Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Le Fonds Monétaire International ( F M I)
Le FMI5 ou Fond Monétaire Internationale est une institution quasi- universelle car il compte près de 180 pays membres. Le rôle du FMI est d’être intermédiaire financier entre pays riche et pays pauvres ; la plupart de ses prêts dont les taux d’intérêt sont inférieurs à ceux du marché ; étant destinés au Tiers-Monde.
Pour financier ces prêts, le FMI dispose de 2 catégories des ressources :
– La Ressources propres sont constitués par le Capital de l’organisation (formé par les quotes-parts des pays membres) et les émissions de DTS. (Droit de tirages spéciaux). Ce Capital est utilisé pour distribuer des crédits aux pays membres pour lesquels le Droit de tirage permet ( selon les statuts de Bretton Woods) d’acheter au Fonds et en monnaie nationales de devises convertibles ( Dollars, Marks, Francs,…) dans la limite de 125% au maximum de leur quotes-parts.
Les souscriptions des Etats membres sont complétées par les allocations de DTS (au prorata des quotas nationaux) qui constituent des possibilités supplémentaires d’obtenir des monnaies convertibles.
– Les Ressources empruntées : représentent une part croissante des moyens financiers de l’organisation ; l’essor des empruntes de FMI étant lié à l’insuffisance des devises convertibles dans son capital à la multiplication des possibilités de tirages supplémentaires sur le Fonds.
Les empruntes sont fournies par les pays de l’OPEP, surtout l’Arabie Saoudite ( dits : du « mécanismes pétroliers » ) et les autres fonds provenant des pays industrialisés ( dits : d’ « accès élargies »).
Les buts du FMI sont notamment :
· De promouvoir la stabilité des échanges, maintenir entre les Etats membres des régimes de change ordonnés et d’éviter les dépréciations concurrentielles des changes.
· D’aider à établir un système multilatéral de règlement des transactions courantes entre les Etats membres et à éliminer les restrictions de change qui entravent le développement du Commerce mondial.
· De donner confiance aux Etats membres en mettant les ressources générales du Fonds temporairement à leur disposition moyennant des garanties adéquates leur fournissant ainsi la possibilité de corriger les déséquilibres de leurs balances des paiements sans recours à des mesures préjudiciables à la prospérité nationale ou internationale.
Pour atteindre ces buts et surtout pour surmonter leurs difficultés de Balance des paiements ; les pays du Tiers-monde membres du FMI peuvent bénéficier du FAS ou du FASR6.
· La « Facilité d’Ajustement Structurel » ( FAS) en 1986 est destinée à accorder des prêts à long terme ( sur 5 à 10 ans ) avec des taux d’intérêt faible (0,5%) pour les pays pauvres. Ce qui leur permet de résoudre les problèmes du déséquilibre de leur Balance de paiements.
· La « Facilité d’Ajustement Structurel Renforcé »( FASR ) a été crée en Décembre 1987 ( et fonctionne depuis Avril 1988 ) en faveur des pays à faible revenu mettant œuvre des politiques d’assainissements de leurs économies.
A savoir que d’est avec le Concours du FMI et de la BM, que Madagascar met à jour le DSRP ou ( Document Stratégique pour la Réduction de la Pauvreté). Des programmes annuels détaillés comportant notamment des repères trimestriels permettant d’évaluer les résultats sont établis préalablement aux décaissements annuels correspondants.
Pour le FASR ; les Accords comportent des repères trimestriels, des critères de réalisations semestrielles et une revue en milieu d’année. Les mesures de stabilisations ( ou d’Ajustement) doivent être particulièrement vigoureuses et favoriser la croissance tout en renforçant sensiblement la Balance des paiements.
Après avoir éclaircir ; l’histoire de la formation de ces deux institutions financières internationales ; ainsi que les rôles tenues de ces institutions ; dans le processus de l’Ajustement Structurel. Nous allons voir de plus près, l’Ajustement Structurel ; c’est-à-dire ; ces objectifs ; ainsi que les mesures et les actions entrepris dans le cadre de son application.
