LA MALNUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE

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LES PATHOLOGIES DE LA MUQUEUSE BUCCALE ET LES LESIONS MUCO-GINGIVALES ASSOCIEES A LA MALNUTRTION PROTEINO-ENERGETIQUE

Les pathologies de la muqueuse buccale

Anatomie –Histologie de la muqueuse buccale

La cavité buccale s’ouvre en avant par l’orifice labial et en arrière dans l’oropharynx. Elle présente une architecture rigide formée par les mâchoires et les dents. Les parois muqueuses se continuent par les régions superficielles de la face: lèvre et menton, joues et régions massétérines [65].
Les parois profondes constituent en haut la région du palais, en bas le plancher avec la langue.

Lèvres

Elles présentent trois zones :
– un versant cutané,
– le vermillon ou lèvre rouge (zone de Klein) entre la zone de contact des deux lèvres et la peau,
– un versant muqueux pur qui se réfléchit sur la gencive en formant le vestibule buccal.
La structure des lèvres comporte de dehors en dedans: la peau, épaisse et riche en follicules pileux et glandes sébacées, le tissu cellulaire sous-cutané, absent dans la région médiane et commissurale, le squelette musculaire, une couche de glandes muqueuses salivaires labiales, et la muqueuse, très adhérente à la couche glandulaire.
La vascularisation et le réseau lymphatique sont très importants.
La sensibilité est assurée par des branches du nerf trijumeau (V), nerf sous-orbitaire pour la lèvre supérieure, nerf mentonnier pour la lèvre inférieure, et la motricité est assurée par des branches du nerf facial (VII).

Vestibule buccal

Il s’agit de l’espace compris entre la muqueuse de la face interne des lèvres et des joues et celle des structures osseuses supportant les dents.
Sur la ligne médiane, le frein de la lèvre le partage en deux demi-gouttières.

Gencive

C’est la partie de la muqueuse buccale qui recouvre les procès alvéolaires et sertit les dents au collet. Elle est séparée de la muqueuse buccale par la ligne muco-gingivale, sauf au niveau du palais où elle est en continuité avec la fibromuqueuse.

Caractéristiques cliniques de la gencive saine

La gencive est caractérisée par :
• sa texture « en peau d’orange »
• sa teinte rose clair avec une légère variante
• son contour (celui de la gencive libre) qui suit celui du collet de la dent
• sa consistance qui est ferme.
La gencive doit avoir une certaine tonicité qui rend le sillon gingival virtuel permettant ainsi la protection de l’attache épithéliale.

Histologie de la muqueuse gingivale

Les muqueuses tapissant la gencive et le palais dure appelées muqueuses masticatoires possèdent une grande résistance mécanique. Elles sont sensibles au toucher, à la température et à la perception de la douleur. La muqueuse est divisée en deux parties : l’épithélium et le tissu conjonctif.

L’épithélium

L’épithélium est orthokératinisé au niveau du palais et parakératinisé au niveau des gencives. Il est pavimenteux, pluristratifié et divisé en plusieurs types suivant la situation topographique. Il possède différentes couches cellulaires qui sont :
Œ la couche basale ou stratum germinativum contenant des cellules cuboïdes qui sont adjacentes au tissu conjonctif dont elle est séparée par une membrane
Œ la couche épineuse ou stratum spinosum faite de cellules larges, polyédriques, ayant de courts procès en forme d’épine.
Œ la couche granulaire ou stratum granulosum formée par plusieurs rangées de cellules aplaties contenant des granules de kératohyaline.
Œ la couche cornée ou stratum corneum comprend des cellules aplaties, accolées de façon très dense, kératinisées, ayant perdu leur noyau et organelles.
Ces cellules reposent sur une lame basale d’un à deux microns d’épaisseur à laquelle elles sont liées par des hémi-desmosomes.
Les cellules épithéliales sont reliées par des jonctions serrées appelées macula ou zonula occlusodensa qui sont des desmosomes.
Le revêtement épithélial comprend, compte tenu de sa situation trois types d’épithélia.
Œ L’épithélium buccal. C’est la partie de la muqueuse gingivale qui fait face à la cavité buccale. Elle s’étend du rebord libre de la gencive à la ligne muco-gingivale. Elle est kératinisée.
Œ L’épithélium sulculaire. Il s’étend entre l’épithélium buccal et l’épithélium jonctionnel. C’est un épithélium de transition qui présente une discrète kératinisation.
Œ L’épithélium jonctionnel. Il va du bord inférieur de l’épithélium sulculaire à la jonction amélo-cémentaire. Il n’existe pas de kératinisation. Cependant il possède un temps de renouvellement très rapide. Il semble moins haut que pour les dents définitives [8].

