LA PHILOSOPHIE MOURIDE DU TRAVAIL SELON MAME CHEIKH IBRAHIMA FALL

Les ouvrages relatifs à la philosophie mouride du travail

   Il s’agit d’ouvrages généraux, de mémoires et d’articles et de revues. La philosophie mouride du travail a toujours été l’objet de plusieurs documents écrits. Elle est à l’origine d’une abondante littérature dans le monde des spécialistes de la religion et du développement. Des chercheurs comme Jean Copans, Paul Marty, F. Dumont, Babacar Fall, Paul Pélissier, Fatoumata Sow, Sophie BAVA, El Hadji Ibrahima Sakho THIAM etc… ont mené des réflexions très poussées dans ce domaine. Ils ont essayé à travers leurs écrits de déceler les valeurs de l’enseignement de Cheikh Ahmadou Bamba en ce qui concerne « le travail ». Leur littérature nous donne une approche assez significative de « la philosophie mouride du travail » telle qu’elle est conçue par le fondateur du mouridisme : Cheikh Ahmadou Bamba. Les différents travaux de ces chercheurs nous ont permis d’identifier les différentes dimensions que Cheikh Ahmadou Bamba a données au Travail qui seraient au nombre de trois : le « amal » (savoir spirituel), la « kasb » (Travail dans la recherche du licite) et le « khidmat » (le service rendu à la communauté). L’intérêt de ces ouvrages réside du fait qu’ils essaient d’aller au fond de la question pour étudier le rapport entre la philosophie du travail et la situation économique des mourides tout en défendant « l’idée selon laquelle c’est par le travail que la communauté mouride assoit son économie. Autrement dit les mourides font du travail un de leur pilier fondamental .Cependant, ces recherches sur la philosophie mouride du travail se sont focalisées sur la littérature de Cheikh Ahmadou Bamba concernant le travail tout en essayant de faire une corrélation entre cette littérature et la façon dont travaillent les mourides. Par ailleurs, ces chercheurs n’ont pas accordé une importance particulière à cette branche du mouridisme qui s’est spécialisée dans le domaine du travail avec comme chef ou guide Mame Cheikh Ibrahima Fall. Ils ont, à travers leurs écrits, fait une simple description superficielle de la communauté Baye Fall sans pour autant mener une étude approfondie permettant de déceler les valeurs cardinales de celle-là qui, jusque-là, reste méconnue dans son essence pour certains chercheurs. Pourtant l’étude de la philosophie mouride du travail devrait nécessairement accorder une importance particulière à cette secte du mouridisme qui prône le travail dans toutes ses dimensions. En effet, l’étude du travail selon les Baye Fall faciliterait l’interprétation de la philosophie mouride du travail car Cheikh Ibrahima Fall (guide des Baye Fall) est lui-même la porte du mouridisme : « baboul mouridina » et la parfaite incarnation de cette philosophie mouride du travail. Donc pour une étude plus fournie et approfondie, notre objectif est de nous investir dans les valeurs de la branche des Baye Fall qui ne cessent de pratiquer le travail à tel point qu’ils en font une à la fois un moyen d’adoration de Dieu et un moyen de liberté économique. Contrairement à ces chercheurs, Philippe Couty17 défend l’idée selon laquelle l’attitude que les mourides ont vis-à-vis du travail n’est qu’une contrainte de la politique coloniale au Sénégal. A l’en croire, parler de dynamisme économique mouride, c’est attacher trop d’importance à un phénomène dérivé. Le point fondamental, c’est la dépendance du talibé (disciple) à l’égard du marabout, motivé par des raisons religieuses. Cette dépendance se manifeste par un certain travail mais les résultats économiques de ce travail ne sont pas recherchés en tant que tels. L’importance des travaux de Couty dans ce sens est qu’il est contre l’idée d’une « philosophie mouride du travail ». Pour ce dernier il n’y a pas un caractère particulier du travail dans le mouridisme, tout ce qu’il y a c’est un rapport entre le marabout et son talibé. Toutefois, d’autres spécialistes dans ce domaine ont essayé de toucher le nœud de la question. Il s’agit des chercheurs comme Cheikh Anta Babou18 , Melki Sedek So19, Charlottes Pezeril et Pape Niaoud DIOUF. Ces chercheurs ont essayé de donner une dimension plus grande de l’enseignement de Cheikh Ahmadou Bamba tel que Cheikh Ibra Fall l’a conçu. Leurs travaux font état d’un héritage que ces derniers ont légué à l’Afrique et qui devait servir de moteur de développement au continent. C’est ainsi que Melki Sedek So déclare : « Notre référence à nous autres Nègres, si l’on veut une plateforme unitaire entre croyants africains, c’est sans conteste Cheikh Ahmadou Bamba et la voie qui s’impose à nous est celle de Cheikh Ibra Fall, pour sortir le continent de l’abîme ».¨Pour So, les intellectuels doivent rationaliser la vision de Mame Cheikh Ibrahima Fall plutôt que de continuer à observer avec indifférence, voire avec mépris, les Baye Fall, les détenteurs de la voie du salut pour l’Afrique ».Il s’agit ici d’ouvrages très intéressants pour notre recherche du fait qu’ils traitent les paradigmes de l’enseignement de Mame Cheikh Ibrahima Fall tout en élargissant le champ d’application du travail selon ce dernier.