Les principaux objectifs du programme de l’Ajustement structurel
Les objectifs globaux
Les grandes objectifs inscrits dans le cadre du programme d’Ajustement Structurel peuvent être décrites comme suit :
D’abord ; il y a l’objectif d’une croissance réelle positive par habitant afin de relever le niveau de la population et de réduire la pauvreté. A savoir que : à Madagascar l’impact de la croissance sur la pauvreté demeure faible. La statistique, la plus récent indique que de 1999 à 2001, où Madagascar a connu une bonne croissance économique ( 4.8 % en 2000 ; et 6.7% en 2001) ; la population qui vit au dessus du seuil de la pauvreté es de 71.3 %7 et 69.2 %7 respectivement entre cette période . Et ce qui vit dans l’extrême pauvreté est évalué à 61.7%7 et 61.1 %7 pour 1999 et 2001.
Ensuite ; l’objectif de la stabilité des prix et des taux de change ; ainsi que la régulation de la monnaie en circulation en fonction des besoins réels de l’économie.
Les Autres objectifs
Mais à côté de ces objectifs globaux ; il y a aussi d’autres objectifs ; qui sont :
– La reconstitution des réserves extérieures de change.
– Le respect des échéances de remboursement de la dette extérieure.
– L’Apurement progressif des arrières de paiement intérieur et extérieur.
– L’Augmentation des recettes fiscales et la maîtrise de l’ évolution des dépenses publiques, afin de réduire le déficit des opérations financières de l’Etat source d’expansion monétaire, d’inflation ; d’instabilité des taux de change et de la baisse du pouvoir d’achats.
Ces objectif qui concourent à la préservation de la stabilité macro-économique globale ont été de concerts avec les bailleurs de fonds(BM et FMI). Ainsi pour les Finances Publiques (FP) des mesures sont prises pour les recettes fiscales en générale; comme la mise en place de la TUPP ( Taxe Unique sur les Produits Pétroliers).
Parmi les objectifs monétaires ; il y a la gestion monétaire et de crédits. La monnaie crée par la Banque Centrale ou « Base monétaire », les recours nets du trésor au financement bancaire ou « Prêt Nets au gouvernement » (PNG) ; les Avoirs intérieurs nets de la Banque Centrale et du système bancaire, la Masse monétaire ( au sens large M3), qui intègre outre la disponibilité monétaire et les engagements quasi-monétaire ( M2 ) les obligations et les dépôts en devises.
Pour le domaine extérieur, il y a le planché d’Avoirs nets de la Banque Centrale et le non- recours au financement extrême non-concessionnel.
Les Mesures
Pour atteindre ces objectifs dans l’application du programme d’ Ajustement Structurel ; des séries de mesures ont été prises par les autorités malgaches. Des mesures macro-économiques , qui sont à dominante libérale (ou de plus en plus libéralisées). Ces mesures s’inscrivent dans le cadre de la réalisation des objectifs globaux dans le programme de stabilisation ou d’Ajustement.
On procède entre autres :
– Au contrôle de l’expansion monétaire à l’aide des instruments indirects de régulation.
– A la poursuite de flottement libre ; c’est-à-dire à la mise en place du système de taux de change flottant.
– A la poursuite des reformes fiscales et de l’amélioration du mode de fonctionnement de l’administration fiscale et douanière ; afin de relever des recettes fiscales.
– A la rationalisation des dépenses publiques en fonction du nouveau rôle de l’Etat ;
– A la libéralisation de l’Economie dans son ensemble et de transactions courantes avec l’extérieur en particulier.
– Avec ces mesures ; on voit que la politique monétaire prend une place importante pour atteindre les objectifs définis dans le processus de l’Ajustement Structurel.
Ainsi l’encadrement et le plafonnement des crédits ont été abandonnées laissant la place aux instruments indirects de régulation monétaire à l’image.
* De la politique des taux d’intérêt dont la formation tient compte à la fois de l’inflation observée et de l’inflation anticipée.
* De la politique des Réserves Obligatoires ( R.O)
* Des interventions de la Banque Centrale aux conditions du marché dans le cadre des procédures d’Appels d’offres en vue de la régulation de la liquidité Bancaire
* Plutard, en 1998, la politique d’Open- Market ou la politique monétaire pure ou interfèrent les banques et la Banque Centrale dans les opérations d’achats et de vente des titres.
Les reformes du marché des Bons de Trésor ont été engagées en 1997 ; et ce afin de renflouer la situation de trésorerie et de favoriser le financement non monétaire du déficit des opérations du trésor.
