La question des stéréotypes et des préjugés

Approche conceptuelle des notions de préjugés et de stéréotypes

   Certains éléments semblent définir et caractériser l’individu (par exemple l’âge, l’activité professionnelle, la couleur de la peau, la nationalité, le sexe, etc.). Par la même occasion, ces éléments-là peuvent nous rapprocher de certains individus tout en nous éloignant d’autres. Sous ce rapport, interrogeons-nous sur ce double processus de rapprochement et d’éloignement. Si ce processus semble provenir des stéréotypes, il faut avoir à l’esprit que ces derniers sont des croyances concernant des groupes. Dès lors il nous faudra expliquer ce que nous entendons par groupe. Considérons ainsi qu’il y a l’idée de groupe dès que nous avons au moins deux individus partageant les mêmes caractéristiques. Dès lors qu’ils partagent quelque chose en commun et qu’ils sont conscients d’appartenir à une même entité, on parle de groupe. C’est ainsi que Tajfel et Turner considèrent le groupe comme étant : Une collection d’individus qui se perçoivent comme membres de la même catégorie sociale, partagent quelque engagement émotionnel dans cette définition commune d’eux-mêmes, et atteignent un certain degré de consensus à propos de l’évaluation de leur groupe et de leur appartenance à celui-ci. Nous comprenons par là qu’on parle de groupe, quand des individus sont conscients d’en faire partie et quand ces individus se catégorisent eux-mêmes dans ce groupe. Ils peuvent ainsi avoir en commun une doctrine, une religion, une culture, etc. Il y a appartenance groupale quand un individu se définit lui-même et est défini par les autres comme membre du groupe. Et on peut dire que les groupes sociaux donnent à leurs membres une certaine identification ou « identité sociale ». C’est par l’identité sociale que l’on se sent comme faisant partie intégrante d’un groupe donné. C’est sans doute parce que l’être humain est, comme disait Aristote, un « zoon politikon », c’est à dire un animal social qui ne peut assurer sa vie, son évolution et sa pleine réalisation, que dans un environnement social donné. L’être humain a donc une tendance naturelle à appartenir d’une manière ou d’une autre à un groupe social. Ainsi, l’identité sociale peut être comprise comme « … la partie du concept de soi d’un individu qui résulte de la conscience qu’a cet individu d’appartenir à un groupe social ainsi que la valeur et la signification émotionnelle qu’il attache à cette appartenance » Ainsi, Le fait d’appartenir à un groupe social confère aux membres une identité, un certain sentiment d’appartenance ou même de protection sociale. C’est ce qui est à l’origine de la catégorisation sociale, car chaque individu est catégorisé suivant les caractéristiques particulières du groupe auquel il appartient. D’après ces caractéristiques, nous pouvons comprendre que les stéréotypes sont des croyances sur les caractéristiques, attributs et comportements d’un groupe. Ces croyances sont très souvent partagées socialement mais elles sont en général sans fondement valable. Ce sont des idées déformées et exagérées de la réalité. C’est pourquoi « si par exemple, les représentations stéréotypiques sont de nature rigide et de valence négatives, elles pourraient être à l’origine des tensions et conflits dans les relations intergroupes. » Par ailleurs nos comportements envers les autres sont en partie commandés par des stéréotypes, c’est-à-dire des croyances, des idées partagées à propos de certains groupes de personnes. Le concept de stéréotype a été considéré par Lippmann en 1922 dans son livre « Public opinion » comme « des images dans nos têtes ». Ces images représentent tout ce qui peut nous venir à l’esprit quand nous pensons à une catégorie de personnes. C’est ainsi que de manière générale, la conception la plus simple que nous pouvons retenir sur les stéréotypes, est la suivante : « un ensemble de croyances à propos d’un groupe social ». Ces croyances sont socialement partagées dans le milieu social