La métaphore organisationnelle : Parcours de légitimation d’un concept qui divise

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De la résilience écologique à l’émergence de la résilience individuelle

A partir de la fin des années 1970, la résilience suscite un engouement sans précédent en sciences sociales, plus précisément auprès des psychologues et cliniciens dans le cadre de l’analyse du comportement infantile (Garmezy 1970 ; Werner & Smith 1982 ; Manciaux, 2001 ; Tychey, 2001 ; Bégin & Chabaud 2010 ; Koninckx & Teneau, 2010). De nombreux travaux ont ainsi contribué à l émergence de la résilience individuelle ou résilience psychologique. L’étude de la littérature met en lumière deux concepts majeurs qui ont favorisé l’apparition du concept de résilience en Psychologie (Tomkiewicz 2005 ; Koninckx & Teneau, 2010). Le premier est un concept « orphelin » dont la paternité n’a jamais été réclamée selon Tomkiewicz (2005). Il s’agit du concept anglais « coping with » ou « coping » qui traduit l’idée de « faire face » ou « vivre avec » son handicap (physique, mental ou chronique), son traumatisme ou malheur tel que le stress, la maladie, la guerre (Tomkiewicz, 2005 ; Koninckx & Teneau, 2010). Pour Tomkiewicz (2005), le deuxième concept (qui est français) est « l’invulnérabilité », inventé par Koupernik & Anthony (1982). Les auteurs illustrent ce concept par une poupée (le sujet) en acier (caractère invulnérable) capable de résister à toute chute (l’agression) sur toutes sortes de sols (sable, béton, etc.,). Elle s’assimile ainsi à une force innée liée à la personnalité qui permet à l’individu de ne pas sombrer tout au long de sa vie peut importe le traumatisme. Koninckx & Teneau (2010) estiment que le second concept à l’origine de la résilience en psychologie est celui de « vulnérabilité », une notion devenue un sujet de recherche pour les psychologues et les cliniciens qui tentent de comprendre les facteurs (personnels, affectifs, rationnels et environnementaux) qui rendent les individus vulnérables. Pour ce faire, les psychologues et cliniciens se penchent sur l’enfance avec l’hypothèse que les blessures occasionnées durant cette période pourraient expliquer les troubles du comportement qui surgissent à l’âge adulte (Rutter, 1985 ; Garmezy 1970 ; Tisseron, 2007 ; Koninckx & Teneau, 2010). Les études sur les enfants issus de mères schizophrènes ont joué un rôle prépondérant dans l’émergence de la résilience de l’enfance dans la littérature anglo-saxonne grâce aux travaux de Garmezy (1970), il est considéré comme l’un des premiers académiciens à étudier la résilience. Il s’est intéressé aux facteurs qui pouvaient expliquer l’absence de défaillances psychologiques chez la plupart des enfants issus de parents schizophrènes bien qu’ayant grandis avec ces derniers. Ses travaux ont abouti à la conclusion qu’une certaine qualité de résilience joue un rôle crucial dans la santé mentale de ces enfants, néanmoins, aucune autre recherche n’a pu confirmer cette conclusion à l’époque (Coutu, 2002). Une dizaine d’années plus tard, les psychologues américains Werner & Smith (1982) deviennent les pionniers en matière de résilience et leurs travaux, constituent une véritable référence pour les études sur la résilience individuelle (Manciaux, 2001a ; Tisseron, 2009b ; Kantur, 2015). Durant leur étude qui a duré environ quarante ans, Werner & Smith (1982) cherchent à comprendre les forces ou capacités protectives responsables ou non de deux comportements observés chez deux catégories d’enfants : ceux qui s’adaptent positivement pour « s’en sortir » et ceux qui n’y arrivent pas lorsqu’ils sont exposés à des conditions précaires de vie dès l’enfance. Ils observent un échantillon de plus six cents enfants nés à Hawai en 1955, dans des conditions difficiles : accès limité à l’école, familles pauvres, parents violents ou alcooliques. Cependant, des années plus tard, un constat insolite survient : certains de ces enfants, précisément 29% d’entre eux ont réussi à s’affranchir des difficultés pour réussir et devenir des adultes responsables (Lengnick-Hall et al., 2011). C’est alors que Werner & Smith (1982) évoquent pour la première fois le concept de « résilience individuelle » pour qualifier cette catégorie d’enfants qui a réussi à s’en sortir socialement malgré les conditions défavorables de départ.
Par ailleurs, les études sur la résilience des individus gagnent du terrain et s’imposent dans la littérature francophone grâce à l’ethnologue Boris Cyrulnik (1999 ; 2001 ; 2005) l’un des auteurs connus en matière de résilience dans le contexte français, ainsi que des auteurs comme Manciaux (2001a ; 2001b), Tomkiewicz (2005), Vanistendael (2005) et Anaut (2005 ; 2015). Comme ses collègue, Cyrulnik s’intéresse également à l’enfance avec la conviction que « les enfants résilients peuvent nous apprendre à réduire les risques, à favoriser les compétences et à réparer les développements altérés » (Cyrulnik, 1999 : 19). D’autres auteurs comme Teneau (2011, 2017) se sont aussi spécialisés dans le champ de la résilience.
Ainsi, les concepts de « coping » et d’invulnérabilité/vulnérabilité, ont préparé le terrain pour l’émergence de la résilience individuelle. Ces concepts, bien que séduisants et suscitants de l’intérêt dans un premier temps (Tomkiewicz, 2005) ont fini par être évincés au profit de la résilience dont le succès est immédiat aux Etats-Unis (avec les travaux de Werner & Smith, 1982) puis en Angleterre (avec les travaux de Rutter, 1985) et finalement dans la littérature francophone (Manciaux, 2001; Cyrulnick, 2005 ; Tomkiewicz, 2005 ; Tisseron, 2009 ; Teneau, 2011). Contrairement à la vulnérabilité et au « coping » ou « to cope with » qui pourraient traduire une certaine forme de condamnation à l’égard des victimes d’un malheur vis-à-vis de leur sort, la résilience offre une porte de sortie, une échappatoire et l’espoir d’un meilleur lendemain (Cyrulnik, 1999, 2001 ; Tomkiewicz, 2005). Ce qui ressort des écrits de ces auteurs en matière de résilience individuelle est que le futur ou la fin des enfants vulnérables n’est pas toujours aussi tragique comme on a tendance à le croire.

