La représentation de la figure féminine dans le régime dictatorial à travers L’Etat Honteux de Sony Labou Tansi et Kotawali de Guy Menga

L’amante de son fils

   La figure maternelle est toujours en compagnie de son fils; elle la suit partout et comble ses fureurs sexuelles. Elle devient, sous ce rapport, l’amante de son fils. Ainsi, le fils est dans une situation de régression et de fixation à l’état infantile qui nous rappelle un peu Œdipe, ce roi qui tua son père et épousa sa mère Jocaste sans le savoir. Ce complexe d’Œdipe chez Lopez se décline dans le meurtre du père, absent du livre et dont le fils prend la place imaginaire, par la périphrase qu’il s’attribue sur ce modèle de « Père de la Nation ». On note chez Lopez une rivalité permanente avec la figure paternelle. Cette rivalité dont l’unique but est de se substituer au père, se poursuit dans l’affection de la mère mentionnée à chaque page du livre par la majuscule (Maman Nationale). L’image majestueuse de la mère de la nation illustre toute la tendresse et tout le respect que son fils lui témoigne pour combler le vide laissé par le père. Une liaison amoureuse avec la figure maternelle n’est pas scandaleuse dans ce pays pris dans un état de honte où aucune règle ne régit la vie sexuelle : « Le premier droit de l’homme c’est sa hernie, parce que mesdames et messieurs c’est une honte mais c’est la vérité, ce n’est pas pour rigoler que mon emblème c’est la braguette, croyez- moi sur parole : c’est la hernie qui fait l’homme ». L’amour œdipien est manifeste dans le système totalitaire car l’absence du père crée un vide sexuel chez la mère qui ne peut pas se passer d’une compagnie masculine. L’exemple le plus éloquent nous est livré dans L’Etat Honteux à travers le personnage de Louhaza : « Notre frère Louhaza qui aima sa mère à la folie et qui lui donna douze enfants dont Talanso MANUEL, arrière grand- père de Maman Nationale, descendant de Lakansi national, fondateur de la patrie » Cette pratique incestueuse chez la mère de la nation s’explique par l’hérédité. Elle devient également la convoitise des dirigeants et des personnalités diplomatiques. Une telle attitude la démystifie et la rabaisse au plus bas niveau de l’échelle sociale.

L’hôtelière nationale

   Dans sa volonté d’accaparement, de centralisation du pouvoir et d’engloutissement des deniers publics dans des projets futiles, le dictateur nomme sa mère cuisinière nationale, mieux, hôtelière nationale. Cette nouvelle nomination vient confirmer, encore une fois, la suprématie de Maman Nationale sur ses compatriotes qui se sentent, par la même occasion, vexées, humiliées et bonnes à rien. Nommée par la plus haute autorité du pays Maman Nationale s’arroge tous les droits et toutes les prérogatives que lui confèrent ses nouvelles fonctions. De ce fait, elle peut participer à sa manière au gaspillage des ressources publiques car, disposant d’un budget de fonctionnement et n’étant soumise à priori comme à postériori à aucun contrôle : « Il intime au ministre du pognon l’ordre de donner à Maman Nationale trois cent douze millions pour la cuisine et autant pour les costumes et consorts ».

