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LES CARACTERISTIQUES DU PROJET
Dans cette seconde section, nous allons élaborer la spécificité de notre centre et la mise en place des infrastructures, les buts, les objectifs, les intérêts et les fiches signalétiques du projet.
La spécificité de notre centre et la mise en place des infrastructures
D’une part, l’obtention d’un diplôme supérieur est considérée par les jeunes comme un grand atout permettant à eux d’acquérir un « job » où un travail lucratif. Avoir plus de diplôme signifie donc avoir plus de sens d’accéder à un meilleur emploi. Or, il y a une rude concurrence sur le marché de travail à Madagascar. Le travail professionnel exige de temps de l’expérience et de la performance. C’est à dire un résultat dans l’immédiat. Avec l’évolution de la technologie, certains jeunes malagasy rêvent de vivre ailleurs, dans le désespoir et parfois, ils sont devenus des ennemis publics ( voleurs – bandits …)
En outre, le taux de chômage à Vohemar comme dans l’ensemble de Madagascar reste toujours important 45% de l’ensemble de population active. La formation académique produit d’un côté des jeunes chômeurs intellectuels. Pour renverser cette mauvaise situation, les jeunes d’aujourd’hui devront prendre en main leur avenir. La réflexion doit se poser sur la question : « Que pourrais- je faire et apporter pour mieux développer ma vie, ma région et également mon pays ? »
Cela nécessite de bonne moralité et de mentalité avec la conscientisation de chacun. C’est pourquoi, actuellement, l’Etat malagasy par l’intermédiaire du ministère tutel, le MENRS adopte la politique d’approche par la compétence dans l’enseignement en général. Cette politique est établie dans le but d’avoir des jeunes responsables, créateurs et innovateurs pour y pouvoir développer leurs milieux environnants.
Les buts et objectifs spécifiques du projet
La présence de notre centre sera très sollicitée car il permettra :
– de réduire le taux de chômage sur le lieu d’implantation du projet par la simple raison de s’offrir aux jeunes autochtones de nouveaux poste d’emplois.
– davantage d’attirer l’intention des ONG à s’intéresser de plus à cette filière bovine.
– de soutenir les éleveurs malagasy en faveur d’une amélioration de ce zébu malagasy car sa grande facilité d’engraissement soit en pâturage, soit en stabulation. Ainsi, son évolution sur le plan physique est très lente. En une phrase, le zébu malagasy nécessiterait une pratique d’élevage très intensif selon la demande ou les exigences de besoins des clients.
Nous avons constaté que le marché mondial de la viande exige de viande moins grasse, de jeune chair de bœufs et de bœuf maigres :
– de favoriser le croisement entre le Brahman et la vache zébu malagasy pour améliorer le métissage. Les métis sont moins gras avec un poids plus important en viande de consommation et son élevage est plus facile. Ainsi, ils résistent mieux à certaines maladies bovines.
-de ramener de devises plus importantes que celles des autres sociétés d’exportations agricoles.
-d’aider les paysans éleveurs à la vulgarisation de l’élevage intensif, moderne et plus technique…
-d’apporter aussi des devises pour la station et par le payement des impôts et taxes, notre centre contribuera à l’amélioration des recettes fiscales de l’Etat.
L’élaboration de ce projet portera de nouveau souffle sur la spécialisation et la professionnalisation d’élevage des animaux dans la région de SAVA, en particulier dans le district d’Iharana. Il promet un développement local, régional, et national assez considérable. L’existence de notre centre transformera Vohémar à un pôle d’attraction des populations des autres régions. Les opérateurs économiques y viendront renforcer les activités lucratives dans le District. Il permettra donc d’attirer plus d’investisseurs nationaux qu’internationaux à s’installer dans le lieu d’implantation dudit projet. Il faut noter qu’en outres des autres facteurs, la pratique d’élevage moderne laisse peu de choix aux voleurs de bœufs, car les animaux sont plus en sécurité sous les toits des fermes. A long terme, nous envisagerons l’extension de notre centre dans les autres régions de la grande île, en préférence dans des régions du sud où l’effectif bovin est et serait plus important.
