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Structure organisationnelle
L’organigramme constitue la représentation formelle de la répartition des tâches et des responsabilités au sein de l’entreprise. Il traduit à la fois une séparation technique des compétences et des positionnements des membres de l’entreprise sur une échelle hiérarchique. C’est donc une représentation schématique organisationnelle d’une entreprise. L’organigramme de la société se présentera dans l’annexe I.
Approche théorique
Cette sous-section s’intéresse plutôt au côté théorique de notre étude. Il essaye de décrire successivement le contexte de l’étude, les matières de recherche qui sont généralement l’environnement de l’entreprise, la culture de l’entreprise ainsi que la performance de l’entreprise.
Généralité sur l’environnement
Il s’agit dans ce titre d’aborder la notion de l’environnement et aussi de voir les différents types d’environnement de l’entreprise et leurs caractéristiques. Nous verrons enfin les interactions entre l’entreprise et ses environnements.
Définition
L’environnement est l’ensemble d’éléments qui entourent une organisation. Il est constitué par des facteurs qui sont en relation avec l’entreprise sans pour autant être directement impliqués dans son fonctionnement interne.
D’autres auteurs ont un point de vue plus lointain. Ils le décrivent comme un ensemble de phénomènes politiques, économiques, démographiques, juridiques et règlementaires, culturels et technologiques qui peuvent avoir une influence sur la survie de l’entreprise auxquels l’entreprise doit s’adapter si elle veut rester dans la compétition.
Approche globale des composantes de l’environnement
D’une manière générale, l’environnement est à la source d’un certain nombre de contraintes pour l’entreprise. Ces contraintes peuvent être externes ou résultés des phénomènes économiques et sociologiques.
-Les contraintes externes sont assez facilement identifiables. Sans vouloir être exhaustif, nous pouvons citer par exemple la fiscalité, le coût des approvisionnements, l’apparition de nouveaux concurrents sur le marché, la politique de l’état en matière de crédit, l’environnement contemporain de l’action syndicale, les minima salariaux conventionnels ou légaux, etc…
Ces contraintes sont imposées par des centres de décision qui sont en étroite relation avec les entreprises. Il s’agit bien des actionnaires de l’entreprise que des consommateurs ou encore des fournisseurs, des banquiers, de l’Etat.
-L’influence des phénomènes économiques, sociologiques et naturels est également très importante. Il peut s’agir par exemple du niveau de chômage, du marché du travail, des mentalités, de la stabilité des prix, ou encore d’événements spécifiques pouvant parfois bouleverser les options stratégiques des entreprises voire même entrainer leur disparition (attentats, guerres, catastrophes naturelles).
La macro-environnement et ses caractéristiques : l’analyse PESTEL
Les composantes de l’environnement sont donc aussi bien économiques que politiques, socioculturelles, géographiques, démographiques et technologiques. L’analyse de l’environnement s’inscrit dans une logique de diagnostic externe et sert fréquemment à préparer une analyse SWOT ou à apporter des informations destinées à alimenter une réflexion stratégique.
En stratégie d’entreprise, l’analyse PESTEL est un modèle permettant d’identifier l’influence positive ou négative que peuvent exercer, sur une organisation, les facteurs macro – environnementaux.
L’environnement Politique : ensemble des décisions prises par les gouvernements nationaux et des instances internationales qui fixent de nouvelles règles du jeu.
L’environnement Economique : le système économique adopté par le pays, en l’occurrence l’économie de marché, a créé une concurrence qui affecte toutes les entreprises à divers niveaux et de diverses façons.
L’environnement Socioculturel : il s’agit ici de l’évolution du style de vie des consommateurs ainsi que des valeurs sociales, des goûts et des besoins.
L’environnement Technologique : l’innovation est devenue une composante essentielle de la compétitivité de l’entreprise et on peut même dire, dans une certaine mesure, que l’innovation est la forme la plus « cruelle » de concurrence dans la mesure où elle peut aboutir à la disparition de certaines entreprises
L’environnement Ecologique : lois sur la protection de l’environnement, retraitement des déchets, consommation d’énergie, etc. Il s’agit ici des réglementations et contraintes
écologiques, les nouvelles normes édictées par les positions prises en matière de développement durable.
L’environnement Légal : loi sur les monopoles, droit du travail, législation sur la santé, normes de sécurité, etc. Les formalités et les procédures administratives jouent un rôle très important dans les actions des entreprises, tout pour elle-même que pour les personnes impliquées pour et par ses opérations.