La femme dictatrice

    La pression qu’elle exerce sur le pouvoir lui vaut une grande considération de la part des membres du gouvernement. Chaque responsable du gouvernement cherche à lui faire plaisir, pour être en odeur de sainteté avec elle, et éventuellement avec le président. En effet, le maintien d’une personnalité au sein du gouvernement dépend en partie de l’affection qu’elle porte à cette dernière. Toute autorité administrative ou militaire qui n’accorderait pas une attention particulière à sa personne, est exposée à des sanctions. Obligation est faite à tous les dignitaires du régime d’assister à toutes les manifestations organisées par la mère de la nation, même si elles n’ont aucun rapport avec les activités républicaines. Il suffit seulement que la mère du président décide d’organiser une cérémonie à titre personnelle que celle-ci soit inscrite durablement dans l’agenda culturel de la république. Cette manifestation sera décrétée fête nationale que toute la population doit célébrer, de peur d’encourir des punitions. Tout manquement à cette obligation entraîne des conséquences fâcheuses à en croire Baily dans SECRET D’ETAT : Un autre ministre n’avait pas eu de chance. Sa fille, gravement malade avait été admise dans un hôpital en France. Il avait demandé l’autorisation au guide éclairé pour s’y rendre. La Bienheureuse madame Tressia, qui n’avait pas vu le ministre à la fête de la Maternité, décida son éviction du gouvernement. Son fils fût obligé d’exécuter la décision. Un tel comportement noté chez la dictatrice explique ces propos d’Hugo dans Marie Tudor : Quand une femme règne, le caprice règne. Alors la politique n’est plus chose de calcul, mais de hasard. On ne peut plus compter sur rien. Aujourd’hui n’amène plus logiquement demain. Les affaires ne se jouent plus aux échecs, mais aux cartes. Elle est consultée, la plupart du temps, avant qu’une décision importante ne soit prise. Dans L’Etat Honteux, Maman Nationale est l’une des sommités de l’Etat, sinon la deuxième personnalité du pays. Elle reste la seule personne, à ne pas subir les nombreux remaniements ministériels au cours desquels plusieurs responsables sont évincés de leur fauteuil. En effet, au moment où plusieurs autorités administratives ou militaires font les frais du régime dictatorial, elle voit son pouvoir renforcé par l’attribution de nouvelles fonctions, en plus de celles qu’elle détenait. Ceci montre à suffisance qu’elle est dotée d’un pouvoir extrême comparable à celui de son fils. Elle a donc un pouvoir décisionnel et se substitue dés fois au président. Etant la seule personne sur qui le président peut compter réellement, elle devient par conséquent, sa doublure, celle qui est capable de gérer la situation en son absence ou en cas d’incapacité du président à exercer pleinement la fonction de président de la république. Cela explique aussi les tableaux à son effigie accrochés sur toutes les artères de la ville pour manifester sa présence et dissuader ses compatriotes par le regard. Le regard est un signe de puissance et de domination comme Georges Orwell le montre dans 1984 sur les affiches qui décrivent sans exagération l’exploitation des citoyens à des fins d’endoctrinement : « BIG BROTHER VOUS REGARDE ». La dictatrice entend se faire remarquablement obéir et se faire respecter en faisant figure d’autorité, ce qui la conduit à porter la même tenue que son fils à savoir celle du dictateur. Le pouvoir qu’elle se dote, la