La place de l’aviculture dans la commune rurale

L’élevage fait partie des filières très pratiquées par les paysans malgaches, que ce soit d’une manière artisanale ou amateur, soit de façon professionnelle. Il représente 83% à 85% de l’activité des malgaches , c’est-à-dire estimé à 15 millions d’éleveurs. En outre, la contribution de cette filière au Produit Intérieur Brute (PIB) a diminué. Si en 2010 elle a représenté 15% du PIB, le taux s’est abaissé jusqu’à 4% en 2011, selon la statistique du Programme d’Appui au Développement Rural (PADR) du ministère de l’élevage en 2013. Mais l’élevage est un secteur très promoteur pour une relance économique à Madagascar. Sa place dans la vie des Malagasy est très importante. Il contribue à la satisfaction des besoins quotidiens des ménages, mais aussi à la rentrée de devises étrangères grâce à l’exportation et aux produits dérivés.

Il existe plusieurs entreprises de tailles différentes qui répondent aux besoins locaux et internationaux ; on peut citer entre autre l’AUQUALIMA, l’AGRIFERME et La Hutte Canadienne. Ces grandes entreprises pratiquent l’élevage intensif et professionnel avec un pâturage allant jusqu’à plus de 10.000 têtes. Mais il y a aussi des petites et moyennes entreprises qui interviennent dans la production animale comme La Landaise, Bon Goût ainsi que d’autres. Pourtant, la majorité des éleveurs sont des paysans vivant en milieu rural avec à leur actif quelques têtes en divagation, où dans la majorité des cas, les bêtes ne sont pas systématiquement soigné et contrôlé par des vétérinaires.

L’agriculture est l’ensemble de la culture et de l’élevage. L’élevage constitue alors avec les autres activités, un pilier de l’ergonomie malgache. A son stade actuel, il se présente non seulement comme une activité lucrative, mais également comme appui décisif des filières connexes. Alors, pour une définition simple et claire, l’élevage est l’ensemble des activités qui assurent la multiplication les animaux souvent domestiques, parfois sauvages, pour l’usage des humains. Il existe plusieurs types d’élevage classé selon des animaux domestiqués. Pour les porcs, il s’agit de l’élevage porcin, pour les chèvres, c’est l’élevage caprin et pour les poules on parle de l’aviculture laquelle constitue le domaine notre étude.

ANTANETIBE MAHAZAZA ET LA BASE DE L’AVICULTURE 

L’élevage avicole s’est installé dans la région depuis l’arrivée des religieux Bénédictins vers la moitié du XXème siècle, à Ambohitraivo, un quartier de ladite commune. Auparavant, les paysans d’Antanetibe Mahazaza et même ses alentours exercent les activités caractéristiques de l’agriculture. Comme dans toute la campagne, ils ont pratiqué l’élevage des porcs, des bovins et des volailles de façon archaïque d’un côté, et la culture héritée de leurs ancêtres de l’autre.

Au fil du temps, grâce à l’évolution des techniques agricoles et au changement de la situation politique de Madagascar, des nouvelles pratiques y ont été introduites. En effet, la politique d’exploitation des colons allait changer en politique de coopération après l’indépendance de Madagascar en 1960 . Des innovations ont été aperçues sur tous les domaines industriels, artisanaux, agricoles…. Il n’y avait plus d’interdiction de création d’entreprise à l’encontre des indigènes même à l’encontre de la population malgache en général. En effet, durant la colonisation, seuls les colons pouvaient créer, diriger des entreprises, même les Eglises n’en avaient pas le droit. C’est après l’indépendance que ces dernières par le biais de ses différents ordres apportent des nouvelles pratiques au niveau de la masse populaire, l’élevage avicole en était l’une .

