La notion de pratique, un état de l’art problématisé

Analyser l’organisation sous le prisme de ses pratiques permet d’en bien saisir les constante reconstructions autour de certaines manières de faire. Bien que par définition réductrice, cette approche redonne aux actions des acteurs une profondeur en en faisant son point de focale. Ainsi, le practice turn a maintenant été pleinement engagé en Sciences de gestion. Depuis l’étude de la stratégie (Whittington, 1996), jusqu’à celle du contrôle organisationnel (Ahrens & Mollona, 2007) en passant par les théories de l’apprentissage (Gherardi, 2005) et l’analyse des technologies (Orlikowski, 2000), l’épithète as practice semble fleurir dans toutes les disciplines. Cette practice perspective est ancrée sur un corpus théorique extrêmement riche qui trouve ses racines en philosophie (Turner, 1984 ; Schatzki, Cettina & Von Savigny, 2001), en anthropologie (Ortner, 1984) et en sociologie (Bourdieu, 1972). Dès lors, il est aujourd’hui classique d’étudier les pratiques organisationnelles. Ce faisant, il devient parfois difficile de savoir ce qu’est une pratique, ou plutôt, ce qui n’en est pas une. Nous commencerons donc par clarifier la notion dans un état de l’art problématisé auquel nous tenterons de donner une cohérence par l’identification de quatre tensions conceptuelles . Ces dernières permettront de rendre compte de la littérature tout en affinant les contours de la notion. Ainsi, nous verrons que les pratiques organisationnelles peuvent être envisagées sous l’angle de leur fluidité, de leur acquisition, de la réflexivité du praticien ou de l’échelle choisie par le chercheur. Cette dernière nous intéressera plus particulièrement du fait de son lien avec la notion d’institution. En effet, les pratiques sont, selon nous, des manières de faire instituées et c’est donc la question de leur institutionnalisation qui sera au cœur de cette thèse. Pour autant, le processus d’institutionnalisation ne débouchant pas nécessairement sur l’institution, l’émergence de pratiques ne pourra être simplement envisagée comme simplement linéaire et automatique.

Si le « tournant pratique » est initié, celui de l’institution est derrière nous depuis quelques décennies maintenant et l’institutionnalisme est maintenant une des approches classiques des Sciences de gestion. Un retour aux sources que sont Berger & Luckmann (1967) et Douglas (1986) s’avèrera indispensable pour bien saisir en quoi l’analogie et le naturel forgent l’institution. Nous trouverons alors dans la théorie néo-institutionnelle quantité d’éléments conceptuels éclairants au regard du processus d’institutionnalisation et nous permettra de le comprendre comme un flux construit sur trois piliers : normatif, régulateur et culturel-cognitif (Scott, 2001). Nous proposerons de mailler ces derniers pour obtenir une grille de lecture du processus redonnant aux pratiques leurs multiples modalités d’institutionnalisation. Tour à tour envisagée comme une routine, une procédure, une best practice, un standard, un rituel ou encore une tradition, la pratique apparaîtra alors sous toutes ses formes . Ce foisonnement de modalités d’existence engage chaque élément de l’organisation, des acteurs à leurs activités en passant par les outils qu’ils manipulent et le langage utilisé.

La notion de pratique, un état de l’art problématisé

dernière ligne droite avant le practice turn 

L’étymologie d’un terme est toujours riche en enseignements ; celle de la pratique ne déroge pas à la règle. En effet, les concepts aujourd’hui centraux en sciences de gestion ont une histoire, une émergence faite d’idées et d’emprunts, de revendications et de débats, d’adhésion et de rejet. Ainsi, sans rentrer dans une archéologie foucaldienne du terme et devant le foisonnement de ce que nous révèlent l’origine et les usages du mot, nous faisons le choix d’en présenter une synthèse orientée vers son émergence en tant que concept à la fin du 19ème siècle.