entre les amis, les membres de la même famille, etc. Contrairement aux stéréotypes, les préjugés ont une dimension affective. Le préjugé consiste en une réaction défavorable vis-à-vis d’une personne ou d’un groupe de personnes sur la base de son appartenance groupale. Pour cerner les facteurs qui conduisent aux préjugés et stéréotypes, soulignons que ces derniers ont presque toujours été source de discorde et de conflit dans les relations intergroupes. Nous pouvons citer l’exemple des conflits entre les catholiques et les protestants, entre Tutsis et Hutus en Afrique centrale, etc. Cependant pour y remédier il faudrait d’abord avoir une compréhension des relations intergroupes. Dans cette perspective, il y a lieu de saisir les notions de stéréotype, préjugé, la manière dont ils sont formés et dans quelles conditions ils sont utilisés. Il faudra aussi savoir comment les stéréotypes et les préjugés sont représentés, et à quoi ils peuvent servir. De prime abord, il faut noter que le stéréotype consiste en quelque chose de rigide. Lippmann (1922) défend l’idée que les stéréotypes sont des images simplifiées, rigides mais de mauvaise qualité. Les stéréotypes fonctionnent comme des filtres entre la réalité objective, et l’idée que nous nous faisons de cette réalité. Le terme stéréotype remonterait au XVIIIème siècle. Il est composé des mots grecs « stereos » qui signifie solide et « tupos » qui veut dire empreinte ou caractère. Donc si l’on se réfère à sa définition étymologique, le terme stéréotype renvoie à une entité rigide qui est très difficile à modifier, c’est pourquoi « il est donc intéressant de noter que dès le début de son histoire, le stéréotype désigne quelque chose de rigide, répété, constant et figé. » Un stéréotype, c’est un ensemble caractérisé par des éléments cognitifs, ce qui fait de lui, une structure cognitive stockée dans notre mémoire et composée de connaissances et de représentations mentales qui peuvent s’appliquer à un groupe ou à une catégorie. Ainsi, le stéréotype « … est composé de connaissances générales concernant les attributs de la catégorie, ses comportements, les caractéristiques physiques de ses membres ou leurs traits de personnalité. » Cela ne signifie pas pour autant que ces connaissances reflètent la réalité car les stéréotypes sont généralement faux. Quand nous pensons à un Chinois, les éléments associés au stéréotype des Chinois nous viennent à l’esprit, ainsi, on peut penser que les Chinois sont petits de taille, avec des cheveux courts et lisses. Donc nous pensons à leurs comportements, leurs caractéristiques physiques, leurs capacités, leurs personnalités, etc. Ce constat étant fait, il y a des différences considérables entre les contenus des stéréotypes. Ainsi certains stéréotypes sont riches en contenu, et peuvent renvoyer à des connaissances réelles et vraies sur les caractéristiques d’une personne ou d’un groupe. Au moment où, d’autres stéréotypes sont quant à eux, pauvres car se limitant à un nombre très restreint d’informations. Soulignons cependant que les stéréotypes sont entre autres des généralisations problématiques car ils ne sont pas applicables à tous les membres d’un groupe. D’après Lippman, on peut penser que les stéréotypes sont entre autres des idées consensuelles, partagées socialement. Ils sont aussi rigides ; autrement dit, ils gardent toujours leurs formes ou apparences. « Les stéréotypes sont généralement faux ou non fondés et aussi excessifs ».  