
III.1.2. Ressources de la société AXIUS
III.1.2.1. Les ressources humaines
III.1.2.2. Les ressources financières
III.1.2.3. Les ressources matérielles
CHAPITRE II : IDENFICATION DU PROJET
SECTION I : CARACTERISTIQUE DU PROJET
I.1. AXIUS et l’agriculture contractuelle
I.1.1. But et objectif
I.1.2. Intérêts du projet
I.1.3. Activités du projet
I.1.4. Statut juridique
I.2. Les différents facteurs de production rizicole
I.2.1. Le facteur naturel : la terre
I.2.1.1. Le sol cultivable
I.2.2. Moyens humains : Le travail
I.2.3. Les moyens financiers
I.2.3.1. Moyens matériels et logistique
SECTION II : PRÉSENTATION DU SITE DE MISE EN PLACE
II.1. Zone d’étude
II.1.1. Historique de MAROVOAY
II.1.2. Localisation de MAROVOAY
II.1.3. La situation écologique et pédologique
II.1.3.1. La situation climatologique : température et pluviométrie
II.1.3.2. La situation hydraulique
II.1.3.3. L’humidité atmosphérique
II.1.4. Pédologique : les sols
II.1.5. Situation économique
II.1.5.1. Les saisons culturales
II.2. Le problème majeur de la riziculture de Marovoay
II.2.1. Les techniques culturales
II.2.2. Le non respect de la production
II.2.3. Problème au niveau du stockage et de la collecte
II.2.4. Les prix non incitatifs aux producteurs
II.2.5. Le crédit agricole
II.3. Les propositions d’amélioration de la production
II.3.1. Technique culturale adoptés SRI (Système riziculture Intensive)
II.3.1.1. La préparation du sol
II.3.1.2. Le défrichement
II.3.1.3. L’aménagement hydraulique
II.3.1.4. Le labour et l’installation de la rizière
II.3.1.5. Préparation des semences
II.3.1.6. Le repiquage
II.3.1.7. Le sarclage
II.3.1.8. La récolte
II.3.1.9. Le battage
II.3.1.10. Le pré-séchage
II.3.1.11. La ventilation
II.3.2. Avantage du SRI
II.3.3. Diagnostique de la situation actuelle
SECTION III : LA DESCRIPTION ET L’IMPORTANCE DU RIZ DANS LA SOCIETE
III.1. La description du riz
III.2. Origine du riz
III.3. Les différentes phases du cycle du riz
III.3.1. Phase végétative
III.3.2. Phase reproductive
III.3.3. Phase de remplissage du grain et de maturation
III.4. Exigence écologique du riz
III.4.1. Les conditions climatiques
III.4.1.1.La température
III.4.1.2. La lumière
III.4.1.3. Le vent
III.4.1.4. L’humidité
III.4.2. Les obstacles à la culture du riz
III.4.2.1. Les ennemis du riz
III.4.2.2. Les méthodes de lutte
III.4.2.2.1. Lutte biologique
III.4.2.2.2. Lutte chimique
III.4.3. La valeur énergétique du riz
CHAPITRE III : ÉTUDE DUMARCHÉ VISÉ OU CIBLE
SECTION I : DESCRIPTION DU MARCHÉ
I.1. Analyse du marché
I.2. Classification du marché
SECTION II : ANALYSE DE L’OFFRE, DE LA DEMANDE ET DE LA CONCURRENCE
II.1. Analyse de l’offre
II.1.1. La qualité du produit à offrir
II.1.2. Les sources du produit
II.1.3. La collecte
II.1.3.1. L’unité de mesure
II.1.4. Le produit
II.1.4.1. Aspects qualitatifs et quantitatifs
II.1.4.1.1. Aspects qualitatifs
II.1.4.1.2. Aspects quantitatif
II.1.5. Les différents types de riz
II.1.5.1. Le riz de luxe
II.1.5.2. Les riz usinés ordinaires
II.1.6 Distribution des produits
