De la pensée kabbalistique à la Hassidout
Voici une brève analyse de la mystique kabbalistique telle que l’appréhende Yoram Jakobson, à partir des recherches de Gershom Scholem et Yéchaya Tichbi. Il définit la mystique comme une tentative de l’être créé de réduire l’écart entre le monde d’ici-bas, et un D-ieu transcendant. Le plus ancien ouvrage ésotérique juif est le Séfer yétsira auquel est conférée une grande ancienneté mais dont les premières versions écrites remontent à la fin du IXème siècle sous la plume de Rav Saadia Gaon. La Kabbale médiévale, qui se pose comme l’héritière de celle de Chimon bar Yo’haï au IIème siècle, apparaît en Provence à la fin du XIIème siècle sous une forme écrite (Séfer haBahir, dont l’œuvre semble prolonger la tradition gnostique). Son enseignement est attesté dans les siècles suivants en Italie et en Espagne. C’est dans ce dernier pays que Moïse de Léon rédigea le Zohar, qui, constitue depuis lors le texte fondateur de la mystique juive. La kabbale envisage deux dimensions du divin :
1) la dimension dissimulée du divin : un être infini, l’Ein sof transcendant.
2) la dimension révélée du divin : à partir d’une première émanation de l’Ein sof, nommée Atsilout, dix autres sphères d’émanation, les séfirot constituent les maillons d’une chaîne spirituelle entre le Créateur et le monde d’ici-bas. On a rapproché cette pensée émanatiste des conceptions néoplatoniciennes (IIIème siècle) de la basse Antiquité. La Kabbale tardive, celle de Rabbi Isaac Louria, s’est d’abord développée dans la ville de Tsfat au XVIème siècle et se diffusa depuis cet endroit. La Kabbale lourianique est orientée vers l’avenir messianique, à l’opposé de celle de l’auteur du Séfer haBahir qui semble s’attacher à retrouver un état de pureté antérieure. De la même manière, le Bahir s’adressait à des êtres d’élites capables d’élever leur âme, jusqu’à la proximité et donc la perception du divin. Ce messianisme fut à nouveau rattaché par les historiens à une tradition ésotérique dans le cadre de laquelle l’arrivée du messie était périodiquement annoncée. Il est possible qu’à cette époque déjà, les persécutions des Inquisiteurs, puis au XIVème siècle, celles des rois, (Philippe-Auguste au début du XIIIème siècle, Louis IX dans la première moitié du XIIIème siècle et surtout Philippe Le Bel au début du XIVème siècle, les Anglais à la même époque, sans remonter aux Croisades) aient inspiré une attente messianique. Mais, après le traumatisme consécutif aux expulsions des Juifs d’Espagne et du Portugal, les souffrances issues à la guerre de Trente Ans dans la première moitié du XVIIème siècle, et surtout les épouvantables massacres en Pologne de Chmielniski en 1648, l’attente d’une issue miraculeuse se fait plus pressante. Ce qui est nouveau à partir du XVIIème siècle c’est la dimension collective de la démarche qui confère à celle-ci le caractère d’un fait social. Au XVIIème siècle, la kabbale de Safed se développe selon deux axes principaux :
1) Un effort de rigueur mené par Rabbi Moché Cordovéro (Moïse de Cordoue), le Ramak, qui s’attache à éliminer les références allégoriques.
2) la popularisation des thèmes kabbalistiques.
