La réflexion sur le besoin de repères déontologiques en zoothérapie
Les indications thérapeutiques et les bénéfices
Tel que mentionné précédemment, les chevaux sont de plus en plus reconnus pour leur potentiel dans leurs actions auprès de personnes atteintes de troubles physiques ou neurologiques. Les ergothérapeutes misent beaucoup sur la diversité des manoeuvres qu’ils proposent à un client pendant la préparation du cheval. Les périodes à dos de cheval sont aussi recommandées, car le mouvement de marche de l’animal reproduit notre démarche et stimule des muscles et des nerfs bien spécifiques. L’ hippothérapie se base surtout sur ce mouvement du cheval pour travailler. Cette thérapie a un effet positif sur les personnes qui ne sont pas en mesure de stimuler eux-mêmes ces muscles et qui souffrent d’ une atrophie.
Les chevaux sont aussi des animaux très imposants; le fait de les côtoyer et de les monter permet à certaines personnes de dépasser certains blocages et d’établir des relations enrichissantes avec les professionnels de la santé. Ils permettent donc d’atteindre des objectifs autant du point de vue physique que psychologique. Comme tous les animaux, ils sont aussi de très bons motivateurs.
Les dauphins jouent aussi un rôle au niveau physique et psychologique. De plus, le fait que les séances se déroulent dans l’eau permet aux participants d’obtenir des bénéfices uniques. Il est reconnu que l’eau permet de faire certains exercices plus facilement, car elle enlève la pression de l’air. Même si nous ne le sentons pas, l’air possède un poids beaucoup plus dense que nous ne le pensons. De son côté, le chien est reconnu pour l’ amour inconditionnel qu’il offre à son maître; mis en présence d’une autre personne, il offre aussi cet amour. Le chien est beaucoup utilisé avec les enfants présentant des troubles affectifs ou violents. Il permet d’établir une relation de confiance avec le thérapeute en ouvrant des portes qui étaient demeurées fermées. Les ergothérapeutes et les physiothérapeutes encouragent les clients à flatter les petits animaux car ce mouvement stimule des muscles spécifiques souvent ciblés dans les thérapies.
Le choix de l’animal
Le choix des animaux est très important car en plus de tenir compte de l’espèce, il faut aussi évaluer l’individu. Il faut tenir compte du type d’activités que l’ animal devra exécuter. Il faut aussi vérifier si l’animal a besoin d’un entraînement spécifique. Lynette A. Hart, dans le livre Handbook on Animal Assisted Therapy : Theoretical Foundations and Guidelines for Pratice, met aussi l’accent sur les préférences des thérapeutes et des bénévoles.
Volunteers and health professionals providing AAA/TAA have the obligation to back off from their own strong preferences and instead identify the particular preferences of the people they are serving and the caracteristics of the animal they are considering (Zasloff, 1996)26.
Tout en tenant compte de leur propre préférence, ceux-ci doivent composer avec les choix du client et l’ animal qui possède les meilleures ressources thérapeutiques pour le client.
Les chiens sont les animaux les plus souvent utilisés pour la zoothérapie, ceux-ci doivent être sélectionnés en fonction de leur bagage génétique. En effet, certaines races possèdent des caractéristiques qui constitueraient une précieuse aide pour quelques personnes. Selon l’auteur Lynette A. Hart, certaines races prédisposent les chiens à être plus affectueux et joueurs que d’autres, caractéristiques qui peuvent influencer le choix de l’animal.
Different breeds of dogs differ in their genetic behavioral predispositions to be affectionate, be aggressive, snap at children, or be playful. Of course, dogs within a breed vary across a wide range for each of these behaviors. Several books deal with breed specific characteristics and may address specific traits such as excitability, affection demand, and aggressive dominance (Hart & Hart, 1988)27.