Les stéréotypes peuvent servir à « un jugement stéréotypique qui les rend interchangeables avec les autres membres de leur catégorie ». Cela veut dire que les stéréotypes ont tendance à généraliser les attributs et comportements d’un membre, à tous les autres membres d’une catégorie, sans avoir eu l’expérience de les côtoyer tous. « Ces stéréotypes sont donc des théories naïves au sein desquelles intervient le processus de généralisation de la pensée sociale ». Mais également, il ne faut pas oublier qu’étant des croyances, les stéréotypes peuvent être vrais ou faux, mais quoi qu’il en soit, ils demeurent toujours des croyances simplificatrices de la réalité, qui par la même occasion, entraine une exagération des ressemblances entre membres du groupe stéréotypé. Par ailleurs les stéréotypes se produisent parfois de manière inconsciente et involontaire et c’est pour cette raison que « … les stéréotypes ne seraient pas seulement rigides mais également inévitables : certains n’hésitent pas à affirmer que les stéréotypes sont activés automatiquement lorsque l’on est en présence d’un membre d’un exogroupe ». Cela veut dire qu’à chaque fois qu’on est en face d’un individu qui nous est étranger, on a déjà une idée de quel genre de personne il peut être. On catégorise l’individu suivant des traits ou d’autres formes d’attributs spécifiques à un groupe donné. Dès lors, on peut voir le stéréotype comme le résultat d’un traitement individuel de l’information sur les groupes sociaux, traitement qui n’est possible que grâce à la catégorisation. Catégoriser consiste ainsi à rassembler ou regrouper les objets dans différentes classes sur la base d’un jugement cohérent. La catégorisation est perçue comme un processus mental qui consiste à organiser et classifier notre environnement physique et social car l’être humain est incapable de retenir un nombre illimité d’informations en même temps. Lorsque le processus de catégorisation s’applique aux humains, nous parlerons de catégorisation sociale. De ce fait, on peut considérer que : La catégorisation sociale désigne spécifiquement la catégorisation des êtres humains. De même que la catégorisation des objets physiques nous aide à nous adapter à notre environnement, la catégorisation sociale serait nécessaire à notre ajustement social. Elle permettrait d’interagir au mieux avec les membres d’autres groupes. Ainsi, sachant que mon invité est musulman, je ne vais pas lui imposer de manger du porc. La catégorisation sociale apparait dès lors comme « un outil cognitif qui segmente, classe et ordonne l’environnement social et qui permet aux individus d’entreprendre diverses formes d’actions sociales ». Nous pensons par catégorie parce que notre cerveau a besoin de mettre en ordre les informations qu’il reçoit, car ne pouvant pas se souvenir de toutes les informations en même temps. C’est la raison pour laquelle, « … la catégorisation apparait comme un raccourci économique qui permet de faire appel à des connaissances stockées en mémoire sans se concentrer sur tous les attributs de la personne. » C’est pourquoi si je rencontre un homme de couleur, je peux penser ou affirmer qu’il est un Africain par le simple fait que les Africains ont la peau noire même s’il est possible qu’il soit Européen (parce qu’il existe des hommes noirs qui ne sont pas nés en Afrique).

Rôle des préjugés et des stéréotypes

   Le stéréotype sert à simplifier la réalité mais il peut également servir à expliquer cette réalité dans la mesure où d’une part on peut dire que le fait de catégoriser des informations n’est pas un simple fait d’une description passive de la réalité. C’est la raison pour laquelle : « Le regroupement de différents objets dans un même ensemble n’est pas uniquement dicté par des rapports de similitudes ; il dépend de l’existence d’une théorie qui permet de rendre compte de ces similitudes. » C’est la raison pour laquelle, « nous plaçons la glace, l’eau, et la vapeur dans une même catégorie parce que nous disposons d’une théorie permettant d’expliquer le passage d’un état à l’autre et non parce qu’elles se ressemblent. D’autre part, on peut aussi penser que les stéréotypes permettent d’expliquer et d’interpréter les comportements des membres d’un groupe donné. Par exemple, on peut expliquer le manque d’éducation et la pauvreté des Noirs par leur paresse. C’est pouquoi certains vont jusqu’à inclure la dimension explicative des stéréotypes, dans la définition de ces derniers. Ainsi pensent-ils : « les stéréotypes ne sont pas seulement des croyances concernant