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PRESENTATION DES PROMOTEURS
Trois promoteurs sont ร lโorigine de ce projet. Le premier, moi-mรชme, maรฎtrise lโaspect financier et organisationnel, en ayant fait une รฉtude en gestion. Le deuxiรจme maรฎtrise les sources dโapprovisionnement et les relations publiques et le troisiรจme, maรฎtrise la technique de production. Nous avons lโhabitude de travailler ensemble pendant plusieurs annรฉes en รฉtant aussi sur dโautres secteurs dโactivitรฉs.
LE STATUT JURIDIQUE
Pour bien situer les rรจgles rรฉgissant la sociรฉtรฉ, et afin de mieux dรฉfinir les responsabilitรฉs de chacun des promoteurs, il est crucial de dรฉfinir le statut juridique de la sociรฉtรฉ, par la dรฉfinition de sa forme juridique, du montant de son capital avec la part de chacun, ainsi que le rรฉgime fiscal adoptรฉ, conformรฉment aux rรฉglementations en vigueur ร Madagascar.
La forme juridique
La sociรฉtรฉ sera crรฉรฉe sous la forme dโune SARL, ou Sociรฉtรฉ ร Responsabilitรฉ Limitรฉe, au capital social de Ar 3.000.000, dont Ar 1.000.000 pour chacun des promoteurs.
Le minimum de capital exigรฉ pour les sociรฉtรฉs ร responsabilitรฉ limitรฉe exerรงant leur activitรฉ ร Madagascar รฉtant de Ar 2.000.000, mais pour une raison de facilitรฉ, les promoteurs ont choisi dโarrondir leur part respective ร Ar 1.000.000.
Le rรฉgime fiscal et de TVA
Suivant la Loi des Finances malgache 2008, le rรฉgime fiscal appropriรฉ ร la sociรฉtรฉ est celui du rรฉel simplifiรฉ au regard de son chiffre dโaffaires hors taxes (entre 20 millions et 200 millions dโAriary annuel).
La TVA (ou Taxe sur la Valeur Ajoutรฉe) nโest pas obligatoirement applicable ร la sociรฉtรฉ compte tenu du niveau de son chiffre dโaffaires (infรฉrieurs ร 200 millions dโariary), se conformant ร lโart. 06.01.04 Al. 1er du CGI 2008.
Lโalinรฉa 3 stipule que : ยซ Toutefois, pour les personnes dont le chiffre dโaffaires annuel hors taxe est infรฉrieur ร Ar 200.000.000 et qui en font la demande sont autorisรฉes ร opter pour le rรฉgime de la TVA ร condition que leurs comptabilitรฉs soient certifiรฉes par un commissaire aux comptes. ยป
Ne pas opter pour le rรฉgime de la TVA revient ร ne pas dรฉduire les TVA figurant sur les factures dโachat. Or, notre principal fournisseur, qui est un ONG, ne met de la TVA sur ses factures. Donc, il nous est indiffรฉrent de dรฉduire ou non la TVA sur les achats. Par consรฉquent, nous nโoptons pas pour le rรฉgime de la TVA. Dโailleurs, cela nรฉcessite une comptabilitรฉ rรฉguliรจre approuvรฉe par un commissaire aux comptes.
ETUDE COMMERCIALE
Lโanalyse commerciale permet de savoir la stratรฉgie de vente ร adopter par lโentreprise compte tenu de la situation du marchรฉ et par rapport ร la position des concurrents. Cโest aussi la base de la troisiรจme partie qui concerne lโanalyse financiรจre du projet. Avant de prรฉvoir quoi que soit, il faut bien connaitre comment opรฉrer et aprรจs savoir combien cela coรปte.
Cette รฉtude commerciale passe dโabord par la dรฉfinition de lโactivitรฉ puis lโรฉtude des partenaires sur le marchรฉ (clients, fournisseurs, concurrents, etc.).
LโACTIVITE
Le secteur et le type dโactivitรฉ
La sociรฉtรฉ achรจte les gros sels auprรจs des producteurs. Aprรจs, elle broie ces gros sels en sels fins et les met en sachets, et les revend auprรจs des dรฉtaillants et consommateurs finaux.