Le terme « pratique » est en partie emprunté au grec ancien où prassein signifie « faire, exécuter, accomplir » mais aussi « traverser, parcourir » (Bloch & Wartburg, 1932). On y trouve une dimension de réalisation, de conduite efficace de l’action ; elle est un moyen complet d’atteindre un objectif fixé – idée que l’on retrouve dans la praxis grecque qui est fondamentalement orientée vers un résultat. Pratiquer c’est, étymologiquement, mener une action à bien, concevoir et réaliser une activité : la modeler. Il est intéressant de souligner ici que ce n’est pas tant l’objectif qui est central mais bien son atteinte par une conduite définie que l’on nomme la pratique. À partir du 14ème siècle, cette pratique est entendue en français comme étant l’application des règles et des principes d’une discipline, elle se pose alors en opposition à l’idée de théorie et désigne la façon d’exercer une activité : « mettre en pratique ». Elle est donc une manière de faire concrète, répétitive et reconnue par un groupe légitime. Au 16ème siècle, elle devient la fréquentation habituelle d’une personne ou d’un lieu avant de composer, deux siècles plus tard, l’expression « peindre de pratique » qui signifie peindre d’après des formules prescrites, et figées, de l’Académie. Dès lors, la routine est partie intégrante de la pratique et l’on retrouve cette idée dans la figure religieuse du pratiquant, de l’utilisateur répétitif. On ne peut cependant résumer la notion de pratique à cette branche étymologique renvoyant à une répétition figée de principes prescrits.

Toute la richesse du concept de pratique vient du fait que le verbe grec praktikê se rapporte à la science pratique, plutôt qu’à une action répétitive. Dans cette perspective, la pratique relève plus de l’attitude et de la posture que de l’action et de son déroulement purement efficace ; elle est un rapport au monde. En effet, elle s’oppose à la theoretikê et à la gnôsis, car, au-delà d’un résultat, elle constitue une présence face à un monde qu’elle transforme volontairement. Ainsi, à la fin du 14ème siècle, la pratique va être synonyme de finesse et de ruse allant même jusqu’à l’idée de complot et d’intrigue politique (Bloch & Warburg, 1932). C’est à cette époque que l’on commence à parler de praticien en médecine, soulignant par là l’expérience et la souplesse nécessaires à celui qui pratique ; « pratiquer le Droit » par exemple requiert une maîtrise la procédure juridique permettant de la manipuler et de l’appliquer avec élégance. À la fin du 17ème siècle, la figure du praticien se généralise pour désigner celui qui se consacre plus à la pratique de son art qu’à sa théorie avec comme figure de référence, non plus seulement le médecin, mais plutôt le sportif. Il y a donc aussi une dimension d’intelligence pratique, de capacité d’action qui fait de celui qui pratique une personne capable de pertinence dans son activité et d’élégance dans ses gestes. Il est celui qui sait « ménager un passage » (sens du terme en architecture) là ou les profanes n’en voient pas, trouver ce qui est commode et fonctionnel (sens de l’adjectif) pour habere praxim (faire ses preuves) auprès de ses pairs. Cette dimension plus « esthétique » de la pratique ne peut se faire sans une forme de subordination à l’objectif, c’est-à-dire en tension avec le prassein plus « téléologique ». D’ailleurs, cette perspective utilitariste se retrouve dans l’histoire du terme puisque la pratique est aussi un outil qui sert à réaliser une action : par exemple l’appeau servant dans certaines chasses au 18ème siècle.