Tissu conjonctif

Il est encore appelé lamina propria et fait suite à la couche épithéliale dont il est séparé par la membrane basale. Sa cellularité est très augmentée par rapport à l’équivalent adulte [8].

Particularités de la gencive de l’enfant

La gencive de l’enfant est plus rouge que la gencive adulte du fait du réseau capillaire abondant et d’un épithélium plus mince, plus translucide et, pour certains auteurs, moins kératinisé [41]. Comme chez l’adulte, la gencive de l’enfant est divisée en trois parties :

La gencive marginale ou gencive libre

Elle entoure la zone cervicale. C’est une bandelette lisse d’une hauteur moyenne de 2,1 mm, au bord arrondi qui n’adhère pas à la dent. Elle est rose, de consistance ferme et élastique, d’aspect lisse ou finement granité [34]. L’anatomie cervicale des dents temporaires et la proéminence des bombés vestibulaires lui confèrent un aspect ourlé et épais [5].

La gencive papillaire ou interdentaire

Elle est située sous les points de contact dentaire, et occupe l’espace interdentaire. Elle est limitée par les papilles linguales et vestibulaires, réunies par un col au niveau inférieur. La papille infantile est plus plate, plus courte. Le sulcus gingival qui est plus profond que chez l’adulte favorise la rétention alimentaire et la formation de la plaque bactérienne. Il mesure 1mm environ de profondeur [68].

La gencive attachée

C’est la portion de la muqueuse fixée aux procès alvéolaires sous-jacents par l’intermédiaire des fibres de collagène du chorion. En denture temporaire, la hauteur de la gencive adhérente est plus importante au maxillaire qu’à la mandibule et elle augmente avec l’âge [5].
Il n’est pas rare de trouver un frein labial anormalement situé qui rétracte cette gencive attachée dont la hauteur est moindre.

Joue

En arrière de la commissure labiale, une zone dite rétro commissurale est distinguée.
La face interne de la joue muqueuse présente, en regard de la deuxième molaire supérieure, l’orifice du canal de Sténon (glandes parotides) [60].

Langue

La partie antérieure libre, ou pointe est douée d’une grande mobilité. La muqueuse du dos de la langue est hérissée de multiples papilles Les plus nombreuses sont les papilles filiformes, petites, dispersées, conférant à la langue son aspect râpeux. Les papilles fongiformes, plus volumineuses, plus rouges, mélangées aux précédentes, prédominent sur les bords.
Les papilles caliciformes, les plus grosses, s’alignent pour former le V lingual à l’union du tiers postérieur et des deux tiers antérieurs, et sont visibles à l’œil nu. Les papilles foliées, enfin, sont situées dans la région postérieure des bords latéraux de la langue.
La muqueuse de la face ventrale de la langue est lisse, sans papilles. Le frein de la langue unit, sur la ligne médiane, la face ventrale de la langue et le plancher.
Les bords sont arrondis et lisses et répondent aux faces linguales des dents. La base linguale correspond à l’implantation de l’organe et à la réunion des muscles qui entrent dans sa formation. Nous les décrivons brièvement.
L’innervation motrice est assurée par le nerf grand hypoglosse.
L’innervation sensitive dépend de trois nerfs: le trijumeau pour la partie située en avant du V lingual (nerf lingual), le glossopharyngien pour la partie postérieure et le pneumogastrique pour une petite zone postérieure médiane (nerf laryngé supérieur).

Plancher buccal

La muqueuse du plancher buccal recouvre les glandes sublinguales. Le plancher antérieur est une petite surface située en avant de l’attache linguale (frein de la langue) se poursuivant avec la muqueuse gingivale. Elle présente deux saillies diagonales (caroncules sublinguales) confluant en avant en forme de V sur la ligne médiane. En avant et très près de la ligne médiane s’abouchent, au sommet des caroncules salivaires, les canaux de Wharton drainant les glandes sous-maxillaires.
Le plancher postérieur correspond topographiquement à la base de la langue [60].

Palais

La ligne médiane présente un léger relief saillant antéropostérieur : le raphé médian. En arrière des incisives, il présente une petite éminence: le tubercule palatin. La muqueuse, dans cette région, est étroitement fixée par un tissu conjonctif dense aux structures osseuses du palais. C’est une fibromuqueuse. De multiples glandes salivaires s’y abouchent par de petits pores.
Le palais mou, situé en arrière du précédent, est revêtu d’une muqueuse mobile [60].

