La relation entre le moi et le Soi

La relation entre le moi et le Soi

Jung et le béhaviorisme

Le courant depensée béhavioriste 65 selon lequ e l l’enfant arrive au monde tabula rasa est somme tou t e b i e n éloignée de la psychologiedeJung.L’hommeapprend effectivement par le contactet l’influence du mo n d e extérieur, mais on ne peut réduire son apprentissage qu’à cela. Bien des aptitudes sont encodées en nous dèsl a naissance. C’est ce que Jung qualifie d’ « héri t age archétypique» comme nous l’avons vu précédemment. Le cycle de la vie humaine, comme le souligne l’analyste jungien Anthony Stevens,66 est d’ordre archétypal comme avoir une mère, un père, s’adapter àson milieu,traverserles difficultés de l’adolescence,accéderau mondeadulte, trouver sa place dans la société, assumer différentes responsabilités, vieillir et enfin se préparer à sa mort. Lorsque le milieu est carencé et ne peut offrir l’appui nécessaire pour répondre à une visée archétypale, le développement de l’individu en sera affecté, ces phases typiques de la croissance étant gravées dans notre constitution psychique, selon Jung. On y retrouve les grandes phases de la vie exprimées symboliquement. Que des processus physiologiques sous-tendentnos transformations physiques, de l’enfance à la vieillesse, cela va de soi pour l’opinion commune, mais Jung va plus loin une détermination génétique accompagne aussi nos transformations psychologiques. Il existe autant d’archétypes que de situations typiques de la vie. Des tragédies grecques à la littérature moderne en passant par le théâtre et le cinéma d’ aujourd’ hui, il Y a dans ces œuvres un discours qui rejoint une réalité commune de l’humanité. Nous avons des modèles de comportements instinctifs, c’est-à-dire que nous avons des façons semblables de réagir à certains événements. Mais, du même coup, nous avons en commun des modes de représentations du monde De même que les instincts incitent l’homme à une conduite de vie spécifiquement humaine, de même les archétypes contraignent la perception et l’intuition à des formations spécifiques et humaines. Les instincts et les archétypes constituent l’inconscient collectif [ … ] De par sa nature, l’instinct est un phénomène collectif, c’est-à-dire général et régulier, qui ne concerne pas l’individüalité de l’homme. Les archétypes de la représentation ont la mêm~ qualité que les instincts; ce sont également des phénomènes collectifs. Je suis persuadé que l’on ne peut traiter la question psychologique de l’instinct en dehors de celle des archétypes car l’une condi tionne l’autre.
Dans le psychisme donc, les opposés se partagent entre les instincts et les archétypes.Nous sommes prédétermlnés autant par nos émotions que nos représentations. Face à la mort ou dans une rencontre avec l’autre sexe par exemple, nous avons des réactions instinctives, sous forme d’émotions, que l’on peut reconnaître sur le plan corporel. Marie-Louise Von Franz parle de l’angoisse, de l’amour ou de l’enthousiasme qui s’accompagnent bien sûr, chez chacun, d’effets physico-chimiques tels que des tremblem.ents, des battements de cœur et des sudations. Par contre, à l’opposé de l’instinct, se trouve l’archétype qui lui, conditionne nos représentations symboliques. La forme et le sens de nos pulsions apparaissent avec l’image archétypale. L’instinct et l’archétype sont deux opposés mais ils sont toutefois les deux pôles d’une même énergie psychique. Un phénomène instinctuel se tourne naturellement vers le pôle corporel alors que l’accent est mis sur le pôle archétypique lorsqu’une idée nous obsède.
La constatation des polari tés de l’énergie psychique nous permet de mieux comprendre pourquoi Jung parle d’un instinct religieux. Il croit que, tout comme l’instinct sexuel, l’homme serait aussi poussé par des besoins de créativité, de réceptivité, de compréhension philosophique ou religieuse.