Aujourd’hui, les sciences humaines et sociales, tout comme la philosophie, ont intégré le concept de pratique dans leurs analyses, de manière souvent centrale (Schatzki, Korr-Cetine & Von Savigny, 2001). Selon Turner (1994), les pratiques constituent même le point de fuite de la philosophie du 20ème siècle : l’« arrière-plan hérité » de Wittgenstein (1969), le « savoir tacite » de Polanyi (1962) ou encore la convention de Lewis (1969). Ainsi, en philosophie, la diversité des pratiques humaines a peu à peu pris la place des notions classiques de vérité et de validité (Turner, 1994 : 9). Ces dernières étaient auparavant génératrices de pratiques, elles sont aujourd’hui considérées comme en étant les produits. De même, la sociologie des sciences est passée d’une justification des pratiques comme autant de moyens d’atteindre la vérité à la vérité comme étant ce que nos pratiques nous permettent de construire comme vrai (Schatzki, 2001 : 14). Cette tension entre théorie et pratique traverse l’histoire de la philosophie puisque Kant (1793) s’interrogeait déjà sur le lieu commun : « Cela est peut-être vrai en théorie mais ne fonctionne pas en pratique ». Selon lui, l’explication de l’écart systématique entre théorie et pratique relève d’erreurs dans la formulation de la théorie. À partir d’une théorie correctement énoncée, seul un jugement pratique serait nécessaire pour appliquer ses principes généraux aux cas particuliers. C’est en opposition à cette perspective que se fonde la notion marxienne de praxis, l’idée d’une activité vivante ayant ses propres objectifs, irréductible à des principes, des procédures ou une théorie correctement appliquée.

L’héritage conceptuel du 19ème siècle est donc, en partie, celui d’une notion de pratique dont les contours restent cependant flous ; que sont exactement ces « pratiques » auxquelles beaucoup de chercheurs font référence ? En quoi sont-elles « partagées » ou « sociales » ? Qu’est-ce qui leur permet de prendre ce rôle central dans notre pensée ? Le chantier reste vaste et la notion est loin d’être bordée. Malgré ces confusions, le concept va permettre de faire des avancées importantes dans plusieurs courants contemporains, tant sur la nature de l’activité scientifique, que sur celle de la subjectivité et du langage ou encore sur l’organisation de la vie sociale (Schatzki, 2001). Il permet ainsi de rendre obsolètes certains dualismes considérés comme étouffants. En philosophie, il rend possible le dépassement du clivage sujet-objet par un travail sur les conditions d’intelligibilité de l’action. En sociologie, on évite l’opposition rigide entre action et structure en abordant la question de l’action individuelle en tant qu’unité de l’action sociale. Enfin, dans l’étude des sciences et des techniques, on va se débarrasser de la dichotomie humains – non humains en décrivant la science comme étant une activité certes spécifique mais fondamentalement humaine et sociale (Garfinkel, 1967 : 401). Selon Schatzki, Knorr-Cetina & Von Savigny (2001), les sciences humaines et sociales sont ainsi peu à peu passées des notions de structure, de système, de signification, d’événement ou encore d’action au concept de pratique comme fait social fondamental. Otner (1984) résume bien ce qui est en jeu dans ce tournant : on étudie l’action humaine au travers de son cadre et de ses conséquences. Au-delà de l’objet d’étude (le déroulement concret de l’action réalisée par un individu à un endroit donné), la pratique est donc aussi, et surtout, un prisme d’observation qui donne au politique – au sens noble de contexte social, culturel et historique – une importance fondamentale. On ne cherche pas simplement à observer la façon dont le praticien agit mais aussi à le comprendre, le décrire et expliquer son statut dans une société à ce moment donné, le contexte historique de ses manières de faire, les techniques et la technologie en jeu ou encore les raisons de son action. On cherche finalement à voir tout ce qui n’est pas présent dans le déroulement de l’action mais qui lui donne son sens et sa profondeur.

