La psychophonie à l’origine du chant prénatal 

Diversification 

Cependant, toutes les femmes n’auront pas les mêmes attentes face à la préparation à la naissance et à la parentalité. Trois grandes composantes sont retrouvées face à ses attentes qui sont la composante psychologique, la composante corporelle et la composante éducationnelle (15).
Les besoins des femmes face à ses trois composantes varieront en fonction de leur histoire personnelle : Une femme primipare pourra par exemple être très demandeuse d’informations sur le déroulement de l’accouchement : c’est la composante éducationnelle. À contrario, une femme ayant déjà quatre enfants se posera peut-être beaucoup moins ces questions et utilisera ces séances pour prendre du temps pour elle-même et faire de la relaxation par exemple, c’est la composante psychologique. Au fil des années, l’offre de préparation à la naissance et à la parentalité s’est donc diversifiée pour répondre aux souhaits des femmes. D’autres alternatives ont vu le jour (16), mais elles ne sont cependant pas toujours prises en charge par la sécurité sociale :
La sophrologie met par exemple l’accent sur la relaxation et la respiration : elle permet d’acquérir une meilleure connaissance de soi et une meilleure capacité à gérer le stress.
Le yoga sensibilise la femme à l’écoute de son corps et de ses changements en privilégiant le travail sur la respiration et l’exercice musculaire. Il permet de ressentir le rapport entre la respiration et les contractions, ce qui peut aider à l’accouchement.
L’haptonomie quant à elle signifie la prise de contact par le toucher : le toucher de l’enfant à travers le ventre de la mère permet aux deux parents d’initier une relation affective avec lui. La place du père est ici fondamentale.
La préparation en piscine permet une préparation physique, à travers le travail du souffle et l’ouverture du bassin. L’eau permet en outre de ne plus ressentir les effets de la pesanteur et de se détendre totalement.
Vient enfin le chant prénatal qui est présenté comme une façon de communiquer précocement avec son bébé pour renforcer le lien mère-enfant. Nous allons donc voir par la suite comment se constitue ce lien mère-enfant.
Le chant prénatal servirait également à apprendre à utiliser son souffle à des fins de relaxation et d’aide à l’accouchement. Probablement l’une des techniques la plus méconnue, nous approfondirons donc ses principes afin de mieux le comprendre.

Mise en place du lien mère-enfant 

Pendant la grossesse 

Le fait de devenir mère implique la mise en place de modifications psychologiques (17). Il s’agira de remplacer l’idée confuse d’un enfant par une représentation précise à partir de laquelle elle pourra se visualiser en tant que mère. L’entrée dans l’état de grossesse au premier trimestre est marquée par un bouleversement interne, notamment chez les primipares. Il s’agit en effet, selon la théorie freudienne, d’accepter le passage à l’état de parent et de faire le deuil de son propre statut d’enfant. En raison de ce bouleversement intime ressenti, les femmes préfèrent mettre en place une certaine forme d’isolement. Il n’est donc pas encore temps de mettre en place des séances de préparation à la naissance et à la parentalité.
Au deuxième trimestre, la femme a accepté cet état de grossesse et ressent une certaine paix intérieure. Les mouvements fœtaux vont commencer à se faire ressentir.
Ces perceptions permettent à la femme de circonscrire la forme du corps de l’enfant d’une part, et de l’autre de le différencier de son propre organisme. Il commence à prendre forme dans son esprit, comme une entité entière et à part et non comme une partie d’elle-même. À ce titre, elle peut avoir des pensées, verbalisées ou non, dans lesquelles elle s’adresse directement à lui. C’est le moment de débuter certaines préparations à la naissance et à la parentalité, comme le chant prénatal ou encorel’haptonomie.
Au troisième trimestre, la représentation de l’enfant s’achève. Il s’agit de l’image d’un enfant imaginaire idéal, qui se construit à partir de l’histoire propre à chaque femme, mais également à partir de ce que la femme perçoit des mo uvements de son enfant. Il se met en place une relation affective très forte entre la femme et son enfant imaginaire. En l’acceptant comme un être à part et entier, elle accepte également le fait de s’en séparer, ce qui rend possible la naissance. A ce titre, la préparation à la naissance prend tout son intérêt au 3 ème trimestre dans la préparation à l’accouchement.

