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Identification de la Chocolaterie Confiserie Robert
Tout d’abord, la présente sous section donnera une brève présentation de l’entreprise : sur l’historique, l’identité, mission et objectif, ainsi que l’organigramme de l’entreprise.
Historique
Historiquement, la Chocolaterie Robert a été créée en 1937 sur la Côte Est de Madagascar plus précisément à Brickaville dans la province de Tamatave. A l’origine, elle appartenait à la famille Réunionnaise ROBERT. D’où la dénomination de la société : « CHOCOLATERIE ROBERT ». En 1940, l’usine a été transférée à Antananarivo capitale de Madagascar pour des raisons climatiques qui ne convenaient pas à la conservation du chocolat. Initialement, c’était une Société à Responsabilité Limitée (S.A.R.L), mais la Chocolaterie Robert prit la forme d’une Société Anonyme (S.A) en 1969 par suite d’une décision extraordinaire des associés. Le 28 novembre 1977 le groupe RAMANANDRAIBE est devenu propriétaire de la société à la suite de démission collective des administrateurs de la société. Depuis 2005, la Chocolaterie Confiserie Robert s’est lancée dans l’exportation de ses produits en Europe. En 2006, le produit exporté » Mora Mora » a obtenu la Silver Cup par l’Académie du chocolat (World chocolate Award).
Identité
La Chocolaterie Robert, dans sa forme juridique, est une société anonyme (S.A) au capital de 100.000.000 AR. Elle a pour activité principale la fabrication et commercialisation des produits de confiserie à base de chocolat, sous la raison social « Chocolat Confiserie Robert ». La société est connue tant à l’international que national, ainsi elle laisse aussi bien des coordonner pour communiquer avec son environnement : le siège social de la société se trouve à Andrefan’Ambohijanahary au 472, bd Ratsimandrava BP : 621 ; Tel : 261.20.205.65/ 032.07.205.65 ; Fax : 22.205.71/22.243.18 ; E-mail : chorobert@moov.mg.
Mission et objectif
La Chocolaterie Confiserie Robert a pour activité principale, la fabrication des produits de confiserie à base de chocolat de qualité à travers la grande île.
L’objectif de la société se traduit principalement en termes de chiffres d’affaires. De ce fait, elle se fixe comme principal objectif d’accroître le chiffre d’affaires de 10% chaque année, ainsi que de lancer au moins un nouveau produit de manière à accroître la demande.
Organisation de la société
L’organigramme est sans doute la première chose que l’on présente dans une entreprise, car c’est le schéma représentant l’organisation générale et faisant ressortir les attributions et les liaisons hiérarchiques et organique de ses divers éléments.
L’organigramme général de la Chocolaterie Confiserie Robert qui nous a été fourni par le responsable de la société, ainsi que la définition des tâches de chaque département sont présentés à l’ANNEXE №I.
Justification de choix de l’entreprise
Madagascar dispose des potentialités agricoles énormes. L’agroalimentaire pourrait donc devenir le moteur du développement industriel. C’est la raison pour laquelle le gouvernement la considère comme une branche prioritaire de l’économie.
Elle représente plus de 30% et 40% du chiffre d’affaires et de la valeur ajoutée du secteur industriel en 2005 3 ;cette branche a connu la plus forte croissance des branches du secteur industriel malgache en 2007 (11.88%).
La Chocolaterie Confiserie Robert est choisie spécialement par son envergure au niveau national. Elle représente une richesse pour le pays car c’est la première chocolaterie de l’île. Cette dernière apporte une grande participation au développement du pays. Par contre, « Au premier semestre 2012, la situation de la trésorerie du secteur agroalimentaire reste jugée difficile et les résultats d’exploitation restent jugés normaux. Selon les industriels de ce secteur, la trésorerie reste très pénalisée par les prix d’approvisionnement et les charges salariales, ainsi que, dans une moindre mesure, par la variation des stocks. En revanche, les prix de vente restent favorables. Pour le deuxième semestre 2012, les perspectives de trésorerie se maintiennent à un niveau faible : le rythme de production et les prix de vente seraient défavorables »4. Ces situations contradictoires justifient notre choix de l’entreprise car elles mettent en évidence la nécessité d’une amélioration de la situation qui est en rapport avec notre thème « optimisation de la trésorerie ».