Les sources orales

a. Les textes oraux: Il s’agit essentiellement des poèmes de Cheikh Samba Diarra Mbaye, Serigne Moussa Ka et de Serigne Mbaye Diakhaté. Ce sont textes très intéressants qui retracent la vie et l’œuvre de Cheikh Ahmadou Bamba, de ses fils et ses grands « cheikhs » à l’instar de Cheikh Ibrahima Fall. Ces textes trouvent leur intérêt du fait que Mame Cheikh Ibrahima Fall n’a pas laissé beaucoup d’écrits. La majeure partie de ses enseignements nous sont parvenus par la tradition orale. Donc une bonne étude de la branche Baye Fall ne peut pas occulter la tradition orale consacrée à Cheikh Ibra.Ce sont des textes nous donnent non seulement une biographie de ce dernier mais aussi les valeurs de sa philosophie dans son essence.
b. Les témoignages oraux : Ces témoignages sont le fruit des enquêtes menées auprès des personnes très cultivées sur l’histoire du mouridisme et de Cheikh Ibra Fall en particulier. Il s’agit de conférenciers ou de CHEIKH Baay Fall. Concernant ces enquêtes de terrain, nous nous sommes focalisés le plus souvent sur les informations recueillies auprès de Serigne Ndiaga Diop et Serigne Babacar Mbow. Le premier, Serigne Ndiaga Diop, est un conférencier très connu au Sénégal et dans la diaspora. Il maîtrise bien l’histoire de la communauté mouride et surtout celle de Cheikh Ibra Fall. Il a grandi dans le monde Baay Faal chez son guide Serigne Cheikh FALL, petit-fils de Cheikh Ibra. Notre entretien avec lui dans sa maison sise au Parcelles Assainies, nous a été très utile pour la rédaction de ce mémoire. Le second, Serigne Babacar MBOW, est un Cheikh Baay Faal. Il est en même temps écrivain. Trois de ces ouvrages nous sont parvenus : « La voie Baay Faal ou la lumière du Dedans », « Cheikh Ahmadou Bamba : le Suprême recours », « Lettre ouverte au croyants ». Actuellement il est à Mbacké Kadjor pour assurer le Réhabilitation de ce site qui témoigne le berceau de la confrérie mouride. Serigne Babacar MBOW a aussi installé une daara à Ndem où il ne cesse de former des personnes pour différents métiers de même qu’à Mbacké Kadjor. Notre séjour de 48heures chez lui à Mbacké Kadjor nous a beaucoup apporté pour ce travail. Outres ces témoignages, certaines informations nous sont parvenues des spécialistes d’une émission nommée « Djeuzboul mouride » sur la chaine Lamp Fall TV du nom de Cheikh Ibra qui se trouve à Dakar. Ce sont des témoignages qui relatent toute la vie et les enseignements du chef des Baye Fall et surtout sa doctrine du travail. Ces différentes conférences titrées « Djeuzboul mouride » sont disponibles sur Youtube. Ces enquêtes nous ont permis de déceler le poids des Baye Fall dans le mouridisme surtout dans le domaine économique avec comme seul recours le travail.

