Terre imprégnée de l’Histoire humaine, le sud du Levant est une de ces régions riches de vestiges et de traditions. La céramique en fait partie. Sa production s’inscrit dans une longue tradition potière, depuis ses balbutiements dès le IXe millénaire av. J.-C. et jusqu’à aujourd’hui encore. Elle n’a alors pas cessée d’être produite en grande quantité. L’Antiquité, jusqu’au début de la période islamique, ne fait pas exception. Plus que cela, la céramique participe au renom de cette vaste région. Certaines catégories connaissent même un tel succès qu’on les rencontre dans tout le monde connu, ou presque, comme c’est le cas des amphores que l’on rencontre jusqu’en Gaule à l’ouest et en Inde à l’est.
L’étude de la poterie de la Méditerranée orientale, d’une manière générale, s’est considérablement développée depuis plusieurs décennies. Aujourd’hui, nos connaissances sur la céramique romaine, byzantine et du début de l’Islam du sud du Levant est ainsi de mieux en mieux connue. Cette connaissance toujours plus pointue rend la céramique très utile d’un point de vue archéologique. Longtemps utilisée comme fossile-directeur pour la chronologie des niveaux et des sites, la poterie permet également d’aborder plusieurs aspect plus facilement que par d’autres méthodes. Ainsi, il est possible, au travers de celle-ci, de se pencher sur des points aussi bien d’ordre économique que culturel par exemple.
L’ensemble de la céramique est divisé en plusieurs grandes catégories de part leur forme et leur fonction. On peut citer par exemple la céramique de transport qui englobe les amphores, ou encore la céramique fine qui comprend les différentes sigillées ou la céramique commune correspondant à tout un répertoire de forme dont la pâte est grossière – bols, assiettes, bassins, cruches, etc. La catégorie sur laquelle nous nous pencherons dans cette étude est la céramique culinaire. Les termes « céramique culinaire » ou encore « poterie de cuisson » englobent plusieurs catégories de poteries ayant une même fonction de base : la cuisson des aliments, le passage sur le feu. Il s’agit de poteries dont la fonction est commune à l’ensemble du bassin méditerranéen pour ces périodes antiques et tardo-antiques, bien que les formes divergent, tout en gardant certaines similarités. Nous ne considérons pas comme culinaires les récipients de service ni la vaisselle de table. De même, les poteries ayant servi occasionnellement à la cuisson ne sont pas pris en compte dans notre étude. La céramique culinaire est une catégorie à part. Elle se distingue par des formes spécifiques se partageant en deux grands groupes : les formes fermées et les formes ouvertes. Les premières comprennent des marmites, des pots à cuire et des bouilloires. Les secondes englobent les casseroles, les coquelles, les plats à cuire et les poêles. Des couvercles se rajoutent à cette énumération. La céramique de cuisson présente généralement des caractéristiques communes au niveau de l’argile et de la couleur .
Paradoxalement, malgré cet élan des études céramologiques, certaines catégories sont laissées de côté, comme frappées d’une sorte d’indignité du point de vue des chercheurs. La céramique commune, grossière et d’un aspect non parfait, est une de celle-ci. Plus encore, la céramique culinaire n’est que rarement prise en compte. Il n’est qu’à voir le grand travail typologique de J. Magness. Malgré tout le mérite de cette étude, on ne peut que constater le peu de cas qu’est fait l’auteur des récipients de cuisson . Sa fonction particulière en fait un groupe qui se singularise parmi l’ensemble de la céramique. La culinaire a une vocation quotidienne et domestique. Elle demeure à l’ombre de cuisine et n’est pas destinée à être montrée. De ce fait, elle ne demande pas à avoir un aspect externe parfait et attrayant que le maître de maison serait heureux d’exposer. Et c’est bien là que le problème a longtemps résidé. Pendant des décennies, à la suite de M. Finley, on a supposé que seule la céramique dite « de luxe » avait un intérêt car la seule ayant pu être exportée .
