LA NECESSITE DE LA SOCIOLOGIE DE L’ORGANISATION

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LES ZONES D’INTERVENTION DU PROSPERER

Le programme touchera cinq (05) régions sélectionnées sur base de :
la présélection de régions du COSOP en 2006,
les potentialités de développement des régions,
la densité de population (réseau villes campagnes),
la suffisance de la densité de micro-entreprises rurales (MER) existantes et à fort potentiel de croissance et,
la complémentarité par rapport aux autres opérations de développement.
Parmi ces régions, il y a deux groupes de régions imitrophesl : (i) Analamanga et Itasy dans la partie centrale des Hauts Plateaux autour d’Antananarivo et, (ii) la Haute Matsiatra et Vatovavy Fitovinany correspondant au sud des Hauts Plateaux de l’ex-province de Fianarantsoa ainsi qu’une région situéeau nord des Hauts Plateaux, Sofia.
Au sein de chacune des régions d’intervention, les districts ciblés offrent le meilleur potentiel de développement de pôles de micro-entreprises au sein des filières de production et des clusters d’artisans et de services.
ANALAMANGA : Andramasina, Ambohidratrimo, Manjakandrina, Antananarivo, Atsimondrano et une option d’extension possible sur Anjozorobe
ITASY : Miarinarivo, Arivonimamo, Soavinandrina
HAUTE MATSIATRA : Ambohimahasoa, Fianarantsoa, Ambalavao
VATOVAVY FITOVINANY : Manakara, Mananjara, Ifanadiana, Vohipeno
SOFIA : Antsohihy, Boriziny, Befandriana, Mandritsara
L’ensemble des 19 districts sélectionnés correspondà une population totale de plus de 4 millions d’habitants. Les quelques 2,4 millions d’habitants représentant les 59% sont considérés comme pauvres ou démunis selon les estimations du recensement de communes en 2001. Le programme cible en tout 346 communes, environ le quart des communes présentes à Madagascar.

LE MODE D’INTERVENTION DU PROSPERER

Pour bien expliquer le mode d’intervention du PROSPERER, voici un schéma très simplifié qui montre les différentes étapes d’approches du PROSPERER.
Pour réalisé leurs activités de développement, PROSPERER s’intervient par l’intermédiaire des prestataires de services comme le GUMS, PARECAM, AGRI SUD…
• Sensibilisation : Cette étape concerne, en premier lieu, à informer les petites et micro-entreprises rurales sur le PROSPERER. En deuxième lieu, il consiste à les convaincre d’adhérer au programme. En générale, cesont les techniciens du GUMS qui assureront cette étape, en utilisant l’IEC et le CCC au niveau de la population cible.
• Identification : Cela procède à l’identification des MER/PER au niv eau des fokontany ciblé. En effet, les techniciens du GUMS font des descentes sur terrain et des enquêtes auprès des petites et micro-entreprise rurale. Souvent, ils font des approches structurelles par le biais du Maire de la commune et les chefs de fokontany.
• Validation : Quand les MER/PER sont identifiés, ils sont validés par les critères visés par les objectifs du PROSPERER. En effet, la validation des MER bénéficiaires sur la base de critères de taille minmum de l’activité (volume produit, investissement/équipement mobilisé) et de comportement micro-économique (intégration marché/filière/cluster, création de leurva ajoutée).
• Diagnostique : Cette étape consiste à élaborer un « busness plan» pour les petites et micro-entreprises rurale. D’ailleurs, le « busness plan » permet au MER/PER d’évaluer leurs activités et d’apporter des améliorations dans l’avenir.
• Appuis : Dans cette dernière étape d’approche, PROSPERER s’intervient par la présence d’un prestataire de service, d’un organisme gouvernemental ou non gouvernementale. Dans la Commune rurale Analavory, zone de la présente étude, l’ONG PARECAM est le prestataire de service du PROSPERER. C’est un programme d’appui à la résilience aux crises alimentaires à Madagascar. Le PARECAM a commencé son intervention au mois de juilet 2009 à Analavory et leurs actions vont durer deux ans. Leur principale activité est la distribution de la semence d’haricot (la semence est à rendre 100% apr ès la récolte) et la vente des insecticides et des engrais à 50% de leur prix réel.

