LA PERRUCHE DES PRAIRIES AUSTRALIENNES
DOMINANTES PATHOLOGIQUES
Sinusite infraorbitaire:
? Etiologie
– Très variée.
– Toute cause d’irritation de la muqueuse sinusale (infections bactériennes, virales, mycosiques, fumée irritante).
– Agents pathogènes les plus fréquemment rencontrés : Poxvirus, bactéries Gram – (dont E.coli, Pasteurella multocida et tous les germes pyogènes), Chlamydophila, Staphylococcus aureus et Streptococcus sp., mycoplasmes (Cacatoès), Aspergillus sp.
– Favorisée par l’hypovitaminose A et par les conditions environnementales (air sec et poussiéreux).
– Très souvent secondaire à une rhinite.
? Epidémiologie
– Fréquente chez les grands Perroquets.
– Cas le plus souvent isolés.
? Symptômes
– Tableau clinique : tuméfaction périorbitaire, congestion des sinus, rougeur de la face et notamment autour des yeux, écoulement nasal et oculaire (séreux, catarrhal ou mucopurulent), yeux fermés, éternuements, secouements de la tête (prurit).
*Phase de début : associée à des symptômes de rhinite, gonflement situé autour de l’oeil (en position antérieure principalement), prurit intense (l’oiseau se frotte le bec sur les barreaux avec insistance). La narine correspondante est souvent obstruée.
*L’affection d’abord unilatérale, s’étend à l’autre côté.
*Evolution : jetage plus opaque (pouvant provoquer l’obstruction complète de la narine par un opercule très nettement visible).
*Etat stationnaire pendant quelques jours à quelques semaines.
*Puis aggravation : écoulements ou abcès en regard des choanes, inflammation de la glotte recouverte de dépôts purulents, dégradation de l’état général (dysorexie, amaigrissement, affaiblissement), complications en laryngotrachéite ou pneumonie, difficultés respiratoires.
*Mort par état cachectique.
Lors de sinusites chroniques : évolution de la tuméfaction en un granulome inflammatoire déformant la face.
? Lésions
– Accumulation d’un exsudat en région périoculaire, qui peut être liquide, mais le plus souvent est d’aspect caséeux, épais et jaunâtre.
– Voies respiratoires envahies par un tissu fibreux ou par une nécrose tissulaire.
– Atteinte du diverticule infra-orbitaire : oeil saillant.
– Atteinte du diverticule pré-orbitaire : peau tuméfiée et violacée en avant de l’oeil.
– Présence possible dans la cavité buccale d’un écoulement muqueux au niveau des choanes et de dépôts purulents au niveau de la glotte.
? Pronostic
– Favorable en début d’évolution, si le germe est isolé, et l’antibiogramme réalisé.
– Réservé si l’affection est chronique et s’il y a une atteinte osseuse.
? Diagnostic
– Clinique.
– Examen cytologique, bactériologique et mycologique sur le prélèvement du jetage ou sur un écouvillonnage choanal, et antibiogramme.
? Traitement
*Traitement médical :
– traitement par voie locale : importance primordiale.
– irrigation des sinus : avec du sérum physiologique puis une solution antiseptique (chlorexhidine diluée) et un agent antibactérien ou antifongique.
– si la tuméfaction est fluctuante, ponctionner le sinus à l’aide d’une aiguille puis vidanger.
– nébulisation : antibiotique ou antifongique et un fluidifiant des sécrétions.
– Supplémentation en vitamine A, en vitamine E et en sélénium.
*Traitement chirurgical :
– lors de la présence d’un granulome inflammatoire ou d’un granulome de taille importante (lors de sinusite chronique).
– trépanation des sinus : incision cutanée puis exérèse ou curetage du granulome. Rinçage avec un produit d’irrigation. Application d’une solution de nitrate d’argent à 4 % pour cautériser la plaie. Puis remplissage des sinus par une solution antibactérienne pour éviter de nouvelles contaminations bactériennes.
Aspergillose:
– Pathologie la plus fréquente et la plus grave.
? Etiologie
– Aspergillus fumigatus principalement, A.flavus, A.niger.
– Germes saprophytes.
? Epidémiologie
– Transmission directe : * par voie aérienne (absorption de spores) principalement.
* par voie digestive : rare.
* à travers la coquille : rare.
– Parasites opportunistes : nécessité de causes favorisantes
? traitements abusifs d’antibiotiques et d’anti-inflammatoires stéroïdiens.