En bref, notre centre apporterait une grande amélioration dans la santé et reproduction des animaux, dans le niveau de vie de nos employés ainsi qu’au niveau du District qui aura ses influences sur l’ensemble de la Nation par l’étude de l’ « IDH » Indice de Développement Humain et dans l’ensemble de la filière élevage en général.
LA SITUATION GEOGRAPHIQUE ET DEMOGRAPHIQUE DE LA REGION
Cette section regroupe le choix de la région, la présentation et l’emplacement géographique et la situation démographique du District de Vohémar.
Le choix de la région
Depuis un demi-siècle, Madagascar domine sur le marché mondial de la vanille. Il est classé en premier rang selon sa quantité de production et sa qualité de production en vanille sur le plan du commerce international. C’est la région de SAVA comme à Vohemar qui est très longtemps réputé par sa capacité de productivité en culture de vanille.
Les conditions physiques et techniques du milieu lui offrent cette culture de spéculation et culture de rente, en plus, il y a le café et le girofle. Mais comme nous l’avons déjà évoqué auparavant, la région de SAVA, où le District d’Iharana comme dans l’ensemble de la Cote est malagasy s’expose chaque année aux passages cycloniques et le réchauffement du globe, le changement climatique depuis un certain temps reste à désirer. Le cyclone a causé beaucoup de « degats » et il a détruit tout sur son passage et la culture de vanille ne l’excluant pas.
Les pays comme le Brésil, l’Indonésie, la Chine, le Maurice,…. Sont tous actuellement s’intéresser à la productivité de la vanille et viennent concurrencer la vanille de la grande île sur le marché international. Mais nous avons observé que le passage du cyclone dans cette région n’est que périodique, surtout pendant l’été Australe entre le mois de Décembre au mois de Mars. En dehors de cette période de 4 mois, il est rarement d’avoir de cyclone. Alors, il ne faut jamais oublier que les bœufs font l’une des grandes richesses des malagasy et ils le savaient déjà depuis long temps, c’est pourquoi les peuples « Tsimihety » autochtone s’intéressent aussi aux bœufs.
Enfin, étant être un jeune diplômé, natif et originaire de Vohemar, nous voulons apporter notre contribution dans le développement régional par le biais de la réalisation de ce projet. Notons que le PIB par tête d’habitant par an de la région est largement supérieur à la moyenne Nationale en général. Et un représentant, élu local nous a dit et a confirmé que « un Patron » ou un actionnaire local, un démarcheur digne de ce nom qui achetait et qui revendrait de ses bœufs sur les différents marchés régionaux gagnerait 50% de la totalité de ses gains dans une année ».
La spécificité climatique et sécuritaire de la région de SAVA
Tout d’abord, par la condition climatique de la région favorable à la méthode d’élevage moderne, Vohemar comme l’ensemble de la région de SAVA possède un type de climat tropicale humide; là où il y a de pluie et de la chaleur pendant presque toute l’année. La forte pluviométrie avec une précipitation en dessus de 4 000 m par an et une température ambiante qui varie peu favorisent l’accouplement des bétails. Et aussi de temps en temps et surtout pendant le monde nocturne, les bœufs sont souvent sous abattus.
En suite, comme nous avons déjà énoncé auparavant, Vohemar est une ville portuaire et cette facilité d’abordage est aussi son atout pour l’acheminement direct des produits agricoles vers les pays extérieurs, nous avons constaté que le bateau est le seul moyen de pouvoir transporter des produits agricoles tels que les bétails vers l’extérieur de l’île.
En plus, le nombre de bœufs dans l’ensemble du District de Vohemar, selon la statistique du Ministère de l’élevage, en 2002, représente 2 bœufs pour 3 personnes. Cela signifie que le nombre des bœufs recensés dans le District dudit était représenté 2/3 de la totalité de la population dans cette même circonscription. Le District d’Iharana possède un effectif bovin assez important par rapport à la moyenne Nationale qui est de l’ordre de 1 bœuf pour 2 personnes.