Ces poteries à l’aspect rougeâtre si emblématique se rencontrent très fréquemment dans les fouilles. Après les amphores, il s’agit d’une des catégories de céramiques les plus couramment observées dans le matériel archéologique. La culinaire est présente sur la quasitotalité des sites, sans distinction. En effet, leurs contextes de découverte sont variés. La culinaire a été mise au jour aussi bien dans des contextes domestiques, que religieux – temples, synagogues et églises -, militaires ou productifs – pressoirs. La grande diversité de formes illustre son caractère très commun. De fait, les récipients de cuisson sont un des éléments indispensables à la vie quotidienne, sans distinction de rang, de religion ou d’origine.
La présente thèse s’inscrit dans un courant d’approfondissement de nos connaissances sur la céramique, et plus particulièrement la commune. Celle-ci n’est plus regardée uniquement au travers le prisme de la simple datation, mais de tout ce qu’elle peut apporter au niveau culturel et économique. Elle s’inscrit également dans le cadre des deux études complètes sur la culinaires que sont celles sur la production de l’atelier de Kefar Hananya de D. Adan-Bayewitz et sur la « Brittle Ware », céramique de la Syrie du Nord, d’A. Vokaer , mais effectuées de manière locale ou n’entrant pas dans la zone géographique du sujet. L’importance de cette poterie n’est pas négligeable, et nous nous efforcerons tout au long du travail de le démontrer. En cela, nous sommes entièrement d’accord avec A. Vokaer :
« L’étude des céramiques communes apparaît pourtant comme un domaine aussi riche que celui des céramiques fines. Fondamentalement, l’intérêt économique d’un document céramique n’est pas proportionnel à son échelle de diffusion : des productions locales ou régionales ont autant à nous apprendre que les grands circuits commerciaux de distribution des amphores et des céramiques fines. De surcroît, l’analyse des céramiques communes et culinaires peut révéler l’existence de réseaux commerciaux que l’étude des productions fines, privilégiées pour leur portée plus large, ne mettrait pas en évidence. Leur étude permet non seulement de matérialiser des réseaux économiques, mais illustre aussi la complexité des échanges commerciaux. La réalité ainsi dépeinte est bien éloignée des anciens concepts qui opposaient les productions fines, circulant à une échelle extrarégionale, aux céramiques plus grossières, diffusées localement. ».
Les lacunes sur le sujet de la céramique de cuisson pour le sud du Levant sont nombreuses. Outre, la vision « finleyiste », elle est l’occasion de multiples a priori qui ont forgé des fausses affirmations. Une de celles-ci, et certainement la plus emblématique, est celle selon laquelle toutes les poteries antiques sont façonnées à l’aide du tour de potier. Nous verrons dans le corps de notre étude que la réalité est bien plus complexe et ne saurait se résumer à cette assertion simpliste. De même, on pourrait douter de la nécessité et même de l’utilité de la mise en place d’une typologie car la culinaire est une céramique domestique qui, selon l’imaginaire collectif, serait produit ponctuellement en fonction des besoins d’un foyer. A-t-on besoin de dire qu’il n’en est rien ? La culinaire répond aux mêmes mécanismes productifs que le reste de la céramique.
LA PREMIERE REVOLTE JUIVE (66-70)
Durant plus de la première moitié du Ier s. ap. J.-C., en raison de la présence romaine principalement, la situation dans le sud du Levant est tendue. Tout se transforme en confrontation. La cause première et profonde de ces tensions est le fait que les préfets ne tiennent pas compte de ce que M. Sartre nomme le « particularisme juif » et gouverne la région comme n’importe quelle autre province. On peut citer par exemple le fait que des Païens entrent dans le Temple de Jérusalem, ce qui, bien entendu, est une véritable profanation du point de vue de la population locale. Un autre point de d’achoppement, parmi tant d’autres indélicatesses romaines, se situe dans le fait que les vêtements du grand-prêtre sont gardés par les Romains . La région se retrouve au milieu d’une relation de force entre Rome et les instances juives. Le conflit devient, de fait, inévitable tant les tensions sont grandes. C’est ainsi qu’en 66 ap. J.-C., on assiste à l’incendie de bureaux administratifs romains à Jérusalem. Outre cet évènement, Gessius Florus, alors procurateur, réclame et prélève 17 talents dans le trésor du Temple suite à une obscure affaire avec des émissaires juifs à Césarée Maritime. Cette profanation entraîne des soulèvements dans la population juive qui sont matés par Florus dans le sang. Il fait crucifier un grand nombre de Juifs parmi lesquels des citoyens romains ainsi que des chevaliers . Ces évènements sonnent le glas de l’instable paix que connaissait le sud du Levant depuis l’arrivée des romains : c’est le début de la Première Révolte Juive.