L’élargissement des souscripteurs des Bons de Trésor aux autres institutions financières et entreprises, est une des reformes du marché des bons de trésor ( sur le marché primaire des bons des bons de trésor)
Sur le marché secondaire des bons de trésor ou se déroule les opérations d’achat et de vente des titres publics ( bons de trésor) effectuées par des intervenants agrées qui sont :
– Les Entreprises et les individus disposant des excédents de trésorerie ou d’Epargne qu’ils désirent placer en BT .
– Les intermédiaires du marché (surtout les Banques), ce qui jouent le rôle d’animateur du marché par le rapprochement de l’Offre et de la Demande garant de la liquidité du marché .
– La Banque Centrale à travers les opérateurs d’achats et des ventes des titres ou opération d’Open-Market.
Le marché des BT offre des avantages particuliers tels que la liquidité permanente des titres du fait de leur caractère négociable sur le marché et la responsabilité par les clients de spécifier leurs conditions sur les échéances et les taux d’intérêts.
Après avoir présenter ce que c’est l’Ajustement Structurel ; et d’éclaircir les institutions financières internationales ( BM et FMI ) ainsi que les principaux objectifs du PAS . Nous entrons dans la deuxième chapitre de la première partie ; qui est la présentation de la politique monétaire, où nous allons éclaircir le concept de la monnaie ; de la masse monétaire. Nous abordons après les objectifs de la politique monétaire à Madagascar.
LA POLITIQUE MONETAIRE
Pour bien analyser la politique monétaire ; il nous revient d’éclaircir le concept de la monnaie, ainsi que les composants de la Masse Monétaire avant de voir les objectifs de la politique monétaire à Madagascar ; surtout dans la cadre du PAS.
La Monnaie
La monnaie est une des variables la plus importante dans une économie. Sa place est encore plus déterminante dans le cadre du programme d’Ajustement Structurel engagé avec les bailleurs de Fonds ( Banque Mondiale et FMI )
Cette politique économique qui retient comme principaux objectifs ; la stabilité du prix de la monnaie, et le taux d’inflation. Il revient aux autorités monétaires d’appliquer le bon dosage de politique monétaire pour atteindre ces objectifs.
La Définition de la Monnaie
A l’instar de François Perroux qui disait que : « La Monnaie est un instrument de paiement indéterminé, général et immédiat »
On va essayer de dégager une définition de ce variable importante de l’économie
a/ – D’abord, la monnaie est un instrument de paiement indéterminé, parce qu’il doit permettre de payer n’importe quelle dette et d’acquérir n’importe quel bien ou service
b/- Ensuite ; la monnaie est un instrument de paiement général parce qu’il doit être admis en tout lien à tout moment partout dans le monde.
c/- Enfin, la monnaie est un instrument de paiement immédiat parce que son transfert doit permettre de régler instantanément de manière définitive les achats ou les remboursement des dettes.
De cette définition ; on peut retenir que la monnaie à 3 fonctions principales qui sont :
– d’être un intermédiaire dans les échanges.
– d’être une unité de compte des valeurs
– d’être une réserve de pouvoir d’achat.
Outre ces 3 fonctions ; la Monnaie est un élément fondamental de l’équilibre d’une certain ordre social, car aujourd’hui au niveau macroéconomique, la monnaie est un instrument de solution, au moins temporaire des conflits entre les groupes sociaux ou entre génération, par exemple : hausse des salaires directs.
La monnaie tient aussi un grand rôle dans le cadre du Programme d’Ajustement Structurel, parce qu’elle est intégrée dans la politique monétaire en tant qu’un élément constitutif de cette politique.
La Définition de la Politique monétaire
La politique monétaire8 est en outre l’un des moyens dont dispose l’Etat pour faire prévaloir son point de vue, c’est-à-dire pour faire prévaloir l’intérêt général sur les intérêts particuliers, ce qui est le gage cohésion et de la pérennité de la nation.
Un exemple très simple, en est la justification profonde du contrôle de la création monétaire par les banques centrales et d’empêcher les banques de créer des montants trop importants de monnaie qui alimenteraient une pression intenable de la Demande et une inflation croissante ; laquelle provoquerait à brève échéance la désorganisation de l’Economie, l’effondrement des entreprises ; et donc celui du pays.
Par le biais de la politique monétaire, la monnaie joue un rôle déterminant sur le point de vue de l’intérêt national et de la pérennité de la nation.
