LA RECHERCHE AGRICOLE ET DEVELOPPEMENT DE LA FILIERE RIZ

La mortalité

                   Le taux de mortalité moyen pour Madagascar s’établit à 15,3‰. Il est évident que, dans un pays où l’espérance de vie moyenne ne dépasse pas 60 ans, tout taux inférieur à 15‰ ne peut être que faux. Par conséquent, les décès ont été largement sous-déclarés lors de cette enquête et toute dissertation sur les chiffres du tableau ci-dessus n’aurait aucun sens.
NB : Compte tenu de la certaine forte sous-estimation des taux de mortalité, la détermination du taux d’accroissement naturel de la population à partir des données cidessus est impossible. Nous savons que le taux moyen d’accroissement démographique à Madagascar s’établit entre 2,6 et 2,8%.

Les marchés

                  Les marchés sont définis comme les lieux où s’effectue l’échange des produits de l’activité agricole, industrielle et artisanale. Le système d’échange dans la région est très lié à la situation des infrastructures de transport et routières. Cela suggère la nécessité de l’amélioration, de la multiplication et de l’entretien des voies de communication (routes, télécommunications). Deux types de marché se rencontrent dans la Haute Matsiatra : le marché de produits en général et le marché de bétail. En ce qui concerne les marchés de produits en général, on les rencontre un peu partout dans les chefs-lieux de districts et de communes dont les plus importants se trouvent dans le district de Fianarantsoa I. Dans ces marchés, les produits vendus et achetés concernent les produits agricoles, de l’élevage, de l’artisanat, les PPN, les tissus, les matériels agricoles, etc. Selon l’importance des marchés, les marchands de tissus et les artisans affluent des régions limitrophes de Fianarantsoa pour vendre leurs produits aux paysans qui viennent en taxi-brousse ou, cas le plus fréquent, à pied, vendre riz, volaille, fruits, légumes et autres produits agricoles et s’approvisionner en sel, sucre, huile et outils (angady, herse, …), habits et autres produits manufacturés et artisanaux. Mais il reste à savoir si le rapport d’échange favorise ou non les paysans ou producteurs directs. Les marchés de bétail les plus importants dans la région Haute Matsiatra sont Ambalavao, Ikalamavony, Solila et Ambohimahasoa.

La politique agricole suivie par le FOFIFA

              Le gouvernement malgache ne cesse de déployer des efforts face à la performance insuffisante du secteur productif et la croissance du déficit extérieur ayant découlé de la diminution des recettes d’exportation et de l’augmentation d’importation de denrées alimentaires, entre autres du riz. Le gouvernement a lancé, par exemple, le Plan d’Action pour le Développement Rural (PADR) visant à assurer la sécurité alimentaire, accélérer la croissance économique, réduire la pauvreté et promouvoir la gestion durable des ressources naturelles. Dans ce domaine, des groupes de travail sont constitués aux niveaux central (GTC) et régional (GTDR). Actuellement, pour le projet PSDR 2005, la filière riz est la première priorité. « Augmenter le rendement pour ne plus importer du riz » est le principal défi. Dans cet esprit, le FOFIFA projette ses actions de recherche conformément aux grands objectifs de la nouvelle approche en matière de développement rural qui sont :
– La promotion de la production agricole par le secteur privé et en particulier par le petit paysannat ;
– Aménagement des terrains, des barrages et des canaux d’irrigation ;
– Une politique de libéralisation de la commercialisation et de prix de riz ;
– La libéralisation des importations, y compris les intrants ;
– Une amélioration des services d’appui à l’agriculture y compris la restructuration des institutions d’appui à la production (vulgarisation, recherche).
C’est sur ce dernier point que nous voulons centrer notre approche en prenant un cas pratique sur la recherche rizicole afin de promouvoir le développement du secteur agricole, notamment la riziculture.