Après la naissance

Après la naissance, la femme va chercher à reconnaitre dans l’enfant qu’elle a mis au monde l’enfant idéal qu’elle s’était imaginé. Elle le reconnait comme sien si elle retrouve sur lui les traits de l’enfant imaginaire qu’elle avait pensé pendant la grossesse.
L’écart qui existe entre l’enfant imaginaire et l’enfant de la réalité sera structurant pour le tissage du lien en tre la mère et l’enfant. Si cet écart est inexistant, la mère s’investira de façon fusionnelle et n’arrivera pas à se séparer de l’enfant, le père ne pourra pas trouver sa place. Si au contraire l’écart est trop grand, elle aura du mal à s’investir.
L’investissement de l’enfant dans sa réalité permettra à la femme de répondre à ses besoins en fonction des demandes de l’enfant (17).
Cependant, après la naissance, la femme va ressentir une sensation de « vide ».
Elle n’a plus son enfant imaginaire en elle, comme si elle avait perdu une partie d’el lemême. Elle va alors chercher à combler ce vide par la présence de son enfant réel. Elle va essayer d’entrer en contact avec lui par tous les sens : le toucher, le regard et la voix, c’est ce que Winnicott appelle la « préoccupation maternelle primaire ». Cet état d’extrême réceptivité à l’enfant permet de s’adapter au mieux à ses besoins (18).
Dans le même temps, l’enfant va répondre à ses comportements. A partir de cela se mettra alors en place une véritable communication. C’est ce que Bowlby, un psychiatre et psychanalyste britannique, célèbre pour ses travaux sur l’attache ment et la relation mère-enfant, a appelé les « comportements d’attachements ». Dès les premiers mois, le nourrisson va adopter des comportements qui éveillent chez la mère l’envie de s’occuper de lui. Par exemple quand il a besoin d’elle, il la fait venir au moyen de pleurs. Dès qu’il l’aperçoit, il manifeste sa joie en souriant, ce qui renforce le désir de sa mère de rester auprès de lui (19).
On voit donc que le développement du lien mère-enfant est un long processus qui commence dès le début de la grossesse, et qui se continue tout au long de la vie de l’enfant. La préparation à la naissance et à la parentalité est donc présente au moment de la grossesse pour accompagner la mise en place de ces premiers éléments. Nous allons maintenant aborder plus particulièrement de la préparation à la naissan ce par lechant prénatal, et de ses origines : la psychophonie.

La psychophonie à l’origine du chant prénatal 

Historique 

Le chant prénatal tel qu’on le connait aujourd’hui est l’œuvre de Marie -Louise Aucher (1908-1994), cantatrice et professeur de chant du XX ème siècle. À la suite de graves problèmes de santé, elle se promit de chanter jusqu’à la perfection pour remercier Dieu de la guérison dont elle avait bénéficié. C’est donc en chantant dans une église, accompagnée d’un orgue, qu’elle remarqua que chaque note faisait vibrer un endroit différent de son corps. Le son n’était plus reçu uniquement par ses oreilles, mais par son corps en entier (1). Elle répertoria alors ses points de vibrations et fit le rapprochement avec certains méridiens de la médecine traditionnelle chinoise, utilisés dans l’acupuncture notamment. Cette échelle sonore mit en évidence la relation intime entre le corps et la voix : les sons vont circuler à l’intérieur du corps en fonction de notre santé physique, notre tonus vital, notre équilibre nerveux et émotionnel (20). Cette technique englobant donc à la fois l’aspect psychologique et l’aspect vocal de l’être, elle nomma cette nouvelle science la « psychophonie » et déposa cette appellation à l’Académie des sciences en 1960.

Notions essentielles de psychophonie 

La psychophonie est selon Marie-Louise Aucher « Une démarche autoexpérimentale d’harmonie physique et psychique qui utilise, à la faveur de la voix parlée et chantée, les correspondances entre l’Homme, les sons » (20).