ANTANETIBE MAHAZAZA : Une région qui présente des potentialités pour le développement de l’aviculture

La zone d’Antanetibe Mahazaza possède plusieurs atouts pour l’élevage avicole, raison pour laquelle elle est prête à acceuillir l’élevage avicole. Etant donné également qu’Antanetibe Mahazaza se trouve à la périphérie d’Antananarivo, les routes qui les relient sont praticables toute l’année . L’élevage avicole n’est pas la seule occupation des habitants d’Antanetibe Mahazaza, ils pratiquent également d’autres d’activités. Par ailleurs, les fumiers aviaires sont utilisés dans le domaine agricole.

Une zone favorisée par sa situation géographique

Les débouchés de la production avicole : œufs et poules réformées dépendent de leur commercialisation en qualité et de la demande. Les routes reliant Antanetibe Mahazaza avec les autres zones de consommation sont pratiquement praticables tout au long de l’année, ce qui est un atout majeur.

A- Une région facilement accessible :
La commune d’Antanetibe Mahazaza appartient à la zone administrative du District d’Ambohidratrimo , de la Région Analamanga et se situe entre 18° 39’ et 18° 49’ de latitude Sud et 47° 20’ et 47° 25’ de longitude est. Antanetibe Mahazaza est délimité au nord par la Commune rurale Anjanadoria, au sud par la commune rurale Mahitsy, à l’est par la Commune Rurale Ambohimanjaka, et à l’ouest par la Commune Rurale Mahabo . Vu l’importance de cet élevage avicole, les Pères Bénédictins et les éleveurs ont apporté une attention particulière àl’entretien de la route qui relie Bejofo au Monastère et à la Commune d’Antanetibe Mahazaza . Ces entretiens routiers sont aussi le fruit d’une entraide entre la Commune et les grands éleveurs. L’axe reliant la Commune Rurale de Mahitsy à Antananarivo (la RN4) est bien desservi toute l’année et ne pose aucun problème de ravitaillement en produits aviaires. Certes, la majorité des éleveurs ne possèdent pas des moyens de transport, tels que : les camionnettes ou tous autres véhicules pour acheminer les produits, mais ils font appel aux cars-brousse, qui font la navette régulièrement et chaque jour entre Mahitsy et Antananarivo, qui est un grand consommateur de ces produits. Toutefois, il ya des cas où les éleveurs dépourvus des moyens de déplacement doivent transporter leurs produits par d’autres personnes payées spécialement pour acheminer les produits jusqu’à Bejofo où se trouve le Terminus des cars-brousse. L’existence des Communes avoisinantes pousse les paysans à produire beaucoup en matière d’élevage avicole ce qui deviendra par la suite la base du développement économique de la zone.

B- Un secteur proche des zones de consommation :
Si la production avicole progresse incessamment, sa commercialisation l’est également, car les consommateurs sont devenus de plus en plus nombreux. Les produits sont prisés pour tous, utilisés dans les restaurants, les pâtisseries, les produits cosmétiques, ainsi que par d’autres gammes alimentaires. La consommation des Communes avoisinantes et de la ville d’Ambohidratrimo est non négligeable au vu de leur situation géographique, bien que le prix de ces produits change invariablement d’une saison à l’autre malgré la fluctuation de la provende. La chaîne de l’écoulement de ces produits utilise des collecteurs – revendeurs qui les procure aux producteurs. Ceux-ci les revendent à un prix abordable à d’autres acheteurs de la zone de consommation. D’autres régions, telles qu’Antananarivo et ses environs viennent s’approvisionner directement aux grands producteurs, leurs consommations étant importantes. Toutefois, en tant que produits de consommation, les œufs doivent être gardés frais, au départ du lieu de production jusqu’au point de vente.

En somme, la zone d’Antanetibe Mahazaza possède des atouts économiques en matière des produits avicoles, vu qu’elle se trouve près des zones de consommation. Mais cet avantage n’est totalement acquise que grâce à d’autres activités parallèles et aux efforts de la population. De ce fait, il s’ensuit un bouleversement socio-économique.

Les aspects socio-économiques 

Il est intéressant d’étudier la population d’Antanetibe Mahazaza et le choix qu’elle a fait sur les activités avicoles.