En plus des caractéristiques de la race, un expert devrait examiner les comportements du chien dans des situations non-courantes pour pouvoir analyser ses réactions. Les animaux ne réagissent pas tous de la même façon à une situation de stress; or ce sont ces situations qui peuvent être potentiellement dangereuses. Un animal qui est toujours dans un environnement stable peut nous paraître sans danger car rien ne laisse présager un possible comportement de violence. Par contre, lorsque celui-ci est placé dans une situation de danger, il peut réagir de façon très violente pour se protéger. Un expert canin est le bienvenu dans le choix d’un chien pour la zoothérapie. Il est un expert du comportement canin et interprète beaucoup mieux que quiconque les signes et comportements d’ un chien.
Il en va de même pour les chevaux. Ces derniers sont des animaux très imposants et un accident peut avoir de graves conséquences. Il faut choisir un animal calme avec un bon tempérament. Il doit être patient avec les enfants et accepter de recevoir des demandes parfois inexactes et multiples. Dans le cas de l ‘hippothérapie, le cheval doit aussi présenter une démarche bien spécifique. Sa démarche doit reproduire le mouvement qu’un humain produit en marchant. Le but de l ‘hippothérapie étant de stimuler les muscles et les nerfs qui servent habituellement à la marche chez l’homme.
Dans la sélection des animaux, les principaux critères de choix concernent la sécurité et l’atteinte des objectifs. Le choix doit être très rigoureux et si la personne qui utilise les animaux n’a pas la capacité elle-même de bien évaluer un animal, elle doit se rapporter à un expert dans le domaine.
Les contre-indications et les risques à l’acte thérapeutique
Certaines personnes peuvent présenter des contre-indications pour l’utilisation de la zoothérapie en général ou pour un animal en particulier. La zoothérapie peut ne pas convenir aux personnes présentant des allergies et des maladies qui touchent le système immunitaire. Il est bien important d’ en prendre note et de recueillir l’information adéquate sur les clients auxquels s’adresse la thérapie. Si l’ allergie ne concerne que les poils de chien et de chat, les autres animaux restent disponibles pour une séance de zoothérapie.
Dans le cas des maladies qui touchent le système immunitaire, certaines personnes ne possèdent pas les anti-corps pour combattre une infection causée par une morsure ou par une plaie. Il faut donc être bien sûr que la situation dans laquelle nous plaçons cette personne lui apporte le moins de risques possible. Tous les risques ne peuvent être évités, car un accident peut toujours arriver. En prenant conscience des dangers potentiels d’une situation, nous pouvons être en mesure de les prévenir ou de ne pas exposer une personne fragile à des risques inutiles. Les mêmes précautions doivent être prises lorsque nous travaillons avec les chevaux. Certaines personnes ont des os très fragiles et la capacité de récupération après une chute est très faible. De plus, la guérison à la suite d’un incident semblable peut s’étendre sur une longue période de temps. Les chevaux ne doivent pas nécessairement être mis de côté, mais nous devons nous assurer que la situation ne sera pas préjudiciable au client. Il y a maintenant sur le marché des selles adaptées pour les personnes handicapées et si le risque est encore trop grand, les exercices au sol peuvent aussi être de bons outils.
La présence d’un animal en thérapie augmente le besoin d’ encadrement. Ainsi lorsque nous mettons en contact une personne et un animal, il faut s’assurer que nous sommes aptes à diviser notre attention. Dans la pratique, de plus en plus de personnes sont conscientes de cette situation et forment des équipes pour mieux contourner cette difficulté.
Pendant qu’une personne est chargée de surveiller les animaux, l’autre se concentre sur la séance de thérapie. Une mauvaise expérience en zoothérapie n’entraîne pas seulement des risques de morsures ou de blessures. Les risques se situent aussi au niveau de l’atteinte des objectifs. Une situation imprévisible peut apporter une détérioration de l’ état de la personne et remettre en question la poursuite de la thérapie. Faire de la zoothérapie implique que les gens connaissent les dangers et savent comment les minimiser. À titre d’exemple, l’Association canadienne d’équitation thérapeutique fait une vérification des installations d’un centre avant de donner son accréditation. Cette vérification concerne les éléments de sécurité de base et les dispositifs qui devraient être à portée de main lors d’une séance d’équitation thérapeutique. (voir Appendice 3)
Après avoir décrit la progression de la relation entre l’homme et l’ animal ainsi que l’ apparition de la zoothérapie, et après avoir fait état des principales connaissances de base nécessaires à son exercice, nous sommes maintenant en mesure de développer le questionnement éthique qui se situe au coeur de notre recherche.
