Structure
L’épiderme
L’épiderme est un épithélium pavimenteux stratifié kératinisé non vascularisé, dont l’épaisseur estimée en moyenne à 0,10 mm varie selon les régions du corps. L’épiderme est l’enveloppe externe de la peau; sa fonction principale est la lutte contre les agressions extérieures comme les ultraviolets. C’est un tissu vivant en renouvellement permanent dans lequel les cellules vont se transformer au fur et à mesure de leur déplacement de la profondeur vers la surface.
Quatre principales populations de cellules composent l’épiderme: les kératinocytes, les mélanocytes, les cellules de Langerhans et les cellules de Merkel.
Les kératinocytes
Les kératinocytes (du grec keras, « corne ») sont les cellules les plus nombreuses, ils représentent 80% de la population cellulaire de l’épiderme. Ce sont eux qui en migrant donnent à l’épiderme ses caractéristiques morphologiques; stratification en plusieurs couches et cellules superficielles pavimenteuses et anucléées. Ils assurent trois grandes fonctions :
– La cohésion de l’épiderme;
– Une fonction de barrière entre les milieux intérieur et extérieur ;
– La protection contre les radiations lumineuses.
Les kératinocytes se présentent en quatre couches superposées de structures différentes montrant leurs modifications morphologiques et biochimiques : c’est le processus de kératinisation. L’épaisseur de ces couches est variable selon l’âge des individus et les régions du corps ; elle est maximale au niveau de la peau épaisse.
³ La couche basale (ou stratum germinatum) est formée d’une couche unique de cellules cubiques ou cylindriques reposant sur la jonction dermo-épidermique. Ces kératinocytes basaux se divisent rapidement et leur rôle est d’assurer le renouvellement des cellules de l’épiderme.
³ La couche épineuse (couche de Malpighi ou stratum spinosum) est composée de quatre à cinq couches de kératinocytes devenus polygonaux et fixés les uns aux autres par des épines correspondant aux desmosomes. Cette cohésion permet d’apporter la résistance à la couche cornée et d’assurer lafonction d’imperméabilité de la peau.
³ La couche granuleuse (ou stratum granulosum) est constitué de kératinocytes aplatis contenant dans leur cytoplasme des grains de kératohyaline, ainsi que des kératinosomes ou corps d’Odland.
Les grains de kératohyaline sont formés par les dépôts de profilaggrine, précurseur de la filaggrine, protéine matricielle des cellules de la couche cornée. Tandis queles kératinosomes synthétisent une substance déversée dans les espaces intercellulaires de la couche cornée qui constitue un véritable ciment intercellulaire.
On compte dans cette couche une à quatre épaisseurs de cellules compactées.
³ La couche cornée (ou stratum corneum) correspond à la phase terminale de maturation des kératinocytes appelés cornéocytes. Les cellules sont devenues très plates, sans noyau ni organite, transparentes et sont reliées entre-elles par un ciment intercellulaire lipidique. Ces cellules sont composées presque exclusivement de kératine, protéine insoluble, fibreuse, riche en acides aminés soufrés-cystéine et ayant comme propriété une très grande résistance aux agressions.
La couche cornée est elle-même subdivisée en trois zones :
ß Le stratum lucidum, fine bande claire située à la base ;
ß Le stratum compactum, zone rigide de la kératine ;
ß Le stratum disjunctum, situé en surface, est une zone de desquamation naturelle permettant l’élimination des microbes et des corps étrangers.
La couche cornée est le principal élément protecteur de la peau, elle réalise une barrière quasi imperméable empêchant la pénétration à travers la peau de substances exogènes. Elle constitue le lieu de stockage des substances lipidiques et participe au phénomène d’hydratation de la peau. De plus, la couche cornée représente un filtre solaire efficace contre les ultraviolets.
Normalement le processus de kératinisation, c’est-à-dire la migration d’un kératinocyte de la couche basale à la couche cornée, se fait en 3 semaines environ ; mais ce temps peut être raccourci dans certaines conditions pathologiques comme le psoriasis, où elle est réduite à 7 jours.