? carences alimentaires (notamment en vitamine A et en thiamine).
? mauvaise hygiène (aliments moisis, surpopulation, humidité, poussières).
? infections intercurrentes.
? stress (transports, changements de lieu fréquents).
? immunodépression en général, toute cause d’affaiblissement.
– Jeunes Psittacidés.
– Surtout les Perroquets (gabonais, amazones et cacatoès).
? Pathogénie
Les spores, une fois en place, germent. Les filaments mycéliens en s’étendant, ont une action mécanique (obstructive), irritative et toxique (aflatoxine dans le cas d’une infection par Aspergillus flavus).
? Symptômes
*Forme aiguë
– Mort subite en 2 à 5 jours, après un épisode d’anorexie et de dyspnée. Elle concerne surtout les jeunes oiseaux. Taux de mortalité de 90 % environ.
*Forme chronique : la plus fréquente. Alternance périodes d’amélioration/aggravation.
– Symptômes généraux : abattement, dysorexie, amaigrissement progressif, PUPD, vomissements, diarrhée profuse, plumage terne. Seuls signes observés dans la plupart des cas.
– Symptômes respiratoires : dyspnée d’effort, broncho-pneumonie, parfois sinusite. Perte ou changement de voix (lors d’atteinte de la syrinx).
– Symptômes nerveux : rares. « Encéphalite mycotique » : paralysie ou parésie des pattes, convulsions, torticolis, ataxie.
– Mort en quelques jours ou en quelques mois par étouffement.
? Lésions
Localisées ou multifocales.
*Forme aiguë : présence d’abondants exsudats d’aspect mucoïde dans les voies respiratoires, congestion marquée des poumons et atteinte des sacs aériens.
*Forme chronique : lésions granulomateuses : nombreuses plaques de feutrage ou nodules granulomateux typiques caséeux disséminés au niveau des cavités nasales, des poumons et des sacs aériens (périphérie des poumons, sacs aériens thoraciques caudaux et abdominaux). Dans les cas sévères : extension au niveau des viscères abdominaux.
*Histologie : filaments mycéliens.
? Diagnostic : très difficile sur l’oiseau vivant.
– Clinique : suspicion lors de syndrome respiratoire rebelle aux traitements classiques.
– Radiographie : lésions visibles uniquement dans les cas très avancés : mise en évidence de nodules dans les poumons et les sacs aériens, images d’aérosacculite (aspect nuageux diffus), de rétention d’air et de distension des sacs aériens lors d’atteinte de la syrinx.
– NFS : sévère leucocytose avec neutrophilie et monocytose, lymphopénie et anémie régénérative dans les formes chroniques.
– Analyses biochimiques : hyperprotéinémie avec augmentation des globulines.
– Sérologie :
? ELISA : nombreux faux positifs. 2 prélèvements à 2 semaines d’intervalle.
? Mise en évidence des antigènes parasitaires par la méthode d’électrosynérèse, méthode spécifique, réponse du laboratoire rapide, en 3 à 4 jours.
– Mise en évidence de mycélium et de têtes aspergillaires dans les lésions caséeuses.
– Endoscopie : visualisation des nodules, granulomes, biopsie.
– Mise en culture des prélèvements (écouvillonnage d’un sac aérien ou lavage trachéal) dans un milieu de Sabouraud.
– Examen histologique des biopsies.
Remarque : la mise en culture permet de confirmer le diagnostic en cas de suspicion, mais est, à elle seule, insuffisante pour diagnostiquer une aspergillose en raison du caractère saprobe de ce champignon.
– Diagnostic différentiel : tuberculose, variole, trichomonose, toutes infections bactériennes provoquant des pneumonies et des aérosacculites (Pseudomonas, Klebsiella, Proteus, colibacilles, pasteurelles, staphylocoques, mycoplasmes), maladie de Newcastle viscérotypique.
? Pronostic : sombre, découverte souvent tardive de l’affection.
? Traitement : difficile.
– L’efficacité du traitement dépend de la précocité du diagnostic et du stade de l’affection.
– Formes pulmonaires : rémission. Jamais de guérison.
*Traitement systémique :
– terbinafine, énilconazole, kétoconazole, énilconazole, amphotéricine B ou triconazole.
– supplémentation en vitamines (vitamine A principalement).
*Traitement local : aérosol-thérapie.
– énilconazole.
– amphotéricine B ou nystatine en nébulisation pendant 15 minutes, 2 fois par jour.