Le BENIN

   Différent de l’actuel Bénin qui est l’ancien Dahomey, dès le Moyen Age existait au Nigeria un royaume prestigieux qu’on appelait BÉNIN. Dans la partie de ce courrier attribuée à ce royaume, K. Onwonwu Dike, Directeur des recherches sur l’histoire du Bénin au Collège Universitaire d’Ibadan de Nigeria, nous a fourni des informations capitales concernant l’organisation de ce royaume qui est né et a émergé sans influence extérieure. « Le voile qui a si longtemps obscurci le passé historique et culturel du continent africain commence à se lever, en partie grâce aux efforts des érudits qui travaillent dans les universités d’Afrique. Ainsi, depuis 1956, une équipe de chercheurs de la section d’histoire du Collège universitaire d’Ibadan, Nigeria, reconstitue, morceau par morceau, l’histoire du grand royaume médiéval du Bénin. L’équipe est dirigée par Onwonwu Dike, Professeur d’histoire du Collège universitaire, Africain dont les travaux font autorité. En l’absence d’archives écrites, les spécialistes expérimentent une technique historique nouvelle en accordant toute l’importance voulue aux « documents » non écrits où les habitants de la région du Bénin ont consigné leur passé : vestiges archéologiques, tradition orale, phénomènes linguistiques, données ethnographiques, objets façonnés. Grâce aux recherches intensives organisées sur l’histoire et la culture du Bénin, on espère pouvoir définir des techniques et des principes généraux propres à orienter les travaux des érudits spécialisés dans l’étude des peuples africains illettrés. Dans l’article ci-après, M. Dike retrace l’histoire du Bénin un des plus anciens royaumes du Niger de ses institutions et de sa culture, en particulier son remarquable épanouissement artistique qui a produit quelques-uns des chefsd’œuvre de l’art mondial. L’auteur part sur la base de documents où est cosignée l’histoire de cette cité qui, durant cette période, n’avait pas développé l’écriture mais qui conservait des stratégies de sauvegarde de son histoire par la tradition orale, des vestiges archéologiques entres autres. Et voici certaines informations que nous rapportent ces documents : « Le royaume du Bénin est incontestablement un des plus anciens royaumes nigériens, et il était sans doute, avant l’arrivée des Européens, l’Etat le plus puissant du Nigeria méridional. On ne saurait trouver de meilleur exemple d’un royaume africain qui s’est développé au milieu des forêts, en dehors de toute influence arabe ou européenne. Il offre un champ restreint et relativement bien délimité à un travail de pionnier comme celui qui est envisagé par les historiens du collège universitaire d’Ibadan. En outre, par rapport au reste de la Nigeria, le Bénin est très riche en traditions orales et en objets façonnés. Il renferme, par exemple, des vuvres d’art en bronze, en ivoire, en bois, en fer, en terre cuite, etc., justement célèbres dans le monde entier ; cet art, remarquable sur le plan esthétique aussi bien que technique, avait atteint son plein épanouissement avant l’arrivée des Européens. Les objets en question ont été commandés par les « Obas » (rois du Bénin) pour commémorer les personnalités et les événements les plus marquants de leur règne ; ils constituent donc des témoignages historiques extrêmement