La mélanogénèse
La synthèse des mélanines a lieu dans les mélanocytes. Elle commence par l’hydroxylation de la tyrosine en DOPA sous l’action d’une tyrosinase, puis l’oxydation de la DOPA en dopaquinone sous l’action de cette même enzyme. La suite de la synthèse se fait vers la voie des phéomélanines et/ou la voie des eumélanines. La dopaquinone entre dans la voie des phéomélanines si elle rencontre une grande quantité de cystéine ; sinon, elle s’oriente dans la voie des eumélanines.
Les cellules de Langerhans
Elles représentent 4% de la population cellulaire de l’épiderme. Ce sont des cellules dendritiques situées dans la couche épineuse. Placées côte à côte, leur rôle est de capturer les corps étrangers (virus, bactéries, allergènes…) pour pouvoir stimuler le système de défense immunologique de l’organisme. Ces cellules sont capables d’absorber des particules de la taille d’un microbe, de les digérer et d’aller en présenter les caractéristiques aux lymphocytes (globules blancs), cellules de défense de l’organisme.
Les cellules de Merkel
Elles constituent la quatrième population cellulaire de l’épiderme. Situées dans la partie basse de l’épiderme, elles sont irrégulièrement réparties dans l’organisme: elles sont nombreuses au niveau des lèvres, paume, pulpe des doigts et dos du pied. Associées à une terminaison nerveuse, les cellules de Merkel forment un mécanorécepteur essentiel au sens du toucher.
Le film cutané de surface
Le film cutané de surface est constitué de produits issus de la kératinisation épidermique associés aux productions des glandes sébacées et sudoripares.
C’est une émulsion de type eau dans huile. La phase aqueuse est constituée de substances minérales (chlorures de sodium, potassium, calcium, oligoéléments) et de substances organiques de type azoté (acides aminés, acide lactique, acide pyruvique). Cette fraction hydrosoluble est responsable de l’acidité, pH 5-6, et du pouvoir tampon de la peau. La phase lipidique est composée des sécrétions des glandes sébacées et de lipides épidermiques libérés par les kératinocytes.
Le film hydrolipidique assure l’humidité de la peau. Il renforcela couche cornée dans son rôle de barrière cutanée. Les lipides ainsi que l’acidité du film cutané préservent la flore résidente tout en empêchant les germes pathogènes de se développer.
La jonction dermo-épidermique
La jonction dermo-épidermique forme une membrane basale qui permet l’adhésion de l’épiderme sur le derme en formant une surface d’échange entre ces deux tissus. C’est une couche mince constituée de différentes substances telles que des glycoprotéines, des fibres de collagène, l’ensemble donnant une structure ondulée appelée « papilles dermiques » mais qui s’aplatitavec le temps.
La jonction dermo-épidermique joue un rôle dans le soutien mécanique et la régénération de l’épiderme mais aussi un rôle biologique, comme la filtration sélective entre le derme et l’épiderme.
Le derme
Le derme est un tissu conjonctif richement innervé et vascularisé. Plus épais que l’épiderme –de 1 à 4 mm –son épaisseur varie cependant selon les zones du corps. Ce tissu est composé de deux types de cellules : des mobiles d’origine hématopoïétique, les lymphocytes et macrophages, et des fixes d’origine mésenchymateuse, les fibroblastes. On trouve associé à ces cellules des fibres de collagène, d’élastine et de réticuline incluses dans un gel appelé « substance fondamentale ».
Diverses annexes cutanées ont leur lieu d’implantation dans le derme: follicules pileux, glandes sébacées et glandes sudoripares.
Structure
Le derme est constitué de 3 couches superposées : · Le derme papillaire : en contact avec la jonction dermo-épidermique, il est constitué de nombreuses excroissances richement vascularisées. C’est un tissu conjonctif lâche composé de fibroblastes, cellules responsables de la synthèse des fibres de collagène et d’élastine.Cette couche du derme contient également la plupart des récepteurs nerveux. · Le derme réticulaire : couche sous-jacente formée d’un tissu conjonctif moins dense en fibres, en fibroblastes et en cellules de défenses. C’est dans cette zone qu’on trouve la partie fonctionnelle des glandes sébacées et sudoripares ainsi que la racine des poils et des cheveux. · Le derme profond : en contact avec l’hypoderme, cette couche est formée d’un réseau fibreux plus lâche et de cellules graisseuses, les adipocytes.