Voile

C’est une cloison musculo-membraneuse, mobile. Son bord libre présente, sur la ligne médiane, un prolongement: la luette. À sa partie postérieure, il présente deux piliers, l’un antérieur, l’autre postérieur, limitant une dépression, la fosse amygdalienne, où est logée l’amygdale palatine [60].

Appareil glandulaire de la cavité buccale

Il comprend les glandes salivaires dites principales: glandes parotides, sous-maxillaires et sublinguales, et celles dites accessoires, correspondant aux glandes salivaires muqueuses disséminées dans l’ensemble de la cavité buccale.
La glande parotide, paire et symétrique, est la plus volumineuse des glandes salivaires.
Elle est située dans la loge parotidienne.
Elle est traversée dans toute sa longueur par le nerf facial et peut présenter divers prolongements. La salive est excrétée par le canal de Sténon, qui débouche dans le vestibule en regard de la deuxième molaire supérieure.
La glande sous-maxillaire, paire et symétrique, occupe la loge sous-maxillaire. Son prolongement antérieur, le plus important, correspond à la muqueuse du plancher buccal. Son canal excréteur, le canal de Wharton, se termine au niveau de la caroncule salivaire située à la base du frein lingual. Il est sous-croisé de dehors en dedans par le nerf lingual.
La glande sublinguale est située à la partie sus-mylohyoïdienne du plancher buccal (région sublinguale). Par son extrémité postérieure, elle est en rapport avec le prolongement antérieur de la glande sous-maxillaire. Les canaux de la glande sont souvent nombreux et s’ouvrent directement à la surface après un court trajet.
Les glandes salivaires accessoires sont labiojugales, palatines, vélaires et linguales [60].

Vascularisation – Innervation

La vascularisation artérielle de la cavité buccale est assurée par trois artères du système carotidien externe: l’artère faciale, l’artère linguale et l’artère maxillaire interne. Le drainage veineux est assuré par le système jugulaire interne et externe.
La cavité buccale est drainée par de multiples lymphatiques vers les chaînes ganglionnaires cervicales : ganglions sous-maxillaires, ganglion sous-mentonnier, ganglion de Küttner, chaîne jugulo-carotidienne, ganglions cervicaux inférieurs et chaîne spinale.
L’innervation motrice de la cavité buccale est assurée par le nerf facial, le nerf trijumeau, le glossopharyngien et le grand hypoglosse [60].

Variations anatomiques normales

Línea alba ou ligne occlusale de la joue

C’est une ligne horizontale blanchâtre, en relief, à mi-hauteur de la face interne de la joue, au niveau du plan d’occlusion des molaires et prémolaires. Elle est particulièrement accentuée chez les sujets obèses et ceux qui présentent des para fonctions comme le grincement des dents, la crispation des muscles masticateurs ou souffrent d’un syndrome de dysfonctionnement temporomandibulaire.

Tics de mordillement (ou morsicato buccarum)

Ils s’observent chez des personnes anxieuses qui ont l’habitude d’arracher les couches superficielles de l’épithélium de la muqueuse jugale ou labiale, donnant une zone blanchâtre irrégulière avec desquamation épithéliale.

Leucoedème

Cet aspect de la muqueuse buccale est fréquent, surtout observé chez les sujets de race noire. L’épithélium de la muqueuse buccale est augmenté de volume, avec un œdème intracellulaire réalisant un aspect opalescent ou blanc grisâtre. La palpation montre une consistance normale. Il atteint rarement la langue et les lèvres et prédomine à la face interne des joues et dans les vestibules.
Aucune cause n’a été retrouvée mais l’alcool, le tabac et les infections bactériennes semblent favorisants.

Glossite exfoliatrice marginée ou langue géographique

Appelée aussi glossite marginée de Hebra, de cause inconnue, vraisemblablement constitutionnelle familiale, transmise sur un mode irrégulier, elle concerne 1 à 2% de la population, sans prédominance sexuelle. Elle se traduit par des plages de muqueuse dépapillée, de contour circiné, cernées d’un liseré blanchâtre hyperkératosique, débutant sur les bords latéraux de la langue. Ces zones de dépapillation se modifient d’un jour à l’autre et peuvent confluer. Elles sont rarement observées sur les joues, voire les lèvres.
La langue géographique est indolore mais on note parfois une sensibilité aux aliments acides ou épicés. Cet aspect est bénin, parfois associé au psoriasis, à l’atopie, au diabète ou à la langue plicaturée. Il ne nécessite aucun traitement, en dehors de rassurer les patients.