Le micro – environnement de l’entreprise
Il s’agit de l’environnement spécifique de l’entreprise constitué de ses clients, fournisseurs, ses sous-traitants, ses concurrents… Le micro- environnement est finalement constitué des principales parties prenantes de l’entreprise :
Les clients : enjeux de qualité de produit et de service, d’information sur la composition des produits, de respect de normes de sécurité, de recherche et développement pour des produits plus respectueux de l’environnement…
Les fournisseurs et sous-traitants : respect des délais de paiement, mise en place de politiques d’achat…
Les concurrents : éviter la concurrence déloyale, appliquer les normes environnementales…
L’analyse du micro et de la macro environnement permettra de mettre en évidence les opportunités, les menaces, les forces et les faiblesses de l’entreprise.
Notion sur la culture de l’entreprise
L’étude de la culture d’entreprise est à la fois pratiquée par les gestionnaires mais également et surtout, par les historiens car la culture d’entreprise et très souvent le résultat d’un processus temporel.
Définition
La culture est devenue un moyen efficace de maintenir la cohésion des entreprises qui ont récemment affronté une vague des intégrationnistes, sous forme de délocalisation, de tassement de niveaux hiérarchiques et de dégraissage.
Selon Pettigrew et Kennedy, « La culture d’entreprise est considérée comme le reflet des valeurs, des symboles, des langues, de l’idéologie, des rituels et des mythes perspectives dans l’organisation »3.
Les différents éléments de la culture d’entreprise
D’après Maurice Thévenet qui perçoit la culture d’entreprise comme « …ensembles des valeurs partagées, rites, mythes, symboles et histoire de l’organisation… »4 . Il définit les symboles en tant que signes chargées d’informations culturelles qui sont liées aux valeurs essentielles. L’examen des composantes de la culture d’entreprise est essentiel. Il se porte sur les éléments dans la page suivante:
Figure 1: les composantes de la culture d’entreprise
Culture d’entreprise et management
Dans notre recherche, il est nécessaire de connaitre la notion de management et son influence sur la culture d’entreprise.
Définition du Management
« Le management est une activité qui consiste à diriger une organisation par la mobilisation des ressources humaines et par la mise en œuvre des moyens matériels et financiers pour atteindre avec efficience les objectifs de l’organisation »5.
L’activité de Management
« Trois aspects caractérisent l’activité de management. C’est une action concernant une
collectivité, un groupe, et destinée à atteindre un résultat. L’action de management ne se réduit pas à l’application de lois ou de modèles. Elle est basée sur les références et est le résultat de l’investissement personnel de celui qui la conduit. La culture a intérêt pour le management si, et seulement si, elle permet d’accroitre ses chances d’efficacité »6.
Rôle de la culture d’entreprise dans le management
Le manager considère les personnes en tant que groupe mais pas individuellement. C’est là que la culture d’entreprise intervient. « La culture aide à comprendre la collectivité. Elle considère que toute collectivité se crée un patrimoine de références qui sont à la fois le résultat de son expérience et la référence pour traiter de futures situations. Mettre en évidence la culture, c’est clarifier la logique sous-jacente au fonctionnement d’un groupe humain. Associer la culture au management, c’est admettre que l’entreprise constitue une société humaine à part entière »7. L’entreprise a des objectifs à atteindre et le management, ainsi que la GRH se consacrent à leur réalisation. Ainsi, la culture d’entreprise est donc un facteur à considérer
La performance
Puisque la performance est un mot essentiel dans notre étude, il est nécessaire de la bien connaitre.
Définitions
D’après BOURGUIGNON8, le terme performance est largement utilisé sans que sa définition fasse l’unanimité. Ce fait reflète la polysémie du mot. En revenant aux origines étymologiques, il est constaté que le terme français et le terme anglais sont proches et signifient l’accomplissement pour évoquer par la suite l’exploit et le succès. Si après les principales définitions de ces mots dans la littérature
Types de la performance
Il existe cinq types de performance. Nous allons les citer ci-dessous. Mais nous avons choisi une parmi elles pour notre étude, et c’est la performance sociale. C’est pour cette raison que nous la détaillerons plus que les autres.
o « La performance financière : traditionnellement, d’après ALFRED SLOAN 11 la performance financière à l’aide des indicateurs ROI (Return On Investiment) et ROE
o La performance organisationnelle : il se définit comme étant le résultat obtenu par rapport aux objectifs, à la stratégie de l’entreprise et/ou aux attentes des parties prenantes. Elle porte sur la qualité, la quantité, le coût et le temps.