Dans ce type dโactivitรฉ, une transformation industrielle est prรฉsente. Lโactivitรฉ est donc classรฉe dans le secteur secondaire. Cโest une activitรฉ de type industriel et commercial.
Les activitรฉs de transformation et de conditionnement sont de type sรฉdentaire tandis que celle de commercialisation est ร la fois de type sรฉdentaire et ambulant. En effet, on envisage dโouvrir un bureau dโaccueil dans lโenceinte du lieu de transformation qui va servir dโun point de vente en mรชme temps quโun bureau administratif. La majoritรฉ des ventes รฉtant faites par des livraisons directes.
Le choix de la zone dโintervention
Dans un commerce, le choix du lieu dโexercice est capital. Certes, le choix de Tulรฉar comme lieu dโactivitรฉ nโest pas le fruit du hasard.
En effet, ร Madagascar, seulement trois zones produisent du sel de mer, ร savoir : la zone de Diรฉgo qui produit la majoritรฉ de la production en utilisant des procรฉdรฉs et techniques industrialisรฉs ; la zone de Tulรฉar qui prรฉsente le plus dโatouts naturels mais manque dโinstitutionnalisation ; et la zone de Morondava qui a aussi des atouts naturels mais un peu moins quโร Tulรฉar.
Toliara est situรฉe sur une vaste plaine littorale ร proximitรฉ du tropique du Capricorne sur le canal du Mozambique. Au large s’รฉtend une longue barriรจre de corail (le Grand Rรฉcif) sur 18 km de long et 3 km de large. La zone de plage est prolongรฉe par la plage sous-marine en continuitรฉ avec la plate-forme continentale qui descend en pente douce vers le large. Au nord se trouve le delta du Fiherenana. Toliara est surnommรฉe la ยซย ville du soleilย ยป car elle connaรฎt un climat chaud (26ยฐ de moyenne) et semi-aride avec moins de 400 mm de pluies annuelles. La ville est balayรฉe en permanence par un vent dominant, le ยซย Tsiokatimoย ยป (ou vent du sud), de direction SW-NE.
Le climat et la place gรฉographique de la ville tente ร affirmer que le sel est le produit le plus adaptรฉ ร elle. A lโheure actuelle, la capacitรฉ de production de la saline du littoral de Tulรฉar nโest pas exploitรฉe ร son optimum. Lโactivitรฉ prรฉsente un potentiel de dรฉveloppement considรฉrable.
Lโon sait que la production artisanale de Tulรฉar reprรฉsentait, en 2003, prรจs de 25% de la production de sel alimentaire consommรฉ annuellement ร Madagascar1. Actuellement, cette production nโest pas loin de la moitiรฉ de la consommation nationale suite ร lโinstauration dโun comptoir rรฉgional du sel (CoReSEL) qui appui les producteurs dans leurs dรฉmarches. La production en sel de la zone de Tulรฉar tourne autour de 25 000 tonnes annuelle selon les donnรฉes du CoReSEL. La production de la zone de Diรฉgo รฉtant รฉvaluรฉe ร 70 000 tonnes annuelle dont la grande partie est destinรฉe ร lโexportation vers les รฎles voisines.
Outre ces avantages gรฉographique et climatique, une autre opportunitรฉ commerciale nโest pas moindre : il nโexiste pas dโunitรฉ de transformation et de production de sel fin localement. Cette idรฉe dโaffaire semble donc รชtre innovante au niveau rรฉgional. Ce qui limite indรฉniablement les coรปts de distribution et dโapprovisionnement : cโest un facteur clรฉ de succรจs par rapport aux autres concurrents de la capitale.
Les produits
On distingue plusieurs sortes de sels suivant leur origine, leurs particularitรฉs physiques ou chimiques, leur usage ou leur conditionnement.