UN QUESTIONNEMENT ÉTHIQUE RELATIF À UNEPRATIQUE PROFESSIONNELLE ÉMERGENTE
La popularité croissante de la zoothérapie soulève des questions importantes d’ordre éthique, questions liées à la spécificité de l’intervention et aux risques potentiels qu’elle implique. La récente émergence de cette technique thérapeutique explique cependant la rareté des recherches dans ce domaine, en particulier sur le plan éthique et déontologique.
Dans un premier temps, nous allons montrer la pertinence d’ une réflexion tournée vers la déontologie; ensuite, nous allons introduire les éléments centraux de notre cadre conceptuel, puis nous présenterons notre problématique de recherche.
La pertinence d’une réflexion déontologique spécifique à la zoothérapie
Le questionnement éthique concernant une nouvelle pratique professionnelle est très important. En nous inspirant de l’ouvrage rédigé par Yves Boisvert et collègues, Petit manuel d ‘éthique appliquée à la gestion publique l , nous situons l’éthique comme un mode de régulation de l’ action où l’action est orientée à partir d’une réflexion sur le sens de l’action exprimé par des valeurs. L’éthique devient régulatrice des moeurs sociales quand elle sert de fondement aux autres modes de régulation que sont le droit et la déontologie. Si la réflexion sur les valeurs fondamentales d’une profession est toujours pertinente, elle l’est encore plus quand il s’ agit d’une profession naissante à la recherche d’une légitimité sociale. En d’autres termes, en s’intéressant aux pratiques professionnelles, la réflexion éthique porte sur les valeurs qui leur donnent du sens, mais elle met aussi en cause la capacité des intervenants de se situer dans ce qui est considéré comme socialement acceptable et souhaitable. Cette réflexion n’a donc pas pour seul but de réfléchir sur les valeurs qui orientent la relation entre le professionnel et le client, mais elle s’ intéresse aussi aux relations que ce nouveau domaine d’ intervention veut entretenir avec la société. Bref, en montrant son intérêt pour la qualité des actes professionnels dispensés, la protection du public et la reconnaissance sociale, la zoo thérapie sera en mesure de faire valoir le sérieux de sa démarche et le souci des autres véhiculés par cette nouvelle thérapie.
La qualité des actes professionnels
Qu’attendons-nous d’un professionnel lorsque nous lui rendons visite? Georges A. Legault répond à cette question en affirmant que:
Les attentes que vous avez reflètent votre conception de la relation professionnelle. Une personne qui préfère vivre la relation professionnelle selon le mode paternaliste n’aura pas les mêmes attentes qu ‘ une autre qui opte pour un modèle de consommation. Chacun des modèles propose une façon d ‘être au service du client. Le client, lui, s’attend à ce que le professionnel agisse en « vrai professionnel », autrement dit, il s’ attend à ce que le professionnel exerce ses fonctions avec professionnalisme.
Le professionnalisme est très différent des caractéristiques qui définissent une profession, selon Legault. Quand nous définissons une profession, nous ne faisons qu’ énumérer les caractéristiques propres à cette profession, sans formul er un jugement sur le sens moral de 2 Georges A. Legault, Professionnalisme et délibération éthique : manuel d ‘aide à la décision responsable, celle-ci. Par contre, comme le mentionne Legault, le professionnalisme permet une réflexion sur les caractéristiques de la profession.
Définir le professionnalisme, c’est entrer dans l’univers de « ce qui devrait être» et non de ce qui est. En effet, lorsqu’on cherche à préciser nos attentes à l’égard d’un professionnel, on ne décrit pas ce qu’il fait, mais ce qu’il devrait faire parce qu ‘ il est un professionnel. Préciser le professionnalisme, c’est identifier les différentes qualités qui devraient animer l’exercice de la profession.
