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Les buts et les intérêts du projet
Tant que l’agriculture demeure un secteur primordial dans la mesure où elle fournit le premier besoin de l’homme, cette vente est un moyen de collection de tous les produits locaux vers les divers marchés d’Ambatosia. Elle pourra solutionner l’incapacité en gestion de stock sur le lieu d’implantation de ce centre.
A Madagascar, il n’y a généralement que deux périodes d’exploitation de riz à savoir la période de semence culture et la périodede récolte. Pour ce faire, la période de soudure aura lieu durant la première période. Le paddy, par exemple, acheté à un tel prix durant la période de récolte vendrait 3 à 4 oisf de plus durant la période de semence et de culture. Alors, pour couvrir ce problème, le centre apportera ses prestations pour aider les paysans durant cette période.
Pour nous, l’existence de ce centre résoudra les problème infine de chômage pour les jeunes et ceci nous permettrait de participer au développement économique durable de la localité et la nation. De plus, nousutiliserons des machines à décortiquer pour transformer le paddy en riz blanc, lequel engendrait des sous produits ou produits exceptionnels envers notre activité, outre le secteur de commercialisation .
La fiche signalétique du projet
D’après le journal officiel, apparu le 11 janvier 2005, article 01.02.20 comportant le régime des et petites entreprises lequel était remplacé par «micro et petites entités ». Et de même, l’article 01.02.22 udit journal présente que le chiffre d’affaires annuel hors taxe est supérieur à 6.000.000 Ar sans excéder 50.000.000 Ar.
Pour nous, notre chiffre d’affaires sera supérieur à 50 000 000 Ar. Alors, nous allons choisir le second type qui est la S.ARL. Notre centre devrait déclarer son existence au sein du tribunal de commerce, à la chambre de com merce et à l’INSTAT.
L’article 10.01.41 de ce Journal Officiel stipule encore que l’absence ou l’inexactitude des déclarations visées à l’article 10.01.33 est passible, en plus du paiement des droits dus, d’une pénalité égale à 20 pour cent du montant des dits droits sans pouvoir être inférieur à 4.000 Ar. L’immatriculation d’office à l’article 20.05.02 soumet, et est assujettie à une amende obligatoir e de 10.000 Ar . Alors, voici la fiche signalétique du centre et sa forme juridique.
Le choix du site d’implantation du projet
Le District de Bealanana a des terres fertiles en diverses cultures (Riz, maïs, manioc, patate douce, arachide, pomme de terre,…) O n a, en l’occurrence les Communes d’Ambatosia, Antsamaka, Ambovonomby, qui ont des surfaces occupées par l’agriculture et représentant des producteurs. Ainsi, à Ambatosia, sur le marché de la dite commune ou autre, les peuples peuvent trouver plusieurs produits locaux même si le prix ne sont pas à leur convenance.
Les consommateurs d’Ambatosia sont globalement satisfaits de la marchandise puisque 83% trouvent en 2003 que les produits sont de bonne qualité et 74% que leurs prix sont abordables. En tant qu’originaire du District de Bealanana, nous remplissons également toutes les conditions nécessaires à la production et à la collection.
Nous pouvons produire et collecter, au même titreque la ville de Marovoay ou d’Ambatondrazaka et à noter que Bealanana la zon e rurale fortement peuplée et fait preuve également d’innovation alimentaire. Le District de Bealanana complète son approvisionnement local pour quelques 25 produits de grande ou moyenne consommation à conservation assez longue (Oignon, c arotte, concombre, aubergine, poivre, petit pois, courgette,…) et il est à signal er que le produit abordable dans cette District demeure la pomme de terre. Mais nous nous intéresserons plus précisément sur le Paddy due à l’inflation éventuellement inévitable sur le marché dans toute l’île, et de même dans la région SOFIA. Alors, le choix d’implantation du grenier s’adressera dans la Commune Rurale d’Ambatosia.
La présentation de la région
Selon le Journal Officiel n° 2915, du 12 juillet 20 04 relative aux régions, la région SOFIA comporte 07 (sept) Districts à savoir Antsohihy (Chef lieu), Bealanana, Mandritsara, Mampikony, Port Betrgé, Analalava, Befandriana-Nord.