*Traitement chirurgical : débridement des lésions sous endoscopie, lors d’atteinte trachéale, syringéale ou des sacs aériens.
? Prophylaxie
– Hygiène rigoureuse, désinfection régulière du milieu de vie.
– Préférer les copeaux de bois pour la litière.
– Bon lieu de stockage des aliments.
– Eviter l’administration prolongée d’antibiotiques.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I. CARACTERISTIQUES GENERALES DES PRINCIPALES ESPECES RENCONTREES
I. GENERALITES
1. PRESENTATION DE L’ORDRE DES PSITTACIFORMES
1.1. Classification zoologique
1.2. Caractéristiques générales des Psittacidés
2. PARTICULARITES ANATOMIQUES ET PHYSIOLOGIQUES
2.1. Aspect extérieur
2.1.1. Le plumage
2.1.2. La peau
2.1.3. Le bec
2.1.4. Les pattes
2.1.5. L’oeil
2.1.5.2. Le fond d’oeil
2.1.6. L’oreille
2.2. Le squelette
2.2.1. Caractéristiques générales du squelette
2.2.2. Particularités anatomiques
2.3. L’appareil respiratoire
2.3.1. Particularités anatomiques
2.3.1.2. Appareil respiratoire inférieur
2.3.2. Physiologie de la respiration
2.4. L’appareil digestif
2.4.1. Particularités anatomiques
2.4.2. Physiologie digestive
2.5. L’appareil circulatoire
2.5.1. Le coeur
2.5.2. Le système vasculaire
2.5.3. Le sang
2.6. Le système lymphatique
2.7. L’appareil urinaire
2.7.1. Particularités anatomiques
2.7.2. Physiologie
2.7.3. Aspect des urines
2.8. L’appareil reproducteur
2.8.1. Chez le mâle
2.8.2. Chez la femelle
2.8.3. Régulation du cycle sexuel
2.9. Les glandes endocrines
2.10. Données physiologiques
3. LEGISLATION
3.1. Généralités
3.1.1. Mesures internationales
3.1.2. Mesures européennes
3.1.3. Mesures françaises : l’Arrêté de Guyane
3.1.4. Notions « d’espèces domestiquées »
3.2. Certificat de capacité
3.3. Acquisition d’un Psittacidé par un particulier
3.3.1. Documents délivrés le jour de l’achat
3.3.2. Le certificat CITES
II.PERRUCHES
1. LA PERRUCHE ONDULEE
1.1. Origine
1.2. Environnement naturel
1.3. Statut
1.4. Principales caractéristiques
1.5. Dimorphisme sexuel
1.6. Critères de reproduction
1.7. Dominantes pathologiques
2. LA PERRUCHE DES PRAIRIES AUSTRALIENNES : LA PERRUCHE OMNICOLORE
2.1. Origine
2.2. Environnement naturel
2.3. Statut
2.4. Principales caractéristiques
2.5. Dimorphisme sexuel
2.6. Critères de reproduction
2.7. Dominantes pathologiques
3. LA PERRUCHE A COLLIER
3.1. Origine
3.2. Environnement naturel
3.3. Statut
3.4. Principales caractéristiques
3.5. Dimorphisme sexuel
3.6. Critères de reproduction
3.7. Dominantes pathologiques
4. LA PERRUCHE CALOPSITTE
4.1. Origine
4.2. Environnement naturel
4.3. Statut
4.4. Principales caractéristiques
4.5. Dimorphisme sexuel
4.6. Critères de reproduction
4.7. Dominantes pathologiques
5. L’INSEPARABLE A FACE ROSE
5.1. Origine
5.2. Environnement naturel
5.3. Statut
5.4. Principales caractéristiques
5.5. Dimorphisme sexuel
5.6. Critères de reproduction
5.7. Dominantes pathologiques
6. L’INSEPARABLE DE FISCHER
6.1. Origine
6.2. Environnement naturel
6.3. Statut
6.4. Principales caractéristiques
6.5. Dimorphisme sexuel