Le dit inlassable de la prière
Cette thèse s’articule autour de deux thèmes, dans lesquels seront évoquées les notions fondamentales liées à la prière en général et à la Amida en particulier. Il nous a paru, en effet, essentiel, en traitant de la Amida, conformément aux instructions de Monsieur le professeur Banon, de développer des notions importantes, recouvrant les aspects philosophiques et historiques qui s’intègrent, selon nous, au sens et à la dimension universelle de la prière. En particulier, nous avons entendu montrer comment, jusque dans ses détails les plus fins, le Chemoné Esré constitue l’aboutissement à la fois d’une vérité révélée, d’une expérience historique, d’une connaissance du psychisme humain. Ainsi, les sages du Talmud ont-ils tenu à poser le fait que la prière, loin de s’ajouter à la vie du croyant, s’enracine dans sa « praxis » : un verset de Job (5-7) dit : « L’homme est né pour le labeur ». Dans le Talmud Sanhédrin (99b), Rabbi Eléazar commente ce verset : « Tout homme a été créé pour le labeur… mais cela ne nous dit pas s’il s’agit d’une fatigue issue de la parole ou issue du travail physique. Mais dès lors qu’il est dit : « C’est pour lui-même que travaille le laborieux, car pressantes sont les exigences de sa bouche » (Proverbes 16,26), on déduit qu’il s’agit bien là d’une fatigue issue de la parole ; Rabbi Eléazar s’interroge encore : « On ne sait toujours pas s’il s’agit d’une fatigue procédant de l’étude de la Torah ou de celle issue de la parole. Mais dès lors qu’il est écrit : « Ce livre de la Doctrine ne doit pas quitter ta bouche » (Josué 1,8), on doit dire que l’homme a été créé pour se fatiguer à étudier la Torah. Les sages affirment : « Il n’y a d’expression que la prière » (Bera’hot 26b / Avoda Zara 7b)52. Il s’agit donc pour l’homme de s’investir corps et âme dans sa prière, en vue d’une élévation spirituelle, faisant ainsi écho au verset : « Une échelle était dressée sur la terre, dont le sommet atteignait le ciel » (Genèse 28,12). L’enjeu est celui d’une élévation du terrestre au céleste, jusqu’à transcender la création. Cependant l’élévation de l’homme à travers l’étude de la Torah demeure la plus sublime dans la mesure où la Torah issue de D-ieu Lui-même, a le pouvoir d’opérer des changements dans l’ordre de la Création. Mais pour produire ce renouveau ici-bas, il convient toutefois de respecter un parcours :
• La première étape s’accomplit à travers la « fatigue du travail », qui consiste à ennoblir la matérialité du monde, à travers un usage sanctifié – c’est-à-dire au nom du seul Créateur – des objets de la Création. L’homme devient ainsi le partenaire de D-ieu dans la Création en y introduisant de la sainteté.
• Vient ensuite la « fatigue par la parole » destinée à sublimer la Création et à transcender sa matérialité à travers l’élévation issue de la prière.
• Une voie est ainsi frayée à travers ces deux labeurs qui permettent à la fatigue issue de l’étude de la Torah de faire de ce monde une demeure véritable pour D-ieu.Il y a donc lieu de distinguer trois sortes de fatigue :
• La fatigue par le travail
• La fatigue par la parole
• La fatigue dans l’étude de la Torah
Nous retiendrons cette dernière ; elle correspond en effet à la vocation ultime de l’homme. Cependant, pour réaliser cette vocation, l’homme doit au préalable s’investir dans les deux premiers labeurs, celui du travail proprement dit et celui de la parole. La fatigue à laquelle D-ieu appelle l’homme consiste en une fatigue physique qui implique de travailler dur pour gagner sa vie. Cette fatigue est gratifiante dans la mesure où elle est génératrice de satisfaction personnelle et d’accomplissement de soi. Le Talmud affirme en effet : « L’homme préfère une mesure produite par lui, à neuf mesures produites par un autre » (Baba Metsia 38a). Il en ressort clairement que le travail dans lequel l’homme s’investit lui vaut une satisfaction véritable. Ce faisant, l’homme s’associe à D-ieu dans la création du monde, se comporte à l’image de D-ieu en exerçant un ascendant sur la Création à