La spécificité de l’offre globale
Le centre se caractérise par le type de riz à recueillir, en général, la commune d’Ambatosia produise deux fois par an tant qu’elle pratique le Système de Riziculture Intensive. En général, elle produit environ 2,5 tones/Ha. Au moins, les cultivateurs produisent une fois /an tant qu’ils n’utilisent pas des engrais. Dans le District de Bealanana, la production rizicole sera comme suit si l’Etat devrait offrir ces produits.
Pour la production d’offre et d’échanges mondiaux, l’année 2004 aurait connu une baisse de 5,8% à 21,6 Million de tonnes, contre 27,7 million de tonnes en 2003. Cette diminution est due à la contraction de la dem ande dans les principaux marchés d’importation où la production s’est globalement a méliorée. L’offre d’exportation a aussi chuté, en particulier en Chine et en Inde où les mauvaises conditions climatiques et la réduction des surfaces rizicoles aurait entraîné une baisse de production en 2003. Pour la campagne 2005, on prévoit une nouvelle amélioration à 611 million de tonnes, sort une hausse de 5% par rapport à l’année précédente.
La collection d’offre locale envisagée
Les fléaux naturels étant des phénomènes inévitables et imprévisibles pour la production nationale. Alors, nous favorisons, avec le maximum de nos efforts la collection rizicole dès que la période de récoltecommencerait dans la Commune Rurale d’Ambatosia. Nous espérons que les communes envisagerons l’existence de notre centre lequel sera prépondérant à notre besoin.
La collection des matériaux d’exploitation
Le centre devrait utiliser primordialement le magasin d’ensilage , de tournage et de stockage . Pour ce faire, nous avons besoin de diverses constructions pour assurer le bon déroulement de l’activité. Nous avons alors trois sortes de Bâtiment , l’un pour l’ensilage et tournage, l’autre pour le stockage e t le dernières pour l’administration. La surface nécessaire pour ces constructions seront autotal de 2 000 m².
Ce sont des immobilisations en nature, mais pour les matériels d’exploitation, on citera la charrue, brouette,balance, des matériels de transport , les matériels et mobiliers de bureau , les matériels informatiques.
Ces immobilisations seront selon sa durée de vue, donc elles sont amortissables.
La collection numéraire envers les fournisseurs
Tant que le démarrage de l’activité du centre existe, les actionnaires devraient élucider leur part dont ils rendraient les apports soit en nature, soit en numéraire. Ils seront constitués par les apports en capital, et d’emprunt effectué au sein d’une banque. La condition, c’est que les apports, en capital soient largement inversement proportionnels (70% par rapport à l’emprunt effectu é 30%). Le gérant du centre devrait le rembourser selon le contrat effectué.
LA COLLECTION DES PRODUITS D’EXPLOITATION
Cette section engendrerait les activités au sein du centre qui nous comporterons la collection et la culture de riz ainsi que les autres produits exploités.
La collection et la culture de riz
Durant l’année d’exploitation, la collection ne se déroule qu’une fois pour la production normale et deux fois pour la production régionale intensive. La période de récolte aura lieu après 3 à 6 mois de la culture dont celle-ci devrait indépendamment besoin de maîtrise technique ( conditionnement, chaleur, humidité … ), du temps et de coût de production.
Pour nous la période d’approvisionnement aura lieu le mois d’Avril jusqu’au mois de Juillet . Le centre achètera des paddy à bas prix et pour le mois de juin au mois de septembre, il ferait du stock sur achat. Du mois de Novembre de l’année en cours jusqu’au mois de mai , le centre mobiliserait les stocks mais il éviterait toujours la rupture du stock .
Les autres productions exploités
A Ambatosia, les paysans ne s’intéressé uniquementà la culture du riz, mais également à la culture vivrière qui serve à la nourriture familiale. L’objectif sera de satisfaire les besoins de la population. Pour ce faire, nous envisagerons des collections communales qui servent aux marchés intérieurs ou extérieurs dont on prétend à un marché plus large et à une ouverture sur plusieurs débouchés La collection fourragère sera des atouts pour l’alimentation des bétails.
Alors, dès que la période de collection s’achève,les agriculteurs s’attachent à une culture des légumes dont le centre exploite uniquement aux produits durable comme le pomme de terre, petit pois, haricot vert, aubergine, … ce sont des produits pour approvisionner les marchés de la Commune.