La résilience individuelle : un préalable à la compréhension de la résilience organisationnelle

Dans cette partie, nous nous intéresserons tout d’abord aux différentes approches dans un premier temps, avant de voir si la résilience individuelle est une capacité ou un processus. Ensuite, nous nous intéressons aux facteurs qui participent à la construction d’une capacité de résilience. Enfin, nous essayerons de mettre en lumière les apports de la résilience individuelle.

Les approches de la résilience individuelle

Tychey & Lighezzolo (2004) définissent trois grandes approches du concept de résilience individuelle : l’approche par la théorie cognitivo-comportementaliste, l’approche médicale en santé publique et l’approche psycho-dynamique.

L’approche cogntivo-comportementaliste

L’approche par la théorie cognitivo-comportementaliste se situe dans le champ de la psychologie clinique. Cette approche met l’accent sur le processus cognitif qui permet de gérer les concepts centraux de « stress » et de « coping » qui évoque l’idée de faire face et de s’ajuster (Teneau, 2011). Dans cette perspective, la résilience est le résultat d’une attitude d’adaptation positive de l’individu et le fait pour lui de réussir à être compétent en dépit des situations stressantes auxquelles il doit faire face (Masten et al., 1990). Les actifs et les ressources personnelles de l’individu lui permettent de s’adapter facilement tout au long de la vie, l’expérience de la résilience étant susceptible d’évoluer (Windle, 2011 : 163). Cyrulnik (1999) quant à lui, voit dans la résilience, une forme de « renaissance » qui n’est possible qu’après un processus d’adaptation de l’individu à sa situation. Cette vision de la résilience met l’accent sur la capacité d’adaptation de l’individu aux différentes situations stressantes qu’il rencontre au cours de son existence.Tychey & Lighezzolo (2004) suggèrent, par ailleurs, de ne pas tomber dans le piège de l’exagération en matière d’adaptation car ils estiment que la simple adaptation aux petits soucis de la vie quotidienne ne suffit pas pour parler de résilience. Achor & Gielan (2016) ne partagent pas totalement cette vision. Pour eux, la résilience n’est pas forcement la capacité à endurer mais la manière dont un individu recharge ses batteries au quotidien. Pour ce faire, ils suggèrent par exemple de prendre « une pause cognitive » tous les jours, en évitant toute distraction (surtout celle liée au téléphone portable). Cette perception apporte un nouveau regard sur la résilience individuelle puisqu’elle semble ne plus être seulement réservée au passé douloureux ou aux grands traumatismes.