6.6. Critères de reproduction
6.7. Dominantes pathologiques
7. LE KAKARIKI : LE KAKARIKI A FRONT ROUGE
7.1. Origine
7.2. Environnement naturel
7.3. Statut
7.4. Principales caractéristiques
7.5. Dimorphisme sexuel
7.6. Critères de reproduction
7.7. Dominantes pathologiques
III. PERROQUETS
1. LE PERROQUET GRIS DU GABON
1.1. Origine
1.2. Environnement naturel
1.3. Statut
1.4. Principales caractéristiques
1.5. Dimorphisme sexuel
1.6. Critères de reproduction
1.7. Dominantes pathologiques
2. LE YOUYOU DU SENEGAL
2.1. Origine
2.2. Environnement naturel
2.3. Statut
2.4. Principales caractéristiques
2.5. Dimorphisme sexuel
2.6. Critères de reproduction
2.7. Dominantes pathologiques
3. LES ARAS : L’ARA CHLOROPTERE
3.1. Origine
3.2. Environnement naturel
3.3. Statut
3.4. Principales caractéristiques
3.5. Dimorphisme sexuel
3.6. Critères de reproduction
3.7. Dominantes pathologiques
4. LES AMAZONES : L’AMAZONE A FRONT BLEU
4.1. Origine
4.2. Environnement naturel
4.3. Statut
4.4. Principales caractéristiques
4.5. Dimorphisme sexuel
4.6. Critères de reproduction
4.7. Dominantes pathologiques
5. LE CACATOES A HUPPE JAUNE
5.1. Origine
5.2. Environnement naturel
5.3. Statut
5.4. Principales caractéristiques
5.5. Dimorphisme sexuel
5.6. Critères de reproduction
5.7. Dominantes pathologiques
PARTIE II. MAINTIEN EN CAPTIVITE
I. L’ENVIRONNEMENT
1. L’HABITAT
1.1. La cage
1.2. La volière
2. EQUIPEMENTS ET ACCESSOIRES
2.1. Perchoirs
2.2. Accessoires d’alimentation
2.3. Nids
2.4. Autres
II. ALIMENTATION
1. BESOINS ALIMENTAIRES
1.1. Entretien
1.1.1. Le Besoin Energétique à l’Entretien (BEE)
1.1.2. L’équilibre alimentaire
1.1.3. La digestibilité
1.1.4. Le comportement alimentaire
1.2. Variations physiologiques
1.2.1. La croissance
1.2.2. La mue
1.2.3. La période de reproduction
1.2.4. L’oiseau âgé
1.2.5. Stress et affections
2. LES ALIMENTS
2.1. Les graines
2.1.1. Les différentes sortes de graines
2.1.2. Inconvénients du régime granivore
2.2. Les fruits et légumes
2.3. Les compléments nutritionnels
2.3.1. Protéiques
2.3.2. Minéraux
2.3.3. Vitaminiques
2.4. Les régimes complets
2.4.1. Mélanges déshydratés
2.4.2. Quelques exemples de régimes ménagers
2.4.3. Aliments extrudés
2.5. Transition alimentaire
PARTIE III CONSULTATION ET GESTES DE BASE
I. GESTES DE BASE
1. CONTENTION
1.1. Principes généraux
1.2. Méthodes
1.2.1. Perruches
1.2.2. Perroquets
2. PRELEVEMENTS
2.1. Prélèvement sanguin
2.1.1. Quantité de sang à prélever
2.1.2. Matériel de prélèvement
2.1.3. Sites de ponction
2.2. Ponction de la moelle osseuse
2.3. Examen des plumes
2.4. Autres prélèvements
2.4.1. Appareil digestif
2.4.2. Appareil respiratoire
3. MODALITES D’ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS
3.1. Traitement par voie générale
3.1.1. Voie buccale
3.1.2. Voie parentérale
3.2. Traitement par voie locale
3.2.1. Voie intrasinusale
3.2.2. Voie aérienne
3.2.3. Instillations
3.2.4. Voie percutanée
4. REHYDRATATION
II. LA CONSULTATION
1. ANAMNESE/COMMEMORATIFS
2. EXAMEN DU MILIEU : LA CAGE