des groupes, mais des théories permettant d’expliquer comment et pourquoi certaines caractéristiques vont ensemble. » Ceci reflète le fait que les stéréotypes permettent d’expliquer quelque fois la réalité sur les personnes ou les choses. Ainsi, il faut souligner que : Les stéréotypes affectent des aspects curieux. Ils présentent d’ordinaire le groupe minoritaire sous un jour défavorable, mais ce point n’est pas toujours le cas. C’est ainsi qu’en Afrique du sud et aux Etats-Unis les stéréotypes représentent les Noirs comme brutaux, généreux et fidèles. Cette conception tient au désir d’utiliser les Noirs comme domestiques et comme travailleurs non qualifiés et à les considérer comme de bons enfants satisfaits d’être traités en inférieurs. Les stéréotypes ont certes une valeur de connaissance, mais les connaissances qu’ils véhiculent peuvent parfois être plus ou moins restreintes car elles sont simplificatrices et déformantes du réel. On peut même ne pas s’en rendre compte, car cela se produit de façon rapide et involontaire. Ainsi la perception que nous avons des autres, de même que la manière dont nous agissons envers eux et les sentiments que nous avons à leur égard sont généralement influencés ou déterminés par leur appartenance. Le stéréotype dépend donc toujours d’une appartenance groupale. Lors du processus de catégorisation, notre cerveau sélectionne, filtre l’immense quantité d’informations qui vient de l’environnement et simplifie le traitement de ces informations. C’est là toute l’utilité de la catégorisation, car si nous ne catégorisons pas, nous ne pouvons pas distinguer ce qui peut nous être nuisible ou non. Par exemple si en allant quelque part je me perds en cours de route et que je veuille demander à quelqu’un de m’indiquer le chemin que je dois emprunter, si alors je vois dans la rue une dame habillée en costume et un jeune homme avec des vêtement déchirés, c’est fort probable que je m’adresse à la dame pour qu’elle m’indique le chemin. Le fait de penser par catégorie, c’est donc le fondement des préjugés et des stéréotypes. Et par la même occasion, La catégorisation accentuerait donc les similarités intergroupes et les différences intergroupes. Au lieu de penser autrui dans sa spécificité, on le concevra donc comme un Noir, un ouvrier, un alcoolique…On lui attribuera les traits associés à cette catégorie. Ainsi, il est donc à la fois plus simple et plus efficace d’utiliser l’information catégorielle que d’analyser chaque personne dans sa spécificité. Alors nous pouvons penser que « le stéréotype est une simplification exagérée : on perçoit l’exogroupe comme un ensemble homogène d’individus qui sont en réalité largement diversifiés ». L’information catégorielle peut parfois s’avérer complexe, dans la mesure où, une catégorie est susceptible de mettre en relation plusieurs autres catégories ou sous- catégories, par exemple, une femme peut être africaine, noire, sénégalaise, wolof, étudiante, etc. Toutes ces sous-catégories sont susceptibles d’engendrer d’autres sous-catégories, ce qui du coup entraine encore plus de stéréotypes vis-à-vis de chaque sous-catégorie. Le préjugé est très complexe, et peut être individuel ou collectif. Les causes des préjugés sont multiples, elles peuvent être lointaines et immédiates et aboutissent nécessairement à des relations conflictuelles entre les groupes. En effet, de prime abord on peut dire que les représentations cognitives et les sentiments des individus à l’égard des groupes sociaux peuvent déterminer les comportements intergroupes. Comme le pensent Azzi et Klein : « cette première approche postule une relation causale directe entre les processus psychologiques d’ordre conceptuel et cognitif et les relations intergroupes. ». De ce fait, partant de l’idée selon laquelle les préjugés sont des attitudes, on peut dire que ces derniers sont acquis et ce processus d’acquisition a lieu soit au contact direct avec des individus de l’exogroupe, soit par une expérience indirecte, la socialisation.