II.1.6.1. Choix des canaux de distribution
II.2. Analyse de la demande
II.2.1. Besoin en riz sur le marché visé
II.2.2. Consommation moyenne de riz par tête
II.2.3. La part du marché prévu
II.4. Analyse de la concurrence
II.4.1. La détermination de leurs forces et faiblesses
SECTION III : LA STRATEGIE ET LA POLITIQUE MARKETING À ADOPTER
III.1. La stratégie « PULL » et « PUSH »
III.1.1 La stratégie « PUSH »
III.1.2. La stratégie « PULL »
III.2. Le marketing- mix
III.2.1. Politique de produit
III.2.2. Politique de prix
III.2.3. La politique de distribution
III.2.4. La politique de communication
CHAPITRE IV : ÉTUDES ORGANISATIONNELLES DU PROJET
SECTION I : ORGANIGRAMME ENVISAGE
I.1. L’organigramme
I.2. La description des principales fonctions du personnel
I.2.1. La direction (Gérant promoteur)
I.2.2. Agronome
I.2.3. Le responsable commercial
I.2.4. Les vulgarisateurs
I.2.5. Les commerciaux
Les commerciaux :
I.2.6. Le conducteur
I.2.7. Le responsable production
I.2.8. Les ouvriers
I.2.9. Le gardien
SECTION II : ORGANISATION DU TRAVAIL
II.1. Gérance de l’agronomie
II.2. Le suivi et le contrôle de gestion suggérés
II.3. Phase de transformation
II.4. Système de stockage
II.4.1. Stockage de paddy
II.4.2. Stockage de riz décortiqué
II.5. Planning de vente
SECTION III : LE CHRONOGRAMME DES TRAVAUX ET DES ACTIVITÉS
III.1. Plan de contrôle
DEUXIEME PARTIE : ÉTUDE FINANCIÈRE DU PROJET
CHAPITRE I : L’ÉTUDE DES INVESTISSEMENTS DU PROJET
SECTION I : NATURE ET COÛTS DES INVESTISSEMENTS
I.1. Les investissements
I.1.1. Immobilisation incorporelle
I.1.2. Immobilisation corporelle
I.1.2.1. Terrains
I.1.2.2. La construction
I.1.2.3. Les matériels et mobiliers de bureau
I.1.2.4. Les matériels et outillages
I.1.2.5. Le matériel de transport
SECTION II : AMORTISSEMENTS DES IMMOBILISATIONS
II.1.Calcul de l’amortissement
II.2. Les tableaux d’amortissement des matériels utilisés par le projet
II.2.1. Le frais de développement
II.2.2. Les matériels de construction
II.2.3. Le matériel industriel
II.2.4. Tracteur
II.2.5. Les matériels et mobiliers de bureau
II.2.6. Matériels informatiques
II.2.7. Les matériels et outillages
II.2.8. Les matériels d’emballages
SECTION III : LES COMPTES DE GESTION
III.1. Les comptes de charges
III.1.1. Les achats consommés
III.1.1.1. Les achats de matières premières
III.1.1.2. Les autres approvisionnements
III.1.1.2.1. L’emballage
III.1.1.2.2. Les produit d’entretien
III.1.1.2.3. Le carburant et lubrifiant
III.1.1.2.4. Les fournitures de bureau
III.1.1.2.5. Les achats non stockés de matière et fourniture
III.1.1.2.6. Variation des stocks
III.1.2. Les services extérieurs
III.1.2.1. Location
III.1.2.2. Les primes d’assurances
III.1.2.3. Entretien et réparation
III.1.3. Les autres services extérieurs
III.1.3.1. La publicité et la relation publique
III.1.3.2. Frais postaux et de télécommunication
III.1.3.3. Frais de transport
III.1.4. Impôts, taxes et versements assimilés
III.1.5. Les charges du personnel
III.1.5.1. Les charges sociales liées au salaire
III.1.6. Dotation aux amortissements