L’approche médicale en santé publique

L’approche médicale en santé publique, quant à elle, relève de la psychologie de la santé et définit la résilience comme un processus dynamique progressif qui se bâtit au fur et à mesure que l’individu interagit avec son environnement (Anaut, 2005).
En effet, il s’agit d’une approche clinique qui considère que tous les individus possèdent des capacités de résilience, cependant, elles peuvent être latentes chez certains sujets. Selon Anaut (2005; 2015), le précédent constat implique que tout individu est susceptible de devenir résilient s’il reçoit l’aide ou l’accompagnement adéquat. Cet accompagnement se fait par des professionnels de la santé publique comme les thérapeutes, les aides soignants, etc. Ces professionnels constituent des « tuteurs de résilience », c’est-à-dire des personnes sur lesquelles les individus peuvent compter ou s’appuyer pour le développement d’une capacité de résilience face aux chocs ou traumatismes auxquels ils doivent faire face. Cette notion est plus développée dans la suite de cette section.
L’objectif de cette démarche est d’activer le potentiel de résilience chez ces personnes. La résilience est dans ce cas, stimulée par les personnes de l’environnement du sujet. Cette approche est à notre sens, une lueur d’espoir pour la l’éradication ou à défaut la réduction des cas sociaux que représentent les enfants ou personnes ayant subis des maltraitances familiales et autres, les enfants de rue, les prisonniers, etc.

L’approche psycho-dynamique

L’approche psycho-dynamique est celle qui englobe les deux premières approches et demeure la plus employée dans l’étude de la résilience selon Tychey & Lighezzolo (2004). Elle considère la résilience comme un processus dynamique centré sur le sujet et l’analyse de « son fonctionnement intrapsychique » (Anaut, 2005). La résilience est dans ce cas un phénomène psychologique qui mobilise à la fois les capacités internes et du soutien externe (Charreire-Petit & Cusin, 2013). Selon cette approche, pour parler de résilience il faut que deux conditions soient réunies, à savoir la présence d’un traumatisme et une reprise du développement du sujet confronté au trauma (Cyrulnik, 2001).
Dans les paragraphes précédents, nous remarquons que la résilience individuelle ou psychologique est parfois définie comme une capacité et d’autres fois comme un processus. Dans ce qui suit, nous essayerons de porter l’attention sur ce débat.

La résilience individuelle : capacité ou processus ?

En matière de définition de la résilience individuelle, il ya d’un côté ceux qui la conçoivent comme une capacité et de l’autre côté, ceux qui la définissent en terme de processus. Ce débat est l’objet de ce paragraphe.