Le sel produit sur les marais salants est appelรฉ ยซย sel de merย ยป ou ยซย sel marinย ยป. Il se distingue ainsi des autres types de sel :
ยท le ยซย sel gemmeย ยป qui provient du sous-sol par exploitation d’une mine de sel ;
ยท le ยซย sel ingnigรจneย ยป qui provient de la cristallisation dans des รฉvaporateurs industriels d’une saumure rรฉsultant du lessivage de sel gemme ;
ยท le ยซย sel solaireย ยป qui provient de la cristallisation sur un marais salant d’une saumure rรฉsultant soit du lessivage artificiel de sel gemme soit du lessivage naturel d’un diapir (remontรฉe ร la surface du sol d’un gisement de sel gemme).
Le ยซย sel de merย ยป ou ยซย sel marinย ยป tire donc sa salinitรฉ de l’eau de mer, et suivant son usage et son humiditรฉ on distingue deux grandes catรฉgories : les sels ร usage alimentaire et les sels ร usage industriel, eux-mรชmes se subdivisant dans chaque cas en sels humides et en sels sรฉchรฉs.
D’autres produits sont รฉgalement issus des salines : fleur de sel, rose de sel, gypse, huile de mer, poudre de salicorne, zooplancton.
Le projet sโintรฉresse uniquement aux sels de mer ร usage alimentaire dรฉjร produit par les sauniers. Pour les sels alimentaires, on distingue :
ยท Les sels humides ร usage alimentaire :
o le sel gros dit ยซย tout venantย ยป ou TV ;
o le sel fin dit ยซย sel broyรฉ humideย ยป ou SBH ;
ยท Les sels sรฉchรฉs ร usage alimentaire : le plus courant est le sel fin sรฉchรฉ criblรฉ ou SFS.
La sociรฉtรฉ ne produira pas du sel humide, tous les gros sels achetรฉs seront dโabord sรฉchรฉs avant dโรชtre traitรฉs.
A l’intรฉrieur de ces catรฉgories de sel, on peut distinguer diffรฉrents sous-produits en fonction du conditionnement et des รฉventuels additifs requis pour un objectif de santรฉ ou un usage particulier du sel.
Les besoins des clients et le potentiel
La norme de consommation en sel alimentaire, gรฉnรฉralement reconnue, tourne autour de 6 ร 7 grammes de sel par jour par individu. Des pays comme la France en consomment 10 grammes par jour, dโautres en consomment un peu moins. A Madagascar, on estime que la consommation de sel est aux environs de 5 ร 6 grammes par jour par individu2.
Sur une base de 200 000 personnes, au minimum, la consommation potentielle de la zone est estimรฉe ainsi ร 36 tonnes par mois, et la sociรฉtรฉ se fixe un objectif de vendre 18 tonnes par mois, au cours de la premiรจre annรฉe au regard de lโobjectif de part de marchรฉ de 50% escomptรฉe.
LA CONCURRENCE
Les facteurs-clรฉs de rรฉussite
Pour bien se positionner dans les dรฉmarches ร engager, il faut bien connaรฎtre cโest quโil faut faire et ce quโil est interdit. Connaรฎtre les facteurs-clรฉs de rรฉussite รฉquivaut ร connaรฎtre lโimpรฉratif ร respecter pour ne pas รฉchouer.
Les facteurs-clรฉs de rรฉussite sont :
– Qualitรฉ des produits : sel iodรฉ et fluorรฉ, respectant la norme internationale ยซ CODEX ยป pour le sel de qualitรฉ alimentaire ;
– Disponibilitรฉ des produits : implique une gestion adรฉquate des stocks et des approvisionnements ;
– Compรฉtitivitรฉ des prix : compte tenu de la proximitรฉ et de la taille de lโentreprise, un prix infรฉrieur ร celui des concurrents est appliquรฉ.
Les concurrents et le niveau de la concurrence
Lโanalyse des concurrents doit รชtre abordรฉe en deux รฉtapes : lโanalyse des concurrents directs et lโanalyse des concurrents indirects. Ainsi, on ne risque pas de mรฉlanger deux types de concurrents diffรฉrents mรชme sโils sont tous des concurrents ayant dโimpact sur le mรชme type de marchรฉ.