Le professionnalisme est basé sur des valeurs et vise un idéal. Il prône les comportements les plus susceptibles d’assurer la qualité des services offerts. C’est de cette façon que le professionnalisme renvoie à l’éthique, il propose de guider les actions afin de promouvoir le mieux-être de tous. Le questionnement sociétal sur les valeurs constitutives du professionnalisme a été l’un des facteurs de l’émergence des codes d’éthique. Ainsi, depuis la réforme du système de santé et des services sociaux, le gouvernement du Québec a exigé que tous les établissements se dotent d’un code d’éthique. « Le recours à des codes apparaît comme une solution pour refléter les valeurs que tous les chercheurs ou personnes du groupe devraient partager »4. Nous vivons dans une société pluraliste et le consensus sur les valeurs est très difficile à obtenir. Que ce soit à cause du pluralisme des valeurs ou d’une perte de moralité, la régulation par les codes d’ éthique est devenue pratiquement inévitable, comme le mentionne Diane Duquet, citée par Legault :
Dans le cas d’un nouveau domaine d’intervention comme la zoothérapie, le questionnement sur les valeurs en vue de définir un « code d’éthique », c’est-à-dire les balises qui devraient guider l’intervention, ne signifie pas que les gens n’ont pas confiance au point de départ. Nous le comprenons au contraire comme une volonté d’identifier, de partager, puis de rendre « officielles » les bases morales communes d’une nouvelle thérapie, en vue de contribuer à sa reconnaissance dans l’ensemble des soins de santé.
En ce sens, il faut bien distinguer les codes d’éthique des codes et des comités de déontologie. L’approche déontologique de la régulation, qui s’applique de manière quasi juridique, ne permet pas de « contrôler» toutes les actions des professionnels, et il n’est pas certain qu’un tel contrôle soit souhaitable. Elle se rapproche de la régulation juridique, et comme le mentionne Legault, cette dernière a ses limites. « L’approche légale ne peut assurer le « professionnalisme » que dans des situations extrêmes. Elle ne peut donc assurer le « professionnalisme » au quotidien [ .. . ] »6 . C’est pourquoi la question de l’éthique est soulevée dans les milieux professionnels, car elle se veut une manière de réguler les services dans le quotidien. Lorsque des professionnels se questionnent sur les valeurs de base de leur profession, ces valeurs ne peuvent être dictées par personne d’autre que les membres de cette profession. Selon Legault, « Identifier et nommer les valeurs fondatrices de la relation professionnelle est une première étape pour assurer le professionnalisme. Cette étape peut très bien conduire à l’élaboration de chartes sur les valeurs fondatrices de la pratique >/.
La protection du public
Selon les lois et les institutions qui encadrent les actes professionnels, il y a plusieurs façons pour les clients d’un professionnel de faire valoir leurs droits s’il y a un litige. Si l’on fait exception des tribunaux, réservés aux poursuites extraordinaires, les ordres professionnels sont des ressources pour les utilisateurs de services qui veulent obtenir de l’ information ou bien déposer une plainte concernant un professionnel. Sur le site de l’Ordre des travailleurs sociaux par exemple, on trouve de l’information sur la mission de l’Ordre, sur les valeurs fondamentales de la profession et sur la façon de déclarer un litige entre un professionnel et un client. L’usager d’un centre hospitalier trouve sur place un service de plainte, les formulaires du service étant accessibles un peu partout dans l’ hôpital.
Toutes ces mesures réglementaires ont pour but de s’assurer que les services offerts soient de bonne qualité.