LES OBJECTIFS DU PROSPERER

L’OBJECTIF GLOBAL

Le programme PROSPERER a pour objectif global de promouvoir l’augmentation des revenus par la consolidation des petites et micro-entreprises rurales au niveau local et régional.

LES OBJECTIFS SPECIFIQUES

PROSPERER a fixé comme objectif spécifique :
-Créer et appuyer un réseau d’organisations professionnelles, de corps de métiers et de fédérations interprofessionnelles qui répondront aux besoins de développement des entreprises rurales.
-Contribuer à l’élaboration d’un cadre institutionnel et de la politique nationale en matière d’appui aux micro-entreprises rurales
-Améliorer la compétitivité des petites et micro-entreprises rurales pour renforcer les performances des clusters et filières au sein de pôles économiques régionaux.
-Permettre aux MER/PER d’accéder à des services financiers et non financiers pérennes ainsi qu’aux marchés dans un environnement favorable de gestion de risques, et
-créer un environnement structurant favorisant la modernisation des filières/ clusters rurales.

LES GROUPES CIBLES DU PROSPERER

Le programme visera en priorité les MER de 0 à 4 employés et les PER de 5 à 15 employés. Le programme aura une attention toute particulière pour les groupes vulnérables tels que les femmes et associations de femmes rurales, les jeunes ruraux sans emploi et les pauvres ruraux sans accès à la terre. Notamment, l’ accent sera porté sur les filières et les activités où les femmes sont les plus présentes etoffrent des avantages comparatifs (filières tissage, broderie, agro-alimentaire). Plus de 50% des MER bénéficiaires directes et indirectes seront des MER gérées par les femmes. Les jeunes ruraux sont également particulièrement ciblés par le programme qui mettraen place une dynamique de formation et dans un deuxième temps, il leur donne aussi des appuis à l’insertion professionnelle par un soutien à la création des micro-entreprises rurales. La participation des jeunes ruraux sera aussi encouragée dans les divers espaces de concertation mis en place ou appuyés par le programme.
Pour bien déterminer notre zone d’étude, nous avonschoisi la commune rurale d’Analavory, District du Miarinarivo dans la région de l’ITASY. Maintenant, nous allons voir ci-dessous la généralité sur notre zone d’étude qui est la commune rurale d’Analavory.

LA GENERALITE SUR LA COMMUNE RURALE D’ANALAVORY

HISTORIQUE

Au XVII ème siècle durant la traite d’esclave, un Roi Sakalava avait habité sur une colline appelée Ngilomby. Ce Roi se singularisait par son attrait à l’organisation de « Vala vory » qui était un jeu consistant à réunir les plus puissants des zébus des alentours de cette colline. Dans ce jeu, le Roi organise un duel entre les zébus les plus puissant et le « Savika ». En fait, le « Savika » est un jeu sportif pratiqué par un homme très musclé. Pour réaliser ce jeu, l’homme attrape en courant la bosse du zébu sauvage et tient ses cornes jusqu’à ce que le zébu se calme. Avant le XVII ème siècle, le jeu « Vala vory » était désigné par les habitants comme l’origine de l’appellation du lieu. Plus tard, ils ont changés le nom du lieu en « Ambalavory ». Vu la multiplicité des potentialités de la commune, plusieurs colons ont déjà y installé durant les temps de la colonisation. Comme Payet et Clavel possédaient des concessions durantces périodes.
Les actualités donnent toujours la primauté à l’agriculture et à l’élevage, étant donné que le relief et le climat se prêtent favorablement à cette agriculture.