Langue villeuse

Elle est due à une hypertrophie et à une élongation des papilles filiformes linguales avec diminution de la desquamation normale du dos de la langue. Sa couleur est variable, allant du blanc au noir, en fonction des chromogènes bactériens et des colorants alimentaires. Elle est généralement asymptomatique. La présence de Candida albicans est fortuite, et la langue villeuse est rarement associée à une véritable candidose.
Certains facteurs favorisants sont observés: tabagisme, radiothérapie, métronidazole, jeûne ou alimentation pauvre en fibres (fast-food).
Un brossage du dos de la langue favorisant la desquamation est un traitement suffisant dans les formes modérées. Un traitement kératolytique par vitamine A acide (rétinoïdes) est conseillé dans les formes importantes.

Langue saburrale

Elle est associée aux états fébriles (scarlatine, herpès), à la déshydratation et à la diminution de la mobilité de la langue. L’aspect blanchâtre correspond à une rétention des cellules desquamantes superficielles avec allongement des papilles filiformes. La diminution du brassage mécanique due à la diète par inappétence et la diminution du flux salivaire qui accompagnent la fièvre en sont responsables. On l’observe de plus en plus chez les patients ayant une alimentation pauvre en fibres. Cet état est rapidement réversible.

Langue festonnée

Elle correspond à l’empreinte du relief des dents sur les bords de la langue. La muqueuse est normale ou érythémateuse. Elle est observée en cas de macroglossie congénitale ou acquise (hypothyroïdie, amylose), de malposition dentaire ou plus souvent chez des personnes exerçant une pression avec leur langue contre l’arcade dentaire.

Langue fissurée, plicaturée, scrotale

Elle concerne 5% des sujets et son origine est inconnue. L’aspect observé est très variable mais réalise souvent une profonde fissure médiane de la langue, de laquelle partent des fissures latérales, comme les nervures d’une feuille. L’aspect peut être irrégulier, lobulé, foliacé, cérébriforme ou scrotal.
La langue plicaturée n’est souvent évidente qu’après la puberté. Elle est parfois associée à la glossite exfoliatrice. Elle est aussi l’un des signes du syndrome de Melkersson-Rosenthal (paralysie faciale périphérique, macrocheilie, langue plicaturée) et est souvent corrélée avec le syndrome de Down, la trisomie 21 et le psoriasis. Il n’y a pas de traitement.

Hyperplasie des papilles foliées et des amygdales linguales

La longueur et la forme des papilles foliées sont variables et parfois elles s’allongent si elles sont irritées mécaniquement ou s’il existe une infection des voies aériennes supérieures. Elles alimentent les cancérophobies. L’inflammation des amygdales linguales inquiète aussi car elle peut provoquer douleur et dysphagie.