transforme en mère tyrannique chez qui s’atrophie ou s’hypertrophie l’instinct maternel. En effet, les relations qu’entretient la figure maternelle avec son fils au pouvoir peuvent être parfois empreintes de rivalités car celle-ci lorgne le fauteuil présidentiel. Pour satisfaire cette ambition gargantuesque, elle peut même comploter contre son fils : La mère de Jean-sans-Cœur était une femme absolument immonde. Elle avait obtenu de son fils un bon nombre de titres, mais elle travaillait avec son amant, le colonel Raboiria, sur les possibilités de tuer Jean-sans-Cœur et de la sacrer, elle, impératrice du Kawangotara. Le souci de protéger ses enfants est aussi manifeste chez la femme. Le lien affectif est plus ressenti du côté de la mère que du côté du père de famille. Ainsi, Son instinct de mère la rapproche davantage de son fils. En effet, Maman Nationale s’attache à son fils comme la prunelle de ses yeux, et tente de le protéger contre tous les dangers. Elle veille sur lui durant sa maladie qui l’avait plongé dans le coma et s’emporte devant la trahison des responsables. N’ayant plus d’espoir sur l’état de santé de son fils qui s’est complètement dégradé et voyant tous ses avantages repris par les insurgés, elle sera agréablement surprise lorsqu’elle voit son fils reprendre le souffle de la vie. Cet espoir nouveau et cette certitude de reconquérir, à coup sûr, un pouvoir fragilisé et chancelant, la plongent dans une euphorie qui la conduit à la folie. Ainsi, Maman Nationale passe de la gloire à la déchéance. Puante, pouilleuse, aveugle. Mangée par la teigne et par la gale. Jusqu’à ce jour où le linceul se mit à bouger. Les deux yeux se mirent à regarder la patrie et, maman pourquoi tu pleures. Elle cria de joie dans tout le village et en devint folle pour le reste de ses jours.  Ce soutien de taille peut se trouver dans la puissance mystique de la mère. Elle conforte, par ses pouvoirs occultes, la position de son enfant à la tête du pays. Nadjouma, la mère de koyaga, en est une illustration parfaite dans En attendant le vote des bêtes sauvages de Kourouma : « Nadjouma est la racine qui pompe la sève qui nourrit le régime du maître chasseur koyaga ». De plus lors des cérémonies officielles, la mère du président est la première à monter sur le podium, pour adresser un discours à la nation. La question pertinente serait de se demander de quel droit s’adjuge cette femme pour prononcer une allocution à l’endroit du peuple ? Cette implication de la mère de la nation n’est légitimée que par l’usage d’une force répressive qui installe une crainte et une peur permanentes au sein des populations. Elles sont donc contraintes d’assister et d’écouter, malgré eux, les discours fleuves, vides de sens, de cette dame. Elle cherche simplement à magnifier la grandeur de son fils, et inciter le peuple à faire bon voisinage avec le régime en place dont le fils détient le monopole. En outre, par ses pratiques barbares et inhumaines, elle est comparable au dictateur. Sa fréquence dans l’assemblée des hommes fait d’elle un alter égo du dictateur à qui elle s’identifie par sa capacité de destruction. Vuillemin en est convaincu en demandant : « Se trouve-t-on aux franges de la figure du dictateur ? La question est posée. Il n’est pas sûr, simplement parce qu’il s’agit de femmes, que des femmes ne puissent devenir d’autres dictateurs. Rien n’interdit de l’imaginer ». Toutefois, son caractère masculin ne cache en rien sa féminité.