Les concurrents directs sont ceux qui commercialisent les mรชmes types de produits que ceux de lโentreprise, cโest-ร -dire, ceux qui vendent de sels fins en sachets. On cite entre autres :
– La sociรฉtรฉ ยซ taf ยป : une sociรฉtรฉ basรฉe ร Antananarivo qui possรจde la plus grande part de marchรฉ sur le secteur mais dont le coรปt de revient est plus รฉlevรฉ au regard des moyens utilisรฉs et de la distance ;
– La sociรฉtรฉ ยซ Soa ยป : une autre sociรฉtรฉ basรฉe ร Antananarivo qui a presque la mรชme structure que taf. Cette derniรจre sociรฉtรฉ se spรฉcialise uniquement sur le secteur sel contrairement ร la premiรจre qui fait de nombreuses activitรฉs telles que le cafรฉ, poivre, vinaigre, etc.
Les concurrents indirects sont les commerรงants informels locaux qui mettent en vente sur le marchรฉ de Tulรฉar des gros sels ou dโautres types de sels (sel de gemme, fleur de sel, etc.). Leur point fort se trouve sur le prix mais leurs points faibles cโest surtout au niveau de la norme (sans iode et sans fluore ; emballage et conditionnement ; propretรฉ) et de la standardisation (prรฉsentation du produits : mis en sachets, etc.)
LES FOURNISSEURS
Le type de fournisseurs
Le secteur sel dans la zone de Tulรฉar est rรฉglementรฉ par un ONG reconnu par lโEtat qui appui lesย producteurs. Pour avoir une certification de qualitรฉ, la sociรฉtรฉ est obligรฉe de passer par cet ONG qui sโappelle CoReSEL (Comptoir rรฉgional du Sel de Tulรฉar). Par consรฉquent, CoReSEL est notre principal fournisseur. Cela nโempรชche pas la sociรฉtรฉ de recourir directement aux producteurs mais dans ce cas, elle assure elle-mรชme les opรฉrations dโiodation et de fluoration. Cependant, cette derniรจre alternative reste non prรฉfรฉrable que la premiรจre.
Les conditions de paiement et de livraison
Le fournisseur exige un paiement au comptant ร la livraison. Les livraisons se font dans ses locaux. Cela veut dire donc que le fournisseur ne donne pas de crรฉdit et que la sociรฉtรฉ prend ร sa charge le frais dโachats des matiรจres premiรจres.
Les autres sources dโapprovisionnement
Dโautres sources dโapprovisionnement sont existantes mais ne sont pas envisageables pour raison de certification de qualitรฉ. En cas de force majeure, on peut toujours y recourir mais il faut faire soi-mรชme les traitements nรฉcessaire pour lโiodation et la fluoration suivant les normes requises (50g dโiode par tonne et 250g de fluore par tonne).
LA POLITIQUE COMMERCIALE
Notre rรจgle gรฉnรฉrale est celle de ยซ vendre avant de produire ยป. Lโobjectif est de savoir comment faire pour pouvoir vendre les produits plus facilement et dโatteindre la part espรฉrรฉe sur le marchรฉ qui est de 50% dรจs la premiรจre annรฉe.
La politique de prix
La politique de prix est celle du prix le plus bas sur le marchรฉ afin dโavoir une large part. Les prix pratiquรฉs seront, au moins, de 15% en-dessous des prix pratiquรฉs par les concurrents directs pour les mรชmes types de produits. Cette politique de prix reste possible au vue des avantages tirรฉs des coรปts de lโentreprise qui restent infรฉrieurs ร ceux des concurrents.
La politique de produit
Le client est le maรฎtre dans notre mรฉtier. Ils doivent รชtre satisfaits par le produit tant au niveau de son prix mais aussi au niveau de sa prรฉsentation. Cโest pour cette raison quโil est opportun de dรฉfinir la politique de produit que lโentreprise adoptera.