3. EXAMEN DE L’OISEAU A DISTANCE
4. EXAMEN RAPPROCHE
5. EXAMENS SPECIALISES
5.1. Examens ophtalmologiques
5.2. Examens neurologiques
III. LES EXAMENS COMPLEMENTAIRES
1. EXAMENS SANGUINS
1.1. Analyses pratiquées
1.1.1. Hématologie
1.1.2. Biochimie
1.1.3. Sérologie
1.2. Paramètres biologiques et hématologiques
1.2.1. Paramètres biochimiques
1.2.2. Paramètres hématologiques
1.3. Interprétations de ces paramètres
1.3.1. Paramètres biochimiques
1.3.2. Paramètres hématologiques
1.4. Conclusion : choix des tests à réaliser
2. EXAMENS DES FIENTES
2.1. Examen parasitaire
2.2. Examen bactériologique et mycologique
3. RADIOGRAPHIE
3.1. Technique
3.2. Particularités physiologiques radiographiques de quelques organes
3.3. Indications
3.4. Radiographie avec de produit de contraste
4. ENDOSCOPIE
5. SEXAGE DE L’OISEAU
5.1. Avec dimorphisme sexuel
5.1.1. Attitudes comportementales
5.1.2. Plumage
5.1.3. Autres
5.2. Sans dimorphisme sexuel
5.2.1. Méthode chirurgicale : l’endoscopie
5.2.2. Analyses de laboratoire
6. AUTRES
6.1. Examens cardiologiques : l’électrocardiogramme
6.2. Exploration des fonctions endocriniennes
6.2.1. Exploration de la fonction thyroïdienne
6.2.2. Exploration de la fonction surrénalienne
6.3. Examen nécropsique
IV. L’ANESTHESIE
1. INDICATIONS
2. PRISE EN COMPTE DES PARTICULARITES PHYSIOLOGIQUES
3. PROTOCOLES ANESTHESIQUES
3.1. Préparation
3.2. Induction
3.2.1. Anesthésie gazeuse
3.2.2. Anesthésie injectable
3.3. Analgésie intra et post-opératoire
3.4. Surveillance du réveil
V. LES SOINS D’URGENCE : TRAITEMENT DE L’OISEAU EN ETAT DE CHOC
PARTIE IV PATHOLOGIE
I. PATHOLOGIE RESPIRATOIRE
1. CONDUITE DIAGNOSTIQUE
2.ETIOLOGIE DES PRINCIPALES AFFECTIONS RESPIRATOIRES
3. SYMPTOMES ET LESIONS DES AFFECTIONS RESPIRATOIRES
4. TRAITEMENT DES AFFECTIONS RESPIRATOIRES
4.1. Traitement symptomatique
4.1.1. Généralités
4.1.2. Local
4.1.3. Médicaments à diffusion pulmonaire
4.2. Traitement spécifique
4.3. Prophylaxie
5. DOMINANTES PATHOLOGIQUES
5.1. Sinusite infraorbitaire
5.2. Aspergillose
5.3. Troubles asthmatiformes
II. PATHOLOGIE DIGESTIVE
1.GENERALITES
2.PRINCIPALES AFFECTIONS DU BEC
3.PRINCIPALES AFFECTIONS DE LA CAVITE BUCCALE
4.PRINCIPALES AFFECTIONS DU JABOT
4.1. Etiologie
4.2. Dominantes pathologiques
4.2.1. Ingluvite
4.2.2. Surcharge ingluviale
5.PRINCIPALES AFFECTIONS DES ESTOMACS
5.1. Etiologie
5.2. Dominantes pathologiques
5.2.1. Gastrite traumatique par corps étranger
5.2.2. Proventriculite à mégabactéries
5.2.3. Maladie de la dilatation du proventricule (MDP)
6.PRINCIPALES AFFECTIONS DES INTESTINS
6.1. Etiologie
6.2. Principes généraux du traitement symptomatique lors d’entérite
7.PRINCIPALES AFFECTIONS DU CLOAQUE
8.PRINCIPALES AFFECTIONS HEPATIQUES
9.L’INSUFFISANCE PANCREATIQUE
III. PATHOLOGIE DE LA REPRODUCTION
1.DOMINANTES PATHOLOGIQUES CHEZ LA FEMELLE
1.1. Les troubles mécaniques
1.1.1. La rétention d’oeuf
1.1.2. La ponte intra-abdominale
1.1.3. Prolapsus de l’oviducte
1.1.4. Torsion de l’oviducte
1.1.5. Rupture de l’oviducte