La population : sa mise en place et ses particularités démographique

Un peuplement relativement récent

Chaque région possède toujours des témoins qui connaissent bien son histoire, permettant ainsi d’approfondir la réalité sur terrain . Ainsi, pour y parvenir, nous avons tantôt fait appel à des octogénaires de la zone d’Antanetibe Mahazaza, tantôt nous nous sommes informés sur les traditions orales pour pouvoir dégager l’histoire du peuplement et suppléer ainsi aux écrits des «Tantara » (histoires). Avant l’avènement d’Andrianampoinimerina, cette zone qui faisait partie du domaine du roitelet de Marovatana, ne fut pas bien connue par les souverains qui s’étaient succédé. La région de Marovatana faisait partie du « Merina enin-toko » territoire de la royauté d’Andrianampoinimerina.

Une population dont la structure rappelle celle des pays du Tiers Monde

La population locale présente des aspects spécifiques du fait qu’elle est particulièrement jeune, et ensuite qu’elle est majoritairement composée du sexe masculin.

Une population jeune

La population d’Antanetibe Mahazaza est très jeune : les moins de18 ans sont supérieurs à 30%. En effet, l’allure générale de la pyramide des âges nous montre qu’elle a une base large et un corps qui se rétrécit progressivement ver le haut.

Le rapport entre la forte production et la consommation locale

La riziculture 

La base de l’alimentation malgache est le riz. Les paysans d’Antanetibe Mahazaza bien que pratiquant l’élevage avicole ont toujours témoigné leurs intérêts à la culture du riz. Cela nous conduit à nous demander si la production rizicole de la Commune recouvre normalement les besoins de la population pendant toute l’année ou bien la population doit se ravitailler ailleurs durant la période soudure. Conjointement, la culture du riz et l’élevage avicole tiennent une place importante dans la satisfaction des besoins et intérêts des paysans. La Commune d’Antanetibe Mahazaza La une superficie rizicole de 617 hectares soit 11,7 % de l’ensemble de la superficie globale de la Commune. Généralement, le rendement rizicole est meilleur, grâce à l’utilisation à bon escient des fumiers de porcs, de bœufs ou d’autres animaux, et à l’utilisation de nouvelles techniques telles que le SRI (Système de Riziculture Intensif). Le rendement moyen à l’hectare est de 2,7 tonnes .

En tout état de cause, les paysans – éleveurs pratiquent la culture du riz «Vakiambiaty » qui nécessite un calendrier strict. En pratique, ces fermiers ont obtenu de bonne performance technique: Les paysans utilisent aussi des charrues à bœufs grâce à leur collaboration étroite au sein des coopératives. Ils labourent profondément la terre afin d’obtenir de meilleurs rendements. A chaque saison de labour, le terrain doit être préparé avec l’utilisation des engrais selon les surfaces et la qualité des engrais disponibles. L’utilisation des herses est aussi nécessaire. Elle se fait deux fois tous les quinze jours. Ce travail coûte cher et éreintant car il coûte 2000 Ar au journalier. Seules les femmes sont utilisées pour le repiquage du riz. Pour le repiquage en ligne, le sarclage se fait en deux temps : le premier se fait entre 15 à 20 jours. L’utilité du sarclage c’est de déraciner les mauvaises herbes ou autres qui entourent les tiges du riz. Le deuxième se fait après 15 jours du repiquage. En général, la saison de la moisson se situe aux mois de Mars – Avril. Durant les mois de moisson, un paysan doit faire appel à la main d’œuvres paysanne s’il dispose de grandes superficies rizicoles et doit engager des journaliers pour s’occuper des travaux avicoles.

La région d’Antanetibe Mahazaza est elle réellement autosuffisante en riz ?