Suite à ces évènements, les rebelles se réfugient dans le Temple. Le gouverneur est obligé de fuir et ne laisse sur place qu’une seule cohorte. Elément aggravant, les troupes rebelles d’Eleazar, fils du grand-prêtre Ananias, réfugiées à Masada arrête le sacrifice quotidien à l’Empereur. La révolte n’est plus donc uniquement contre Florus, mais contre Rome . Dans un premier temps, les rebelles anti-romains remportent des victoires qui font certainement basculer les indécis, du moins une partie, dans leur camps . En réaction, Néron nomme Vespasien à la tête des légions pour mater la révolte . Ce dernier connaît rapidement des premiers succès qui font inexorablement reculer les insurgés. Ainsi, durant l’été 67 ap. J.-C., il récupère en partie la Galilée où il reprend les villes de Iotapata – Yodefat -, Tibériade et Tarichée. Ce n’est qu’à la fin de l’année que les dernières places révoltées galiléennes sont prises. Dans le même temps, il s’occupe d’isoler Jérusalem du reste de la révolte . En 69 ap. J.-C., Vespasien s’empare des régions autours de Jérusalem. La situation dans la ville est alors complexe. Celle-ci est en proie à une véritable guerre civile opposant deux factions : « celle des modérés conduits par l’ancien grand-prêtre Ananos et celle des Zélotes dirigés par Eléazar bar Simon. S’y ajoutent courant 68 les bandes de Jean de Gischala qui tente sans succès de réunir les différents groupes sous une autorité unique, la sienne. » . Vespasien, devenant empereur durant 69, retourne à Rome ce qui cause un coup d’arrêt à la répression. Il faut attendre le printemps 70 pour que son fils, Titus, reprenne les opérations. Il met alors le siège à Jérusalem avec une armée d’environ 60 000 hommes (Pl. 6). Rapidement, les défenses de la ville cèdent et la forteresse de l’Antonia est reprise le 24 juillet. Il faut attendre cependant le Les conséquences de la révolte sont désastreuses pour les Juifs. En plus de la destruction du Temple, le culte sacrificielle s’arrête et Rome met un terme aux principales institutions juives comme les grands-prêtres.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE 1 CONTEXTE
CHAPITRE 1 HISTORIOGRAPHIE
CHAPITRE 2 LE SUD DU LEVANT ENTRE LE Ier S. AV. J.-C. ET LE VIIIe S AP. J.-C
1. LE Ier SIECLE AV. J.-C
2. LA PREMIERE REVOLTE JUIVE (66-70)
3. LA REVOLTE DE BAR KOKHBA (132-135)
4. LE IVe SIECLE
5. LE VIe SIECLE
6. LES VIIe ET VIIIe
CHAPITRE 3 SITES ET CONTEXTE
1. CHOIX ET MISE EN PLACE DES CONTEXTES
2. CONTEXTES DE REFERENCE
2.1. Shavei Zion – Contextes 1 et 2
2.1.1. Contexte 1 – Locus 104
2.1.2. Contexte 2 – Locus 106
2.2. Horvat Hazon « Pit » 1 – Contexte 3
2.3. Shiqmona « locus 401/4004 » – Contexte 4
2.4. Horbat Qastra – Contexte 5 et 6
2.4.1. Contexte 5 – Locus 102
2.4.2. Contexte 6 – Locus 107
2.5. L’épave « Dor 2006 » – Contexte 7