Cette section nous a permis de donner un aperçu général sur notre champ d’investigation. Comme la base de toute recherche est les théories, sa conduite repose donc sur des donnés théoriques ainsi que les moyens utiliser pour traiter ces donnés et, c’est l’objectif de la suivant section.
support matériels et théoriques de l’étude
Cette section consacrée à la revue de la littérature et au support matériel de notre étude se subdivise en deux sous sections. Dans le premier, nous exposerons les supports matériels qui sont indispensables dans la réalisation de notre recherche. Dans le second, nous aborderons les fondements théoriques de la gestion de trésorerie.
support matériels
En terme plus générale le mot matériel en recherche est l’ensemble des éléments physiques employés pour le traitement de l’information, c’est-à-dire la mise en oeuvre de nombreux outils à fin que la recherche aboutisse au résultat attendu.
matériels de traitement des données
Dans notre collecte de données nous avons utilisé différentes outils ; ainsi nous avons utilisé des fournitures et accessoires qui nous permettent d’écrire et /ou, d’enregistrer les conversations avec les personnes auxquels nous essayons de recueillir les informations. Ces supports matériels nous ont été d’une aide incontestable, d’ailleurs la qualité de l’information réside aussi sur les moyens mis en oeuvre pour l’obtenir.
Etant donné que le monde d’aujourd’hui est marqué par l’évolution technologique qui touche plus particulièrement le domaine de l’informatique. Cette dernière est devenue un élément majeur dans toute l’activité de l’humanité et dans plusieurs domaines, et aujourd’hui il n’est plus facile de s’en passer de l’informatique en particulier de l’Internet qui est un réseau mondial créé par l’interconnexion de réseau ou d’ordinateurs (publics ou privés ) et fournissant de multiples services : courrier électronique, transfert de fichiers, serveurs d’informations multimédias ;c’est le cas de la recherche. En conséquent, nos recherche nous incombe l’utilisation d’un ordinateur comme matériel, elle nous permet non seulement la saisie des donnés, des questionnaires, des résultats, mais aussi de les analyser à travers des moteurs de recherche et des logiciels à savoir : Microsoft office Word, Microsoft office Excel, Google, Yahoo …ces moteurs de recherche nous permettent d’obtenir des informations plus facilement, que ce soit théorique ou professionnel concernant notre objet d’étude.
les données primaires et secondaires
Le fait de faire une recherche c’est de se documenter c’est-à-dire de collecter des informations dans des documents qui se rapportent sur l’objet d’étude. Ces documents peuvent être catégorisés : d’une part, en documents primaires et d’autre part en documents secondaires.
documents primaires
Les données primaires regroupent les informations recueillies au sein de la Chocolaterie Confiserie Robert, à titre d’exemple : les états financiers, l’information concernant la trésorerie. D’une autre façon, nous les appelons aussi les données premières mains, sans avoir effectué une recherche bibliographique, ces données sont des sources alternatives, et qui complètent les acquis obtenus pendant les cours académiques. La nécessité de la présentation de la source des donnés sont essentiels afin d’éviter toute jugement sur la source des informations présentés dans la présente ouvrage.
documents secondaires
Documents secondaires c’est-à-dire les documents qui contiennent des recherches déjà effectuer par d’autre personne ; à ce propos, nous nous focalisons à travers l’ étude des documents écrites et audiovisuelles qui sont en relation avec l’ objet étudié ; par la mise en liaison des différentes mots clés qui composent la question de départ ,des bibliographies, cette recherche bibliographique nous a permis de nous informer des recherches déjà menés sur le thème du travail, qui permet de plus de connaître les idées fortes, les avis et les critiques existants sur le sujet . Actuellement, nous savons que l’information peut être à la porter de tout le monde à travers les journaux qui s’accroissent en nombre croissante pour ces trois dernières années, l’Internet qui nous offre beaucoup plus d’information que se soit à Madagascar ou à l’étranger ; ace propos nous pouvons citer par exemple : le journal Midi Madagascar, le journal l’Expresse de Madagascar, le journal Madagascar Matin, nous nous intéressons sur ces journaux car ils offrent aux lecteur non seulement des faits sociaux et politiques mais aussi une analyse économique sur lequel on peut y trouver (des idées, des suggestions, des conseils, des critiques ,etc.…), de surcroit, il y a aussi les journaux ou les courriers sur le Net comme : le journal du Net, de Guichet Entreprise, la Revue Electronique Suisse de Science de l’Information (RESSI) qui est publiée une fois par année sur le site de la Haute Ecole de gestion de Genève.