La Masse monétaire
La masse monétaire est l’ensemble des moyens de paiement recensés dans les Actifs des agents économique non-bancaire.
La Masse monétaire est composé des 3 agrégats monétaires : M1, M2 , M3.
Ces agrégats servent en politique monétaire.
Les Agrégats monétaires : M1, M2 , M3
Pour des raisons pratiques ; on a caché à résumer les informations sur les statistiques monétaires, à travers un ensemble d’agrégats dont les évolutions peuvent être considérer comme représentatives des évolutions monétaires les plus importantes. Ces agrégats sont désignés sous les appellations de M1, M2 et de M3 et représentent des concepts plus ou moins large de « liquidité ».
M1 : comprend les moyens de paiement : espèces matérialisées monnaies et dépôts à vue dans les banques primaires. Ce sont donc des disponibilités monétaires. C’est à M1 qu’on se réfère le plus souvent lorsqu’on parle de monnaie parce que dans les études monétaires ; qu’elles soient théoriques ou empiriques, la monnaie est le plus souvent définit comme l’ensemble des moyens de paiement en circulations au sens strict du terme.
M2 : Regroupe les disponibilités ; c’est-à-dire : M1 et les placements et dépôts à terme dans les banques commerciales ; dans la caisse d’Epargne, c’est-à-dire les dépôts quasi-monétaires.
M3 : Regroupe M2 et les dépôts en devises et les obligations. C’est l’ensemble des liquidités (= La MM au sens large).
L’intérêt principal de ces agrégats ; c’est de résumer les informations complexes et d’attirer l’attention des responsables publics ou de l’opinion publique sur des agents économiques.
Il s’agit de mesurer à un niveau d’activité donné et compte tenu des habitudes de paiement ou des comportements habituels de précaution des entreprises et des ménages, correspond un certain niveau de monnaie en circulation.
Si ce niveau augmente régulièrement ; c’est à sans doute qu’il existe un certain équilibre dans les comportements des agents économiques.
De ces distinctions, on entend par : « liquidité de l’économie » le rapport entre le total des encaisses des ménages et les Entreprises non- bancaires et une grandeur représentative du niveau de l’activité économique.
· Lorsqu’une économie manque de liquidité ; il peut en résulter des tensions par exemple sur le financement des Entreprises ; tensions qui peuvent mettre en péril le développement de la production, et donc aussi de la croissance économique.
· Lorsqu’une économie est très liquide ; les ménages et les entreprises détiennent un volume important de monnaie qui peut alimenter une forte demande de consommation ; et provoquer par-là des tensions inflationnistes.
Les Objectifs de la Politique monétaire à Madagascar
La politique monétaire, est défini comme un des moyens utilisés pour atteindre les objectifs de croissance économique pour un pays. Elle a fait l’objet de plusieurs reformes avec les programmes d’Ajustement Structurel.
Le régime de taux de change flottant est instauré à Madagascar en 1994 ; et pour l’année 1998 ; la Banque Centrale de Madagascar a décidé d’effectuer les opérations d’Open-Market ou politique monétaire pure.
L’Opération d’Open-Market9, qui consiste pour la Banque Centrale a acheté des bons de trésor sur les marchés des titres ; par la même occasion, la Banque émet des billets, tout en retirant du marché des titres des bons de trésor.
On assiste sur le marché des titres un mécanisme d’offre et de la Demande par le niveau du taux d’intérêt. D’après la définition du politique monétaire ; qui annonce que c’est un des moyens utilisés pour atteindre les objectifs de la politique économique. Elle engendre tous les actions conduites par les autorités monétaires sur le marché monétaire, qui se trouve au centre des relations de production et des échanges liant les agents économiques.
Ainsi ; la politique monétaire d’un pays est définie à ses instruments, pour atteindre les objectifs de la politique économique.
Les Objectifs de la politique monétaire à Madagascar sont inscrits dans le cadre d’un document dit de : « Document Stratégique pour la Réduction de la Pauvreté », qui fait suite au DCPE (ou Document Cadre de Politique Economique) de l’année 1996.
Les Objets monétaires pour Madagascar sont : la réduction des pressions inflationnistes qui intègre une régularisation de la croissance monétaire. En effet, s’il y a peu de création monétaire, les activités des échanges entre agents économiques vont freiner. Dans les cas contraires ; s’il y a trop de monnaie en circulation, on assiste à une montée des tensions inflationnistes.