La prégermination

C’est l’opération qui consiste à faire germer les grains avant le semis.
• Prévoir 6 kg de paddy (contenance de 24 boites de lait concentré sucré à 400 g net débordantes – mesure malgache appelée « kapoaka ») à semer sur 1 are de pépinière pour repiquer 1 hectare de rizière. Soit 2 et ½ de kapoaka à semer sur 10 m2 de pépinière pour repiquer 10 ares (1000 m2 de rizière). (On peut miser sur 7 kg au maximum – 30 kapoaka par planche de 10 m2 pour compenser les pertes).
• Rassembler les grains sélectionnés dans un sac (choisi plus grand que le contenu en vue du gonflement des grains dans l’eau).
• Le trempage dure 24 heures. Il semble bénéfique d’activer l’opération par trempage à l’eau tiède. L’eau est entretenue tiède (au soleil dans un récipient noir, au coin du feu, …) ou plusieurs fois renouvelée (une bonne température de 35° à 40°C s’apprécie par la sensation de chaleur très douce ressentie quand on plonge le coude dans cette eaulà).
• Placer ensuite le sac à l’intérieur d’un tas de fumier ou de compost en fermentation à chaleur douce. Un fumier très chaud dessécherait les semences ou ferait tout simplement mourir les germes.
• Au bout des 24 heures suivantes, les grains présentant alors un tout petit germe blanc sont bons à semer (une prégermination prolongée qui offrirait de plus longs germes rendrait le semis plus délicat vu la fragilité de ces germes)