Conclusion

Dans ce premier chapitre, nous nous sommes penchés surla théorie du psychisme chez Jung et l’approche empirique qu’il préconise afin de nous introduire à la question du Soi.
La découverte majeure du psychiatre est d’avoirdémontré, à l’aide d’analogies symboliques, que l’imaginaire humain possède des caractéristiques générales. Il y a en nous des formes a priori de la perception. L’expression mythique, à travers ses multiples variations, révèle des structures universelles. Ces représentations font partie de nos schèmes de pensée. Jung nomme archétypes ces formes générales de la perception psychique.
À partir de ses connaissances sur le psychisme humain, Jung se donne pour directi ves de ne considérer que les représentations archétypales.La méthode qu’il préconise se borne à l’observation des faits psychologiques. Ce qui est au-delà de l’image psychique nous est inaccessible. Doivent être tenues à l’écart, toutes considérations philosophiques ou spéculations métaphysiques à partir d’un fait psychologique.
Malgré cette position ferme de la part de Jung, on remarque au fil de ses écrits, surtout vers la fin des années 1940, un élargissement de sa pensée. À plusieurs reprises, l’auteur témoigne d’un riche vécu concernant son expérience du Soi. Il nous parle d’une étrange force qu i l’habite, d’une énergie supérieure en lui. Il défini t le Soi comme une intuition, une voix intérieure, une poussée en lui-même qui échappe au contrôle conscient. Une pare ill e définit i on du Soi se rapproche aisément, pour notre part , des commentaires de bien des mystiques connus, autant en Orient qu’en Occident.
Ces considérations sur la théorie des archétypes nous ont permis d’avancer dans notre réflexion critique qui questionne l’approchè empirique de Jung et le cadre théorique qu’il s’est fixé. L’auteur peut-il, à l’intérieur de ces limites, donner toute l’extension voulue à sa définition du Soi? Il semble qu’à ce moment-ci de l’exposé, nous assistons à un dépassement du seul fait observable en tant qu’image psychique.
Poursuivons maintenant notre démarche concernant l’exploration symbolique afin de préciser davantage l’expérience du Soi chez Jung.