En 2008, cette localité produisait 1 770 tonnes de paddy soit un rendement moyen de 2,72t/ha. Or, un adulte consomme 400gr de riz quotidiennement soit 146kg/an. La quantité de riz blanche nécessaire pour les8525 personnes en 2008 a été de 146 kg/pers/an X 8525 pers = 1244 t Mais la quantité réellement consommée a été de (65 x 1770 t) : 100 = 1150 t de riz blanchi. Ce qui révèle un déficit de 1244t – 1150t= 90t en 2008 .

Ainsi, la population a besoin en totalité 1244t/ an. Les paysans ne peuvent donc en vendre que très peu dès le début de la récolte pour améliorer leur vie en général. Une partie de cette production sert aussi au remboursement des différentes dettes de toute sorte. Et, cela les emmène à en acheter dès le début de l’été. En outre, le rendement pas très élevé (2,7t/ha) résulterait de la faible utilisation d’intrants agricoles et, surtout de la vulnérabilité face aux aléas climatiques (insuffisance ou excès de l’eau). Si d’une part, les données statistiques montrent que la production rizicole est à peine suffisante, la population en réalité ne parvient pas subvenir à ses besoins en riz pendant une année entière vu les causes précitées. L’autosuffisance rizicole au niveau régional et national reste et restera donc un point critique de notre économie tant que l’Etat ne prend pas les mesures y afférentes .

On peut en déduire que la riziculture est une activité accessoire alors que l’aviculture en est devenue la principale. Quoiqu’il en soit elles sont l’une à l’autre complémentaire.

Les activités économiques d’Antanetibe Mahazaza

L’aviculture constitue désormais le pilier du développement et de l’épanouissement de la vie des éleveurs de la région. Nonobstant, on constate la coexistence de certaines activités agricoles.

les paysans aviculteurs

En dehors de la riziculture précédemment abordée, la culture de certains produits agricoles reste constante. Cependant, depuis que le pays est plongé dans la crise, la production a fait une chute libre. Or le riz qui est un produit de premières nécessités, est inaccessible pour certains ménages. Vu la hausse de son prix et, même parfois son inexistencecertaines personnes sont poussées vers le vol, le maraudage… d’où l’insécurité. Malgré cette situation, les paysans ne ménagent pas leurs efforts à se subvenir.

Récemment, on a constaté rendement convenable. En effet, les données chiffrées ci-après nous montrent la production dans cette zone en 2008.
• Le manioc : 54,60 t. Il tient la seconde place après le riz dont l’alimentation paysanne.
• Le maïs : 54,60 t, c’est un produit incontournable vu son rôle au niveau de l’alimentation animale et humaine.
• Le haricot : 18 t. Il est destiné non seulement à la consommation familiale mais aussi à la commercialisation.

A côté de ces trois produits, la culture maraîchère est aussi très prisée pour approvisionner la société dite « Lecofruit » participe aussi à la récolte pendant toute l’année. Grâce à cela, les foyers disposent d’une source de revenu continu. Le sol est si productif en raison de l’abondance des fientes de poules .