La Banque Centrale peut intervenir par le biais du système des Réserves obligatoires ou des Appels d’offres. La politique monétaire malgache se définit à partir de M3 , mais s’intéresse également à l’évolution à de M1 et M2.
La politique d’Ajustement Structurel, menée avec les bailleurs de fonds, est liée à des objectifs de la Balance de paiements donc à des objectifs de politique monétaire. Outre dans le PAS, il y a des objectifs de finance publique. (déficit budgétaire).
Après avoir fait la présentation d’une manière détaillée de l’Ajustement Structurel, et de la politique monétaire. Nous allons voir, dans la deuxième partie de notre travail, en 1er lieu les théories monétaires, qui sous-tendent la politique monétaire appliquée dans le cadre de l’AS. Ensuite dans en 2 è lieu, les fondements théoriques de l’Ajustement Structurel ; où sont analysés les approches théoriques des bailleurs de fonds (FMI- BM) et les interprétations des modèles utilisés par les bailleurs ( Modèle de Polak pour le FMI et Modèle de croissance pour la BM). Et pour finir la partie sur la complémentarité des modèles FMI-BM ; dans le cadre théorique ; ainsi que pratique.
|
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I La Présentation de l’Ajustement Structurel et de La Politique Monétaire
♦ Le Contexte économique international
♦ Le Contexte économique national
CHAPITRE I L’Ajustement Structurel
I – a / – Les Institutions financières Internationales :
I – a / – 1° La Banque Mondiale :
I – a / – 2° Le Fonds Monétaire International ( F M I) :
I – b / – Les principaux objectifs du programme de l’Ajustement structurel :
I – b / – 1° Les objectifs globaux :
I- b / – 2° Les Autres objectifs :
I – b / – 3° Les Mesures :
CHAPITRE II La Politique Monétaire
II – a / – La Monnaie :
II – a / – 1° La Définition de la Monnaie :
II – a / – 2° La Définition de la Politique monétaire :
II – a / – 3° La Masse monétaire :
II – a / – 4° Les Agrégats monétaires : M1, M2 , M3
II – b / – Les Objectifs de la Politique monétaire à Madagascar :
PARTIE II Les Théories Monétaires et les Fondements Théoriques de L’Ajustement Structurel
CHAPITRE I Les Théories Monétaires
I – a / – La Théorie monétaire de KEYNES
I – b / – Les Théories monétaristes
I – b / 1° La Théorie quantitativiste traditionnelle
I – b / – 2° La Théorie monétaire de FRIEDMAN
• La Théorie de M. Friedman prolonge la théorie quantitative de la monnaie
• Le Modèle Statique de l’Approche Friedmanienne
• Les Impacts d’une augmentation de la Masse monétaire
• Les Conclusions et Les Recommandations des Monétaristes
Chapitre II : Les Fondements Théoriques de l’Ajustement Structurel
o Les modèles de base de l’Ajustement Structurel
o Le cadre macro-économique de base
II – a / – L’Approche du FMI
II – a /- 1° La Formulation du modèle
II – a / – 2° L’Interprétation du modèle
II – a / – 3° Les Relations entre instruments – objectifs de l’ajustement au sein du FMI
II – b /- L’Approche de la Banque Mondiale
♦ Le modèle de croissance
♦ La Complémentarité des 2 approches : BM et FMI
PARTIE III Les Instruments de la politique monétaire et leurs effectivités dans le cadre l’ajustement structurel
Chapitre I Les instruments de politique monétaire
I – a / – Le Système des Réserves Obligatoires :
I – b / – Le système du taux directeur :
I – c / – Les Appels d’Offre :
I – d / – Les Opérations d’Open – Market :
I – d / -1° Les Appuis Théoriques sur les Opérations d’Open-Market :
II – b / – 2° les Effets d’une politique d’Open – Market :
Chapitre II L’effectivité de la politique monétaire appliquée dans l’ajustement structur
II – a / – Les résultats économiques et financiers escomptés :
II – a / 1° Les résultats économiques et financiers avant 1997 :
II – a / – 2° Les résultats économiques et financiers après 1997 (de 1997 à 2002) :
II – b / – L’efficacité de la politique monétaire malgache :
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIES
Télécharger le rapport complet