Cette dernière ligne droite mène à l’émergence d’une analyse des phénomènes sociaux en termes de pratiques ; ce fameux practice turn de Schatzki (2001) certes hétérogène mais profondément dense qui va faire de la notion de pratique un concept dorénavant central. Forte de ses racines en philosophie et en sciences sociales, elle s’impose depuis une vingtaine d’année en sciences de gestion : le knowing-in-practice de Gherardi (2003), la practice lens d’Orlikowski (2000), le courant strategy-as-practice de Whittington (1996), l’institutional work de Lawrence & Suddaby (2006) ou encore le management accounting as practice de Ahrens & Chapman (2007). Cependant, le seul consensus de ce champ foisonnant semble être l’absence d’une définition claire de son concept central. Selon Ortner (1984), les théoriciens se concentrent sur « un paquet de termes interdépendants : pratique, praxis, action, interaction, activité, expérience, performance », rendant « l’approche par la pratique (…) variée » (Ortner, 1984 : 146). Un euphémisme que Schatzki (2001) formule plus directement : « il n’existe pas d’approche unifiée par la pratique » (Schatzki, 2001 : 2). Dès lors, il est devenu classique dans ce que nous nommerons la practice perspective de s’excuser pour cette absence avant de proposer une définition supplémentaire. Cependant, nous nous accordons avec Reckwitz (2001) sur le fait que « le manque d’analyse théorique systématique affiché par certains théoriciens de la pratique ne doit pas amener à un rejet précipité » (Reckwitz, 2002 : 243).

L’état de l’art problématisé qui est proposé dans ce premier chapitre n’a pas pour but d’ajouter une nouvelle définition à l’édifice déjà précaire, mais plutôt de clarifier le champ et d’essayer d’en comprendre le foisonnement. Une lecture en profondeur de la littérature permet de percevoir les tensions qui la trament et de voir la pratique comme un concept mu entre plusieurs pôles et sur plusieurs dimensions. Nous en avons identifié quatre principales : la fluidité, l’acquisition, la réflexivité et l’échelle. Sans prétendre réduire le concept à elles seules, nous affirmons, par contre, qu’elles permettent de rendre compte, et de donner sens, aux multiples théories de la pratique. Ces quatre tensions n’ont pas pour vocation d’être indépendantes, ni parfaitement homogènes, elles s’influencent, se superposent et se recoupent.

une question de fluidité

L’étymologie présentée précédemment a déjà introduit cette première tension retrouvée dans la littérature autour de la liberté et de la variabilité dans la pratique. Si l’on parle de pratique, c’est bien qu’une stabilité existe, mais cela veut-il dire qu’elle est nécessairement figée ? En Sciences de gestion, une partie des analyses peuvent être positionnées sur un continuum allant de la procédure figée à l’improvisation. Sur cet axe, nous nous intéresserons tout autant aux pôles qu’aux tensions allant de l’un vers l’autre.

Une réplication à visée efficace, le practicing , …
Dans la génération et le devenir d’une pratique, une première volonté de l’organisation sera, conformément au prassein grec, d’en stabiliser la forme reconnue comme suffisamment efficace. On cherche alors à la reproduire à l’identique puisqu’elle n’est plus une manière de faire parmi d’autres mais la meilleure manière de faire voire même la manière de faire. Cette volonté de figer, entre stabilisation et réification, renvoie au terme anglais « a practice » qui est un nom, potentiellement un objet, et que nous l’opposerons plus loin au verbe d’action « to practise ». Ainsi, on nommera practicing cette action de routinisation de l’action qui cherche à identifier les best practices afin de les répliquer ailleurs – voire partout – dans l’organisation. Elles constitueront une référence qui, plus qu’une recommandation ou une possibilité de conduite de l’action, deviendra la seule manière de faire. Le one best way de Taylor en est une illustration au niveau organisationnel. De ce point de vue, la pratique devient une norme qui instaure une logique de conformité dans laquelle l’écart constitue une faute. Elle impose une façon de faire indiscutable ayant été explicitée et institutionnalisée. L’acquisition de la pratique est alors atteinte par des exercices répétitifs et normatifs – les gammes sans fin que pratiquent les apprentis musiciens par exemple. L’objectif de cette « pratique de la pratique » en est la reproduction à l’identique. C’est donc une réplication des pratiques au sein de l’organisation que porte le practicing, la production de pratiques-objets stabilisées. Une logique d’efficience imprègne ce processus qui assure une cohérence au sein de systèmes complexes par l’établissement d’une pratique de référence. Cette source est ensuite diffusée et actualisée en permanence. Cela ne signifie en rien l’impossibilité d’une quelconque évolution étant donné que, comme en biologie avec l’ADN, la réplication est toujours synonyme de mutations et de variations. Pour autant, le processus de practicing vise toujours à la stabilisation d’une pratique localement pertinente et à sa transmission à l’identique dans d’autres contextes. C’est donc un exercice de transposition complexe qui tend à sédimenter les manières de faire et à les institutionnaliser (Szulanski, 1996). Cette stabilisation pourra produire, et produit souvent, des best practices et des procédures qui sont répliquées à l’identique.