Les caractéristiques des ménages et des exploitations

Les données statistiques
– Adoptant : qui prend par choix la décision d’adoption du SRI durant toutes les saisons de culture de riz.
– Rejetant : qui n’admet plus le système après un premier essai
– Non-adoptant : qui ne prend jamais la décision d’adoption du SRI.
Nous avons introduit dans notre approche un caractère quantitatif des membres de familles dans les ménages enquêtés. Pour les trois catégories d’agriculteurs, Adoptant, Rejetant et Non-adoptant, on a remarqué de façon légère une différence de nombre des enfants pour ces catégories. Ces petites différences sont peu significatives en nombre, mais entrent en jeu et de façon assez importante dans l’accomplissement du travail de culture. Les enfants peuvent aider à alléger les contraintes en main-d’œuvre pour ces familles, mais en l’absence d’informations sur le nombre d’enfants travaillant actuellement dans les rizières, ceci n’est que de la spéculation. Pour le paysannat, l’exploitation se comporte comme suit : plus la taille du ménage est grande, plus la force de travail disponible augmente. Ceci explique que l’adoption du SRI a de plus en plus besoin de main-d’œuvre pour maîtriser toutes les caractéristiques de la recherche. Prenons d’abord le nombre d’années d’éducation qui détermine en général le niveau d’instruction du chef de ménage. Sur ce tableau, la différence est peu significative mais il apparaît en clair que les chefs de ménage les plus instruits préfèrent adopter le système. Nous pouvons en déduire le problème de mentalité qui persiste encore dans le milieu rural à Madagascar. Certains ne veulent pratiquer que les méthodes traditionnelles, ils ne veulent pas changer le rythme de processus périodique de leurs cultures. En SRI, on a assez de spéculation à faire, alors les rejetants et les non-adoptants ne se préoccupent pas de la complication de la méthode de SRI par rapport à la méthode traditionnelle. Pour ceux qui ont adhéré à une association, la communication et la sensibilisation font valoir la formation acquise par les paysans. Sur ce tableau apparaît une différence significative entre le pourcentage des adoptants et celui des autres catégories de paysans. La présence des associations ou organisations paysannes motive davantage les agents vulgarisateurs à approcher les agriculteurs en réalisant leurs apports théoriques et matériels. L’existence d’une association facilite aussi la résolution des difficultés posées par les premiers essais de la méthode. Face à ces effets sociaux, le paysan doit d’abord se convaincre et se convertir soi-même avant d’entreprendre l’action sur le SRI. Pour les trois catégories d’agriculteurs, on remarque une différence assez significative des revenus permanents. Nous savons que l’adoption du SRI requiert plus de liquidité monétaire par rapport à la méthode traditionnelle. Le niveau de revenu des ménages constitue un facteur clé dans la décision d’adoption du SRI. En effet, la main-d’œuvre familiale se relève insuffisante à certaines périodes de l’année, d’où la nécessité de faire appel à des salariés saisonniers. La non-disponibilité de liquidités monétaires limite par conséquent l’efficacité du SRI. La recherche, pour savoir les résultats obtenus par le SRI dans chaque site d’enquête, nous permet de dégager que le système apporte au ménage des liquidités supplémentaires, ce qui augmente alors la possibilité d’investir dans le SRI. L’importance des liquidités monétaires et de la main-d’œuvre a été aussi évoquée par les agriculteurs lorsqu’ils ont répondu aux questions concernant leurs décisions d’adoption. Le manque de temps et d’argent ont été les motifs les plus fréquemment évoqués pour toutes les catégories. Le temps, la main-d’œuvre, tout cela se base en fait sur la disponibilité des liquidités monétaires, affirment-ils quand ils répondent aux questions sur les problèmes rencontrés dans la pratique du SRI. Les résultats de l’enquête sont significatifs. Nous avons déjà relevé que le SRI offre une économie d’échelle pour les pratiquants. On a constaté que pour les premiers essais, les agriculteurs ont eu des comportements différents. Certains n’y consacrent qu’une petite superficie de leurs rizières. Le tableau 32 montre que les rejetants avaient, en moyenne, consacré 25% des superficies disponibles au SRI. Dans cette condition, on ne peut mettre en évidence la profitabilité du système. Le rendement obtenu ne convainc pas suffisamment sur la confiance que l’on peut accorder au fonctionnement du système. L’expérience a montré que sur une petite parcelle, le résultat est moins important par rapport à une grande étendue. L’explication est simple : comme l’agriculteur rejetant consacre la majeure partie de sa rizière à une autre méthode de culture, il se préoccupe peu de la nouvelle méthode, il ne consacre pas tout son temps au SRI. Aussi n’est-il pas étonnant que l’essai n’aboutisse pas à un résultat satisfaisant. Par ailleurs, on a remarqué que certains adoptants ne pratiquent pas le SRI sur la totalité de leur exploitation. Encore une fois, l’insuffisance de liquidité monétaire et de temps sont souvent les motifs déclarés. Les données fournies dans le tableau 33 sont significatives de la valeur de l’apprentissage par les autres pour adopter le SRI. Un agriculteur peut apprendre le SRI par le biais d’autres agriculteurs ou à travers ses propres expériences, et ces deux formes d’apprentissage sont renforcées par l’appartenance à une association ou à une organisation paysanne. L’apprentissage par les autres agriculteurs est mesuré par la réalité de la vulgarisation, l’historique de l’utilisation du SRI dans la communauté et les interactions avec d’autres agriculteurs pratiquant le SRI. La plupart des adoptants et rejetants, respectivement 80% et 93,33%, ont appris le SRI des autres agriculteurs. Nous pouvons déduire que l’apprentissage par les autres à travers la vulgarisation et par le biais d’autres agriculteurs réduit significativement la non-adoption. Les résultats de l’enquête rapportés dans le tableau 34 sont très significatifs. Il est bien clair que l’obtention d’aides matérielles, souvent sous forme de sarcleuses mécaniques pour le SRI, augmente à la fois de la probabilité d’adoption et influe en même temps sur l’étendue de la superficie cultivée. L’utilisation d’une sarcleuse mécanique réduit effectivement les besoins de main-d’œuvre. En accroissant l’efficacité de cette dernière, elle permet aux agriculteurs de sarcler de plus larges superficies. Cela permet d’appréciables économies de temps par rapport à l’utilisation de l’angady. Ainsi, parmi ceux qui ont été dotés de sarcleuses mécaniques, on a relevé beaucoup de cas de réadoption. L’observation sur les non-adoptants montre qu’ils ne possédaient aucune sarcleuse mécanique. Il apparaît à l’évidence que les aides matérielles influent considérablement sur la décision d’adoption du SRI.
Adoption et rejet du SRI entre 1993 – 1999 Sur trois sites d’enquête, à savoir Ambatovaky, Iambara, Torotosy, le pourcentage des agriculteurs qui ont essayé, puis rejeté le SRI est élevé, allant de 46% à 100%. Un rejet de 100% a été trouvé à Torotosy. Même avec des coûts supplémentaires de main-d’œuvre, les bénéficiaires semblent dépasser de loin ceux de la méthode traditionnelle. Les rendements moyens en SRI dans les sites d’enquête étaient en effet de 7,80 t/ha à Iambara, 9,85 t/ha à Ambatovaky, et 9,10 t/ha à Torotosy (donnée du FOFIFA Fianarantsoa) contre 2,4 t/ha en moyenne pour la méthode traditionnelle.