travers son travail, à condition que celui-ci s’accomplisse conformément aux prescriptions et à l’esprit de la Torah. A son tour, cet ascendant requiert d’être d’une portée telle qu’il transcende l’œuvre de la Création proprement dite, laquelle est renouvelée par D-ieu en permanence. Le travail physique doit donc être relayé par celui de la parole, qui, elle, distingue l’homme de l’animal, et suscite à son tour un renouveau dans la Création. Cette identification à l’œuvre de D-ieu s’inscrit dans le monde comme la mise en œuvre de la vocation humaine et forge une véritable communion de l’homme avec Dieu. La consécration de cette œuvre est atteinte à travers la fatigue par l’étude de la Torah. Par elle l’homme fait sienne la Torah et réalise ainsi l’union de D-ieu et de l’être créé. Mais qu’entend-on par « fatigue par la parole » ? De quelle parole s’agit-il ? Quelle est sa place dans la vie de l’homme ? Un verset affirme : « Mort et vie sont au pouvoir de la parole » (Proverbes 18,21)
Prière d’Arvit, instituée par Jacob
Dans le Talmud (Béra’hot 26b), à propos du verset [relatif à Jacob] : « Il atteignit l’endroit et y passa la nuit» (Genèse 28,11), l’Ecriture ne se réfère ici qu’à une proximité atteinte par la prière, comme dans ce verset où l’Eternel demande instamment au prophète Jérémie : « Et toi, ne prie pas en faveur de ce peuple, n’élève pour eux ni supplication ni prière et ne t’approche pas jusqu’à m’atteindre » (Jérémie 7,16). Les sages interprètent le terme de « Vayifga » en lui attribuant le sens de prière. Jacob rencontra D-ieu à travers la prière. L’idée de rencontrer est connotée à celles de toucher, d’atteindre : c’est que la prière constitue dans son essence une rencontre entre celui qui prie et D-ieu. La première chose que Jacob fit lorsqu’il sortit de Beer Sheva, un lieu de Torah et de mitsvot, après son départ vers ’Haran, lieu qui suscite la colère divine (de la racine ’haron, signifiant en hébreu la colère), fut de prier. La nuit était tombée sur le lieu où serait plus tard édifié le Temple. La Torah écrit : « cham » : « un lieu dans l’espace, un lieu dans le temps, le soir, c’est-à-dire à l’heure du début des épreuves et des exils » (Genèse 28,11). Au lieu d’apprendre la langue ou les coutumes du pays dans lequel il va se rendre, il se prépare par la prière. C’est en effet à ’Haran que Jacob allait se marier, fonder les douze tribus, entrer en contact avec le monde extérieur ; il choisit le moment pour prier, le soir. S’apprêtant à affronter un monde opposé aux valeurs mises en œuvre par Abraham et à lui transmises par son père Isaac, il a alors besoin du soutien de D-ieu. La Torah enseigne que Yaakov, sur son lit de mort, déclara qu’il conquit Sichem : « bé’harbi ouvékachti », « par mon épée et par mon arc » (Genèse 48,22). Le Targoun Onkelos traduit par « bitsloti ouvévaouti » : « par ma prière et ma supplication »63. Yaakov savait que c’est D-ieu qui mène le combat et que l’arme la plus puissante est la prière. Le Maharal dans le Gour Aryeh explique que la prière du Juste est comparable à une épée ou à une flèche parce qu’elle se fraye un chemin à travers toutes les sphères pour atteindre les cieux supérieurs. La prière est aussi comparée à un arc ; de même que la puissance de la flèche dépend de la tension exercée sur l’arc, l’efficacité de la prière dépend de la concentration et de la ferveur de l’homme qui la récite. Le Méche’h Ho’hama, reprend cette comparaison en critiquant l’interprétation du Maharal : il explique que le Chemoné Esré dit avec minyan, composé par les hommes de la Grande Assemblée, possède une telle sainteté qu’il n’est pas affecté par une ferveur moindre. La Amida ressemble à une épée tranchante, qui même maniée avec maladresse, garde son efficacité. En revanche, c’est la supplication proférée par l’individu isolé qui est tributaire de la ferveur qui y est investie (Taanit 8b). Une telle prière, dépourvue de ferveur, ressemble en effet à un arc mal bandé, tenu par un mauvais archer. L’issue de cette oraison est à la fois incertaine et médiocre.