Le cas de vol de bœufs y est très rare ou presque inexistant dans cette zone à cause des caractères physiques exceptionnels du milieu. Cela s’explique du fait que l’ensemble de la province d’antsiranana est séparé par le reste de la grande île par l’existence de l’escarpement de Tsaratanana plus au sud. Ce dernier l’a coupé, l’a fait d’une zone plus ou moins enclavé vers le sud. Ainsi, dans la région du Nord- Est malagasy, les cours d’eau sont fréquents et l’écoulement des fleuves est parfois puissant. Cette situation était justifiée par le schéma de circuit de vol de bœufs établit par le Ministère de tutelle en 2003. La dite province du nord n’avait aucune circuit de vol de bœufs.
L’ETUDE DE MARCHE
Sur ce chapitre, nous mettrons en relief la spécificité du marché, l’analyse de l’offre, l’analyse de la demande, l’analyse de la concurrence et la part de marché existant.
LA SPECIFICITE DU MARCHE
Cette section comporte la description du marché et l’analyse environnementale prépondérante de ce marché.
La description du marché
Le marché est l’ensemble de personnes et de biens qui peuvent avoir une influence sur les besoins en consommation selon les types de produits dans un environnement bien déterminé. D’après le contexte économique utilisé, le marché désigne une confrontation et fluctuation entre l’offre et la demande. C’est aussi un champ d’action préalable aux champs d’action commerciale de l’entreprise sur le marché, le prix qui détermine la valeur de l’offre et de la demande.
Notre centre exerce une commercialisation bilatérale entre deux Nations : Madagascar – Maurice. Notre centre aurait pour but d’acheter des bœufs sur les différents marchés de la province d’antsiranana et de les acheminer vers le port de vohemar pour être expédié ensuite vers le marché du COI plus précisément à l’île Maurice. Le District de Vohemar est déjà connu par la grande spéculation de filière vanille. Le principal revenu de la population réside sur le secteur agricole. Cette ressource majeure en devise de Madagascar transforme de la zone pilote pour des différentes activités de développement.
Les opérateurs et les investisseurs sont attirés par cette région de SAVA mais ils ne s’intéresseront pas uniquement à la vanille, ainsi il y a aussi le secteur riz, le secteur bovin… N’oublions jamais que cette zone est une grande productrice en matière de riz.
A Iharana, 78% de l’ensemble de la population vive à la campagne. La majorité de la population du District sont des ruraux. Mais les paysans ne sont pas tous des cultivateurs. Certains gens de la campagne s’intéressent à l’administration, certains s’intéressent à des activités lucratives formelles ou informelles et parfois, les autres sont des paysans sans terres ou des « Wagabons ». Ces derniers sont formés en grande partie par des immigrants à la recherche de nouvelle vie, en particulier, des immigrants Betsileo et quelques Tsimihety autochtones.
Madagascar est une île qui possède de larges et vastes côtés plus abordables et plus accessibles. La façade Est de l’île est le plus facile à accoster. Par faute de meilleures surveillances côtières et l’action des vols de bœufs plus courante dans les régions du Sud et Sud – Ouest de Madagascar, nous avons constaté davantage l’existence des exportations clandestines ou illicites des bétails malagasy vers des îles voisines. Ainsi, l’impôt et taxe induits par l’exportation du bœufs sont élevés et les démarches administratives, parfois difficiles, forment un goulot d’étranglement à la réalisation d’un tel projet.
Mais dans celà, il y avait certaines raisons comme la préservation et la protection même de ces patrimoine et richesses nationales. Alors, nous devrons travailler avec les différentes entités, des différents organismes locaux qu’étrangers, et avec les autorités et élus locaux pour mieux réussir. Heureusement, de nos jours, il y a des « pirates de bœufs » mais il existe rarement des bateaux pirates.