Les différents types de peau
La peau normale
Très rare chez l’adulte, la peau normale est la peau idéale. Tonique, souple et d’aspect velouté, elle est caractérisée par un grain lisse, serré et des pores non dilatés. Ce teint clair et rosé apparait comme la peau de l’enfant avant la puberté.
Le soin des peaux normales visera simplement à respecter cet état naturel et à le protéger des agressions extérieures.
La peau sèche
La peau sèche est une peau qui manque d’éclat. Généralement fine, rèche, non confortable, qui pèle et se craquelle, elle est facilement irritable. Elle peut facilement s’accompagner de tiraillements ou de picotements notamment après la toilette. Elle est caractérisée par une couche cornée qui manque d’eau, un film hydrolipidique trop fin ne protégeant plus la peau et une sécrétion sébacée insuffisante. Elle réagit plus fortement aux agressions extérieures et se ride plus tôt que les autres peaux.
Les causes de la sécheresse cutanée sont multiples. Certaines périodes de la vie sont plus favorables à son apparition: la petite enfance, l’hiver et tout simplement l’âge par diminution de l’élasticité. Elle peut également être consécutive à l’exposition au froid, au vent, au soleil, à l’usage de produits détergents…Enfin, la peau est parfois génétiquement sèche notamment en cas d’eczéma atopique, d’ichtyose ou de psoriasis.
Les cosmétiques adaptés à ce type de peau auront pour effet de réhydrater la couche cornée et de reconstituer le film hydrolipidique.
La peau grasse
La peau grasse est liée à l’abondance du sébum excrété à la surface de la peau par les glandes sébacées, cette sécrétion est sous dépendance hormonale et notamment des androgènes. Ce type de peau est donc principalement rencontré chez l’adolescent, le jeune adulte et pendant la grossesse. Avec l’âge on observe qu’une peau grasse a tendance à se normaliser. L’excès de sébum donne un aspect luisant à la peau, le grain est épais, irrégulier et les pores sont dilatés.
Une peau grasse est épaisse, bien hydratée et recouverte d’un film gras protecteur la rendant plus résistante au vieillissement et aux facteurs extérieurs. Cependant, cet excès de sébum rend ce type de peau propice à l’acné et aux points noirs.
Pour cette peau on privilégiera des cosmétiques matifiant, resserrant les pores par astringeance et antiseptique afin de rééquilibrer la flore cutanée dans le cas de boutons et de points noirs.
La peau mixte
C’est une peau fréquemment rencontréechez les sujets entre 20 et 40 ans, période où la sécrétion sébacée diminue. Sèche là où les glandes sébacées sont rares (tempes, pommettes et maxillaires) elle devient grasse sur la zone médiane du visage (front, nez et menton), en forme de T.
Le soin de ces peaux doit associer des produits destinés à la fois aux peaux grasses mais aussi aux peaux normales ou sèches selon la zone du visage.
La peau sensible ou réactive
Sèches, grasses ou mixtes toutes les peaux peuvent être sensibles. Cela se traduit par des rougeurs intempestives, des irritations, des sensations de picotements et de brûlure. Cette peau plus souvent observée chez les enfants que chez l’adulte et chez la femme plutôt que chez l’homme semble être due à une diminution de la barrière cutanée.
L’objectif du soin sera d’apaiser, protéger et de reconstituer la fonction de barrière de la couche cornée. Pour cela, on privilégiera des produits émollients à formulation simple et sans additif (parfums, colorants, conservateurs).
La peau de l’enfant
La peau du bébé est comparable à celle de l’adulte à la différence qu’elle est beaucoup plus fine et immature. C’est une peau particulièrement fragile en raison de la finesse de la couche cornée la rendant plus perméable. De plus, alors que la sécrétion sébacée était importante pendantla grossesse sous l’action des hormones maternelles, elle diminue lors des premières semaines de vie pour devenir quasi-absente. Cette pause qui dure jusque la puberté se traduit par une sécheresse cutanée et une tendance à la déshydratation et à l’irritation. Par ailleurs, les glandes sudorales chez le bébé sont immatures ce qui accentue la tendance au dessèchement et à un fonctionnement imparfait du processus de thermorégulation. Enfin, en raison de la quasiinexistence des sécrétions sébacées et sudorales, le film hydrolipidique est insuffisant et fragile expliquant la fragilité de la peau de l’enfant.