L’INDIVIDUATION

La connaissance de soi

C’est en 1912 que Jung plonge dans les eaux de l’inconscient comme nous l’avons vu plus haut. Mais, cette année est importante aussi pour une autre raison : elle marque le point de rupture avec la pensée freudienne comme nous le verrons.Jung publie cette même année un ouvrage dense et hermétique, ayant pour titre Métamorphose ‘ de l’âme et ses symboles. Il y fait le récit et l’étude des rêveries d’une jeune schizophrène, Miss Miller, qui lutte pour son autonomie ou encore pour se relier à son inconscient et enfin joindre des opposés en conflit. Dans un texte antérieur de 1908 sur « Le contenu de la psych6se », Jung affirmait que d’une façon similaire à ses observations concernant le rêve, le psychisme d’un individu atteint d’une maladie mentale démontre qu’un mécanisme de compensation est à l’oeuvre. Malheureusement, chez le schizophrène, très souvent, ce dernier n’arrive pas à trouver l’attitude lui permettant d’intégrer ses rêves et ses fantasmes.L’étude de la schizophrénie amène Jung à sa notion d’inconscient collectif,  » une idée qui lui était aussi apparue en rêve trois « ans avant sa rupture avec Freud, soit en 1909. Adoptant sans réserve les observations de Freud sur les traumatismes passés, Jung constate également que C.G. Jung, Psycho genèse des maladies mentales, d’autres contenus à part ceux-:-ci apparaissent à la conscience. Il constate simplement que des contenus communs font partie de l’imaginaire humain. Ces phénomènes psychiques, bien sûr, s’observent dans nos rêves et ils sontaussiprojetésoureprésentésdans des motifs mythologiques typiques que l’on retrouve dans la
psychologie des religions. Afin d’identifier ces formes mythologiques, Jung parle d’abord, en 1917, de « dominantes de l’inconscient collectif» et ensuite « d’archétypes » en 1919.Le point de vue épistémologique de Freud traduit une vision déterministe causale alors que la perspective jungienne est probabiliste et prospective.Rechercher la cause d’un complexe suscite moins ,d’intérêt pour Jung quel’évalua t ion de sa visée ou sa finalité puisque la totalité d’une personne dépend de son appartenance au genre humain et non pas uniquement à l’ histoire passée de l’ individu.Enfin, une double approche causale et prospective lui semble mieux appropriée pour aborder le fonctionnement du psychisme. Dans un texte de 1914, sur la « Compréhension des processus pathologiques en psychologie » ,le contenu témoigne de la nécessité d’attirer tout autant l’attention sur ce gu’ un individu néglige que sur la finali té d’une problématique ou ce qui demande d’être assimilé par la conscience. Si le complexe est pathologique pour Freud, il est sain pour Jung puisque de nouvelles possibi l ités d’accomplissement sont en jeu.Jung poursui t sa réflexion et il se rend à l’évidence que nous portons l’histoire ou l’expérience ancestrale de l’espèce humaine en nous et, tout comme le corps obéit à un principe d’homéostasie, le psychisme, parallèlement, cherche à maintenir son équilibre. Pour ce faire, le Soi réagit par rapport à l’attitude consciente. Dès lors, le dynamisme de la psyché suppose une intelligence de la part du Soi, c’est-à-dire une direction, une visée, une finalité. Cela n’incite pas à opter pour un but prédéterminé mais, chose certaine, l’inconscient possède sa pleine autonomie. Dans une lettre du 15 avril 1948 à J.A. Howard ‘ Ogdon, en parlant du yoga et des autres pratiques
.mystiques, Jung fait observer que l’inconscient tend à compenser la dissociation psychique dans le cas même d’une maladie mentale comme la schizophrénie. Ainsi, dit – il :
… Ce qui se passe alors doit être interprété comme une tentative d’auto-guérison déterminée par sa finalité même, car il s’agit d’un processus compensatoire déclenché sous l’effet de la dissociation mentale du schi zophrène.
Dans un excellent ouvrage sur la pensée de Jung, de Yolande Jacobi: Complexe, archétype et symbole,74 l’auteure explique le rapport du conscient et de l’inconscient en présentant quatre attitudes menant à la libération de l’influence négative d’un complexe sur la conscience. Il y a d’abord l’ignorance du complexe, ensuite l’identification à ce dernier, troisièmement la projection et enfin la confrontation. Seule la confrontation, c’est-à-dire l’échange, le dialogue ou l’expression artistique afin de le rendre conscient, peut être salvatrice. Toutefois, cette attitude demande du courage. L’intégration est ce qu’il y a de plus difficile. Les alchimistes l’exprimaient en disant qu’il faut fixer le volatil. Pour sa part, Yolande Jacobi affirme que Une des causes les plus fréquentes des complexes est le prétendu conflit moral, c’est-à~dire l’incapacité apparente d’affirmer la totalité de son être.
Dans une perspective jungienne, se connaître soi-même signifie que l ‘on vise une compréhension empirique de sa propre nature humaine. On veut connaître l’individu dans sa totalité. Pour ce faire, nous devons observer le dynamisme de l’inconscient. Les manifestations oniriques sont pour Jung les plus révélatrices dans une étude sur le psychisme humain.
L’apport de Jung à la psychanalyse offre l’analogie d’une véritable révolution copernicienne, ce que souligne à juste titre le philosophe français Élie Humbert. Dans les théories traditionnelles sur le développement psychologique, on mise sur la formation d’un moi solide ayant une bonne capacité d’adaptation. Ce point est certes valable, même pour Jung, mais en tenant compte avec ce dernier que le moi n’est plus ou n’est pas le centre du système psychique. Le Soi est plutôt l’agent premier. C’est la circumbulatio,l’ego tournant autour du Soi.
L’accomplissement d’un individu serait la réalisation du Soi en lui-même; Jung donne l’appe l lat i on « d’individuation », dansles années trente, à ce processus d’assimilation du Soi par la conscience. Une différenciation progressive du moi et du Soi aurà lieu de sorte que peu à peu une coopération s’installe entre la conscience et cette part mystérieuse de l’inconscient.
Ce dialogue conscient/inconscient sera exploré chez Jung par l’étude du rêve qui l’amène au constat sui vant :
un principe d’autorégulation est à l’œuvre dans le psychisme. Mentionnons ici que ce principe n’est pas un absolu. Mais de tous ses écrits, peut-on dire à la suite d’Ëlie Humbert,c’est là ce qui se rapproche le plus d’une théorie du psychisme. Le rapport de l’inconscient au conscient est presque toujours compensatoire, c’est-à-dire qu’il vise à retrouver un équilibre. Conjonction et dissociation sont les termes clés de cet enj eu. Une vie psychique équilibrée signifie un dialogue souple entre l’attitude du moi conscient et ce que l’inconscient fournit comme informations et orientations possibles :
… les manifestations de l’inconscient collectif ont par rapport à la situation consciente un caractère compensateur, c’est-à-dire que grâce à elles, une vie consciente unilatérale, inadaptée, voire dangereuse, devrait être remise en équilibre.
Ainsi, l’énergie psychique suppose une tension constante entre diverses forces d’opposition en nous-mêmes, telle l’autorégulation du conscient et de l’inconscient. Déjà, chez les Grecs, Héraclite se représentait le cosmos comme une lutte des contraires dans le monde de la nature.Les forces opposées de la nature, disait-il, sont à la fois antagonistes et complémentaires. L’ harmonie des contraires maintient l’univers et lui permet de se tenir debout. Il affirme que la source de toutes choses est un principe d’opposition La naissance et la conservation des êtres sont dues au conflit des contraires qui s’opposent: Dieu, dit – il, est jour et nuit, hiver et été, guerre et paix, surabondance et famine; les choses froides deviennent chaudes, et le chaud se refroidit; le droit et la courbe, le bien et le mal sont une seule et même chose; de sorte que, si le conflit n’existait pas, l’univers serait détruit :
Pour Héraclite toujours, le conflit primordial n’a rien de destructeur. C’est un rapport de compensation. Le dynamisme de la nature tend à l’équilibre. L’ harmonie des contraires est à chaque instant contrôlée par un ordre supérieur. En somme, la totalité du réel est à la fois
unité et multiplicité. L’unité du monde ou la substance de