les causes du complexe d’infériorité de l’Africain

   La relation entre l’Europe et l’Afrique a été toujours l’objet d’un débat de la part des élites intellectuelles africaines. En effet, la plupart pense que l’homme africain est toujours à la merci de l’ancienne métropole parce qu’il y a un rapport de dépendance et de domination qui perdure jusqu’à présent. L’européocentrisme a été l’un des facteurs dominants qui a tenu l’homme noir sous un regard discriminatoire entrainant ainsi la perte de son soi, une incapacité à se définir et par conséquent, la réinvention d’une identité qui lui est totalement étrangère. De là, on peut dire que c’est cette relation de dépendance et l’idéologie occidentale sur les groupes ethniques qui expliquent l’origine du complexe d’infériorité. Dans ce cas précis, nous nous interrogeons sur les éléments qui ont été mis en œuvre pour affirmer l’infériorité de l’Africain, laquelle infériorité a engendré que le continent africain ne soit toujours pas en posture de penser, de juger et d’agir de façon indépendante. Saisir les causes du complexe d’infériorité, c’est se demander si l’aliénation de l’Africain est due à des évènements qui se seraient produits dans sa conscience. Le complexe d’infériorité désigne un sentiment d’infériorité qui s’exprime par une perception de soi évaluée comme inférieure. Ce sentiment d’infériorité peut dès lors être réel ou imaginé. Alfred Adler pense que le fait d’éprouver un sentiment d’infériorité peut aboutir à une surcompensation sous la forme d’un effort exagéré de valorisation ou à ce qu’il appelle la volonté de puissance. Selon A. Adler ce n’est pas la pulsion sexuelle mais plutôt l’aspiration à la perfection, qui rend intelligible la vie psychique d’un individu. C’est ainsi que : L’éducation, l’hérédité, les hasards sociaux, peuvent déterminer dès l’enfance l’idéal que chacun doit essayer d’atteindre dans sa vie pour compenser le sentiment d’infériorité ressenti initialement par l’enfant face au monde adulte, cette construction psychique protège le sentiment de supériorité qui anime les conduites humaines. Ainsi, Adler pense que dans la névrose, l’individu fuit le contact d’une réalité décevante afin de sauvegarder sa supériorité fictive. On ne peut conclure d’une différence de pigmentation à une différence de valeur humaine et la couleur de la peau ne peut rien nous révéler sur les capacités intellectuelles de quelqu’un et l’approche de Fanon dans Peau noire masques blancs n’est pas subjective en ce sens où Fanon considère que la racine du mal d’être Noir ne découle point d’un simple malentendu ou d’un simple défaut de compréhension entre Africain et Européen. Et cela se justifie en partie par les critiques que Fanon adresse à Mannoni dans son ouvrage intitulé Psychologie de la colonisation. Les interpellations de Fanon à Mannoni permettent de rejeter toute interprétation subjective de son comportement. C’est ainsi que, parlant des conséquences de l’irruption européenne à Madagascar, il soutient qu’il y a des rapports internes entre la conscience et le contexte social et c’est pour cette raison que ces conséquences ne sont pas seulement d’ordre psychologique. En effet, contrairement à Manoni qui pense que le complexe d’infériorité des Africains est inné, Fanon pense ce complexe serait innérent au système colonial. Dès lor, Fanon soutient que le social peut dans certaines situations, devenir plus important que l’homme, c’est pourquoi si l’homme de couleur … se trouve à ce point submergé par le désir d’être blanc, c’est qu’il vit dans une société qui rend possible son complexe d’infériorité, dans une société qui tire sa consistance du maintien de ce complexe, dans une société qui affirme la supériorité d’une race ; c’est dans l’exacte mesure où cette société lui fait des difficultés, qu’il se trouve placé dans une situation névrotique. Ce qui apparait alors, c’est la nécessité d’une action couplée sur l’individu et sur le groupe.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Première partie : Origine et formation des préjugés et des stéréotype 
Chapitre 1 : Approche conceptuelle des notions de préjugés et de stéréotypes
Chapitre 2 : Rôle des préjugés et des stéréotypes
DEUXIEME PARTIE : Les Relations Afrique-Europe, le complexe d’infériorité de l’homme africain
Chapitre 2 : les Manifestations du complexe d’infériorité
TROISIEME PARTIE :  Conséquences et solutions
Chapitre 1 : les conséquences des préjugés et des stéréotypes en Afrique
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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