Notion théorique
La gestion de la trésorerie a revêtu des enjeux cruciaux pour les entreprises depuis la systématisation des marchés financiers et monétaires. Longtemps considérée comme une activité passive dans l’entreprise, avec l’impératif de sécurité en matière des fonds disponibles, elle est devenue plus active et constitue une fonction vitale dans l’entreprise, avec la mission d’apporter un surcroit de rentabilité à l’ensemble des activités. L’objectif est de ressortir la problématique qui préside aujourd’hui à la gestion de la trésorerie, pour permettre de mieux appréhender sa formation au cours d’une période, et de saisir les clés de son optimisation.
définition
Etudier la gestion de la trésorerie, nécessite par souci de lucidité, de préciser les notions de trésorerie et de gestion (appliquée à la trésorerie).
Définition de la trésorerie
La trésorerie est l’ensemble des liquidités immédiates d’une société c’est-à-dire l’ensemble des fonds en caisse, en banque et des différents titres qui sont facilement négociables comme les bons de trésors, les chèques postaux, les bons de caisse. La trésorerie nette correspond à la différence entre les ressources mises à la disposition de l’entreprise et les besoins à financer. Cette différence traduit soit un excédent global de ressource donc trésorerie nette positive, soit une insuffisance globale de ressource donc Trésorerie négative.
En effet, la trésorerie nette peut être mise en évidence par deux formules : T = Trésorerie Active (TA) – Trésorerie Passive (TP)
-Par le bas du bilan :
La TA comprend les valeurs mobilières de placement, et les disponibilités. La TP comprend les concours bancaires courants, les banques et organismes financiers avec soldes créditeurs et les effets escomptés non échus ;
– Par le haut du bilan :
Dans le cas ou la T=0, c’est-à-dire le FR est égal au BFR, c’est l’objectif idéal pour l’entreprise. Si T>0, c’est-à-dire le FR est supérieur au BFR, dans ce cas le FR finance la totalité des BFR. Mais si T<0, cela signifie que le FR est inférieur au BFR, alors le FR ne finance qu’une partie des besoins.
La gestion de la trésorerie
La gestion de la trésorerie est l’ensemble des activités qui, dans une entreprise, permettent de conduire, d’organiser et de suivre la formation et l’évolution de la trésorerie. La gestion de la trésorerie, essentiellement opérationnelle, subit l’influence des décisions stratégiques qui s’exercent sur les choix d’investissements et les choix de financements stables générateurs du fonds de roulement net global de l’entreprise.
Le rôle du trésorier est donc de suivre le besoin en fonds de roulement de l’entreprise pour prévoir les insuffisances ou les excédents de trésorerie. Il est chargé de la gestion des flux d’encaissement et décaissement des fonds relatifs à l’activité et à la vie même de l’entreprise. Traditionnellement considéré comme le garant de l’actif liquide de l’entreprise, et le négociateur auprès des banques, le rôle du trésorier s’est étendu aujourd’hui, eu égard à la prise de conscience de l’interdépendance des fonctions d’investissement et de financement. Il doit appréhender globalement la gestion des flux financiers et son point de vue est nécessaire pour le choix des financements à long terme. Ses activités au quotidien doivent lui permettre d’identifier les risques liés aux flux de trésorerie et de choisir les moyens de couverture apte à les neutraliser.
objectif de la gestion de la trésorerie
L’objectif de la gestion de la trésorerie dans cette perspective est la prévision des besoins et insuffisances de trésorerie et l’identification des moyens de financement correspondants. Il s’agit aussi de trouver les meilleurs placements en termes de coût, de T = Fonds de Roulement (FR) – Besoins en Fonds de rémunération et de risque pour les éventuels excédents. L’ensemble des décisions qui en découlent permet donc d’équilibrer les ressources et les emplois de trésorerie pour obtenir une trésorerie qui tend vers zéro. A la réalité, il s’agit de maintenir un niveau de l’encaisse qui permet de couvrir d’une part les risques de défaillance imprévue des clients, de faire face au coût du financement, et de ne pas négliger les opportunités de gains.
source et formation de la trésorerie
La gestion de la trésorerie présuppose la connaissance des éléments qui la constituent et les mécanismes de sa formation. Il convient donc d’en décrire la source, les éléments constitutifs et les techniques de suivi.