2.6. Ramat Hanadiv – Mansur el-‘Aqab – « Pit » – Contexte 8
2.7. Horbat Rozez « locus 3006 » – Contexte 9
2.8. Pella – Contexte 10 à 12
2.8.1. Contexte 10 – Les bains « locus 105 »
2.8.2. Contexte 11 – La dépendence nord « locus 70 »
2.8.3. Contexte 12 – La tombe 39A
2.9. Jérusalem – Contexte 14 à 19
2.9.1. Notre-Dame Center – Contextes 14 à 16
2.9.1.1. Contexte 14 – Opération 1.18.03
2.9.1.2. Contexte 15 – Opération 1.20.04
2.9.1.3. Contexte 16 – Opération 1.21.02
2.9.2. Tombeau des Rois – Contextes 17 et 18 102
2.9.2.1. Contexte 17 – US 04
2.9.2.2. Contexte 18 – US 05
2.9.3. La « cuisine publique », Ophel – Contexte 20
2.10. Madaba « Palazzo bruciato » – Contexte 20
2.11. Khirbet ed-Deir « Refectory Complex » – Contexte 21
2.12. Horvat Karkur ‘Illit – Contextes 22 à 24
2.12.1. Contexte 22 – Y07 / EU 1086
2.12.2. Contexte 23 – Y11A / EU 2033
2.12.3. Contexte 24 – Y11B / EU 2033
2.13. Khirbet edh-Dharih « l’huilerie V10 » – Contexte 25
2.14. Humeima « The Lower Church, salles 4 et 5 » – Contexte 26
2.15. L’épave « Iskandil Burnu » – Contexte 27
PARTIE 2 TYPOLOGIE
CHAPITRE 4 METHODOLOGIE
1. ETABLISSEMENT DES DONNEES ET DE LA TYPOLOGIE
2 NOTICE DE LA TYPOLOGIE
CHAPITRE 5 LES FORMES FERMEES
1. LES MARMITES
1.1. Forme 1
1.1.1. Forme
1.1.2. Pâte
1.1.3. Répartition et origine
1.1.4. Datation
1.2. Forme 2
1.2.1. Forme
1.2.2 Pâte
1.2.3. Répartition et origine
1.2.4. Datation
1.3. Forme 3
1.3.1. Forme
1.3.2. Pâte
1.3.3. Répartition et origine
1.3.4. Datation
1.4. Forme 4
1.4.1. Forme
1.4.2. Pâte
1.4.3. Répartition et origine
1.4.4. Datation
1.5. Forme 5
1.5.1. Forme
1.5.2. Répartition et origine
1.5.3. Datation
1.6. Forme 6
1.6.1. Forme
1.6.2. Pâte
1.6.3. Répartition et origine
1.6.4. Datation
1.7. Forme 7
1.7.1. Forme
1.7.2. Pâte
1.7.3. Répartition et origine
1.7.4. Datation
1.8. Forme 8
1.8.1. Forme
1.8.2. Pâte
1.8.3. Répartition et origine
1.8.4. Datation
1.9. Forme 9
1.9.1. Forme
1.9.2. Pâte
1.9.3. Répartition et origine
1.9.4. Datation
1.10. Forme 10
1.10.1. Forme
1.10.2. Pâte
1.10.3. Répartition et origine
1.10.4. Datation
1.11. Forme 11
1.11.1. Forme
1.11.2. Pâte
1.11.3. Répartition et origine
1.11.4. Datation
1.12. Forme 12
1.12.1. Forme
1.12.2. Pâte
1.12.3. Répartition et origine
1.12.4. Datation
1.13. Forme 13
1.13.1. Forme
1.13.2. Pâte
1.13.3. Répartition et origine
1.13.4. Datation
1.14. Forme 14
1.14.1. Forme
1.14.2. Pâte
1.14.3. Répartition et origine
1.14.4. Datation
1.15. Forme 15
1.15.1. Forme
1.15.2. Pâte
1.15.3. Répartition et origine
1.15.4. Datation
1.16. Marmites indéterminées
2. LES POTS A CUIRE
2.1. Forme 1
2.1.1. Forme
2.1.2. Pâte
2.1.3. Répartition et origine
2.1.4. Datation
2.2. Forme 2
2.2.1. Forme
2.2.2. Pâte
2.2.3. Répartition et origine
2.2.4. Datation
2.3. Forme 3
2.3.1. Forme
2.3.2. Pâte
2.3.3. Répartition et origine