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Table des matières

Introduction
I. La notion de pratique, un état de l’art problématisé
Introduction : dernière ligne droite avant le practice turn
Première tension : une question de fluidité
Une réplication à visée efficace, le practicing,
… débouchant sur une procédure figée
Une répétition une quête d’élégance, le practising,
… amenant à l’improvisation
Deuxième tension : une question d’acquisition
Par nature, la pratique est le produit d’une transmission
… ce qui en fait une activité collective fondatrice d’une communauté
La pratique passe fondamentalement par une appropriation,
… ce qui en fait une action individuelle
Troisième tension : une question de réflexivité
La pratique comme explicit knowledge
… ou comme tacit knowing,
… liés par une dynamique de réflexivité
Quatrième tension : une question d’échelle
La pratique vue comme un produit institutionnel
… ou considérée comme une action locale
… liés par un processus de structuration
Conclusion
II. L’institutionnalisation des pratiques organisationnelles
Introduction : une rapide revue de littérature des théories institutionnalistes
Les fondations de l’institution
L’analogie : ressemblance et mémoire
Le naturel : légitimité et évidence
Le processus d’institutionnalisation
Habituation
Objectivisation
Sédimentation
Un ensemble d’activités hétérogènes
Une coordination facultative
Travail institutionnel et création d’institutions
Les dimensions de l’institutionnalisation
Trois forces
Trois piliers
Une grille de lecture
Les routines
Les procédures
Les best practices
Les standards
Les rituels
Les traditions
Conclusion
III. Considérations épistémologiques et implications méthodologiques
Les difficultés d’une théorie de la pratique
Les apports de l’épistémologie bourdieusienne
L’impossible construction d’une théorie de la pratique
La possibilité d’une théorie de la logique pratique
Positionnement épistémologique
Implication méthodologiques
Deux objets d’étude principaux : fondements et transmission
Un impératif : l’immersion
Conclusion en forme d’impasse
IV. Méthodologie
Choix de l’objet d’étude empirique
Méthodologie
Une inspiration majeure : l’ethnographie
Une étape indispensable : l’étude exploratoire
Une influence forte : l’auto-ethnographie
Une présentation du terrain particulière : la scénarisation
Présentation du terrain d’étude
V. Ethnographie d’un service de psychiatrie
Introduction : Premiers contacts
La préparation
Aparté n°1 : l’organisation hospitalière
Première semaine
Mercredi
Jeudi
Aparté n°2 : les principaux acteurs d’un service hospitalier
Vendredi
Samedi
Deuxième semaine
Lundi matin
Lundi après-midi
Mardi
Aparté n°3 : Les classifications diagnostiques en psychiatrie
Mercredi
Jeudi
Aparté 4 : le diagnostic dans le concours de l’internat
Vendredi
Samedi
Semaine 3
Lundi
Aparté n°5 : Quelques approches classiques du processus de diagnostic
Mardi
Mercredi
Aparté n°6 : Historique des grandes écoles diagnostiques
Jeudi
Aparté n°7 : une brève histoire du DSM
Vendredi
Semaine 4
Lundi
Mardi
Mercredi
VI. Discussion
Mobilisation de la grille de lecture
Standards et best practices
Procédures et routines
Traditions et rituels
Institutionnalisation des pratiques et contrôle organisationnel
Le diagnostic comme unité du système de contrôle à l’hôpital
Les difficultés d’un contrôle des pratiques organisationnelles
Retour sur la question de la réflexivité
Entre réflexes et réflexion
Les épisodes réflexifs
VII. Conclusion

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