Vulgarisation et liaison entre agriculteurs

                L’effectivité de la vulgarisation dans l’année en cours est extrêmement importante pour l’adoption initiale du SRI et augmente ainsi l’étendue de l’adoption. Plus la vulgarisation est longtemps présente dans une communauté, plus les agriculteurs investissent en SRI en terme de superficie et moins ils ont tendance à le rejeter. Il importe d’examiner comment les agriculteurs apprennent le SRI par des agents de la vulgarisation ainsi que par d’autres agriculteurs et de concevoir de nouvelles promotions de cette technologie et de diffusion de l’information. Si le SRI comporte plusieurs composantes et est relativement complexe, il est toujours difficile de croire que la vulgarisation est requise pour un an. Les agriculteurs ayant quelques années d’expérience devraient, et souvent se déclarent, être experts en la matière et ceux qui adoptent le système plus tard devront avoir la possibilité d’obtenir l’assistance technique des voisins expérimentés en l’absence de vulgarisation. Certains agriculteurs, ayant rejeté la méthode à cause de l’absence de vulgarisation, ont mentionné la présence de la vulgarisation ou de la formation comme facteur d’adoption. Certains agriculteurs auraient essayé et continué le SRI simplement en raison de la présence du vulgarisateur et par respect pour son autorité. La pratique du SRI par d’autres agriculteurs peut également être un facteur important. Un nombre élevé d’adoptants rapportent avoir vu le SRI avant de l’essayer et ils ont expliqué que la simple vue d’un champ en SRI les encourage à essayer la méthode. Si un certain nombre d’agriculteurs ont appris le SRI par l’agent de vulgarisation local ou par une formation officielle, à peu près 80% d’adoptants et 93% de rejetants ont appris la méthode par le biais d’autres agriculteurs. Le contrat avec les autres agriculteurs ayant pratiqué le SRI augmente certainement l’adoption ; par conséquent le partage d’information et d’expérience entre les agriculteurs doit aussi être encouragé. Ainsi, on peut penser à la création d’une institution animée par des agents chargés de la formation et du suivi afin d’assurer le bon fonctionnement de la vulgarisation. Ces agents pourront effectuer des contrôles systématiques du fonctionnement du système de culture et des résultats de la campagne rizicole afin de déterminer les mesures d’accompagnement nécessaires à l’adoption des résultats de la recherche. La présence d’une telle institution pourvoira non seulement un appui technique mais aussi de la motivation aux agriculteurs pendant la campagne de production. Les agents de vulgarisation peuvent mener des actions directes en milieu paysan. Ils interviendront, par exemple au moment de l’essai et du test du résultat de la recherche en milieu paysan lors de la formation de quinzaine…. L’existence de parcelle de démonstration, d’adoption à proximité du milieu rural d’intervention est très importante. Ces organisations sur l’outil de vulgarisation renforcent davantage la liaison entre les agriculteurs.