L’échelle de réceptivité des sons 

La psychophonie s’appuie sur l’échelle de réceptivité des sons par l’Homme.
Cette échelle est née d’un phénomène acoustique simple, la résonance : un matériau est spontanément en vibration lorsqu’il est entouré d’un son à la même fréquence que la sienne.
Le corps humain présente donc des plages de résonance spécifiques à chaque note, qui s’étalent sur 4 octaves, (Annexe III): chaque partie du corps va répondre à sa propre fréquence, émise soit par la personne elle-même soit par l’environnement. Les vibrations intéressent tout le corps : le système osseux, musculaire, circulatoire, nerveux, respiratoire, sympathique, lymphatique, digestif et cutané. Notre corps tout entier est donc un instrument vibrant au son, Marie-Louise Aucher parle alors d’Homme récepteur. Cette réceptivité correcte des sons exige une oreille fonctionnelle mais surtout une sensibilité tactile bien développée, puisqu’il s’agit de « ressentir » le son et ses vibrations plutôt que de l’entendre.

Sensibilité cutanée 

Le son, dans sa nature même, est une onde. Une onde produit des vibrations, et le son sera donc non seulement entendu par l’oreille, mais il sera également « ressenti » par l’ensemble du corps, par les récepteurs cutanés. Ce rapprochement pourrait découler de la formation même de l’embryon : en effet, les placodes otiques à l’origine des cellules réceptrices du son dérivent du même feuillet embryonnaire que la peau : l’ectoblaste.
Or cette sensibilité cutanée est extrêmement précoce. Dès la septième semaine de gestation, elle occupe le pourtour buccal. Puis elle se développe sur le visage, la paume des mains et la plante des pieds à 11 semaines. Elle parvient au tronc et à une partie des membres à 15 semaines, pour finir par couvrir tout le corps à 20 semaines. Le son, et enparticulier la voix de la mère transmise par voie interne, arrivera donc très tôt au fœtus sous forme de vibrations, et celui -ci « ressentira » la voix maternelle avant même de l’entendre.
Marie-Louise Aucher allait même encore plus loin : le fœtus, présentant la même échelle de réceptivité aux sons que l’Homme adulte, verrait son développement modifié par une exposition prolongée au son. Selon ses observations dans les années 1970, les enfants de mères soprani, dont la voix est aiguë, voient la partie supérieure de leur corps se développer de façon exceptionnelle : leur nuque est vigoureuse, les mains sont plus ouvertes et ils assimilent mieux le geste de la pince. Quant aux enfants de pères chanteurs, dont la voix est plus grave, ils ont le bas du corps mieux développé et acquièrent plus rapidement la marche. Les stimulations sonores reçues pendant la vie intra-utérine laisseraient donc une empreinte sur le fœtus (22). Cependant, cela reste du domaine de la supposition car aucune étude n’est venue démontrer ces observations.

Sensibilité vestibulaire 

Le système vestibulaire, situé dans l’oreille interne, est fait de canaux emplis de liquides. Le mouvement des liquides est transmis à de minuscules cils dont les mouvements stimulent des cellules nerveuses. Ainsi sont décelées et transmises au système nerveux central les mouvements du corps dans l’espace (30). Au 21 ème jour de la vie embryonnaire, les placodes otique s apparaissent au pôle céphalique de l’ectoderme. Elles s’invaginent et donnent les vésicules otiques. Elles se différencient en deux parties chacune. La première forme le saccule et le canal cochléaire responsable de l’audition. La deuxième forme l’utricule, les conduits semicirculaires et le canal endolymphatique, qui sont responsables de l’équilibre. Au 49 ème jour de gestation, la formation des canaux semi -circulaire est terminée (31).Dès 7 semaines de gestation, l’embryon va donc être capable de sentir ses propres déplacements dans l’espace. L’embryon baigne dans un environnement liquide et va donc ressentir les mouvements de son propre être au milieu du liquide amniotique à chaque mouvement de sa mère.

Le chant prénatal 

Cette certitude que le fœtus a besoin de sons pour son développement amena donc Marie-Louise Aucher à proposer le chant aux femmes enceintes. C’est en s’associant avec une sage-femme, Chantal Verdière, qu’elle créa le chant prénatal. Nous allons donc voir maintenant en quoi celui-ci consiste précisément.