L’Objet de jouissance sexuelle

    La gestion catastrophique et solitaire des ressources publiques par une minorité au pouvoir a fini de plonger le pays dans le chaos et dans le marasme économique. Les difficultés de la vie qui en découlent ne préoccupent guère les tenants du pouvoir dont le souci majeur, est de conforter leur position au sein de l’appareil gouvernemental pour pouvoir acquérir plus de prestige et accaparer les deniers publics. Il faut préciser que l’homme a toujours cherché à préserver les valeurs dominantes que sont l’autorité, la soumission de la femme, le respect, l’obéissance dans sa relation avec la femme. Donc pour arriver à ses fins et par crainte d’un renversement des rapports d’autorité au sein de la société, il se rapproche des groupes dominants habilités à conférer les valeurs autoritaires de la société. Il fait tout pour être membre de l’attelage gouvernemental pour conserver un certain nombre de privilèges. Ainsi, il pourra augmenter son pouvoir d’achat, se payer le luxe d’habiter dans de belles villas et se procurer les plus belles filles du pays. En effet, la pauvreté qui prévaut dans la plupart des pays à régime dictatorial, fait que les filles n’ont plus le choix. Pour mener une vie luxueuse ou pour prétendre à un emploi, il leur faut accepter les conditions établies par les dignitaires du régime. L’acte sexuel est devenu un simple divertissement pour les autorités du pays qui considèrent la femme comme un simple objet de jouissance sexuelle. Chacun essaie de posséder le maximum de partenaires et n’épargne aucune femme dans leur entreprise de débauche. Dans ce contexte d’une quête effrénée de plaisirs sexuels, l’infidélité devient le quotidien des hommes et des femmes. Ces dernières se donnent gracieusement aux hommes dans le but d’une insertion sociale. C’est ce que mentionne Tansi dans ce passage de La vie et demie : Le docteur Tchi, comme on l’appelait à l’époque, mena la vie des VVVF qu’on appelait la vie avec trois V. Il construisit quatre villas, acheta une voiture à huit belles filles. Il construisit la maison pour deux maîtresses : c’était l’époque où les femmes s’appelaient bureaux et où l’on parlait sans gêne d’un neuvième ou dixième bureau. Par ailleurs pour la satisfaction de leur libido, certains vont jusqu’à ravir la femme d’autrui, sans pour autant être inquiétés. Tout est donc permis dans un tel système. Or, dans toutes les sociétés organisées du monde, la femme d’autrui est une propriété privée, donc intouchable. Le fait de saper ses fondamentaux, crée une certaine animosité entre les individus et une instabilité sociale. Mais, puisque c’est la loi du plus fort qui domine dans la dictature et que cette force est incarnée par les autorités étatiques, ces dernières agissent selon leur bon vouloir. Vouloir s’opposer à leur volonté conduit inéluctablement à la prison ou à la mort. Qui oserait critiquer le dictateur pour lui avoir pris sa femme ? Huxley note dans Le meilleur des mondes : A mesure que diminue la liberté économique et politique, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître en compensation. Et le dictateur (à moins qu’il n’ait besoin de chair à canon et de famille pour coloniser les territoires vides ou conquis) fera bien d’encourager cette liberté-là. La femme demeure la convoitise quotidienne des autorités du pays. Elle leur procure à longueur de journée du plaisir, de la jouissance à travers les manifestations festives. Elle devient aussi une source de concurrence entre les hommes surtout quand celle-ci est bien bâtie. Les hommes rivalisent d’ardeur et de prestance pour se la procurer. En effet, toutes les autorités se la disputent ; elle devient du coup un foyer de tension, un objet de querelle qui aboutit à des scènes de violence. Et Cataeno Pablo ; on m’a dit que tu aimes ma femme. Et elle prétend que c’est toi qu’elle aime. Je ne comprends pas. Je l’ai quand même prise à Yambo-Yambi devant toi. Et tu étais quand même là quand je suis allé donner tous les vins à son père. Tu veux te mesurer à ma hernie ? D’accord comme tu voudras.  A travers cette scène humoristique, où la femme devient une propriété commune, l’auteur de L’Etat honteux montre l’attitude d’un personnage extravagant, qui allie grotesque et tyrannie. En effet, le ridicule se trouve dans le reproche que le Guide fait à son interlocuteur, une faute dont il est, lui-même, coupable. Il n’accepte pas qu’on lui ravisse une femme qu’il avait, luimême, prise de force, à quelqu’un. Par ailleurs, celui qui ne supporte pas de perdre sa femme courtisée par ses supérieurs, choisit l’extrême geste de liberté et en même temps de solitude : le suicide -Monsieur le Président c’est honteux : ma femme couche avec un certain tirailleur nommé Tannanso Hussoto, mon colonel national faîtes quelque chose pour me sortir de cette honte ! -La poupe la poupe c’est ce qu’il y a de plus compliqué à gérer, mais que veux-tu que je fasse Carlos Pédro, c’est le pays qui est devenu comme cela, notre vilain snobisme : tout le monde veut désirer ce que le prochain désire. Il lui sort les listes de ces couples honteux qui se sont formés au fond de ma palilalie. […] La liste est longue, septante pages de femmes de quelqu’un qui couche avec la femme de quelqu’un dans la seule ville de Zamba-town. La présentation des faits par le narrateur dépasse même l’entendement de la raison humaine. Ainsi, par le procédé du grossissement, Sony Labou Tansi use d’un néologisme numéral « septante » pour montrer l’ampleur de cette pratique et la pluralité des femmes qui s’adonnent à cette débauche.