Les chiffres d’affaires durant les années d’exploitation
Les chiffres d’affaires procurés détermineraient lacapacité de réception au sein du centre . Pour ce faire en matière de paddy, le rendement sera de 35% de son et 65% de riz blancs. Ainsi, nous avons alors deux ressources financières tant que les autres produits d’exploitation ne seront mis en exergues. Notre centre s’adonnerait alors à une activité d’achat – revente en matière agricole tantque nous prendrons une marge bénéficiaire de 40 %. Nous procurerons alors le hiffrec d’affaires de 243 214 250 Ar pour la première année d’exploitation dont il s’évoluerait en valeur de 644 737 650 Ar pour la 5° Année
Les spécificités de collecte du riz
La capacité de collection du centre dépendra alorsde la capacité de production rizicole dans la Commune d’Ambatosia. L’objectif sera de doubler la production d’ici 5 ans. Ce nouvel objectif fixé par le gouvernement est à la fois ambitieux et modeste. Ambitieux, par le volume qui assurerait pour le bon auto suffisance en riz de la dite région.
Modeste, compte tenu des pontentels et des moyens existants dont le principal sera sans doute le Système de Riziculture Intensive (SRI). C’est qu’on appelle « La découverte agricole du XX ème siècle ».
En tout cas, les résultats obtenus ont plus que convaincants. Le coût de production est d’abord faible avec des semences de 5 à7,5 Kg/Ha contre 50 Kg en culture conventionnelle irriguée. Alors, la réussite de production rizicole, sans fléaux perturbateurs (Cyclone, inondation, criquets,… ) et la pratique du système Rizicole Intensive envers cette région augmentera le volumede notre collection.
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Table des matières
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : LA DESCRIPTION DU PROJET
SECTION 1 : LA PRESENTATION DU PROJET
SECTION 2 : LES CARACTERISTIQUES DU PROJET
SECTION 3 : LA SITUATION GEOGRAPHIQUES ET DEMOGRAPHIQUE DE LA REGION
CHAPITRE II : L’ETUDE DE MARCHE
SECTION 1 : LA SPECIFICITE DU MARCHE
SECTION 2 : ANALYSE DE L’OFFRE
SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
SECTION 4 : L’ANALYSE DE LA CONCURRENCE
CHAPITRE III: LA THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION
SECTION 1: LA THEORIE D’EVALUATION SELON LES CRITERES
SECTION 2: L A THEORIE D’EVALUATION SELON LES OUTILS
DEUXIEME PARTIE : LA CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : LA TECHNIQUE DE COLLECTION
SECTION 1: LA COLLECTION DES MATERIAUX UTILISES
SECTION 2 : LA TECHNIQUE DES PRODUITS D’EXPLOITATION
CHAPITRE II: LA CAPACITE DE COLLECTION
SECTION 1 : LES PRECAUTIONS POUR LES CHIFFRES D’AFFAIRES
SECTION 2 : LES ASPECTS QUANTITATIFS ET QUALITATIFS
SECTION 3 : LES DIFFERENTS FACTEURS DE PRODUCTION
CHAPITRE III: L’ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1 : L’ORGANISATION ET RESSOURCES
SECTION 2: L’ORGANIGRAMME ENVISAGEE
SECTION 3: LE CHRONOGRAMME
TROISIEME PARTIE : L’ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : LES COUTS DES INVESTISSEMENTS
SECTION 1 : LE MONTANT DES INVESTISSEMENTS
SECTION 2 : L’AMORTISSEMENT DES BIENS
SECTION 3: LE PLAN DE FINANCEMENT
SECTION 4: LES COMPTES DE GESTION
CHAPITRE II : L’ETUDE DE LA FAISABILITE
SECTION 1: LES COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
SECTION 2: LES BILANS PREVISIONNELS
SECTION 3 : LE PLAN DE TRESORERIE
CHAPITRE III: L’EVALUATION ET IMPACTS DU PROJET
SECTION 1: L’EVALUATION ECONOMIQUE
SECTION 2 : L’EVALUATION FINACIERES
SECTION 3 : LES IMPACTS DU PROJET
CONCLUSION GENERALE
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