La résilience individuelle comme une capacité

La résilience est tout d’abord perçue comme une capacité. A l’instar de Manciaux (2001b : 50) pour qui, il semble avoir un consensus dans la littérature pour définir la résilience « comme la capacité de l’individu de se construire et de vivre de manière satisfaisante malgré les difficultés et les situations traumatiques auxquelles il peut être confronté au cours de son existence ». Poletti & Dobbs (2001: 29) avancent que la résilience est « une capacité fondamentale humaine. Tous les individus ont le pouvoir de se transformer et de transformer leur réalité à condition de trouver en eux et autour d’eux les éléments qui leurs permettent de créer cette capacité de résilience ».Vanistendael & Lecomte (2000 : 159) apportent une nuance à cette conception en stipulant que : « la résilience n’est pas une caractéristique personnelle au sens strict mais plutôt une caractéristique qui s’acquiert au travers de l’interaction de ce dernier avec son environnement ». La résilience dans ce sens est un attribut ou une ressource puisée à l’intérieur et à l’extérieur, c’est-à-dire dans l’environnement des sujets. Cette pensée rejoint celle de Werner & Smith (1982, 1992) qui définissent la résilience comme la capacité des personnes à outrepasser leurs conditions difficiles à partir non seulement de leurs qualités personnelles, mais également, grâce aux ressources que leur fournit l’environnement. Dans cet ordre d’idées, Bégin & Chabaud (2010) envisagent la résilience individuelle comme « la capacité de l’individu à résister aux traumatismes, à rebondir face à l’adversité, à retomber sur ses pieds malgré les déboires de sa vie » (Bégin & Chabaud, 2010: 129). Pour le psychologue et clinicien Tychey (2001: 50), la résilience est une particularité psychique qu’il décrit comme « la capacité de l’individu de se construire et de vivre de manière satisfaisante malgré les difficultés et les situations traumatiques auxquelles il peut être confrontées ». La résilience semble être assimilée à la résistance, ce qui suppose une certaine robustesse morale de la part des sujets. Koninckx & Teneau (2010), quant à eux, ils proposent de distinguer deux types de résilience. La résilience de type 1 qui exprime les aptitudes d’une personne à mobiliser les ressources nécessaires pour retrouver un état d’équilibre antérieur au choc dans les limites acceptables. La perspective temps, c’est le présent et le passé. Et la résilience de type 2 qui exprime les aptitudes d’une personne à mobiliser les énergies nécessaires pour traverser la crise et trouver un nouvel équilibre en rupture avec la situation antérieure. La perspective temps, c’est le présent et le futur. La résilience de type 1 s’apparente à une force de résistance qui permet de surmonter les chocs du passé pour mieux vivre le présent tandis que la résilience de type 2 fait non seulement appel à la capacité de résister et de surmonter les épreuves mais également à la capacité du sujet à se projeter dans le futur.