Varices sublinguales

Les varicosités sublinguales sont fréquemment observées, surtout après l’âge de 60 ans. Elles peuvent déborder au-delà des bords de la langue et vers le plancher buccal. Elles ne nécessitent aucun traitement.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ELEMENTS FONDAMENTAUX
CHAPITRE I : LA MALNUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE
1- Définition
2- Epidémiologie
2.1- Prévalence
2.2- Etiolologie
2.2.1-Causes immédiates
2.2.2-Causes sous jacentes
2.2.3-Causes fondamentales
3- Formes cliniques
3.1- Kwashiorkor
3.1.1.- Définition
3.1.2-Clinique
3.1.2.1-Phase de début
3.1.2.2-Phase d’état
3.1.2.3- Biologie
3.1.2.4- Evolution
3.1.2.5- Pronostic
3.2 –Marasme
3.2.1- Définition
3. 2 .2-Clinique
3.2.2.1-Phase de début
3.2.2.2-Phase d’état
3.2.2.3- Biologie
3.2.2.4- Evolution
3.2.2.5- Pronostic
3.3. Autres formes
3.3.1 – Forme mixte (kwashiorkor marasmique)
3.3.2 – Formes frustes
3.3.3 – Formes selon l’âge
3.3.4- Formes compliquées
4- Prise en charge de la malnutrition protéino-énergétique
4.1. Buts
4.2. Moyens
4.3. Indications
4.3.1-Malnutrition modérée
4.3.2- Malnutrition sévère non compliquée
4.3.3- Malnutrition sévère compliquée
4.4- Traitement préventif
CHAPITRE II : LES PATHOLOGIES DE LA MUQUEUSE BUCCALE ET LES LESIONS MUCOGINGIVALES ASSOCIEES A LA MALNUTRTION PROTEINO-ENERGETIQUE
1- Les pathologies de la muqueuse buccale
1.1-Anatomie –Histologie de la muqueuse buccale
1.1.1-Lèvres
1.1.2-Vestibule buccal
1.1.3-Gencive
1.1.3.1-Caractéristiques cliniques de la gencive saine
1.1.3.2- Histologie de la muqueuse gingivale
1.1.3.3- Particularités de la gencive de l’enfant
1.1.4-Joue
1.1.5-Langue
1.1.6-Plancher buccal
1.1.7-Palais
1.1.8-Voile
1.1.9-Appareil glandulaire de la cavité buccale
1.1.10-Vascularisation – Innervation
1.2- Variations anatomiques normales
1.2.1- Línea alba ou ligne occlusale de la joue
1.2.2- Tics de mordillement (ou morsicato buccarum)
1.2.3- Leucoedème
1.2.4- Glossite exfoliatrice marginée ou langue géographique
1.2.5- Langue villeuse
1.2.6- Langue saburrale
1.2.7- Langue festonnée
1.2.8- Langue fissurée, plicaturée, scrotale
1.2.9- Hyperplasie des papilles foliées et des amygdales linguales
1.2.10- Varices sublinguales
1.2.11- Pigmentation ethnique normale de la muqueuse buccale
1.3-Anomalies de développement
1.3.1- Granulations de Fordyce
1.3.2- Torus palatin
1.3.3- Torus mandibulaire
1.3.4- Malformation fibreuse congénitale
1.3.5- Ankyloglossie
1.3.6- Hypertrophie du frein labial
1.3.7- Double lèvre
1.3.8- Dépressions congénitales de la lèvre
1.3.9- Fissure labiale médiane
1.3.10- Luette bifide, langue bifide
1.3.11- Fente vélopalatine et fente labiale
1.3.12- Hypertrophie massétérine
1.3.13- Hémiatrophie faciale
1.3.14- Accidents de la première dentition
1.3.15- Accidents des dents permanentes
1.4-Les lésions élémentaires buccales
1.4.1-Principales lésions élémentaires
1.4.1.1- Macules, plages et placards
1.4.1.2- Papules et plaques
1.4.1.3- Nodules
1.4.1.4- Vésicules
1.4.1.5- Lésions bulleuses
1.4.1.6- Érosion
1.4.1.7- Ulcérations
1.4.2- Autres lésions élémentaires
1.4.2.1- Végétations
1.4.2.2 Pustules
1.4.2.3 Gommes
1.4.2.4 Enduits pultacés, pseudomembranes
1.4.2.5 Croûtes
1.4.2.6 Fissures
1.4.2.7- Atrophie
1.4.2.8- Cicatrices
2- Les lésions muco-gingivales chez l’enfant associées à la malnutrition protéino-énergétique
2.1- Muguet
2.2- Chéilite angulaire (perlèche)
2.3- Glossite losangique médiane
2.4- Ouranite
2.5- Gingivite
2.6- Gingivite ulcèro-nécrotique
2.7- Noma
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE L’ETAT BUCCAL DE L’ENFANT NIGERIEN MALNUTRI
CHAPITRE I : JUSTIFICATION
CHAPITRE II : OBJECTIF
CHAPITRE III : CONTEXTE DE L’ETUDE
1. Présentation du Niger
1.1- Géographie
1.2- Economie
1.3- Population
2.Système de santé au Niger
3- Epidémiologie des affections bucco-dentaires au Niger
CHAPITRE IV : MATERIEL ET METHODE
1. Type d’étude
2. Cadre d’étude
3. Population d’étude
3.1. Méthode d’échantillonnage
3.2. Unités statistiques
3.3. Critères d’inclusion
4. Méthodologie
4.1. Collecte des données
4.1. Caractéristiques socio-démographique
4.2. Critères de jugement
4.3. Analyse statistique
CHAPITRE V : RESULTATS
1. Caractéristiques de la population
1.1. Données descriptives
1.2. Répartition selon le sexe
1.3. Répartition selon le rapport poids/taille
1.4. Répartition selon l’état de malnutrition
1.5. Répartition selon les pathologies associées
1.6. Hygiène bucco-dentaire
1.7. Manifestations cliniques
1.8. Etat dentaire
2. Corrélations
2.1. Malnutrition et rapport poids/taille
2.2. Malnutrition et état dento-parodontal
2.3. Malnutrition et hygiène bucco-dentaire
2.4. Malnutrition et inflammation gingivale
2.5. Malnutrition et lésion carieuse
2.6. Rapport poids/taille et gingivite ulcéro-nécrotique
2.7. Rapport poids/taille et noma
CHAPITRE VI : COMMENTAIRE
1. Limites de l’étude
2. Caractéristiques de la population
3. Pathologies associées et conséquences de la malnutrition
4. Hygiène buccale
5. Etat dentaire
6. Aspects cliniques
7. Gingivite ulcéro-nécrotique (GUN)
8. Noma
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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