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Table des matières
PAGE DE TITRE
REMERCIEMENTS
AVANT-PROPOS
RÉSUMÉ
TABLE DES MATIÈRES
LISTE DES TABLEAUX ET DES FIGURES
INTRODUCTION
CHAPITRE PREMIER
LE DÉVELOPPEMENT DE LA ZOOTHÉRAPIE ET SA SITUATION ACTUELLE
1.1 Le contexte historique
1.1.1 L’histoire de la relation entre l’ homme et l’animaL
1.1.2 La domestication des animaux
1.1.3 Les premiers essais en zoothérapie
1.2 La zoothérapie
1.2.1 La distinction entre AAA et T AA dans l’ acte thérapeutique
1.2.2 Les connaissances scientifiques fT AA
1.2.3 Les connaissances normatives fT AA
1.2.4 Les principales différences entre certaines méthodes d’ intervention thérapeutiques établies et la zoothérapie
1.2.5 Les publications en zoothérapie
1.3 L’acte thérapeutique en zoothérapie fT AA
1.3.1 Les modes d’ intervention
1.3.2 Les indications thérapeutiques et les bénéfices
1.3.3 Le choix de l’animaL
1.3.4 Les contre-indications et les risques à l’ acte thérapeutique
CHAPITRE 2
UN QUESTIONNEMENT ÉTHIQUE RELATIF À UNE PRATIQUE PROFESSIONNELLE ÉMERGENTE
2.1 La pertinence d’une réflexion déontologique spécifique à la zoothérapie
2.1.1 La qualité des actes professionnels
2.1.2 La protection du public
2.1.3 La reconnaissance sociale
2.2 Le cadre conceptuel
2.2.1 L’éthicologie de Pierre Fortin
2.2.2 La définition du concept opératoire de responsabilité à la jonction de l’éthique et de la déontologie
2.2.3 L’éthique et la déontologie.
2.3 La problématique de recherche
2.3.1 La formulation de l’hypothèse de la triple responsabilité
2.3.2 La problématique de recherche résultante
CHAPITRE 3
LA MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE
3.1 L’entrevue comme outil de collecte de données
3.1.1 Le choix des entrevues semi -dirigées
3.1.2 Le choix des participants et les critères de sélection
3.1.3 Le déroulement des entrevues
3.2 L’élaboration du questionnaire d’enquête
3.2.1 L’identification des thèmes prioritaires de l’enquête
3.2.2 La grille d’analyse et d’interprétation
3.2.3 Le questionnaire d’enquête
3.3 L’acceptabilité éthique et scientifique de la recherche
3.3.1 Les exigences d’une éthique de la recherche
3.3.2 Le formulaire de consentement éclairé
3.3 .3 Les critères de rigueur d’une recherche
CHAPITRE 4
L’INTERPRÉTATION DES ENTREVUES À L’AIDE DE LA GRILLE ÉTHICOLOGIQUE
4.1 Les données préliminaires
4.1.1 Le profil sociométrique des participants de l’enquête
4.1.2 Le résumé des entrevues
4.2 Les résultats de l’analyse éthicologique
4.2.1 La grille éthicologique telle que nous l’avons appliquée
4.2.2 L’analyse au moyen des tableaux
CHAPITRES
LES PROLÉGOMÈNES POUR UNE DÉONTOLOGIE DE LA ZOOTHÉRAPIE
5.1 La réflexion sur le besoin de repères déontologiques en zoothérapie
5.1.1 La définition des principes éthiques pour guider l’acte professionneL
5.1.2 La triple responsabilité de l’intervenant et son rapport à la responsabilité professionnelle
5.2 Les valeurs privilégiées en zoothérapie
5.2.1 Les valeurs cardinales en zoothérapie
5.2.2 Les valeurs comme facteurs de cohésion des groupes
5.3 L’animal comme sujet moral ou la dignité de la créature
5.3.1 Les droits des animaux
5.3.2 Le refus de l’instrumentalisation
5.4 La professionnalisation de la zoothérapie
5.4.1 La relation au savoir qui précise les connaissances requises dans l’ exercice de la profession
5.4.2 La relation au pouvoir qui détermine le degré d’autonomie dans l’ exercice
de la profession
5.4.3 La relation entre personnes qui recèle le sens premier de l’acte thérapeutique
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
APPENDICES
APPENDICE 1- LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’ANIMAL
APPENDICE 2 – LES RECOMMANDATIONS DU COMITÉ SUR LES INFECTIONS NOSOCOMIALES
APPENDICE 3 – ÉVALUATION COMPLÈTE DE LA GESTION DES RISQUES
APPENDICE 4 – LE RÉSUMÉ ADRESSÉ AUX PARTICIPANTS
APPENDICE 5 – LE FORMULAIRE DE CONSENTEMENT
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