LOCALISATION

Notre zone de recherche est la commune rurale d’Analavory, qui se trouve à 111Km du capital de Madagascar (Antananarivo) suivant la Route Nationale N° 1 (RN1), qui relie Antananarivo et Tsiroanomandidy. Elle se situe dans la région de l’ITASY qui est une région très productive dans le domaine de l’agriculture ; elle se trouve à 22 Km à l’Ouest du chef lieu de la Région ou Miarinarivo. S’étendant sur une superficie de 406 Km2, la commune rurale d’Analavory est limitrophe des communes suivantes :
-Nord: Anosibe Ifanja, Sarobaratra Ifanja, Andolofotsy, Ambatomanjaka.
-Sud: Ampefy, Ankaranana
-Ouest: Alatsinainikely
-Est: Miarinarivo II, Manazary
La commune rurale d’Analavory est composée de vingt un (21) Fokontany :
Ambatomitsangana, Ambohibary, Ambohijafy, Ambohimanana, Amboniriana, Aminaviavy, Amparaky, Amparihy, Analavory, Andranomavo, Ankonabe, Ankorondrano, Ankotrabe, Antanetibe, Antanetimboahangy, Kianjasoa, Mandrevo, Marosoka, Ngilomby, Soaronono, Tsarazaza.
Analavory est une commune rurale fortement fructueuse en matière d’agriculture grâce à la nature du sol, caractérisée par des alluvions et des cendres volcaniques aux aptitudes culturales élevées, fertiles et nutritifsaux différents types de cultures.

LES ATOUTS DE LA COMMUNE RURALE D’ANALAVORY

La commune rurale d’Analavory possède des atouts considérables pour l’avenir de son économie. Par ailleurs, du point de vue richesses naturelles et conditions socio-économiques.

LES RICHESSES NATURELLES

Elle dispose le Lac ITASY qui est l’un des plus grands lacs de Madagascar. C’est un lieu touristique très connu au niveau national qu’international. En plus, ce lac possède des variétés de poissons d’eau douce connuà Madagascar qui attire les pêcheurs dans la localité d’étendre leur filet dansle lac.
En ce qui concerne toujours le côté naturel, ANALAVORY possède de nombreux cratères d’ancien volcan et de nombreux sites pittoresques insolites qui attirent beaucoup à des randonnées éco-touristique.

LES CONDITIONS SOCIOECONOMIQUES

Une étendue de terres arables constituées esssentiellement de sol alluvionnaires et volcaniques aux aptitudes culturales élevés. En effet, La commune rurale d’ANALAVORY dispose des sols ferralitiques rouges que sont venus fertiliser les cendres volcaniques qui sont nombreux dans la région de l’ITASY.
A l’image du sol, le climat rencontré à Analavory est un climat tropical d’altitude dont les principales caractéristiques sont l’alternance de deux saisons contrastées : chaude et pluvieuse et sèche et froide. Pour Analavory, ce climat présente :
-de Novembre à Mars : saison pluvieuse et chaude
-Avril au Juillet : saison froide et sèche
-Août à l’Octobre : saison chaude et sèche
Ce type de climat permet de varier les types de culture et d’élevage dans la commune
Une production agricole vivrière dominée par le riz, le manioc et l’haricot.
De vastes étendues de pâturages naturels propices au développement de l’élevage extensif de l’élevage bovins.
D’après ces atouts, nous constatons que cette commune est plus avancée du point de vue économique par rapport aux autres communes rurales de Madagascar.
En guise de conclusion, la première partie est composée de deux chapitres : l’approche conceptuelle de l’étude et la présentation de la zone d’étude. Dans cette partie, nous avons essayé de définir les mots clés de l’étude avec les théories correspondes à notre thème de recherche. Ensuite, la présentationde la zone d’étude vienne en deuxième chapitre pour présenter : la commune rurale d’Analavory et le programme PROSPERER.
Cette première partie est basée par la connaissancethéorique générale de notre thème de recherche. Puis la deuxième partie nous permet de savoir et délimiter notre milieu de Maintenant pour connaitre les vécues sur terrain, nous allons entrer dans la deuxième partie pour étudier les impacts socio-économiques ed l’intervention du PROSPERER sur la filière haricot dans la commune d’Analavory.