L’analyse environnementale prépondérante
Cette analyse correspond sur l’opportunité et les menaces dans la réalisation de notre projet. D’une part, Madagascar possède des ressources naturelles très abondantes mais peu exploitées. Parfois, l’exploitation de ses ressources se fait d’une manière sauvage ou illicite.
Cette grande biodiversité malagasy tant sous-marines ou sous terrains représente une source de richesse très importante. Mais il reste à savoir sa mise en valeur pour le développement de notre pays. En plus, la situation géographique de la grande île formera davantage ses atouts mais aussi des contraintes sur la défense du territoire National. La variété du climat dans chaque région géographique offre à la grande île des faunes et flores très considérables, parfois endémiques. Madagascar et Maurice sont tous des îles de l’Océan Indien ( OI ) dans le cadre de la zone sept (7) Afrique. L’OI facilite les différentes relations sociopolitique et économiques entre ces deux pays comme le domaine du COI. Alors que plusieurs régions du monde montent au créneau pour faire face à l’expansion de la maladie de la vache folle, des îles de l’OI, comme Madagascar, Maurice, les Comores et la Réunion ont pris des mesures de prévention contre cette maladie depuis un certain temps.
Le ministère malagasy de la santé a décidé d’appliquer les mesures préventives en dix points contre cette maladie qui tend à devenir une pandémie dans le monde et qui risque de toucher notre pays. Tous les bétails entrants dans le pays introduit par importations seront d’offrir en contrôles sanitaires sur le plan de la santé communautaire, il est déjà recommandé à tous les éleveurs de bien isoler leur élevage.
L’ANALYSE DE LA CONCURRENCE
Dans cette quatrième section dans le chapitre d’étude de marché, nous analyserons la situation de la concurrence en générale sur le marché et en fin de présenter la part de notre marché.
La situation de la concurrence en générale
Comme nous l’avons déjà décrit auparavant, le District de Vohemar comme dans l’ensemble de la région de SAVA est réputé depuis longtemps par la culture de spéculation en vanille. Elle est la majeure occupation et grande source de revenu des populations de cette région. Cette culture de rente, destinée en grande partie à l’exportation remporte aussi beaucoup de devises pour la dite région et même pour la Nation toute entière.
Mais la crise de la vanille causée par la fluctuation et la diminution sans cesse de son prix permet de dire que la filière vanille à Madagascar se trouve dans une situation plus ou moins alarmante actuellement. La seconde occupation de la population dudit District est toujours la riziculture. Mais sa pratique, la technique rizicole malagasy avait trait de près ou de loin avec l’élevage bovin. Dans la culture traditionnelle malagasy et selon ses us et coutumes, les bœufs sont parfois utilisés dans des fins rituelles telles que les exhumations, les rites funéraires….
A Madagascar, le flux des viandes de consommation se présente, en général, par un phénomène de centrifuge. La demande en augmentation et sans cesse des Hautes terres où se trouve la capitale et où se concentre le nombre important de population malagasy explique le déséquilibre dans la destination des zébus du pays.
Nous achèterons nos bœufs sur les divers marchés locaux et régionaux dans l’ensemble de la Province d’Antsiranana avant de les amener et les revendre à des clients potentiels étrangers. L’existence des actionnaires amateurs et ( ou ) démarcheur dits « Patron » dans des marchés locaux et régionaux auraient des influences sur les achats de nos produits et le prix appliqué sur les marchés de bovidés. Ce prix est parfois exorbitant.
Alors qu’au sein du District de Vohemar, ce serait notre centre qui s’intéresserait et se lancerait dans l’exploitation et exportation des zébus malagasy vers les marchés mauriciens. Alors, nous serons monopole au niveau local et la proximité entre les deux pays Madagascar – Maurice facilitera davantage l’acheminement de nos produits. Ainsi, heureusement, notre pays n’est pas encore touché par la maladie de la vache folle, nos zébus en viandes qu’en chair et en os seront les plus sollicités sur des marchés internationaux. C’est alors que nous inciterons les divers organismes et opérateurs économiques de s’investir principalement sur ce secteur bovin.