La résilience individuelle comme un processus

Même si la résilience est majoritairement perçue comme une capacité. Manciaux (2001b) fait remarquer que cette capacité est le résultat d’un processus dynamique en constante évolution, durant lequel l’ampleur du traumatisme peut amoindrir les ressources du sujet.
Pour Rutter (2012) même si certaines personnes peuvent faire preuve de résilience dans plusieurs situations, cela n’est pas suffisant pour caractériser la résilience comme une capacité car il estime qu’il s’agit d’un concept dynamique. Selon lui, « la résilience doit être envisagée comme un processus et non comme un attribut fixe d’un individu » (Rutter, 2012: 335). La résilience est alors « un processus dynamique qui engendre une adaptation positive dans le contexte d’une adversité importante » (Luthar et al., 2000 ; Luthar & Brown, 2007 ; Windle, 2011 ; Kantur, 2015). La résilience pourrait être un « processus de reconstruction » qui « (…) fait, notamment, appel aux qualités de ténacité de l’individu »(Charreire-Petit & Cusin, 2013: 150). Dans ce sens, la résilience s’applique à la reconstruction personnelle, notamment, sur le plan professionnel comme dans le cas du « whistleblowing » c’est à dire la dénonciation de pratiques illégales ou non éthiques à l’encontre d’une personne auprès d’autorités ou personnes ayant le pouvoir de sanctionner de telles pratiques (Charreire-Petit & Cusin, 2013). Le whistblower (la personne faisant l’objet de dénonciation) fait alors face à des sanctions (comme la mise à l’écart, le licenciement, etc.) qu’il peut parvenir à surmonter pour rebondir professionnellement (Charreire-Petit & Cusin, 2013). Toujours dans l’idée de reconstruction, Bégin & Chabaud (2010) estiment que la résilience s’applique également à l’entrepreneuriat pour parler du processus de reconstruction ou de revanche de l’entrepreneur face aux difficultés rencontrées ou face à l’échec.
Concevoir la résilience comme un processus revient à reconnaître que celle-ci s’inscrit dans le temps ; elle ne correspond pas à un état statique mais à un processus évolutif (Koninckx & Teneau, 2010). Son acquisition ou sa construction pourrait prendre du temps.
Pour conclure, la résilience individuelle s’inscrit dans une approche psychologique. Elle a une connotation comportementaliste (Manciaux, 2001b ; 2001b) en ce sens qu’elle permet de saisir le comportement de l’individu face aux aléas de la vie (traumatismes, maladie, difficultés etc.). Cette perspective permet de comprendre « pourquoi à pathologie égale certains patients vont-ils vivre ou mourir ? » (Tychey, 2001: 49). La résilience individuelle ou résilience psychologique soulève alors des réflexions quant aux facteurs qui permettent à un sujet de faire face à l’adversité sans préjudice majeur. Toutefois, Tomkiewicz (2005) attire l’attention sur les limites ou le cadrage de la résilience au sens large. Il pense qu’une telle conception pourrait au non de la résilience, enjoliver et légitimer des conduites amorales et non éthiques comme le vol, la violence chez les enfants de la rue, la torture et le génocide comme l’a fait Hitler, lui-même ayant été victime de maltraitance. En d’autres termes, tout rebondissement dans la vie ne peut être taxé de résilience. Ce raisonnement semble louable puisque l’inclusion d’une telle catégorie dans la résilience pourrait envoyer un message tout aussi dangereux que contre-productif. Ainsi, le résultat et le moyen par lequel l’on parvient à la résilience sont tout aussi importants et méritent de ce fait, une attention particulière.

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Table des matières

Introduction générale
Première partie : Revue de littérature, discussion et problématisation autour d’un concept polysémique 
CHAPITRE I : De la résilience individuelle à la résilience organisationnelle
Introduction du chapitre 1
Section 1 : Emergence, évolution et définition du concept de résilience
Section 2 : La résilience organisationnelle : quelle portée pour le management d’aujourd’hui ?
Conclusion du chapitre 1
CHAPITRE II : La métaphore organisationnelle : Parcours de légitimation d’un concept qui divise
Introduction du chapitre 2
Section 1 : Les fondements linguistiques et philosophiques de la métaphore
Section 2 : La métaphore organisationnelle : quelle utilité pour les organisations ?
Conclusion du chapitre 2
CHAPITRE III : Résilience organisationnelle et métaphore organisationnelle : Proposition d’un modèle théorique
Introduction du chapitre 3
Section 1 : Importance, parcours historique et ancrage conceptuel
Section 2 : Le statut métaphorique de l’apprentissage organisationnel : comment se construit le lien avec la résilience organisationnelle ?
Conclusion du chapitre 3
Deuxième partie : Design de la recherche, Presentation, Discussion des résultats et Conclusions
CHAPITRE IV : Cadre méthodologique et opérationnel de la recherche
Introduction du chapitre 4
Section1 : Epistémologie et méthodologie de la recherche
Section 2 : Etude d’une situation de crise
Conclusion du chapitre 4
CHAPITRE V : Présentation des résultats de l’analyse des données collectées
Introduction du chapitre 5
Section 2 : Présentation des résultats de l’analyse des données du cas Parenin (cas 2) . 193
Section 1 : Présentation des résultats de l’analyse des données du cas MTI (cas 1)
Conclusion du chapitre 5
CHAPITRE VI : Interprétation, discussion et élaboration des conclusions
Introduction du chapitre 6
Section 1 : L’apprentissage organisationnel comme une métaphore mythique de la résilience organisationnelle
Section 2 : La résilience organisationnelle : une métaphore des capacités dynamiques ?
Conclusion du chapitr 6
Conclusion générale
Bibliographie
ANNEXES

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