o La performance économique : il s’agit de mesurer les composantes de la compétitivité de l’entreprise : la compétitivité – prix et la compétitivité – hors prix.
o La performance sociale : la performance sociale est caractérisée par la satisfaction dans le social, bon rapport des hommes avec l’entreprise. Elle est mesurée par la qualité des prises de décisions collectives, par l’importance des conflits et les crises sociales, par le niveau de satisfaction des salariés, la fidélisation de l’entreprise,
o l’absentéisme et le retard, le fonctionnement des institutions représentatives. L’attention portée aux relations sociales dans les entreprises est devenue un facteur essentiel du bon fonctionnement des organisations modernes. Une analyse plus profonde de l’entreprise laisserait entrevoir une appréciation moins académique et plus réaliste de la réalité sociale de l’entreprise. On peut faire référence aux points d’évaluations suivants :
-L’importance des conflits et crises sociales (nombre, gravité, dureté…).
-Le niveau de satisfaction des employés : apprécier par des enquêtes d’opinions internes.
-L’absentéisme et les retards au travail signent de démotivation ou de travail ennuyeux ou difficile.
-Le climat social de l’entreprise apprécié par l’ambiance au sein de l’entreprise et des groupes qui la composent.
-Le fonctionnement des institutions représentatives du personnel tel que le comité d’entreprise ou d’établissement.
-Le fonctionnement, le nombre et les résultats d’actions des cercles de qualité et la participation aux décisions.
o La performance sociétale : indique l’engagement de l’entreprise dans les domaines environnementaux, humanitaires et culturels.
Influence de la culture d’entreprise sur la performance sociale
Les études sur les entreprises montrent bien souvent que les entreprises gèrent bien leurs relations avec leurs principales parties prenantes et n’intègrent dans leurs démarches les questions sociales plus globales. Souvent, l’évaluation de cette performance sociale se limite à la satisfaction des principales parties prenantes avec les salariés, actionnaires.
Selon E. Godelier, la culture est « l’ensemble des principes, des représentations et de valeur partagée par les membres d’une même société, et qui organisent leurs façon de penser, leurs façon d’agir sur la nature qui les entoure, et leurs façon d’agir sur eux même ». On peut en tirer une définition de la culture d’entreprise en remplaçant l’expression « les membres d’une même société » par « les membres d’une même entreprise »12.
De manière générale, la performance sociale des entreprises est définie comme les résultats des activités sociales et environnementales des entreprises. Dans la littérature, les auteurs utilisent différents indicateurs pour mesurer la performance sociale des entreprises comme par exemple, la performance financière…. Nous utilisons plusieurs indicateurs pour mesurer la performance sociale d’une entreprise : sa performance financière, l’implication des employés, absentéisme…. Cette variété d’indicateur permet de couvrir les attentes de l’ensemble des parties prenantes.
Pour améliorer leur performance sociale, les entreprises doivent mettre en place des pratiques en responsabilités sociales spécifiques afin de maximiser leurs impacts positifs et minimiser leurs impacts négatifs sur les perceptions des différents groupes de parties prenantes. Mais avant d’évaluer l’impact de ces pratiques envers les parties prenantes qui ont le plus d’influence sur les activités des entreprises et qui sont donc perçues comme plus importantes.
Comme mentionné ci-dessus, les parties prenantes sont définies comme « chaque groupe d’individus qui peut affecter ou qui est affecté par l’accomplissement des objectifs d’une entreprise »13.
Nous avons vu dans cette section, tout d’abord, la généralité concernant la société WALEXPORT : identification et historique, objectif et activité. Nous avons présenté aussi les théories ayant un rapport à notre thème de recherche. Passant maintenant à la section suivante où nous allons aborder les méthodes utilisés durant notre travail.
METHODES
Les méthodes sont les démarches suivies par une personne ou groupe de personnes pour mieux résoudre un problème ou de mieux collecter des données. Dans cette seconde section, on décrit les différentes méthodes de collecte, de traitement et d’analyse de données concernant les informations nécessaires à l’élaboration de ce travail. C’est dans cette section aussi que nous allons trouver les limites de l’étude et les difficultés rencontrées.