La femme battue

   La phallocratie qui a longtemps régné dans la société africaine, avait fini de reléguer la femme au second plan. Celle-ci reste sous le joug de l’homme qui en fait une esclave qu’il manipule à sa guise. Il ne lui accorde aucun droit, aucune légitimité dans le mariage qui les réunit. La moindre maladresse est sévèrement réprimée. Cette pratique humiliante abêtit la femme qui ne se sent nullement en sécurité auprès de celui avec qui elle a scellé son destin. Cette pratique, jadis observable dans la société africaine, a pris des proportions inquiétantes dans le régime dictatorial où la femme est appréciée comme une machine de procréation dont le rôle se limite seulement à enfanter. Mais cette procréation n’est pas toujours facilitée par le dictateur qui montre une sévérité extrême à l’endroit de celle-ci. Etant la seule personne à l’assister, et à être à ses côtés, quand celui-ci est encore frappé par une de ses crises hystériques, elle s’approche de lui pour le soulager et dissiper ses ennuis. Sa tentative de consolation du Guide aboutit souvent au drame car la femme en sort battue à mort. Ces sévices corporels témoignent de la violence et du cynisme du dictateur qui renoue avec ses vieilles habitudes (son comportement de fauve, sa férocité animale). Kourouma nous montre une scène cruelle faisant suite à une querelle de ménage En effet, la première épouse du dictateur au totem Léopard est victime de la colère innée de son époux : Pour un rien, une poussière de querelle de ménage. Il la cogne des poings, de sa canne. Il lui fracture un bras. Elle crie : « -J’attends un bébé -Justement, je vais t’en débarrasser, réplique son époux. Il lui fait expulser le fœtus d’un coup de soulier. Quand il la voit inanimé, demi-morte, gisant dans le sang, il arrête de la frapper et se mit à hurler. » Cette violence inouïe exercée par le dictateur sur sa propre femme qu’il a tant auréolé de gloire, au point d’en faire une femme d’une dimension  exceptionnelle, renforce l’idée selon laquelle le dictateur participe à la destruction de l’humanité. Il ne participe guère à l’explosion démographique de sa population. En effet, il est à l’origine de l’avortement de sa femme. Un enfant est un rayon de soleil qui illumine la vie, or le dictateur n’en veut pas du tout. Celui qui ne veut pas voir sa propre progéniture, n’épargnera point la vie des autres. Et le cinéma auquel il joue après s’être rendu compte de l’irréparable, et l’organisation de funérailles nationales, dignes du rang de première dame, montrent, à la limite, un sujet psychiatrique. Ces violences corporelles entraînent la mort de la femme dont la fragilité du corps est doublée par son état de grossesse. Son état de santé ne lui permet pas de supporter les coups et blessures. Mais comme le dictateur est la seule personne importante dans le pays, la vie des autres importe peu à ses yeux. Ces pratiques présentent des visions d’épouvante comme si l’enfer est pour demain. Tout le monde participe à la destruction du monde. Dans ces conditions, une extermination de l’espèce humaine est prévisible. Les dictateurs provoquent l’apocalypse comme le souligne Nietzsche : « Des êtres [se seront] placés au-dessus de toute l’espèce humaine et [auront sacrifié] à cette fin tous leurs prochains » Et à Huxley de renchérir : « Il n’y a pas de limites. Tout le monde est capable de n’importe quoi, littéralement de n’importe quoi » Par ailleurs, la femme est souvent détenue pour plusieurs raisons qui n’ont aucun fondement juridique.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Introduction
I-Première partie : la mère de la nation
Premier chapitre : une figure ambivalente
Deuxième chapitre : la femme aux multiples fonctions
Troisième chapitre : une femme androgyne
II-Deuxième partie : le foyer de la sexualité et la victime de violences
Premier chapitre : le foyer de la sexualité.
Deuxième chapitre : la victime de violences physiques.
Troisième chapitre : la victime de violences psychologiques.
III-Troisième partie : la figure de la résistance et de la révolution
Premier chapitre : la résistante clandestine.
Deuxième chapitre : la résistante armée.
Troisième chapitre : la figure révolutionnaire.
Conclusion
Bibliographie

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *