LA QUESTION DU SENS DE L’HISTOIRE CHEZ THEODOR ADORNO

UNE CONCEPTION MATÉRIALISTE DE L’HISTOIRE

   « Notre conception de l‟histoire est, avant tout, une directive pour l‟étude, et non un levier servant à des constructions à la manière des hégéliens. Il faut réétudier toute l‟histoire, il faut soumettre à une investigation détaillée les conditions sociales avant d‟essayer d‟en déduire les conceptions politiques, esthétiques, philosophiques, religieuses, etc. » Si d’une manière générale, le matérialisme explique la conscience par l’être et non l’inverse, cette doctrine, appliquée à la société humaine, exigeait qu’on expliquât la conscience par l’être social. « La technologie, dit Marx, met à nu le mode d‟action de l‟homme vis à vis de la nature, le procès de production de sa vie matérielle, et, par conséquent, l‟origine des rapports sociaux et des idées ou conceptions intellectuelles qui en découlent ». On trouve une formulation complète des thèses fondamentales du matérialisme appliqué à la société humaine et à son histoire dans la préface de Marx à son ouvrage contribution à la critique de l’économie politique, où il s’exprime comme suit : « …Dans la production sociale de leur existence, les hommes entrent en des rapports déterminés, nécessaires, indépendants de leur volonté, rapports de production qui correspondent à un degré de développement déterminé de leurs forces productives matérielles. L‟ensemble de ces rapports de production constitue la structure économique de la société, la base concrète sur laquelle s‟élève une superstructure juridique et politique et à laquelle correspondent des formes de conscience sociale déterminées. Le mode de production de la vie matérielle conditionne le processus de vie sociale, politique et intellectuel en général. Ce n‟est pas la conscience des hommes qui détermine leur être ; c‟est inversement leur être social qui détermine leur conscience. A un certain stade de leur développement, les formes productives matérielles de la société entrent en contradiction avec les rapports de production existants, ou, ce qui n‟en est que l‟expression juridique, avec les rapports de propriété au sein desquels elles s‟étaient mues jusqu‟alors. De formes de développement des forces productives qu‟ils étaient, ces rapports en deviennent des entraves. Alors s‟ouvre une époque de révolution sociale. Le changement dans la base économique bouleverse plus ou moins rapidement toute l‟énorme superstructure. Lorsqu‟on considère de tels bouleversements, il faut toujours distinguer entre le bouleversement matériel qu‟on peut constater d‟une manière scientifiquement rigoureuse des conditions de production économiques et les formes juridiques, politiques, religieuses, artistiques ou philosophiques, bref, les formes idéologiques sous lesquelles les hommes prennent conscience de ce conflit et le mènent jusqu‟au bout. Pas plus qu‟on ne juge un individu sur l‟idée qu‟il se fait de lui-même, on ne saurait juger une telle époque de bouleversement sur sa conscience de soi, il faut, au contraire, expliquer cette conscience par les contradictions de la vie matérielle, par le conflit qui existe entre les forces productives sociales et les rapports de production… A grands traits, les modes de production asiatique, antique, féodal et bourgeois moderne peuvent être qualifiés d‟époques progressives de la formation sociale économique ». La découverte de la conception matérialiste de l’histoire, ou, plus exactement, l’application conséquente et l’extension du matérialisme au domaine des phénomènes sociaux, a éliminé les deux défauts essentiels des théories historiques antérieures. En premier lieu, ces dernières ne considéraient, dans le meilleur des cas, que les mobiles, sans saisir les lois objectives qui président au développement de la production matérielle. En second lieu, les théories antérieures négligeaient précisément l’action des masses de la population tandis que le matérialisme historique permet d’étudier, pour la première fois et avec la précision des sciences naturelles, les conditions sociales de la vie des masses et les modifications de ces conditions. La « sociologie » et l’historiographie d’avant Marx accumulaient dans le meilleur des cas des faits bruts, recueillis au petit bonheur, et n’exposaient que certains aspects du processus historique. Le marxisme a frayé le chemin à l’étude globale et universelle du processus de la naissance du développement et du déclin des formations économiques et sociales en examinant l’ensemble des tendances contradictoires, en les ramenant aux conditions d’existence et de production, nettement précisées, des divers classes de la société, en écartant le subjectivisme et l’arbitraire dans le choix des idées « directrices » ou dans leur interprétation, en découvrant l’origine de toutes les idées et des différentes tendances, sans exception, dans l’état des forces productives matérielles. Les hommes sont les artisans de leur propre histoire, mais par quoi les mobiles des hommes, et plus précisément des masses humaines, sont-ils déterminés ? Quelle est la cause des conflits entre les idées et les aspirations contradictoires ? Quelle est la résultante de tous ces conflits de l’ensemble des sociétés humaines ? Quelle est la loi qui préside à l’évolution de ces conditions ? Marx a porté son attention sur tous ces problèmes et a tracé la voie à l’étude scientifique de l’histoire conçue comme un processus unique, régi par des lois, quelles qu’en soient la prodigieuse variété et toutes les contradictions. On sait que, dans toute société, les aspirations de certains de ses membres se heurtent à celles des autres, que la vie sociale est pleine de contradictions, que l’histoire nous révèle la lutte entre les peuples et les sociétés, ainsi que dans leur propre sein, et qu’elle nous montre, en outre, une succession de périodes de révolution et de réaction, de paix et de genre, stagnation et de progrès rapide ou de décadence. Le marxisme a donné le fil conducteur qui dans ce labyrinthe et ce chaos apparent, permet de découvrir l’existence de lois : la théorie de la lutte des classes. Seule l’étude de l’ensemble des aspirations de tous les membres d’une société ou d’un groupe de sociétés permet de définir avec une précision scientifique le résultat de ces aspirations. Or, les aspirations contradictoires naissent de la différence de situation et de conditions de vie des classes en lesquelles se décompose toute société. Depuis la grande révolution française, l’histoire de l’Europe a, dans nombre de pays, révélé avec une évidence particulière cette cause réelle des événements : la lutte des classes. Déjà, à l’époque de la Restauration, on vit apparaître en France un certain nombre d’historiens (Thierry, Guizot, Mignet, Thiers) qui, dans leur synthèse des événements, ne purent s’empêcher de reconnaître que la lutte des classes était la clé permettant de comprendre toute l’histoire de France. Quant à l’époque moderne, celle de la victoire complète de la bourgeoisie, des institutions représentatives, du suffrage élargi (sinon universel), de la presse quotidienne à bon marché qui pénètre dans les masses, etc., l’époque des associations puissantes et de plus en plus vastes, celles des ouvriers et cellesdes patrons, etc., elle a montré avec plus d’évidence encore (bien que parfois sous une forme très unilatérale, « pacifique », « constitutionnelle ») que la lutte des classes est le moteur des événements. Le passage suivant du Manifeste du Parti communiste de Marx montre que celui-ci exigeait de la science sociale l’analyse objective de la situation de chaque classe au sein de la société moderne, en connexion avec les conditions de développement de chacune d’elles : « De toutes les classes qui, à l‟heure présente, s‟opposent à la bourgeoisie, le prolétariat seul est une classe vraiment révolutionnaire. Les autres classes moyennes, petits fabricants, détaillants, artisans, paysans, tous combattent la bourgeoisie parce qu‟elle est une menace pour leur existence en tant que classes moyennes. Elles ne sont donc pas révolutionnaires, mais conservatrices ; bien plus, elles sont révolutionnaires, c‟est en considération de leur passage imminent au prolétariat : elles défendent alors leurs intérêts futurs et non leurs intérêts actuels ; elles abandonnent leur propre point de vue pour se placer à celui du prolétariat ». Dans nombre d’ouvrages historiques, Marx donna des exemples brillants et profonds d’histoire matérialiste, d’analyse de la condition de chaque classe particulière et parfois des divers groupes ou couches au sein d’une classe, montrant jusqu’à l’évidence pourquoi et comment « toute lutte de classes est une lutte politique ».

LE PROGRÈS HISTORIQUE

   On commencera par rappeler que la notion de progrès peut être entendue de deux façons. Pris en son sens étymologique, le progrès est simplement synonyme d’avancement, d’évolution, d’accroissement, d’augmentation. Entendu en son sens qualitatif, le progrès devient alors évolution positive, amélioration, avancée vers le mieux. Or, rien ne paraît relever davantage de l’évidence que l’affirmation du progrès, entendu dans les deux sens du terme, dans le domaine des sciences et des techniques. L’augmentation des savoirs et des savoir-faire depuis les origines de l’humanité semble patente, en même temps que cette augmentation n’aurait jamais cessé de contribuer à améliorer les conditions de la vie humaine. Pourtant l’idée de progrès est apparue tardivement et n’a cessé et ne cesse aujourd’hui peut-être plus que jamais d’être controversée. Le progrès technique, tout d’abord, apparaît évident lorsque l’on traverse les âges. Celui-ci a permis à l’homme de se sédentariser et de s’assurer ainsi, par les cultures et l’élevage, de quoi s’alimenter régulièrement. Il a permis aussi l’amélioration de la vie et la lutte contre les maladies ainsi que l’allongement de l’espérance de vie presque deux plus importante aujourd’hui qu’il y a 3000 ans. C’est dans ce sens que Paul Valéry écrit : « Presque tous les songes qu‟avait fait l‟humanité, et qui figurent dans nos fables de divers ordres – le vol, la plongée, l‟apparition des choses absentes, la parole fixée, transportée, détachée de son époque et de sa source, et maintes étrangetés qui n‟avaient même été rêvées – sont à présents sortis de l‟impossible et de l‟esprit. Le fabuleux est dans le commerce. La fabrication de machines à merveilles fait vivre des milliers d‟individus». Toutefois il est impossible d’affirmer purement et simplement que l’Antiquité ou le Moyen Âge ont entièrement ignoré la notion de progrès. Il n’en  est pas moins vrai qu’en Europe, cette idée ne commence à émerger qu’à partir des débuts de l’Âge moderne (XVI-XVIIe siècle ndlr), où l’on voit s’opérer un effet de rupture massif avec les représentations cycliques ou régressives auxquelles succède une conception désormais à la fois linéaire, optimiste et ouverte à l’affirmation de la nouveauté grâce à l’accroissement quantitatif des connaissances et des savoir-faire, que l’on n’appelait pas encore des techniques. Les temps modernes se signalent en effet par une série de découvertes qui attestent la possibilité reconnue de cet accroissement : invention de la boussole, invention de l’imprimerie, de l’artillerie, des lunettes d’observation de l’astronomie de Copernic, de la circulation du sang établie par Hervey, etc. Le progrès moral, ensuite, semble conduire petit à petit l’histoire vers une société plus évoluée. L’abolition de l’esclavage, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, ainsi que la reconnaissance des droits des femmes ou encore les progrès de la démocratie sont autant d’exemples des avancées humaines qui font que l’on peut soutenir l’idée d’un progrès historique. C’est ainsi que : « La philosophie de l‟histoire donne à espérer dans la mesure où elle envisage un possible progrès historique. Ce progrès est celui du développement de nos dispositions et s‟accompagne d‟un progrès du droit » . Il y a donc progrès lorsque nous nous éloignons de la barbarie, du despotisme et de l’ignorance pour nous acheminer vers la richesse, la civilisation et la démocratie. Or, nous constatons qu’au XVIIIe siècle, les philosophes des Lumières ont sonné le glas du dogmatisme, de l’obscurantisme et de l’absolutisme à travers la promotion de la liberté de la pensée. Le siècle des Lumières est marqué par la haute et noble mission de libération de l’homme et de son émancipation par la voie de la raison. Il faut reconnaître à la suite de Cassirer que : « Le XVIIIe siècle est pénétré de la foi en l‟unité et l‟immutabilité de la raison ». Le progrès technique, utilisé à des fins moins humanistes a pourtant contribué à la barbarie et l’antithèse exacte d’un progrès moral : l’holocauste, les camps de concentration soviétiques, nazis ou Chinois, ainsi que la prolifération nucléaire sont autant de faits engendrées par les avancées technologiques. Cela ne peut pas être considéré en soi comme un progrès. Ce que l’on appelle progrès technique est en fait une évolution de la science audelà de la morale. Si l’on ajoute la dimension morale au progrès, alors il ne peut y avoir de progrès technique et historique. Bado NDOYE souligne à cet effet dans son article penser l’écologie politique avec Rousseau que : Yancouba TAMBA 2017-2018 29 « (…) Ce progrès ne s‟accompagne pas d‟un progrès moral (…), ce qui veut dire plus l‟humanité s‟éloigne de son origine naturelle du fait de ses progrès historiques, plus elle sombre dans les vices et l‟indifférence morale. Bref, ce qu‟elle obtient en acquisition culturelles et techniques, elle le perd en humanité ». Le XXe siècle est le plus meurtrier après le XVIe siècle, symbolisant la conquête du Nouveau Monde et par la même occasion la traite des noirs, le génocide indien. Toute évolution connaît un revers de la médaille. De ce fait, les maladies peuvent aujourd’hui être techniquement guéries, et l’agriculture produit plus que jamais. Pourtant la grande majorité des êtres humains souffrent actuellement de malnutrition et ne peuvent se payer des soins. La guerre n’a pas non plus disparu : elle est au contraire bien plus meurtrière en raison de la prolifération des armes autour du globe.

THEODOR ADORNO ET MAX HORKHEIMER OU LA BARBARIE COMME ABOUTISSEMENT DE LA CIVILISATION

   Faire du sujet doué de conscience le centre et le foyer de l’homme au monde, n’interdit pas de replacer la conscience et plus généralement la subjectivité humaine dans des formations plus larges qui les déterminent. On peut ainsi s’interroger sur la place, la conscience individuelle relativement à ce qu’on pourrait appeler une « conscience collective », qu’on se la représente avec Hegel comme « esprit d’un peuple » ou avec Marx comme la production de « l‟idéologie de la classe dominante ». La clé pour comprendre et interpréter la manière dont le sujet s’insère et se présente son insertion dans la réalité serait dès lors aussi et peut-être d’abord à chercher dans une réflexion sur les lois de l’histoire et de l’organisation des sociétés. La psychanalyse de Freud constitue-t-elle à cet effet, comme le soutient Odo Marquard, une « forme réduite », un « palier réduit » de la philosophie de l’histoire  ? Selon cet auteur : « La théorie psychanalytique ne doit pas être comprise comme une opposition mais plutôt comme un état déterminé de la philosophie de l‟histoire : comme la figure désenchantée de la philosophie de la nature fondée sur la philosophie transcendantale telle qu‟elle a été développée par Schelling (…). En transformant les problèmes de la philosophie de la nature, (elle) constitue elle-même une forme, mais une forme réduite de la philosophie de l‟histoire : un palier réduit». La psychanalyse hérite d’un certain nombre de thèmes, de concepts, de problématiques issus du corpus de la philosophie de l’histoire qu’elle traduit dans ses propres termes. Dans son ouvrage intitulé Le malaise dans la culture, Freud constate un paradoxe étonnant : la culture est la somme des réalisations les plus hautes de l’homme et de celles qui le protègent des fureurs de la nature; et pourtant, l’homme n’est pas heureux parmi ses œuvres. La clef de ce mystère réside dans la nature répressive de la culture. Celle-ci a pour fonction de combattre les tendances agressives et autodestructrices de l’homme que Freud, depuis le réaménagement de sa théorie des pulsions, en 1920, désigne par le terme de « Thanatos ». Pour ce faire, la culture inhibe et détourne à son profit les pulsions de vie, les pulsions érotiques. L’ « Éros » inhibé et détourné quant à son but produit de l’estime, de la tendresse, de l’amitié et même des philosophies de l’amour, tous liens qui rassemblent les hommes, leur permettent de faire face à la nécessité et modèrent leur propension à s’entretuer. Mais la non-satisfaction des pulsions érotiques, la dissimulation du rôle de la sexualité dans la société européenne corsetée par les interdits produit un « malaise » qui peut devenir insupportable à l’individu : « Comme la culture obéit à une impulsion érotique intérieure qui lui ordonne de réunir les hommes en une masse intimement liée, elle ne peut atteindre ce but que par la voie d‟un renforcement toujours croissant du sentiment de culpabilité. Ce qui fut commencé avec le père s‟achève avec la masse. Si la culture est le parcours de développement nécessaire menant de la famille à l‟humanité, alors est indissolublement lié à elle, comme conséquence de l‟éternel désaccord entre amour et tendance à la mort, l‟accroissement du sentiment de culpabilité, porté peut-être à des hauteurs que l‟individu trouve difficilement supportable  ». Selon Freud, l’humanité doit faire face à un double défi : d’une part, trouver un « équilibre approprié », c’est-à-dire porteur de bonheur entre les revendications individuelles à la satisfaction des pulsions, et les revendications culturelles de la communauté à la cohésion et à la survie ; d’autre part, contrôler les forces d’agression et d’auto-anéantissement. Quant au premier point, Freud esquisse, dans Malaise dans la culture quelques « propositions thérapeutiques » limitées visant à abaisser les exigences du surmoi culturel, à accorder aux pulsions érotiques une satisfaction partielle, et surtout à mieux éduquer les individus à la réalité des rapports humains. Quant au second, il recommande, dans Pourquoi la guerre ?, de renforcer toutes les formes d’identification et de cohésion l’Éros, de détourner les penchants agressifs vers d’autres objets que la destruction (on songe ici au rôle des passions sportives qu’analysera Elias) ou encore, renouant avec l’aristocratisme intellectuel hérité de Platon, de constituer une « classe supérieure » d’individus ayant soumis leur vie pulsionnelle à la « magistrature de la raison » et auxquels reviendrait de ce fait la direction des masses. Ces divers subterfuges, plus ou moins convaincants, ne feront pas disparaître les instincts agressifs de l’humanité. Ceux-ci sont ancrés dans la mémoire de l’espèce et l’on peut tout au plus les contenir, non les supprimer. Dans les Considérations actuelles sur la guerre et la mort, déjà, rédigées à la sombre lumière de la Première Guerre mondiale, Freud estimait que la guerre, en nous dépouillant des acquis de la civilisation, met à nu « l’homme originaire » qui est en nous, révèle la vraie nature du descendant d’une « série infiniment longue de générations de meurtriers qui (…) avaient la passion du meurtre dans le sang ».69 La guerre moderne, mécanisée, industrialisée, n’invente rien, sinon les moyens d’une totale destruction mutuelle. Entre Éros et Thanatos, le combat perdure, l’enjeu est simplement plus élevé « qui peut présumer du succès et de l’issue ? » s’interroge Freud dans une dernière phrase ajoutée au Malaise dans la culture dans l’édition de 1931, comme un codicille angoissé. Deux ans plus tard, Hitler parvenait au pouvoir en Allemagne et lançait ce pays sur la voie de nouveaux meurtres de masse, à une échelle encore jamais vue.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE: L’HISTOIRE A-T-ELLE UN SENS?
CHAPITREI : HEGEL, LA RAISON DANS L’HISTOIRE OU LA PHILOSOLOPHIE DE L’HISTOIRE
CHAPITRE II : UNE CONCEPTION MATÉRIALISTE DE L’HISTOIRE
CHAPITRE III : LE PROGRÈS HISTORIQUE
DEUXIÈME PARTIE:LA DIALECTIQUE DES LUMIÈRES ET LA CRISE DE L’HUMANITÉ
CHAPITRE I : THEODOR ADORNO ET MAX HORKHEIMER OU LA BARBARIE COMME ABOUTISSEMENT DE LA CIVILISATION
CHAPITRE II : LA RATIONALITÉ INSTRUMENTALE
CHAPITRE III : ADORNO ET HORKHEIMER : PESSIMISME ET NÉGATIVITÉ
TROISIÈME PARTIE: NOUVEAUX REGARDS SUR L’HÉRITAGE CRITIQUE D’ADORNO
CHAPITRE I : HABERMAS ET LA THÉORIE DU MODERNE
CHAPITRE II : LE CONCEPT DE RATIONALITÉ COMMUNICATIONNELLE
CHAPITRE III : HONNETH, VERS UNE NOUVELLE THÉORIE CRITIQUE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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