2.3.4. Datation
2.4. Forme 4
2.4.1. Forme
2.4.2. Pâte
2.4.3. Répartition et origine
2.4.4. Datation
2.5. Forme 5
2.5.1. Forme
2.5.2. Pâte
2.5.3. Répartition et origine
2.5.4. Datation
2.6. Pots à cuire Indéterminés
3. LES BOUILLOIRES
3.1. Forme 1
3.1.1. Forme
3.1.2. Pâte
3.1.3. Répartition et origine
3.1.4. Datation
3.2. Forme 2
3.2.1. Forme
3.2.2. Pâte
3.2.3. Répartition et origine
3.2.4. Datation
3.3. Forme 3
3.3.1. Forme
3.3.2. Pâte
3.3.3. Répartition et origine
3.3.4. Datation
3.4. Forme 4
3.4.1. Forme
3.4.2. Pâte
3.4.3. Répartition et origine
3.4.4. Datation
3.5. Forme 5
3.5.1. Forme
3.5.2. Pâte
3.5.3. Répartition et origine
3.5.4. Datation
3.6. Bouilloires indéterminées
CHAPITE 6 LES FORMES OUVERTES
1. LES CASSEROLES
1.1. Forme 1
1.1.1. Forme
1.1.2. Pâte
1.1.3. Répartition et origine
1.1.4. Datation
1.2. Forme 2
1.2.1. Forme
1.2.2. Pâte
1.2.3. Répartition et origine
1.2.4. Datation
1.3. Forme 3
1.3.1. Forme
1.3.2. Pâte
1.3.3. Répartition et origine
1.3.4. Datation
1.4. Casseroles indéterminés
2. LES PLATS A CUIRE
2.1. Forme 1
2.1.1. Forme
2.1.2. Pâte
2.1.3. Répartition et origine
2.1.4. Datation
2.2. Forme 2
2.2.1. Forme
2.2.2. Pâte
2.2.3. Répartition et origine
2.2.4. Datation
2.3. Plats à cuire indéterminés
3. LES COQUELLES
3.1. Forme 1
3.1.1. Forme
3.1.2. Pâte
3.1.3. Répartition et origine
3.1.4. Datation
3.2. Forme 2
3.2.1. Forme
3.2.2. Pâte
3.2.3. Répartition et origine
3.2.4. Datation
3.3. Forme 3
3.3.1. Forme
3.3.2. Pâte
3.3.3. Répartition et origine
3.3.4. Datation
3.4. Forme 4
3.4.1. Forme
3.4.2. Pâte
3.4.3. Répartition et origine
3.4.4. Datation
3.5. Forme 5
3.5.1. Forme
3.5.2. Pâte
3.5.3. Répartition et origine
3.5.4. Datation
3.6. Coquelles indéterminés
4. LES POELES
4.1. Forme 1
4.1.1. Forme
4.1.2. Pâte
4.1.3. Répartition et origine
4.1.4. Datation
4.2. Forme 2
4.2.1. Forme
4.2.2. Pâte
4.2.3. Répartition et origine
4.2.4. Datation
4.3. Forme 3
4.3.1. Forme
4.3.2. Pâte
4.3.3. Répartition et origine
4.3.4. Datation
4.4. Forme 4
4.4.1. Forme
4.4.2. Pâte
4.4.3. Répartition et origine
4.4.4. Datation
4.5. Poêles indéterminées
5. LES COUVERCLES
5.1. Forme 1
5.1.1. Forme
5.1.2. Pâte
5.1.3. Répartition et origine
5.1.4. Datation
5.2. Forme 2
5.2.1. Forme
5.2.2. Répartition et origine
5.2.3. Datation
5.3. Forme 3
5.3.1. Forme
5.3.2. Pâte
5.3.3. Répartition et origine
5.3.4. Datation
5.4. Forme 4
5.4.1. Forme
5.4.2. Pâte
5.4.3. Répartition et origine
5.4.4. Datation
5.5. Forme 5
5.5.1. Forme
5.5.2. Pâte
5.5.3. Répartition et origine
5.5.4. Datation
5.6. Forme 6
5.6.1. Forme
5.6.2. Pâte
5.6.3. Répartition et origine
5.6.4. Datation
5.7. Forme 7
5.7.1. Forme
5.7.2. Pâte
5.7.3. Répartition et origine
5.7.4. Datation
5.8. Forme 8
5.8.1. Forme
5.8.2. Pâte
5.8.3. Répartition et origine
5.8.4. Datation
5.9. Couvercles indéterminés
CONCLUSION