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Table des matières
INTRODUCTION 01
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : LA DESCRIPTION DU PROJET
SECTION 1 : LA PRESENTATION DU PROJET
11 – L’Historique et caractère spécifique du zébu malagasy
12 – La perspective de la région selon les différents phénomènes influencés la validité du projet
SECTION 2 : LES CARACTERISTIQUES DU PROJET
21- La spécificité de notre centre et la mise en place des infrastructures.. 07
22- Les buts et les objectifs spécifiques du projet
23- La fiche signalétique du projet
SECTION 3 : LA SITUATION GEOGRAPHIQUE ET DEMOGRAPHIQUE DE LA REGION
31- Le choix de la région
32- La présentation et l’emplacement géographique
33- La spécificité climatique et sécuritaire de la région SAVA
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE
SECTION 1 : LA SPECIFICITE DU MARCHE
11- La description du marché
12- L’analyse environnementale prépondérante
SECTION 2 : L’ANALYSE DE L’OFFRE
21- Les caractéristiques de l’offre globale
22- La situation de l’offre sur le lieu d’implantation du projet
SECTION 3 : L’ANALYSE DE LA DEMANDE
31- Les caractéristiques de la demande globale
32- La demande existante sur le lieu d’implantation
SECTION 4 : ANALYSE DE LA CONCURRENCE
41- La situation de la concurrence en générale
42 – La part de marché
CHAPITRE III: LA THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION
SECTION 1: LA THEORIE D’EVALUATION SELON LES CRITERES
11- La pertinence
12- L’efficacité
13- L’efficience
14- La durabilité du projet
15- Les impacts du projet
SECTION 2: L A THEORIE D’EVALUATION SELON LES OUTILS
21- La Valeur Actuelle Nette
211- Définition
212- Formule
213- Interprétation
22-Le Taux de Rentabilité Interne
221- Définition
222- Formule
223- Interprétation
23- L’ Indice de profitabilité
231- Définition
232- Formule
233- Interprétation
24-La Durée de Récupération des Capitaux Investis
241- Définition
242- Formule
243- Interprétation
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : LA CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : LA TECHNIQUE DE REALISATION
SECTION 1 : L’IDENTIFICATION DES PRODUITS
11- La spécificité des produits à vendre
12- Le mode d’élevage traditionnel dans le milieu où le cheptel vit
13- Le mode et la culture d’élevage moderne
SECTION 2 : LA PATHOLOGIE ET LES METHODES D’ELEVAGE ENVISAGEE
2.1 – La pathologie bovine
2.2 – La méthode de croisement avantageux pour l’élevage à exporter
SECTION 3 : L’INFLUENCE, LE TYPE ET LA MISE EN VALEUR DES BOVIDES DANS LA VIE QUOTIDIENNE
31- Les bœuf et ses influences dans la vie quotidienne
32 – Le type de zébu malagasy
33- La mise en valeur du secteur bovin
SECTION 4 : LES ASPECTS QUALITATIFS ET QUANTITATIFS DE NOS PRODUITS
41- La qualité des produits à vendre
42 – L’aspect quantitatif de notre activité
CHAPITRE II : LA CAPACITE DE REALISATION
SECTION 1 : LA CAPACITE DE REALISATION EVISAGEE
11- La capacité d’achat des bœufs sur les différents marchés
12- La capacité de collection de bovidé sur le marché
13 – Les échéants susceptibles de bouleverser notre activité et l’utilité de connaître davantage les partenaires
SECTION 2 : L’ACQUISITION DES MOYENS ET MATERIELS UTILISES
21 – Les biens mobiliers et immobiliers
22 – Les organismes financiers et documents afférents
23- La situation commerciale sur les marchés de bœufs locaux et internationaux
24- Nos efforts et savoir-faire sur ce marché
SECTION 3 : LA STRATEGIE ET POLITIQUE MARKETING ENVISAGE
31 – La stratégie marketing adoptée