Notre politique de prix est rรฉsumรฉe en deux points, ร savoir :
– Produits de qualitรฉ et certifiรฉs ;
– Produits standardisรฉs en sachets de 200g et de 500g, bien prรฉsentรฉs, et emballรฉs dans un sac de 20Kg pour les grosses quantitรฉs ;
La politique de placement (distribution)
La sociรฉtรฉ livre elle-mรชme la plupart de ses produits aux clients et joue sur le circuit court de distribution, cโest-ร -dire vendre aux clients les plus proches, pas besoin de vendre ร 1000km. Cette option rentre dans le cadre de la stratรฉgie gรฉnรฉrale de la sociรฉtรฉ qui est de minimiser les coรปts de revient.
La politique de promotion
La stratรฉgie adoptรฉe est celle de pousser les produits vers les clients (stratรฉgie push) : la sociรฉtรฉ fait des ventes par porte ร porte pour les dรฉtaillants des villes voisines.
LES CRITERES DโEVALUATION
Le succรจs d’un programme ou d’un projet peut รชtre apprรฉciรฉ en combinant divers critรจres ou indicateurs. Ces critรจres concernent essentiellement la pertinence, lโefficacitรฉ, lโefficience, la durabilitรฉ et lโimpact du projet.
La pertinence
La pertinence mesure la corrรฉlation entre les objectifs du projet et les objectifs et prioritรฉs de dรฉveloppement sur le plan global et sectoriel ou le bien-fondรฉ du concept du projet par rapport aux besoins rรฉels des groupes cibles (les attentes des bรฉnรฉficiaires).
Lโefficacitรฉ
L’efficacitรฉ s’apprรฉcie par la comparaison des objectifs et des rรฉsultats (diffรฉrence entre ce qui รฉtait prรฉvu et les rรฉalisations).
C’est le degrรฉ de rรฉalisation des objectifs ou des rรฉsultats (qualitรฉ, quantitรฉ, respect des dรฉlais d’exรฉcution, contribution des produits ร la rรฉalisation des objectifs du projet).
Lโefficience
L’efficience se rรฉfรจre au coรปt et rythme auquel les interventions sont transformรฉes en rรฉsultats. Elle se mesure par la comparaison des coรปts et des rรฉsultats.
Elle se rรฉfรจre ร l’รฉconomie dans la poursuite des objectifs (compรฉtences, รฉquipements, intrants, outputs, disponibilitรฉ dans les dรฉlais requis).
La durabilitรฉ
La durรฉe de vie ou durabilitรฉ ou viabilitรฉ vise ร รฉvaluer la capacitรฉ de l’action ou des rรฉsultats ร se poursuivre de faรงon autonome aprรจs le retrait de l’assistance extรฉrieure (nationale ou รฉtrangรจre). Il s’agira de la viabilitรฉ organisationnelle, technique, รฉconomique, financiรจre, politique et culturelle (intรฉgration du projet dans le fonctionnement normal de l’institution, capacitรฉ de supporter les charges de fonctionnement, capacitรฉ d’autofinancement et d’autogestion du projet).