précieux, à condition d’être interprétés correctement. Enfin, le Bénin est l’un des rares royaumes d’Afrique occidentale qui aient entretenu des relations avec les marchands européens à partir du XVème siècle : des Portugais y arrivèrent en effet en 1485 et ils furent suivis par des Néerlandais, des Français et des Anglais. Des Espagnols, des Danois et des Brandebourgeois entrèrent aussi en lice à certaines époques parmi ceux qui venaient chercher au Bénin du poivre, de l’ivoire, des esclaves et de l’huile de palme ». Ce qui attire donc les Européens dans ce pays, ce n’est rien d’autre que l’exploitation économique qui y était menée par les autochtones et qui pourraient être à la base d’un développement harmonieux car reposant sur l’exploitation de minerais précieux et très recherchés. D’autant plus, cette période était marquée par le développement de la métallurgie qui commençait à modifier l’organisation des sociétés et à donner de nouvelles orientations économiques car dit-il : « En Afrique comme, partout ailleurs dans le monde antique, la naissance de l’art du fer marqua le début de progrès révolutionnaires qui permirent aux hommes de bâtir des sociétés nouvelles et plus élaborées. C’est ainsi que l’on assista à la création de grands royaumes africains bien outillés pour cultiver le sol et tenir en respect leurs voisins qui n’utilisaient pas le fer. L’art du fer était exercé depuis des générations par des artisans qui, à l’origine, ne devaient rien à l’homme blanc. On sait maintenant que de grandes civilisations du fer florissaient dès les débuts de l’ère chrétienne dans deux régions au moins du continent, fort éloignées l’une de l’autre : l’une en Afrique occidentale (Soudan, Dahomey, Ghana, etc.), l’autre dans l’est et le centre-sud de l’Afrique. Il y a quelques années on soupçonnait à peine que la technique du fer dans le centre-sud de l’Afrique datait de si loin en arrière. Mais depuis 1953 les preuves se sont accumulées avec la découverte, près du lac Tanganyika et ailleurs, de centres où l’on travaillait le fer dès le début de l’ère chrétienne. Et cette métallurgie va contribuer à l’essor d’une autre activité telle que l’agriculture car les moyens ou outils de travail deviennent perfectionnés et plus adaptés à l’activité. Il nous renseigne aussi sur le fait que : « Loin d’être un phénomène isolé, l’introduction du travail du fer dans cette partie du continent s’est accompagnée de l’apparition de poteries aussi parfaitement exécutées que largement utilisées et, chose plus importante encore, de l’agriculture, si bien que la présence de l’un quelconque de ces trois éléments nous autorise généralement à présumer l’existence des deux autres. L’agriculture permit à l’homme de produire sa propre nourriture au lieu d’avoir à la quêter dans la nature. Pour la première fois dans l’histoire, il peut mener une vie sédentaire dans des villages fixes et, par suite, s’organiser en sociétés plus complexes et plus intégrées, ayant davantage le loisir de perfectionner leurs arts et leur industrie. L’apparition en Afrique australe de ces premiers agriculteurs capables de fondre et de travailler le métal a certainement constitué la transformation la plus significative qui soit survenue dans cette région en cinq cent mille ans de présence humaine ».