Le fonds de roulement et la trésorerie.
Dans l’hypothèse d’une entreprise qui se crée nouvellement, avant tout investissement, la trésorerie prend source des divers fonds apportés par les promoteurs et des divers emprunts initialement contractés. Ces fonds constituent en fait les ressources stables de l’entreprise dont le surcroît, après tout emploi durable, devra servir à financer tout au moins le début des activités. Ce surplus est désigné dans le langage financier par fonds de roulement permanent.
Il constitue en fait la source de la trésorerie et lui est même confondu à l’origine de l’entreprise. Durant la vie de l’entreprise, le fonds de roulement, entendu comme le surplus des ressources durables de l’entreprise sur ses emplois durables, va demeurer la source ultime de la trésorerie.
Par contre, cette seconde approche permet de calculer la part de l’AC qui n’est pas financée par le PC. Dans le cas ou FR = 0 : les Ressources Stables sont égales à l’actif immobilisé. L’équilibre de l’entreprise semble atteint mais celle-ci ne dispose d’aucun excédent de ressource à long terme. Si FR>0 : les Ressources Stables couvrent les besoins à long terme de l’entreprise. Si FR<0 : les Ressources Stables ne couvrent pas l’Emplois Stables.
De façon générale, les différentes variations de ce fonds de roulement sont imputables, en augmentation : aux nouveaux apports en capitaux, aux émissions d’emprunts, aux prêts obtenus à long et moyen termes, au bénéfice maintenu dans l’entreprise et à la diminution des actifs immobilisés (cessions et amortissement). En diminution, elles sont imputables : à la réduction du capital (remboursement), aux prêts consentis à long et moyen terme, à la distribution des dividendes, aux pertes subies, et aux nouveaux investissements.
Trésorerie, besoin et fonds de roulement
A tout moment de la vie de l’entreprise, le fonds de roulement permet de faire face aux besoins de financement des facteurs immédiats d’activité (acquisition des inputs, rémunération du travail, fiscalité …etc.). Il se régénère par contre grâce aux fonds résultant de la vente des outputs créés par l’activité. Dans la réalité, il existe des décalages temporels et financiers entre ces dépenses et ces recettes d’exploitation. Ces décalages proviennent d’une part, du temps qui s’écoule entre le moment de l’acquisition des inputs et celui de la sortie des produits finis ; et d’autres parts de la politique de marge appliquée dans l’entreprise. Ils impactent les stocks, les créances d’exploitation et les dettes d’exploitation, et créent de ce fait un besoin permanent de financement que l’on désigne par besoin en fonds de roulement. D’ailleurs, on peut calculer le BFR par la formule ci-après :
Notons en outre que, le BFR est composé de deux parties : le Besoin en Fonds de Roulement d’Exploitation ou BFRE(la patrie des besoins de financement du cycle d’exploitation qui n’est pas financé par les dettes liées au cycle d’exploitation), le Besoin en Fonds de Roulement Hors Exploitation ou BFRHE (la partie des besoins de financement courants, non liées directement au chiffre d’affaires, qui n’est pas financier par les dettes courantes hors exploitation).
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I MATERIELS ET METHODES
SECTION 1 : MATERIELS
1-1: Zone d’études
1-2: Identification de la Chocolaterie Confiserie Robert
1-2-1: Historique
1-2-2: Identité
1-2-3: Mission et objectif
1-2-4: Organisation de la société
1-3 : Justification de choix de l’entreprise
1-4: support matériels et théoriques de l’étude
1-4-1 : support matériels
1-4-1-1 : matériels de traitement des données
1-4-1-2 : les données primaires et secondaires
a-: documents primaires
b-: documents secondaires
1-5 : Notion théorique
1-5-1 : définition
1-5-1-1 : Définition de la trésorerie
1-5-1-2 : La gestion de la trésorerie
1-5-2 : objectif de la gestion de la trésorerie
1-5-3 : source et formation de la trésorerie
1-5-3-1 : Le fonds de roulement et la trésorerie.