Temps de réceptivité 

Mise en disponibilité 

Si l’instrument est le corps, le mental est le musicien. Il semble alors évident que la réflexion est indispensable au chant. Mais la réflexion ne doit pas se faire au moment de l’action, car réfléchir à sa façon de chanter va provoquer des tensions. Lors du chant, il ne faut pas qu’une partie de la conscience soit concentrée sur l’action volontaire de d’un muscle dont il n’y a pas de sensation, de connaissance proprioceptive précise. En effet, son action serait alors mal contrôlée : il n’est pas possible de contrôler un muscle inconnu jusqu’alors. Il faut donc sentir plutôt que réfléchir, la conscience doit se concentrer sur l’ensemble des perceptions et non sur l’action (32).
Pour chanter et pour recevoir les bienfaits du son, le mental doit donc avoir une certaine disponibilité. Mais l’Homme est un être dont les pensées incessantes peuvent vite se révéler encombrantes. Il lui faut alors lâcher prise, retrouver son « sourire intérieur », 13 ème point du chanteur (33) et renouer avec ses sensations immédiates. « Il est vrai que sentir est une chose naturelle mais qui ne nous est pourtant pas familière. Notre vie quotidienne est un engrenage de s uractivité, d’agitation et de bruit, dont nous ne sommes parfois plus conscients, qui développe exclusivement nos possibilités de raisonnement et de volonté, mais nous coupe du terrain intérieur réceptif et paisible sur lequel pourraient naître et se développer des sensations justes » (34).
Pour ressentir, il faut être disponible, c’est-à-dire, être présent à soi. Il faut pour cela se relâcher au maximum, prendre conscience de sa présence corporelle, de ses perceptions. Une pratique régulière favorise une meilleure conscience des mouvements et des muscles mis en œuvre, et progressivement, l’action volontaire sur tel ou tel muscle devient possible sans pour autant créer de tensions (32).
Cette prise de conscience des perceptions passera notamment par la stimulation des sens.

Le corps, un instrument tout entier 

Le corps, pour produire un son, doit être considéré dans sa globalité. Le corps est alors vu comme un instrument vocal. La pose correcte de la voix et sa résonance exige un bon équilibre corporel et c’est donc la posture qui sera ensuite travaillée (26). Cela permet à la femme de prendre conscience que chaque partie de son corps est importante.
Cette posture se travaillera à partir de plusieurs points, que Marie-Louise Aucher appelle les points du chanteur. Elle a numéroté ces points de 1 à 14, dans l’ordre chronologique de leur découverte (33) (Annexe VI).

Les appuis, pour la dynamique et l’équilibre 

Les jambes : les jambes correspondent au 9 ème point du chanteur, la « sensation de travail de solidité » (33) ou « sensation d’équilibre et relai d’énergie » (20). Elles doivent êtes parallèles, les genoux souples et légèrement fléchis pour permettre une bonne position du bassin.
Les pieds : les pieds sont pour Marie-Louise Aucher le 10 ème point du chanteur, la « prise de force à terre » (33). Ce nom vient du fait que les pieds sont le relai entre la terre nourricière et l’Homme, ils pompent l’énergie nécessaire à notre condition d’Homme debout (20). La prise de conscience de l’importance d e ses appuis, de leur ancrage dans le sol, donne plus d’assurance.
Le bassin : lors de l’expiration abdominale, l’air est chassé des poumons par la contraction des muscles abdominaux, qui correspondent au 3 ème point du chanteur (33), et qui augmentent la pression sur les viscères et remontent donc le diaphragme. Cette contraction des muscles abdominaux efface la lordose lombaire et provoque la rétroversion ou bascule du bassin, le 4 ème point du chanteur : le sacrum se déplace vers le bas et l’avant et le pubis remonte vers l’arrière(33). Pendant la grossesse, ce mouvement permet d’équilibrer la répartition du poids du fœtus dans le bassin en corrigeant l’antéversion utérine.
Le périnée : Il existe dans certains articles sur le chant prénatal une notion d’ouverture du périnée concomitante de l’ouverture de la glotte, ce qui serait utile au moment de l’accouchement. Cependant aucune notion physiologique ne vient appuyer ce fait. Enrevanche, selon l’échelle de réceptivité de la psychophonie, les sons graves agissent sur la partie inférieure du corps et donc sur les muscles du périnée, qui sont alors massés par les vibrations, plus détendus et donc se laissent plus facile ment amplier (37). De plus, la bascule du bassin entrainée par l’expiration corrige l’antéversion utérine et permet d’aligner la force des contractions utérine avec l’axe du défilé pelvien. Cela facilite donc l’engagement et la descente du fœtus dans le bassin maternel (38).