La traite arabe ou africaine

   On parle de traite arabe ou africaine pour qualifier la vente des esclaves qui se faisait à l’intérieur du continent africain avec comme principaux acteurs, les Arabes. Ce rapport nous dit : « La traite négrière a été une activité très ancienne en Afrique. Les Européens ne l’ont pas inventée. Ils n’ont fait que l’exploiter en poussant les Africains à « chercher en elle le plus clair de leurs ressources (…). Avant l’intervention étrangère la traite des captifs se pratiquait sans doute dans le continent, mais à une échelle extrêmement réduite. » On peut retenir dans ce passage que la traite n’a pas débuté avec la présence des étrangers mais a été d’abord l’objet des Africains eux-mêmes avant une influence extérieure. Ce qu’il faut noter, c’est que cette activité a perduré dans le continent mais n’avait pas atteint une certaine ampleur car « c’est l’expansion continue de la demande résultant de l’immixtion étrangère dans les affaires du continent qui accrut de manière assez sensible le volume de la traite, jusqu’alors très localisée. Les avantages matériels qu’offrait le commerce des esclaves incitèrent certains groupes, surtout pendant la période médiévale, à multiplier les raids contre leurs voisins afin de se procurer de quoi troquer contre les produits méditerranéens ou asiatiques.» Il faut rappeler que l’Afrique du Nord était un foyer commercial très développé durant cette période médiévale surtout avec les produits venant du commerce transsaharien qui attiraient bon nombre de commerçants. Parmi ces produits échangés, l’esclave occupait une place importante, ce qui poussait certains peuples d’Afrique à s’activer dans la vente des esclaves car d’après les propos de Edrisi repris dans ces travaux, « les gens du Lemlem sont toujours en butte aux incursions des peuples voisins qui les réduisent en servitude […] et qui les amènent dans leur pays pour les vendre aux marchands par douzaines. Il en sort annuellement un nombre considérable destiné au Maghreb occidental». D’autant plus cette activité ne se limitait pas en Afrique car « de l’Afrique orientale, les commerçants arabes tirèrent également beaucoup de captifs qu’ils vendirent en Arabie, en Irak et jusqu’en Chine. Mais dans un cas comme dans l’autre, le nombre de captifs fut relativement faible. » A ce niveau, on pouvait se poser la question de savoir comment une activité si lucrative et rentable puisse continuer à se faire à petite échelle ? L’explication fournie est que « la traversée du Sahara interdisait l’achat de nombreux esclaves. Les auteurs arabes sont presque unanimes pour dire que les achats portaient sur les femmes qui devaient aller peupler les harems des émirs du Maghreb.» Donc l’esclavage durant cette période n’était qu’une activité secondaire car « les Arabes venaient surtout chercher, « l’or, considéré à cette époque comme la « principale production des Noirs ». Donc « on n’avait recours aux captifs comme monnaie que pour des opérations très importantes; sinon, les cauris et les animaux suffisaient largement dans les transactions. »

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
A. Les ouvrages relatifs à l’Afrique pré-européenne
B. Les ouvrages relatifs à la philosophie mouride du travail
C. Ouvrages généraux sur l’Afrique
E. Sources Archivistiques (Archives Nationales du Sénégal)
F. Les sources orales
CHAPITRE I : L’AFRIQUE AVANT LES INDEPENDANCES
I. L’Afrique pré-européenne
II. Zimbaboue la grande (Ruines d’une authentique culture noire)
III. Le BENIN
IV. BILAL ES SOUDAN
CHAPITRE II : LES CONTACTS ENTRE L’AFRIQUE ET L’EUROPE
1. La lutte pour le commerce international et ses implications pour l’Afrique
2. L’Afrique victime de la traite négrière
a) La traite arabe ou africaine
b) La traite européenne
3. Bilan de la traite négrière en Afrique
a) L’Afrique Face au Défi Colonial
b) L’Afrique après les indépendances
1. Aperçu sur les politiques de développement en Afrique au lendemain des indépendances
2 Les politiques d’intégration en Afrique
3. Les politiques d’ajustement structurel (PAS)
a. Les facteurs déclencheurs des politiques d’ajustement structurel dans les pays d’Afrique subsaharienne
b. Manifestations des politiques d’ajustement structurel
c. Résultats des politiques économiques en Afrique
CHAPITRE III : LA PHILOSOPHIE MOURIDE TRAVAIL SELON MAME CHEIKH IBRAHIMA FALL: UNE VOIE DE SALUT POUR L’AFRIQUE. 
I. Cheikh Ibra Fall : l’homme et son œuvre
II. Relation entre Cheikh Ahmadou Bamba et Cheikh Ibra Fall
III. Cheikh Ahmadou Bamba et le travail
IV. Le culte du travail chez Mame Cheikh Ibrahima Fall
1. Le travail chez les bayefall
2. L’impact de la révolution socioculturelle de Mame Cheikh Ibrahima Fall au sein de la communauté mouride
V. Comment cette philosophie mouride du travail peut-elle être une voie de salut pour l’Afrique?
VI. Le rôle des Intellectuels Africains pour un développement durable du continent noir
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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