a- La stratégie pull
b- La stratégie push
32 – Le marketing mix
a- La politique de produit
b- La politique de prix
c- La politique de distribution et de vente
d- La politique de promotion et de communication
SECTION 4 : LES DIFFERENTES FACTEURS DE REALISATION
41 – Les facteurs matériels
42 – Les facteurs humains
43 – Les facteurs financiers
CHAPITRE III: L’ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1 : LES FACTEURS DE REUSSITE POUR L’ORGANISATION
11- L’organisation de travail
12- L’enrichissement du travail et de l’organisation
13- L’évolution sociale et économique
SECTION 2: LES DIFFERENTES SORTES D’ORGANISATION SOCIALE
21- L’organisation stratégique
22- L’organisation politique
23- L’organisation statique ou opérationnelle
SECTION 3: L’ORGANIGRAMME ENVISAGE
31- L’a spécificité de l’organigramme
32- La présentation de l’organigramme
SECTION 4: LE CHRONOGRAMME
41- Le chronogramme envisagé
42- Le synoptique du chronogramme
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : LE COUT DES INVESTISSEMENTS
SECTION 1 : LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
11- Les Immobilisations Incorporelles
12- Les Immobilisations corporelles
121- Les terrains de collection et le siège de bureau
122-La construction des sièges administratifs
123-Les matériels administratif
124- Le coût des installations électriques du siège central
125- Les matériels de transport
126- Le matériels de nettoyage
127- Le coût de transport maritime
SECTION 2 : L’AMORTISSEMENT
21- La spécificité de l’amortissement
22- Le tableau d’amortissements durant les cinq années d’exploitation
SECTION 3: LE PLAN DE FINANCEMENT
31- Le Fonds de Roulement Initial
32- Le plan de financement
33- Le mode de remboursement des dettes
CHAPITRE II : L’ETUDE DE LA FAISABILITE
SECTION 1: LES COMPTES DE GESTION
11- Les produits
12- Les charges
121- Les charges financières
122- Les fournitures consommables
123- Les charges externes, charges d’exploitation et redevance domaniale
124- L’achat de marchandise
125- Les charges de personnel, sociale et patronale
126- Les impôts et taxes
127- Les dotations et amortissements des biens
SECTION 2: LES COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
21- Le compte de résultat global
22- Le compte de résultat par nature
23- Le compte de résultat par fonction
CHAPITRE III : L’ETUDE DES BILANS ET DE TRESORERIE
SECTION 1: LES BILANS PREVISIONNELS
11- Le bilan d’ouverture
12- Le bilan de clôture de la première année
13- Les bilans prévisionnels durant les cinq années d’exploitation
SECTION 2 : LES FLUX DE TRESORERIE
21- Le flux de trésorerie indirect
22- Le flux de trésorerie direct
23- Le plan de trésorerie
CHAPITRE IV: L’EVALUATION ET IMPACTS DU PROJET
SECTION 1: L’EVALUATION ET IMPACTS ECONOMIQUES
11- Les valeurs ajoutées
12- Les ratios d’activité
SECTION 2 : LES EVALUATIONS FINACIERES
21- L’évaluation financière selon les critères du projet
211- La pertinence
212- L’efficacité
213- La durabilité du projet
214- Les impacts du projet
22- Les évaluations financière selon les outils du projet
221- La valeur actuelle nette (VAN)
222- Le Taux de rentabilité interne (TRI)
223- L’Indice de Profitabilité ( IP )
224- La durée de récupération des capitaux investis (DRCI)
225- Le seuil de rentabilité
SECTION 3 : LES IMPACTS DU PROJET
31- Les impacts financiers
32- Les impacts économiques
33- Les impacts sociaux et culturels du projet
34- Le cadre logique
CONCLUSION GENERALE
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