III.1.7. Les comptes de charges des années suivantes (2 à 5)
III.2. Les comptes des produits
CHAPITRE II : ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ DU PROJET D’INVESTISSEMENT79
SECTION I : CARACTERISTIQUE D’UN PROJET D’INVESTISSEMENT
I.1. Le capital investi
I.2. La durée de vie du projet, valeur résiduelle et récupération du BFR
I.2.1. La durée de vie du projet
I.2.2. La valeur résiduelle
I.2.3. La récupération du BFR
I.3. Les flux de trésorerie d’exploitation générés par le projet
I.3.1. Evaluation du Cash-flows
I.4. Coût du capital
I.4.1. Les coût des capitaux propres
I.4.2. Le coût de l’endettement
I.4.3. L’importation du coût du capital
SECTION II : LES CRITÈRES D’ÉVALUATION DES PROJETS D’INVESTISSEMENT
II.1. Le principe général
II.2. L’actualisation
SEC TION III : LES THÉORIES GÉNÉRALES SUR LE CRITÈRE ET OUTILS D’ÉVALUATION
III.1. La Valeur Actuelle Nette et l’Indice de Profitabilité
III.1.1. La Valeur Actuelle Nette ou VAN
III.1.1.1. Définition
III.1.1.2. Interprétation
III.1.2. Indice de profitabilité ou IP
III.1.2.1. Définition
III.1.2.2. Interprétation
III.2. Le délai de récupération du capital investi et le taux de rentabilité interne
III.2.1. Le Délai de Récupération du Capital Investi ou DRCI
III.2.1.1. Définition
III.2.1.2. Interprétation
III.2.2. Le Taux de Rentabilité Interne ou TRI
III.2.2.2. Calcul du taux de rentabilité interne
III.2.2.3. L’interprétation
CHAPITRE III : LE FINANCEMENT DU PROJET ET LE FONDS DE ROULEMENT
SECTION I : LA SOURCE DE FINANCEMENT
SECTION II : LES CREDITS BANCAIRES ET LES MODALITÉS DE REMBOURSEMENT
II.1. La détermination du montant de l’emprunt
II.1.1. Les conditions d’octroi de crédit par la banque
II.1.1.1. Les critères subjectifs
II.1.1.2. Les critères objectifs
II.2. Les différents types de crédits bancaires
II.2.1. Le crédit d’investissement
II.2.2. Le crédit de fonctionnement
II.2.3. Les taux de crédit
II.3. Les modalités de remboursements des emprunts à long et à moyen terme
SECTION III : LE FONDS DE ROULEMENT INITIAL
CHAPITRE IV : ÉTUDE DE LA FAISABILITÉ DU PROJET
SECTION I : COMPTE DE RÉSULTATS
I.1. La détermination du résultat prévisionnel
I.2. Le bilan prévisionnel
I.2.1. Définition
I.2.2. Bilan
I.3. Flux de trésorerie (Méthode directe)
I.4. L’analyse à partir des ratios
I.4.1. Rentabilité commerciale du projet
I.4.2. La capacité de remboursement des emprunts structurels
I.4.3. Le ratio d’indépendance financière
SECTION II : LE SEUIL DE RENTABILITÉ
II.1. Définition
II.2. Calcul du seuil de rentabilité
II.3. Formule et mode de calcul du seuil de rentabilité
SECTION III : ÉVALUATION DU PROJET
III.1. Les critères d’évaluation
III.1.1. La pertinence
III.1.2. L’Efficacité
III.1.3. L’impact du projet
III.1.4. Durée de vie du projet
III.2. Evaluation économique et sociale
III.2.1. Création d’emploi
III.2.2. Importance sociale
III.2.3. Amélioration du revenu
III.2.4. Développement de la ville
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES ILLUSTRATIONS

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