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : ANTANETIBE – MAHAZAZA ET LA BASE DE L’ELEVAGE AVICOLE
Chapitre I : ANTANETIBE MAHAZAZA : Une région qui présente des potentialités pour le développement de l’aviculture
I- Une zone favorisée par sa situation géographique
A- Une région facilement accessible
B- Un secteur proche des zones de consommation
II- Les aspects socio-économiques
A- La population
1- Le peuplement
2- Une population dont la structure rappelle celle des pays du Tiers Monde
3- Une population jeune
4- Une population légèrement dominée parle sexe masculin
5- Une population en pleine croissance mais inégalement répartie
a – Une population croissante
b- Une inégale répartition spatiale
B- Le rapport entre la forte production et la consommation locale
1- La riziculture
2- La région d’Antanetibe Mahazaza est-elle réellement autosuffisante en riz ?
C- Les activités économiques d’Antanetibe Mahazaza
1- Les paysans aviculteurs
2- Les autres élevages au second plan
Chapitre II : Les fondements de développement avicole
I- Historique et prépondérance de l’élevage avicole
A- Historique
B- La prépondérance de l’aviculture
II- Le rôle promoteur des Pères Bénédictins
A- Les aides indirectes : Création d’une coopérative d’aviculteurs
1- La Structure de fonctionnement
a- Le Rôle de la coopérative
b- L’approvisionnement à la provende
2- Evolution de la coopérative et extension d’élevage
a- La période de réussite
b- La période de crise 1972-1975
B- Les aides directes
1- L’octroi des crédits
2- L’approvisionnement en produits alimentaires
3- La fourniture de poussins
III- Une Commercialisation assurée
A- L’écoulement des œufs et des volailles
1- Une autoconsommation minime
2- Un commerce sain et florissant
a- -Le Volume de production à commercialiser
b- Le rôle des collecteurs revendeurs dans le commerce
c- La vente des poules réformées
B- Les aspects du circuit de commercialisation
1- Les différents types de circuits
a- Le circuit court ou ventes directes
b- Le circuit long
2- L’orientation de la vente vers la consommation urbaine
3- Les transports et points de vente diversifiés
a- Les transports
b- Les points de ventes
CONCLUSION DE LA PREMIER PARTIE
DEUXIEME PARTIE : L’AVICULTURE DANS SA FORME ACTUELLE
Chapitre I- La situation actuelle de l’élevage
I- Le mode d’élevage
A- Les caractères généraux de l’activité
B- Un aperçu général de l’alimentation et de l’habitation
1- la provende
2- le poulailler
C- L’impact climatique dans l’l’élevage avicole
II- Brève description de la conduite de l’élevage
A- L’achat des poussins
B- L’élevage des poussins
C- Des soins phytosanitaires à caractère individuel
Chapitre II- Essais de typologie de l’exploitation
I- Le petit entrepreneur
A- Caractéristique générales
B- Analyse économique
1- Concernant les poules
2- Concernant l’œuf
II La ferme moyenne avec (500 têtes)
A- Les charges fixes
B- Les charges variables
III- La ferme à caractère semi-industriel : avec 2 000 têtes en moyenne
A- Les charges fixes
B- Les charges variables
IV- Les critères de ressemblances et de différenciations
A- Les critères de ressemblance
B- Les critères de différenciation
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : L’AVICULTURE DANS LE SYSTEME DE PRODUCTION PAYSANNALE
Chapitre I – Intégration de l’élevage avicole dans le système agricole
I- Le changement de répartition de tâches et de l’emploi du temps de l’éleveur
A- Changement de répartition de tâches
B- Changement de l’emploi du temps de l’éleveur
II- Un nouveau système d’exploitation agricole
A- Un Calendrier agricole surchargé
B- Nécessité d’une main d’œuvre salariée
III- les autres conséquences de l’intégration
A- Amélioration des cultures pluviales
B- Apparition des cultures de contre saison
1- Le blé
2- La culture de cornichon
Les autres cultures de contre saison
C- un bilan positif d’une activité rurale
1- Une activité rentable améliorant le niveau de vie des paysans
2- Etude comparative des revenus des paysans d’Antanetibe Mahazaza avec ceux d’une commune voisine
Chapitre II- Les stratégies de développement
I- Les structures observées
A- L’inexistence d’intervention étatique
1- Absence des crédits officiels alloués à l’élevage avicole
2- Des marché inorganisés
B- Les caractères d’une économie capitaliste
3- La libre concurrence
4- La liberté d’entreprise
II- Les autres alternatives pratiquées jusqu’à présent
A- Epanouissement des crédits informels
B- Le financement entre famille
Chapitre III- Les suggestions pour le développement avicole
I- La nécessité de l’intervention de l’Etat
II- La création des prêts officiels alloués à la promotion avicole
A- Le crédit de faire –valoir
B- Le crédit de stockage de la production
C- Le crédit d’investissement
III- L’organisation du système de commercialisation
A- La création des coopératives de commercialisation
B- L’augmentation de la consommation
C- La relance de l’encadrement
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE

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