La peau du bébé doit bénéficier de soins spécifiquement adaptés différents de ceux de l’adulte.
La peau mature
Avec le vieillissement, on observe au niveau de l’épiderme une diminution de la capacité de prolifération des kératinocytes responsable d’une diminution de la partie « vivante » de l’épiderme, mais aussi un épaississement de la couche cornée. Le derme va s’atrophier, les fibres d’élastine s’épaississent, diminuent et les fibres de collagène se fragmentent et s’orientent parallèlement à la surface de la peau.
La peau devient sèche, plus rugueuse, distendue. La perte d’élasticité conduit à la formation de nombreux sillons (rides). La peau devient plus sensible au soleil entraînant l’apparition de taches pigmentaires principalement au niveau du visage et des mains, le froid peut entraîner gerçures et crevasses.
Si des facteurs génétiques déterminent le vieillissement cutané, des éléments environnementaux peuvent interagir avec la peau (conditions climatiques, ultraviolets, tabac…).
Les cosmétiques adaptés aux peaux matures doivent à la fois hydrater, protéger contre les rayons solaires, lutter ou masquer les défauts de pigmentation, éliminer les défauts de desquamation des parties cornées et relancer le métabolisme des fibroblastes.
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Table des matières
REMERCIEMENTS
TABLE DES MATIÈRES
TABLE DES FIGURES
TABLE DES TABLEAUX
INTRODUCTION
PARTIE 1 : HISTOLOGIE DE LA PEAU
1 Généralités
2 Structure
2.1 L’épiderme
2.1.1 Les kératinocytes
2.1.2 Les mélanocytes
2.1.3 Les cellules de Langerhans
2.1.4 Les cellules de Merkel
2.2 Le film cutané de surface
2.3 La jonction dermo-épidermique
2.4 Le derme
2.4.1 Structure
2.4.2 Rôles
2.5 L’hypoderme
3 Les différents types de peau
3.1 La peau normale
3.2 La peau sèche
3.3 La peau grasse
3.4 La peau mixte
3.5 La peau sensible ou réactive
3.6 La peau de l’enfant
3.7 La peau mature
PARTIE 2 –LE RAYONNEMENT SOLAIRE ET LES SOURCES ARTIFICIELLES DU RAYONNEMENT ULTRAVIOLET
4 Le rayonnement solaire
4.1 Le spectre solaire
4.1.1 Les Infrarouges
4.1.2 La Lumière visible
4.1.3 Les Ultraviolets
4.2 Facteurs influençant l’intensité du rayonnement
4.2.1 L’atmosphère, l’effet de serre et la couche d’ozone
4.2.1.1 L’atmosphère
4.2.1.2 L’effet de serre
4.2.1.3 La couche d’ozone
4.2.2 La nébulosité
4.2.3 La hauteur du soleil dans le ciel
4.2.4 L’altitude
4.2.5 La réflexion du rayonnement solaire
4.3 L’indice UV (IUV)
5 Les sources d’ultraviolets artificiels
5.1 Les utilisations à visée esthétique : les lits de bronzage
5.1.1 Généralités
5.1.2 Caractéristiques des lits de bronzage
5.1.3 Fonctionnement des lits de bronzage
5.1.4 Risques liés à l’utilisation des lits de bronzage
5.1.5 Réglementation des appareils de bronzage
5.1.6 Recommandations relatives à l’utilisation des lits de bronzage
5.2 Les utilisations en thérapeutique : les photothérapies
5.3 Les utilisations dans l’industrie
PARTIE 3 –LES EFFETS BIOLOGIQUES DES RAYONS SOLAIRES SUR LA PEAU
6 Pénétration du rayonnement solaire dans la peau
6.1 La réflexion et l’absorption du rayonnement solaire par la peau
6.2 Les rôles respectifs des UVB et des UVA
7 Les effets bénéfiques du soleil
7.1 Effet calorique
7.2 Synthèse de la vitamine D
7.3 L’amélioration du moral
7.4 Effets bénéfiques sur certaines pathologies cutanées
8 Les effets délétères du soleil