La prière jusqu’à sa fixation par les hommes de la Grande Assemblée
A l’époque du Temple les holocaustes quotidiens offerts le matin et l’après-midi au nom de tout Israël constituaient le début et la fin du service divin : nous avons vu qu’ils furent remplacés après la destruction du Temple par Cha’harit et Min’ha. L’holocauste de l’après-midi se consumait toute la nuit. Mais alors nul moment précis n’avait été fixé pour la récitation d’une prière. Déjà, en marge de l’activité du Temple, et même auparavant, les fidèles avaient coutume de se réunir dans la maison du peuple, afin d’y réciter des prières, comme le Chéma et ses bénédictions. Ils y écoutaient aussi la lecture de la Torah, instituée à raison de trois fois par semaine par Ezra. Le roi David et le prophète Daniel priaient trois fois quotidiennement, comme il est dit : « Soir et matin, et en plein midi, je me répands en plaintes et en soupirs, et Il écoute ma voix » (Psaumes 55,18). Après la destruction du premier Temple les Juifs furent exilés en Babylonie. Selon un verset du prophète Ezéchiel : « Et Je serai pour eux un petit sanctuaire dans les pays où ils seront parvenus » (Ezéchiel 11,26), les lieux de prière se substituèrent au grand sanctuaire. Comme les hommes appartenant aux générations nées durant cet exil connaissaient mal la langue hébraïque et parlaient un mélange de babylonien et de langue sainte, Ezra, lorsqu’il ramena les exilés, composa, avec les cent vingt hommes de la Grande Assemblée, la Amida, et il statua qu’elle serait récitée trois fois par jour, selon Rambam. La stature d’Ezra, celle des membres de la Grande Assemblée, dont certains comptaient parmi les derniers prophètes, expliquent que cette disposition n’ait jamais cessé d’être observée depuis. De même, ce ne sont pas seulement les holocaustes quotidiens qui ont été ainsi remplacés ; des Amidot spécifiques furent instituées pour remplacer les autres sacrifices publics comme le Moussaf,sacrifice supplémentaire du Chabbat, des néoménies et des fêtes. C’est autour de ce noyau que toute la prière juive s’est élaborée, en particulier, celle de Cha’harit, de loin la plus longue, qui se compose ainsi : avant la récitation de la Amida, prennent place successivement les louanges (Barou’h chéamar), les Pesouké de-zimra, (extraits de psaumes) le Chéma et ses bénédictions, et, après elle, les supplications (Ta’hanoun) ; les psaumes du jour chantés par les Léviim (chir chel yom) au Temple ; enfin la prière finale, Aleinou. Le Talmud attribue l’institution et la formulation des bénédictions aux hommes de la Grande Assemblée (Béra’hot 33a), ou bien aux cent vingt sages qui se trouvaient à la tête de la communauté de la fin de l’exil de Babylone (Méguila 17b). Ces références ne peuvent être considérées comme certaines du point de vue historique, bien qu’elles illustrent le fait que ces bénédictions ont été, pense-t-on, instituées depuis des temps très anciens. Dans la Bible, un certain nombre de bénédictions individuelles sont mentionnées ; par exemple : « Béni soit l’Eternel, D-ieu de mon maître Abraham qui n’a pas retiré Sa faveur et Sa fidélité à mon maître » (Genèse 24,27) ; ainsi Jethro se réjouit : « Loué soit l’Eternel qui vous a sauvé de la main des Egyptiens » (Exode 18,10) ; puis les femmes disent à Naomi qui trouve en Boaz son sauveur : « Loué soit l’Eternel qui dès ce jour ne te laisse plus manquer d’un défenseur ! » (Ruth 4,14). Ainsi d’innombrables exemples peuvent être cités quant à l’origine des béra’hot ; Elbogen et d’autres ont montré que les bénédictions ont pour origine différentes congrégations, de localités diverses. Les formules adoptées par tous les Juifs étaient des sélections et des combinaisons des coutumes locales et des traditions des différents groupes. Les tentatives de nombreux sages pour définir la date de la formulation de chaque bénédiction pour situer l’apparition originelle des termes apparaissent peu fondées.