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PARTIE I. IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I. Prรฉsentation du projet
Section 1. Description du projet
1.1. Nature de lโactivitรฉ
1.2. Les produits
1.3. Raison sociale et adresse
1.4. Historique et motivation
SECTION 2. PRESENTATION DES PROMOTEURS
SECTION 3. LE STATUT JURIDIQUE
3.1. La forme juridique
3.2. Le rรฉgime fiscal et de TVA
CHAPITRE II. ETUDE COMMERCIALE
SECTION 1. LโACTIVITE
1.1. Le secteur et le type dโactivitรฉ
1.2. Le choix de la zone dโintervention
1.3. Les produits
1.4. La demande
SECTION 2. LES CLIENTS
2.1. Le type de clients
2.2. Les besoins des clients et le potentiel
2.3. La constitution du chiffre dโaffaires
SECTION 3. LA CONCURRENCE
3.1. Les facteurs-clรฉs de rรฉussite
3.2. Les concurrents et le niveau de la concurrence
SECTION 4. LES FOURNISSEURS
4.1. Le type de fournisseurs
4.2. Les conditions de paiement et de livraison
4.3. Les autres sources dโapprovisionnement
SECTION 5. LA POLITIQUE COMMERCIALE
5.1. La politique de prix
5.2. La politique de produit
5.3. La politique de placement (distribution)
5.4. La politique de promotion
CHAPITRE III. THEORIES GENERALES SUR LES OUTILS ET CRITERES DโEVALUATION
SECTION 1. LES OUTILS DโEVALUATION
1.1. La valeur actuelle nette (VAN)
1.1.1. Dรฉfinition
1.1.2. Formule
1.1.3. Interprรฉtation
1.2. Le taux de rentabilitรฉ interne (TRI)
1.2.1. Dรฉfinition
1.2.2. Formule
1.2.3. Interprรฉtation
1.3. Le dรฉlai de rรฉcupรฉration des capitaux investis (DRCI)
1.3.1. Dรฉfinition
1.3.2. Formule
1.3.3. Interprรฉtation
1.4. Lโindice de profitabilitรฉ (IP)
1.4.1. Dรฉfinition
1.4.2. Formule
1.4.3. Interprรฉtation
SECTION 2. LES CRITERES DโEVALUATION
2.1. La pertinence
2.2. Lโefficacitรฉ
2.3. Lโefficience
2.4. La durabilitรฉ
2.5. Lโimpact du projet
PARTIE II. FAISABILITE DU PROJET
CHAPITRE I. LES MOYENS DE PRODUCTION
SECTION 1. LA TECHNIQUE DE PRODUCTION
SECTION 2. LES MATIERES PREMIERES
2.1. Additifs utilisรฉs
SECTION 3. LES MOYENS TECHNIQUES NECESSAIRES
CHAPITRE II. LA CAPACITE DE PRODUCTION
SECTION 1. LES PREVISIONS DE PRODUCTION
SECTION 2. LES PREVISIONS DE VENTE
CHAPITRE III. LES RESSOURCES HUMAINES
SECTION 1. ORGANIGRAMME DE LโENTREPRISE
SECTION 2. LA POLITIQUE DE RESSOURCES HUMAINES
2.1. Recrutement du personnel
2.2. Rรฉmunรฉration du personnel
SECTION 3. ESTIMATION DES CHARGES DU PERSONNEL
PARTIE III. ETUDE FINANCIERE
CHAPITRE I. LES INVESTISSEMENTS ET FINANCEMENT DU PROJET
SECTION 1. LES INVESTISSEMENTS
1.1. Les infrastructures nรฉcessaires
1.2. Les amortissements
1.3. Le fonds de roulement initial
SECTION 2. LE FINANCEMENT
2.1. Le plan de financement
2.2. Le remboursement de lโemprunt
CHAPITRE II. ETUDE DE LA RENTABILITE DU PROJET
SECTION 1. LE COMPTE DE GESTION
1.1. Les charges ordinaires
1.1.1. Achats consommรฉs
1.1.2. Charges externes
1.1.3. Impรดts et taxes
1.1.4. Charges du personnel
1.1.5. Charges financiรจres
1.2. Les produits ordinaires
SECTION 2. LE COMPTE DE RESULTAT PAR NATURE
SECTION 3. LE FLUX NET DE TRESORERIE
SECTION 4. LE BILAN PREVISIONNEL
CHAPITRE II. EVALUATION ET IMPACT DU PROJET
SECTION 1. EVALUATION DU PROJET
1.1. Evaluation รฉconomique
1.1.1. La valeur ajoutรฉe
1.1.2. Les ratios de rentabilitรฉ
1.2. Evaluation financiรจre
1.2.1. La valeur actuelle nette (VAN)
1.2.2. Le taux de rentabilitรฉ interne (TRI)
1.2.3. Lโindice de profitabilitรฉ (IP)
1.2.4. Le dรฉlai de rรฉcupรฉration des capitaux investis (DRCI)
SECTION 2. IMPACT DU PROJET
2.1. Impact รฉconomique
2.2. Impact social
CADRE LOGIQUE DU PROJET
TABLE DES MATIERES
BIBLIOGRAPHIE
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