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Table des matières

INTRODUCTION
ChapitreI. : L’APPROCHE CONCEPTUELLE
Section 1: LES THEORIES DES AUTEURS ET DEFINITION DES MOTS CLES
I. LA SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS
A. LA THEORIE DES ORGANISATIONS
II. LA DYNAMIQUE DE GROUPE DE KURT LEWIN
III. LA THEORIE DE PRIX
A. LA THEORIE
IV. LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
A. LES INDICATEURS DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
V. DEFINITION DU REVENU
A. LES INDICATEURS DE REVENU ET DE RICHESSE
VI. LA THEORIE DE LA DYNAMIQUE DE L’ECONOMIE MARCHANDE
VII. LE FONCTIONNALISME DE MALINOWSKI
Section 2: LES DIFFERENTES METHODES/ CONCEPTS UTILISEES ET LEUR APPLICATION AU NIVEAU DU TERRAIN
I. LA NECESSITE DE LA SOCIOLOGIE DE L’ORGANISATION
II. L’ADOPTION DE LA DYNAMIQUE DE GROUPE DE KURT LEWIN
III. L’IMPORTANCE DE LA THEORIE DE PRIX
IV. L’EMPLOIE DE LA THEORIE DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
V. L’APPLICATION DE LA THEORIE DE LA DYNAMIQUE DE L’ECONOMIE MARCHANDE SUR LE TERRAIN
VI. L’ANCRAGE DU FONCTIONNALISME DE MALINOWSKI AU TERRAIN D’ETUDE
VII. LES ANCRAGES DE NOTRE APPROCHE AU NIVEAU DU TERRAIN
ChapitreII. LE PROGRAMME PROSPERER
Section 1: PRESENTATION GENERALE DU PROSPERER
I. CADRE GENERALE ET HISTORIQUE
II. LES ZONES D’INTERVENTION DU PROSPERER
III. LE MODE D’INTERVENTION DU PROSPERER
IV. LES OBJECTIFS DU PROSPERER
A. L’OBJECTIF GLOBAL
B. LES OBJECTIFS SPECIFIQUES
V. LES GROUPES CIBLES DU PROSPERER
Section 2: LA GENERALITE SUR LA COMMUNE RURALE D’ANALAVORY
I. HISTORIQUE
II. LOCALISATION
III. LES ATOUTS DE LA COMMUNE RURALE D’ANALAVORY
A. LES RICHESSES NATURELLES
B. LES CONDITIONS SOCIOECONOMIQUES
ChapitreIII. LES DONNEES SOCIO-ECONOMIQUES DE BASE
Section 1: LES DONNEES SUR LA POPULATION D’ANALAVORY
Section 2: LES PRINCIPALES ACTIVITES DE LA POPULATION
Section 3: LES SPECIFICITES DES FOKONTANY CHOISIS PAR PROSPERER/PARECAM
ChapitreIV. LES CARACTERISTIQUES ET LES OBSTACLES DES PETITES ET MICRO ENTREPRISES RURALES
Section 1: LA TYPOLOGIE DES PETITES ET MICRO-ENTREPRISES RURALE D’ANALAVORY
I. LES MER EMERGENTES
II. LES MER A POTENTIEL
III. Les MER en croissance
IV. Les PER
Section 2: LE FONCTIONNEMENT DES PETITES ET MICRO-ENTREPRISES RURALE D’ANALAVORY
I. DE DEFINITION DE L’UNITE PRODUCTION
II. LA SOLIDARITE FAMILIALE OU CLANIQUE
III. LE FOND DE ROULEMENT
Section 3: L’ANALYSE DU BUDGET DES MER/ PER D’ANALAVORY
I. LA STRUCTURE DES RESSOURCES
A. LES RESSOURCES ISSUES DE L’AGRICULTURE
B. LES RESSOURCES ISSUES DE L’ELEVAGE
C. LES REVENUS HORS EXPLOITATION
Section 4: LE REVENU AGRICOLE DES MER/PER D’ANALAVORY
I. LE CHOIX DE LA CULTURE
II. LA VALEUR DE LA PRODUCTION AGRICOLE
III. LE SURPLUS AGRICOLE COMMERCIALISE
Section 5: LES OBSTACLES DU DEVELOPPEMENT DES ACTIVITES DES PETITES ET MICRO
ENTREPRISES RURALES D’ANALAVORY