LE CHRISTIANISME ET L’OMBRE

Le développement psychologique de l’ histoire religieuse occidentale

Le regard critique que Jung pose sur la religion chrétienne s’élabore en cinq points.Nous évoquons
d’abord l’idée d’un développement psychologique de l’histoire; deuxièmement, l’idée de l’immanence du divin troisièmement, le monothéïsme de l’Église; quatrièmement, nous traitons de la participation . de l’ homme au processus de la création; et enfin, de l’importante question de l’ombre qui revient comme une obsession chez Jung.Notre mythologie chrétienne ou encore notre représentation symbolique de Dieu à travers le christianisme se doit d’évoluer selon Jung. Elle doit davantage s’adapter à la réalité empirique de l’homme. Les symboles ne représentent pas une réali té ontologique. Ce sont des projections psychiques, ce qui n’implique pas, bien sûr, qu’il n’y a pas un au-delà du psychisme. Le théologien Eugen Drewermann,191 fortement influencé par Jung, disait du concrétisme religieux qu’il était sans résonance. Selon lui, la marche du Christ sur les eaux, serait par exemple, à interpréter sur un plan symbolique :elle indique l’idée d’être au-dessus des tempêtes émotionnelles. La mythologie chrétienne, disait-il, est à revoir à partir de la psychanalyse. Cependant, l’Église ne pose pas le même regard. Les symboles religieux ne sont pas directement une expression de l’âme ou de l’inconscient collectif.Selon Jung, l’imaginaire religieux doi t davantage traduire une divinité plus humaine. Le fait que Jésus soit né du Saint-Esprit et perçu comme un être presque parfait, l’éloigne de l’homme mortel. On ne peut s’identifier totalement à Jésus, ce dernier n’étant pas complètement humain ou terrestre. Dans son livre Aïon, paru en 1951, Jung souligne combien l’évolution du christianisme doit passer par une compréhension plus large de notre psyché. Les différents personnages de la Bible s’avèrent être différentes facettes de Dieu. Celui-ci est image, mythe, phénomène psychique, déclare Jung en 1935 : « le monde des dieux et des esprits n’est rien d’autre que l’inconscient collectif en moi ».
Bref, selon Jung, le mythe chrétien est incomplet. Il ne peut . pleinement représenter l’évolution de la conscience humaine. Notre identification au Christ, à son vécu, à sa transformation intérieure, n’est valable que si l’on peut symboliquement décrypter le langage de l’âme. C’est ce que Jung appelle le développement psychologique de l’ histoire. C’est un réajustement constant de nos représentations. C’est l’adaptation des symboles à ce que nous sommes, le but étant l’intégration de nos projections religieuses même s’il s’agit ici d’une histoire individuelle.

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Table des matières

1 e partie
DIEU ET L’ HOMME
l L’ÉPISTÉMOLOGIE
a) L’empirisme
b) La théorie psychique
– L’ i nconscient
– Le moi : ses fonctions et ses attitudes
– La relation entre le moi et le Soi
– L’anima et l’animus
c) L’inné et l’acquis
d) Jung et le behaviorisme
e) Conclusion
II L’INDIVIDUATION
a) La connaissance de soi
b) L’expérience chamanique
c) L’objectivité psychique
d) La fonction transcendante
e) Conclusion
III LE PARCOURS DE JUNG DEPUIS L’ENFANCE
a) De l’enfance aux années de collège
b) La thèse de médecine
c) La psychopathologie:
-névrose et psychose
-mystique ou psychotique
d) Conclusion
IV LE DIEU DE JUNG
a) La transcendance
b) L’immanence
c) Théologiens, philosophes et psychologues
2 e partie
l L’ORIENT ET L’OMBRE
DIEU ET LE MAL
a) Le taoïsme et Jung b) L’hindouisme et Jung c) Le bouddhisme et Jung d) Conclusion
II LE CHRISTIANISME ET L’OMBRE
a) Le développement psychologique de l’histoire
religieuse occidentale
b) L’immanence du divin selon Jung
c) Le monothéisme et Jung
d) La participation de l’homme:
-Dieu et l’homme: une approche introvertie
-Dieu et la nature : une approche extravertie
– La synchronicité et la psychologie
– La synchronicité et l’Orient
– La synchronicité et l’Occident
– L’archétype de l’Unité
– Ordre apriori et acausal
– Jung est – il panthéiste?
e) L’ombre
3 e partie
LE DIEU MYSTIQUE
l L’INDIVIDUATION
a) L’individuation et la vision mystique
b) L’individuation et la liberté
c) L’individuation et la connaissance de soi
CONCLUSION l
Dieu est – il immanent ou transcendant?
CONCLUSION II
Dieu est – il au-delà du bien et du mal?
CONCLUSION III
Dieu est – il celui de l’expérience mystique?
BIBLIOGRAPHIE

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