1.2. Les causes infectieuses
1.2.1. Salpingite
1.2.2. Ovarite
1.3. Autres
1.3.1. Hyperplasie kystique de l’oviducte
1.3.2. Kystes ovariens
1.3.3. Tumeurs
1.3.4. Ponte chronique
2.DOMINANTES PATHOLOGIQUES CHEZ LE MALE
2.1. Orchite
2.2. Tumeurs testiculaires
3.TROUBLES DE LA REPRODUCTION
4.INFLUENCE DE L’ALIMENTATION SUR LA REPRODUCTION
5.TRAITEMENTS
IV. PATHOLOGIE URINAIRE
1.ETIOLOGIE
2.SYMPTOMES
3.LESIONS
4.DIAGNOSTIC
5.TRAITEMENT
V. PATHOLOGIE ENDOCRINIENNE
1.LE DIABETE SUCRE
2.HYPOTHYROIDISME
3.L’INSUFFISANCE SURRENALIENNE
VI. PATHOLOGIE METABOLIQUE
1.TROUBLES METABOLIQUES OSSEUX
2.LA GOUTTE
3.STEATOSE HEPATIQUE
VII. PATHOLOGIE NUTRITIONNELLE
1.CARENCES VITAMINIQUES
1.1. Tableau récapitulatif
1.2. Hypovitaminose A
1.3. Hypovitaminose E
2.CARENCES MINERALES
2.1. Principales carences
2.2. La pérose
VIII. PATHOLOGIE CUTANEE
1.ETIOLOGIE DES PRINCIPALES AFFECTIONS
2.ELEMENTS DU DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
3.DEMARCHE DIAGNOSTIQUE EN DERMATOLOGIE
4.DOMINANTES PATHOLOGIQUES
4.1. La Psittacine Beak Feather Disease (P.B.F.D.)
4.2. La Budgerigar Fledging Disease (B.F.D.)
4.3. Le picage
4.4. La gale du bec et des pattes
5.PRINCIPES GENERAUX DU TRAITEMENT EN DERMATOLOGIE
IX. PATHOLOGIE BACTERIENNE
1.CHLAMYDIOSE
2.TUBERCULOSES
3.PASTEURELLOSE
4.SALMONELLOSES
5.ENTERITES A ENTEROBACTERIES
6.YERSINIOSE
7.MYCOPLASMOSES
8.INFECTIONS A PSEUDOMONAS
9.INFECTIONS PAR DES COQUES GRAM +
X. PATHOLOGIE VIRALE
1.HERPESVIROSES
1.1. La maladie de Pacheco
1.2. La papillomatose
1.3. Autres herpèsviroses
2.MALADIES DE NEWCATSLE
3.AVIPOXVIROSES
4.REOVIROSE
XI. PARASITES INTERNES
1.ETIOLOGIE, SYMPTOMES ET TRAITEMENT
2.DOMINANTES PATHOLOGIQUES
2.1. Coccidioses
2.2. Cestodoses
2.3. Nématodoses
2.4. Trichomonose
2.5. Giardiose
2.6. Syngamose
2.7. Sternostomose
XII. PATHOLOGIE DU SYSTEME NERVEUX
XIII. PATHOLOGIE DES ORGANES DU SENS
1.ETIOLOGIE DES AFFECTIONS OPHTALMOLOGIQUES
2.CATARACTE
3.OTITE
XIV. INTOXICATIONS
1.INTOXICATIONS PAR LES METAUX LOURDS
2.INTOXICATIONS PAR LES INSECTICIDES
3.INTOXICATIONS PAR LES EMANATIONS GAZEUSES
4.INTOXICATIONS PAR LES PLANTES
5.INTOXICATIONS PAR LES MEDICAMENTS
6.AUTRES
XV. PATHOLOGIE TUMORALE
XVI. PATHOLOGIE COMPORTEMENTALE
1.LE PICAGE PSYCHOGENE
2.MORSURES
2.1. Morsures avec agressivité
2.2. Morsures sans agressivité
3.TROUBLES COMPORTEMENTAUX D’ORIGINE SEXUELLE
4.TROUBLES COMPORTEMENTAUX HIERARCHIQUES
5.AUTRES COMPORTEMENTAUX GENANTS
5.1. Cris, vocalises
5.2. Destructions
XVII. ZOONOSES
1.LISTE DES ZOONOSES TRANSMISES PAR LES PSITTACIDES
2.PRINCIPALES ZOONOSES TRANSMISES PAR LES PSITTACIDES
XVIII. THERAPEUTIQUE, MODALITES ET POSOLOGIES
1.ANTIINFECTIEUX
2.ANTIPARASITAIRES
3.ANTIFONGIQUES
4.ANTI-INFLAMMATOIRES ET ANALGESIQUES
5.SOLUTES DE PERFUSIONS UTILISABLES
6.HORMONES
7.MEDICAMENTS UTILISES LORS D’URGENCES
8.PSYCHOTROPES
9.SUPPLEMENT NUTRITIONNEL
10. GAVAGE ALIMENTAIRE
11. DIVERS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
LISTE DES ABREVIATIONS UTILISEES
ANNEXES
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