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Table des matières
Introduction
Première partie : Revue de la littérature
I) Préparation à la naissance et à la parentalité
1) Objectifs
2) Contenu des séances
3) Diversification
II) Mise en place du lien mère-enfant
1) Pendant la grossesse
2) Après la naissance
III) La psychophonie à l’origine du chant prénatal
1) Historique
2) Notions essentielles de psychophonie
i. L’échelle de réceptivité des sons
ii. Le soin par le son
3) Le fœtus et la psychophonie
i. Audition
ii. Sensibilité cutanée
iii. Sensibilité vestibulaire
IV) Le chant prénatal
1) Temps de réceptivité
i. Mise en disponibilité
ii. Eveil des sens
2) Le corps, un instrument tout entier
i. Les appuis, pour la dynamique et l’équilibre
ii. La partie supérieure du corps pour l’expression
3) Production vocale
i. Physiologie de la voix
ii. Respiration
iii. Vocalises
4) Le temps des chansons
i. La mélodie
ii. Les paroles
iii. Le rythme
Deuxième partie : Méthodologie 
I) Problématique et hypothèses
II) Objectifs de l’étude
III) Population ciblée
1) Critères d’inclusion
2) Critères d’exclusion
IV) L’entretien
1) Choix de l’outil
2) Elaboration du guide d’entretien
V) Déroulement de l’étude
1) Temps de préparation
2) Constitution de l’échantillon
3) Réalisation des entretiens
4) Retranscription des entretiens
5) Analyse des entretiens
VI) Biais et limites de l’études
Troisième partie : Résultats 
I) Profil des femmes interrogées
II) Le chant prénatal, une pratique peu courante
1) Source d’informations
2) Motivations
3) Connaissances préalables en chant et en musique
4) Comparaison avec les autres préparations à la naissance et à la parentalité
III) Accompagnement de la grossesse
1) Mieux-être pendant la grossesse
i. Détente et relaxation
ii. Energie
iii. Connaissance de son corps
iv. Les bienfaits de la musique
v. Un travail sur la respiration
2) Importance du groupe
i. Partage d’expérience
ii. Mieux se projeter
iii. Rompre l’isolement
iv. Les bienfaits du chant collectif
3) Place du professionnel
i. Un professionnel de premier recours
ii. Nécessité du savoir de la sage-femme
iii. Nécessité d’un accompagnement musical
IV) Gestion du travail et de l’accouchement
1) Projet de naissance
2) Rôle des professionnels
i. Accompagnement des vocalises
ii. Manque de disponibilité
3) Utilisation des vocalises au cours du travail et de l’accouchement
i. Calmer, recentrer
ii. Gérer et atténuer la douleur
V) Lien mère-enfant
1) Ressenti maternel pendant la grossesse
i. Lien et communication
ii. Un moment privilégié
iii. Le partage par la musique
iv. Conscience corporelle
v. Le rôle des chansons
2) Réactions fœtales
3) Utilisation du chant avec le nourrisson
i. Endormir, calmer, apaiser
ii. Jouer
iii. Communiquer
iv. Le chant chez le petit enfant
4) Réaction du nourrisson
i. L’écoute
ii. Le regard
iii. L’apaisement
iv. Un début de réponse vocale
v. Une mémoire in utero
VI) Place du conjoint
1) Pendant la grossesse
i. Présent pendant les séances
ii. Absent des séances
2) Pendant l’accouchement
i. Un soutien essentiel
ii. Un sentiment d’union
Quatrième partie : Discussion 
I) Hypothèse 1 : Le chant prénatal prépare à la parentalité : il favorise la mise en  place d’interactions avec l’enfant à naître et l’enfant né
1) Pendant la grossesse
2) Après la naissance
II) Hypothèse 2 : Le chant prénatal prépare à la naissance : il contribue à la gestion de la douleur et du stress
1) Le chant prénatal pendant la grossesse
i. Se sentir bien
ii. Connaître ses capacités
iii. Partage et projection
iv. Place du père
2) Le chant prénatal pendant l’accouchement
i. Gestion de la douleur
ii. Rôle du conjoint
III) Place de la sage-femme
1) Animation d’un atelier de chant prénatal
2) Dans l’accompagnement des vocalises lors de l’accouchement
IV) Le chant prénatal : une pratique peu courante
Conclusion 
Bibliographie 
Annexes 

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