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Table des matières

REMERCIEMENTS
PLAN RESUME
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : L’ACTIVITE DU FOFIFA DANS LA REGION DE LA HAUTE MATSIATRA
CHAPITRE I : PRESENTATION GENERALE DE LA REGION HAUTE MATSIATRA
I-1-LE CADRE PHYSIQUE ET ADMINISTRATIF
I-1-1-Le milieu naturel
I-1-1-1-Présentation de la Région
I-1-1-2-Le milieu physique
I-1-1-2-1-Le relief et le paysage
I-1-1-2-2-Le climat
• Température
• Pluviométrie
• Vents
I-1-1-2-3-L’hydrologie
I-1-1-2-4-Sols et végétations
I-1-2-Le cadre administratif
I-1-2-1-Organisation administrative
I-2-LES DONNEES DEMOGRAPHIES ET SOCIALES
I-2-1-Population et démographie
I-2-1-1-Effectif et évolution
I-2-1-2-La dynamique de la population
I-2-1-2-1-La natalité et la fécondité
I-2-1-2-2-La mortalité
I-2-1-2-3-Les migrations
I-2-1-3-La répartition de la population
I-2-1-3-1-La population urbaine et la population rurale
I-2-1-4-Les caractéristiques des ménages
I-2-1-4-1-La taille des ménages
I-2-1-4-2-Le chef deménage
I-2-1-4-3-Le niveau d’instruction des chefs de ménages
I-2-1-4-4-L’activité du chef de ménage
I-2-1-4-5-La profession du chef de ménage
I-3-LES ACTIVITES ECONOMIQUES DE LA REGION
I-3-1-Le secteur agricole (agricultures)
I-3-1-1-Les caractéristiques globales
I-3-1-2-La superficie agricole
I-3-1-3-Les caractéristiques des exploitations
I-3-2-L’élevage
I-3-3-La pêche et les ressources halieutiques
I-3-4-La production forestière
I-3-5-Les industries et l’artisanat
I-3-6-Les ressources minières
I-3-7-Le transport
I-3-8-Les marchés
CHAPITRE II -LA PLACE DE LA RIZICULTURE DANS L’ÉCONOMIE RÉGIONALE
II-1-LA RIZICULTURE DANS LA REGION DE LA HAUTE MATSIATRA
II-1-1-Le calendrier cultural
II-1-2-Les exploitationsr izicoles
II-1-3-Les superficies cultivées
II-1-3-1 Selon la toposéquence
II-1-3-2-Selon le mode d’irrigation
II-1-3-3-Selon les saisons de riziculture
II-1-3-4-Selon les techniques culturales
II-2-LES RENDEMENTS ET LA PRODUCTION
II-2-1-La campagne agricole 2000/01
II-2-2-Le niveau d’autosuffisance en riz
II-3-LA RIZICULTURE FACE AUX AUTRES CULTURES VIVRIERE
II-3-1-Les superficies par spéculation : (campagne agricole 2001)
II-3-2-Les rendements et les productions pour les cultures vivrières
CHAPITRE III -LE FOFIFA ET SON PLAN DIRECTEUR DE LA RECHERCHE RIZICOLE 
III-1-PRESENTATION DU FOFIFA
III-1-1-La structure d’organisation
III-1-2-Les ressources
III-2-1-L’Objectif
III-2-2-La stratégie
III-2-2-1-A court terme
III-2-2-2-A moyen et long terme
III-3-LE PLAN DIRECTEUR DU FOFIFA DE LA RECHERCHE AGRICOLE ET LE DEVELOPPEMENT DE LA FILIERE RIZ
III-3-1-Les exploitations en matière de riziculture
III-3-2-Les contraintes au développement de la riziculture dans la Haute Matsiatra
III-3-2-1-Les contraintes générales
III-3-2-2-Les contraintes, sur le plan technique cultural et les résolutions dues à la recherche, dans la région
III-3-3-Les programmes en cours
III-3-4-La politique agricole suivie par le FOFIFA
DEUXIÈME PARTIE : LA RECHERCHE RIZICOLE ET ANALYSE DE SON IMPACT SOCIO – ÉCONOMIQUE
CHAPITRE I – : L’INTERVENTION DU FOFIFA EN FAVEUR DE LA FILIÈRE RIZICOLE
I-1-LES CARACTERISTIQUES DE LA RECHERCHE RIZICOLE (SRI)
I-1-1-Les techniques culturales
I-1-1-1-La prégermination
I-1-1-2-La pépinière
I-1-1-3-La rizière
I-1-1-4-Les particularités des plants SRI
I-1-1-5-Les cordes
I-1-1-6-Le repiquage
I-1-1-7-Le sarclage
I-1-1-8-La récolte
I-2-ANALYSE DES RESULTATS OBTENUS
I-2-1-Les résultats rizicoles obtenus dans les sites d’enquête (avec SRI)
I-2-1-1-Fianarantsoa II
I-2-1-2-Ambalavao
I-2-1-3-Ambohimahasoa
I-2-2-Analyse des performances et des faiblesses
I-2-2-1-Riz irrigué
I-2-2-2-SRI
I-2-3-Existence d’une économie d’échelle pour le SRI
CHAPITRE II – LA DÉCISION D’ADOPTION DU SYSTÈME DE RIZICULTURE INTENSIVE
II-1-LES CARACTERISTIQUES DES MENAGES ET DES EXPLOITATIONS
II-1-1-Les données statistiques
II-1-2-Adoption et rejet du SRI entre 1993 – 1999
II-2-EXPERIENCE ET EXPERIMENTATION
CHAPITRE III – LES FACTEURS D’EFFICACITÉ DE LA RECHERCHE AGRICOLE ET DE DÉVELOPPEMENT DE LA CULTURE RIZICOLE, CAS DU SRI
III-1-LE RENFORCEMENT DE LA CAPACITE DE VULGARISATION
III-1-1-Vulgarisation et liaison entre agriculteurs
III-1-2-La vulgarisation à l’échelle nationale
III-2-LA MONETARISATION DE L’ECONOMIE PAYSANNE
III-2-1-Un système efficace de crédit agricole
III-2-2-Les interventions directes de l’Etat
CONCLUSION
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
DEVELOPPEMENT DES SIGLES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIES

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