8.1 Les effets moléculaires des UV
8.2 Les effets à court terme
8.2.1 L’insolation et le coup de chaleur
8.2.2 Erythème actinique
8.2.3 Epaississement de l’épiderme.
8.2.4 La pigmentation immédiate
8.2.5 La pigmentation retardée ou bronzage
8.2.6 Action immunologique
8.3 Les effets à long terme
8.3.1 Les taches pigmentaires liées aux expositions solaires
8.3.2 Le vieillissement cutané photo-induit ou héliodermie
8.3.3 Les cancers de la peau
8.3.3.1 Les kératoses actiniques
8.3.3.2 Les carcinomes
8.3.3.3 Les mélanomes
8.4 Photosensibilisation et photodermatoses
8.4.1 Dermatoses liées à une déficience de la protection cutanée naturelle
8.4.1.1 Anomalies de la formation et/ou de la distribution de la mélanine
8.4.1.2 Déficits des systèmes de réparation de l’ADN: Le xeroderma pigmentosum
8.4.2 Photosensibilisations endogènes
8.4.3 Dermatoses révélées ou aggravées par le soleil
8.4.4 Lucites idiopathiques
8.4.4.1 Lucites propres à l’enfance
8.4.4.2 Lucites débutant à l’âge adulte mais pouvant être rencontrées chez l’enfant
8.4.4.3 Lucites débutant chez l’adulte d’âge moyen
8.4.5 Photosensibilisations exogènes
8.4.5.1 Aspects cliniques
8.4.5.2 Principaux agents photosensibilisants
8.4.5.3 Traitement des photosensibilisations médicamenteuses
PARTIE 4 –LA PHOTOPROTECTION CUTANEE ET LES ALTERNATIVES COSMETIQUES POUR L’OBTENTION D’UN TEINT HALE
9 La protection naturelle
9.1 La pilosité
9.2 La couche cornée
9.3 La barrière mélanique
9.4 Les systèmes anti-oxydants
9.5 Les systèmes d’autoréparation de l’ADN
9.6 Notion de phototype et de capital solaire
10 La photoprotection artificielle
10.1 La protection vestimentaire
10.2 Les produits de protection solaire
10.2.1 Composition
10.2.1.1 Les filtres chimiques
10.2.1.2 Les écrans minéraux
10.2.1.3 Autres principes actifs
10.2.1.4 Les excipients
10.2.2 Evaluation des propriétés photoprotectrices
10.2.2.1 Le Facteur de Protection Solaire
10.2.2.2 L’indice de Protection UVA
10.2.2.3 La photostabilité
10.2.2.4 La rémanence
10.2.3 Effets indésirables
10.2.4 Formes galéniques
10.2.5 Choix de la protection solaire
10.2.6 Modalités d’utilisation
11 Recommandations générales face à l’exposition solaire
12 Les produits complémentaires
12.1 Les compléments alimentaires
12.1.1 Généralités
12.1.2 Principaux actifs et mode d’action
12.1.3 Composition
12.1.4 Mode de prise
12.1.5 Précautions d’emploi
12.1.6 Conclusion
12.2 Les autobronzants
12.2.1 Principaux actifs et mode d’action
12.2.2 Progrès dans la formulation
12.2.3 Effets secondaires
12.2.4 Conseils d’utilisation
12.3 Les accélérateurs de bronzage
12.4 Les après-solaires
PARTIE 5 –CONSEILS DU PHARMACIEN D’OFFICINE SUR LAPREVENTION DES RISQUES SOLAIRES
FICHE 1 – Recommandations pour profiter du soleil en toute sécurité
FICHE 2 – Le soleil et la peau de l’enfant
FICHE 3 – Choisir son produit de protection solaire
FICHE 4 – Conseils à un patient se plaignant d’un coup de soleil
FICHE 5 – Insolation, coup de chaleur… Que faire?
FICHE 6 – La lucite estivale bénigne : une allergie solaire qu’il vaut mieux prévenir
FICHE 7 – L’autosurveillance de sa peau
FICHE 8 – Vieillissement cutané, soin antiâge
FICHE 9 – Médicaments et ultraviolets : la photosensibilisation cutanée
FICHE 10 – Médicaments et chaleur
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
SERMENT DE GALIEN