1-5-3-2 : Trésorerie, besoin et fonds de roulement
1-5-4 : Le suivi en temps réel de la trésorerie
1-5-5 : Prévisions de trésorerie
1-5-5-1- Budget de Trésorerie
1-5-5-2 – Le plan de trésorerie glissant
SECTION 2: DEMARCHE METHODOLOGIQUE
2-1 : La collecte des données
2-1-1 : L’entretien
2-1-2 : Questionnaire
2-1-3 : La descente sur terrain
2-1-4 :L’analyse documentaire
2-2: L’outil d’analyse
2-2-1 : Cadre logique
2-2-2 : Les outils d’identification et d’analyse de problème
2-2-3 : L’analyse financière
2-2-4 : Swot (strengths, weaknesses, opportunities, threats)
2-3 : limite de l’étude
2-4 : Le chronogramme des activités
CHAPITRE II RESULTATS
SECTION 1 : LE MODE DE GESTION DE LA TRESORERIE
1-1: les moyens et procédures
1-1-1: Traitement des encaissements
1-1-2: Traitement des décaissements
1-2: la prévision de trésorerie
SECTION 2 : LA SITUATION FINANCIERE DE LA CHOCOLATERIE CONFISERIE ROBERT
2-1 : présentation du bilan
2-1-1 : Le retraitement du bilan comptable
2-2 : Approche fonctionnelle du bilan
2-3 : présentation des indicateurs de gestion
2-4 : Elaboration des ratios
2-4-1 : Ratios d’activité
2-4-2 : Ratios de structure financière
CHAPITRE III DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
SECTION 1 : DIAGNOSTIC DE LA CHOCOLATERIE
1-1: Analyse de la force (Strengths)
1-1-1: Les forces au service trésorerie
1-1-2: Les opportunités de la trésorerie (Opportunities)
1-1-2-1 : Les économies réalisables sur la gestion de trésorerie
a-: Les économies sur les conditions bancaires
b- : Les économies sur la gestion des comptes bancaires
c- : Les économies sur les procédures de trésorerie
1-2 : Analyse de la faiblesse (Weaknesses)
1-2-1 : Les faiblesses de la trésorerie
1-2-1-1 : Problème d’encaissement
a-Augmentation du besoin en fonds de roulement
b-Dégradation de la trésorerie
c-Insuffisance de la rentabilité financière
1-2-1-2 : Problème de décaissement
a-Effondrement de la valeur du fonds de roulement
b-Gonflement des charges
1-2-2 : Les menaces de la trésorerie (Threats)
1-2-2-1 : risques opérationnels
1-2-2-2 : risque de défaillance client
1-3 : validation des hypothèses
1-3-1 : la réalisation d’une gestion saine et performance de la trésorerie suppose la conjugaison de deux types d’actions : internes et externes à l’entreprise.
1-3-2 : l’habilité de l’entreprise pour assurer la sécurité et la pérennité nécessite l’existence : d’’outils et de procédures d’analyse prévisionnel de la trésorerie.
SECTION 2 : RECOMMANDATIONS
2-1 : Mise en place d’une politique et objectif de gestion de trésorerie efficace
2-1-1 : Politique de trésorerie
2-1-2 : Objectif de gestion : la politique de financement et d’emploi
2-2 : Mise en place d’outils de gestion adéquate
2-2-1 : plan de trésorerie
2-2-1-1 : Budget de trésorerie (plan de trésorerie provisoire)
2-2-1-2 : Plan de trésorerie définitif
2-2-2 : un système de suivi en date valeur
2-2-2-1 : Fiche de suivi de la trésorerie
2-3 : Elaborer des processus d’optimisation de la trésorerie
2-3-1 : Les moyens extra-bancaires
2-3-1-1 : La gestion des immobilisations
2-3-1-2 : La gestion du besoin en fonds de roulement
2-3-2 : Les moyens bancaires et les marchés monétaires et financiers.
2-4: RESULTATS ATTENDUS
2-4-1 : Nombre de jours gagnés en chiffre d’affaires (CA)
2-4-2: Produits des placements identifiés et mesurés
2-4-3 : Diminution des frais financiers
2-4-4: Taux de recouvrement amélioré
CONCLUSION GENERALE
GLOSSAIRE
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES ANNEXES
QUESTIONNAIRE
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