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Table des matières
INTRODUCTION ET DONNEES A CARACTERE GENERAL
De la pensée kabbalistique à la Hassidout
Problématique
Choix du sidour de l’Admour Hazaken et note biographique
Historiographie
Tentative de définition du terme de « prière »
CHAPITRE PREMIER : LES ORIGINES DE LA PRIERE
1.1 Sources de la prière
1.1.1 Les origines hala’hiques de la prière
1.1.2 Le devoir de prier correspond-il à une prescription de la Torah ou relève-t-il d’une institution rabbinique ?
1.2. De l’importance de la prière
1.3. Le dit inlassable de la prière
1.4. Institution des trois prières quotidiennes par les Patriarches
1.4.1 Cha’harit, prière d’Abraham
1.4.2 Les prières comme offrandes : Min’ha, la prière d’Isaac
1.4.3 Prière d’Arvit, instituée par Jacob
CHAPITRE DEUX : LA PRIERE INSTITUTIONNALISEE
La prière instituée par les hommes de la Grande Assemblée (Aneché Knesset Haguedolah)
2.1 La prière jusqu’à sa fixation par les hommes de la Grande Assemblée
2.2 La formule des bénédictions
2.3 Règles régissant les bénédictions
2.4 Différents regards de la prière
La conception rabbinique
La conception médiévale
La conception hassidique
2.5 L’origine des différents rituels de prière
2.6 Les premiers rituels de prière
2.7 Les Sidourim hassidiques
CHAPITRE TROIS : L’ESSENTIEL DE LA PRIERE
3.1 Où réside l’essentiel de la prière?
3.1.1 L’obligation de prier avec ferveur
3.1.2 Importance de la ferveur
3.1.3 Degrés de ferveur
3.1.4 La routine et la ferveur
3.1.5 La prière de ‘Hanna
3.1.6 Prière pour autrui
3.2 Le serpent d’airain cause ou simple support technique du sauvetage des Enfants d’Israël ?
3.3 La prière comme substitut des sacrifices
3.4 La prière et ses modalités
On ne saurait commencer de prier que lorsque l’on s’est pénétré d’humilité
Donner une pièce au pauvre avant le début de la prière
Méditer
Conseils relatifs aux pensées étrangères susceptibles de surgir au cours de la prière
CHAPITRE QUATRE : LES FONDEMENTS SPIRITUELS DE LA PRIERE
4.1 L’echelle de Jacob et le service divin
4.2 Etre dans les quatre mondes
4.3 Le service, le sentiment, la perception et l’annulation de soi
4.4 Les quatre niveaux de perception dans le service divin
4.5 Ezrat avoténou, préparation au Chemoné Esré
CHAPITRE CINQ : LE CŒUR DE LA PRIERE : LA AMIDA
5.1 Caractères généraux
5.1.1 Origine de la Amida
5.1.2 Place de la Amida dans la liturgie juive
5.1.3 La mise en forme et la rédaction de la Amida
5.1.4 La Kabbale entend dévoiler le substrat mystique de la Amida
5.2 Organisation de la Amida
5.2.1 Logique interne de la Amida
5.2.2 Les différentes sortes de Amida
5.2.3 Comparaison de la colonne vertébrale avec le Chemoné Esré
5.2.4 La formule d’introduction à la Amida
5.2.5 Signification de « barou’h » ?
5.3 Les dix-neuf bénédictions
5.3.1 Les trois premières bénédictions de louange
1) Tu es D-ieu
2) Tu es Tout-Puissant
3) Tu es Saint
5.3.2 Les bénédictions intermédiaires
Les demandes personnelles
4) La connaissance
5) La volonté du perfectionnement moral
6) Le pardon
7) La libération personnelle
8) La santé
9) La subsistance
Les demandes à caractère collectif
10) Le rassemblement des dispersés
11) La justice intègre
12) Le châtiment des ennemis de D-ieu
13) La récompense des Justes
14) La reconstruction de Jérusalem
15) Le Messie
16) L’exaucement des prières
5.3.3 Les trois dernières bénédictions
17) Nous sommes dévoués à Ton service
18) Nous ne pouvons que te rendre grâce
Modim de-rabanan
19) Sim Chalom : « Apporte une paix complète, la bénédiction, la grâce, la miséricorde sur nous et sur tout Ton peuple d’Israël »
Ajout à la Amida
Mon D-ieu, préserve ma langue du mal
« Yéhi ratson »
«Yhyou lératson »
BIBLIOGRAPHIE RAISONNEE
Ouvrages de référence
Ouvrages concernant le thème du travail
Autres ouvrages consultés
GLOSSAIRE DES TERMES HEBRAÏQUES RECURRENTS
INDEX NOMINUM
INDEX DES CITATIONS
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