I. LES PRINCIPAUX PROBLEMES DES MER DANS LE DEVELOPPEMENT DE LEURS ACTIVITES
A. LE MANQUE D’INSECTICIDE DANS LA CULTURE D’HARICOT
B. L’INSECURITE FONCIER
C. LES PRIX DES PRODUITS AGRICOLES
D. LA TECHNIQUE CULTURALE MODERNE
E. LES MICROFINANCES
F. LA COMMUNICATION
G. LA PARESSE
H. LA DEGRADATION DES TERRES CULTIVABLES
I. LA GESTION FINANCIERE
J. LA TRADITION
K. LES FORMATIONS DU PROSPERER
L. L’INSECURITE DES BIENS
ChapitreV. L’ANALYSE D’IMPACTS SOCIO-ECONOMIQUES DE L’INTERVENTION DU PROSPERER AU COMMUNE RURALE D’ANALAVORY
Section 1: LES IMPACTS SOCIAUX
I. LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT DES MER/PER
II. L’AUTONOMISATION OU LA RESPONSABILISATION DES MER/PER
III. LA COHESION SOCIALE ENTRE LES MER OU LES PER
Section 2: LES IMPACTS ECONOMIQUES
I. AMELIORATION DE RENDEMENT DE PRODUCTION D’HARICOT
II. LA SECURITE ALIMENTAIRE
III. LA FACILITE D’ACCES AUX SEMENCES, AUX ENGRAIS ET AUX INSECTICIDES
IV. AUGMENTATION DES REVENU DES PETITES ET MICRO-ENTREPRISES RURALES
ChapitreVI. : LES BILANS DES ACTIVITES DU PROSPERER
Section 1: LES BILANS POSITIFS
I. L’APPROCHE DU PROSPERER
II. LE TAUX DU RENDEMENT AGRICOLE
III. LA FORMATION TECHNIQUE
Section 2: LES BILANS NEGATIFS
I. LA SENSIBILISATION
II. LA DURRÉE LIMITÉE
III. LES IMPACTS LIMITÉS
IV. LE MANQUE DE SUIVI
V. L’IDENTIFICATION DES MER/PER
VI. LA TECHNIQUE CULTURALE MODERNE
VII. LE TEMPS DE LA FORMATION
ChapitreVII. I : LES SUGGESTIONS ET LES PERSPECTIVES D’AVENIR AVANCEES PAR LE TRAVAILLEUR SOCIAL
Section 1: LES SUGGESTIONS POUR PROSPERER
I. L’EFFICACITE DU PROJET
II. LES TECHNICIENS DU PROPERER
III. LE RETARD DES ENGRAIS
IV. L’IDENTIFICATION DES MER/PER
V. LA FLUCTUATION DES PRIX DE PRODUCTION
VI. INFORMER ET SENSIBILISER
VII. SELECTIONNER ET DIAGNOSTIQUER LES MER
VIII. ELABORER LE PLAN D’APPUI
IX. FORMATION EN GESTION, A L’ORGANISATION ET A L’ENTREPREUNARIAT
Section 2: LES SUGGESTIONS POUR LES MER ET PER D’ANALAVORY
I. LA STABILISATION DES PRIX DE PRODUCTIONS
II. L’INSECURITE FONCIER ET DES BIENS
III. L’ECONOMIE
IV. LA COMMUNICATION
Section 3: LES SUGGESTIONS POUR LES AUTORITES LOCALES
I. DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DE LA COMMUNE
II. CHANGER DE COMPORTEMENT
III. APPUYER LES INITIATEURS DE PROJET POUR LE DEVELOPPEMENT RURAL
IV. CREER OU REHABILITER LES INFRASTRUCTURES DANS LA COMMUNE D’ANALAVORY
V. FAVORISER L’ACCÈS AU MARCHÉ
Section 4: LES SUGGESTIONS POUR L’ETAT MALGACHE
I. HORIZONTALITE DE LA POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT LOCAL
II. STABILISATION DES PRIX DE LA PRODUCTION DE LA COMMUNE RURALE D’ANALAVORY
III. APPUI DES PAYSANS
IV. LE BON FONCTIONNEMENT DE LA POLITIQUE DE LA DECENTRALISATION
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
TABLES DES MATIERES
LISTES DES TABLEAUX
LISTE DES GRAPHIQUES
LISTE DES ABREVIATIONS
ANNEXE
CURRICULUM VITAE
RESUME

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