Outils d’analyse
« L’analyse SWOT permet d’évaluer une situation afin de prendre les bonnes décisions pour l’améliorer. Elle fournit des alternatives stratégiques, organise et synthétise l’information afin
de simplifier la compréhension d’une situation. Elle nécessite une compréhension objective et complète de la situation et de son environnement pour être efficace »14.Afin d’obtenir une vue synthétique de la situation étudiée, l’analyse SWOT se représente par une matrice découpée en quadrants. Nous allons présenter ce tableau dans l’annexe II.
Méthodes de collecte de données
Pour pouvoir atteindre les objectifs de l’étude, nous avons essayé d’adopter les méthodes adéquates de collecte de données. Il en existe plusieurs, mais nous avons eu recours à :
Méthode hypothético-déductive
La méthode hypothético-déductive est une technique très utilisée dans les travaux de recherche. Cette méthode consiste à élaborer des hypothèses en fonction d’une théorie et à examiner si les faits veulent bien se conformer à ces hypothèses et par la même, vérifier la théorie ou imposer un remaniement
Nous avons émis deux hypothèses au début de cet ouvrage et elles doivent faire l’objet de vérification, et c’est l’objet même de notre recherche de les confirmer ou de les rejeter au terme de cet ouvrage. L’approche hypothético-déductive va du général au particulier. La détermination d’une théorie de preuve générale précède la vérification dans une situation particulière. La première partie du processus de recherche est composée de l’exposition de la problématique de recherche, de l’élaboration du cadre théorique, de l’énonciation des hypothèses et de spécification de cadre opératoire. La démarche hypothético-déductive part de l’hypothèse pour l’appliquer à un cas d’observation particulière. Le chercheur pose à priori l’hypothèse d’une relation entre différentes variables et l’applique ensuite à l’étude d’un certain nombre d’observation.
L’élaboration du questionnaire écrit
« Questionnaire est une des questions standardisées, destiné à normaliser et à faciliter le recueil de témoignage »15. C’est un outil adapté pour recueillir des informations fiables auprès d’un nombre important des participants.
« Il existe plusieurs catégories de questionnaires telles que : les questions ouvertes, les questions fermées et les questions à choix multiple suivant le degré de liberté de réponse »16.
Mais on n’a utilisé que deux catégories durant notre recherche, ce sont les questions ouvertes et les questions fermées. Durant notre stage, nous avons préparé trois questionnaires dont un pour les renseignements généraux sur l’entreprise et son fonctionnement adressé à tout le personnel. Les deux autres ne sont pas essentiellement indiqués, un pour les agents cadres et un pour les employés.
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Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE I: MATERIELS ET METHODES
SECTION 1: MATERIELS
1-1: Zone d’étude
1-1-1: Identification de la société
1-1-2 Historique
1-1-3: Objectifs
1-1-4: Activités
a – Activités principales
b – Activités secondaires
1-1-5 : Structure organisationnelle
1-2: Approche théorique
1-2-1 : Généralité sur l’environnement
a) Définition
b) Approche globale des composantes de l’environnement
c) La macro-environnement et ses caractéristiques : l’analyse PESTEL
d) Le micro – environnement de l’entreprise
a) Définition
b) Les différents éléments de la culture d’entreprise
1-2-3 : Culture d’entreprise et management
a- Définition du Management
b- L’activité de Management
c- Rôle de la culture d’entreprise dans le management
1-2-4 : La performance
a- Définitions
b- Types de la performance
1-2-5 : Influence de la culture d’entreprise sur la performance sociale
SECTION 2 : METHODES
2-1 : Outils d’analyse
2-2 : Méthodes de collecte de données
2-2-1 : Méthode hypothético-déductive
2-2-2 : L’élaboration du questionnaire écrit
2-2-3 : La recherche documentaire
2-2-4 : La recherche sur internet
2-2-5 : Enquête
2-4 : Limites de l’étude et difficultés rencontrées
2-4-1 : Limites de l’étude
2-4-2 : Difficultés rencontrées
CHAPITRE II : RESULTATS
SECTION 1 : ETUDE DE L’ENVIRONNEMENT ET CULTURE
1-1 : Etude de l’environnement
1-1-1: Le micro environnement
1-1-2: La macro environnement
1-2 : Analyse de la culture
1-2-1 : la culture d’entreprise chez WALEXPORT
a- Définition de la culture d’entreprise par les cadres
b- La compréhension de la culture d’entreprise selon les employés
c- Existence de la culture d’entreprise
d- Fonctionnement de l’entreprise (Question n° 27)
1-2-2 Les relations dans l’entreprise
a- La formation continue (Question n°18)
b- Les relations personnelles (Question n°25)
SECTION 2 : La performance sociale chez WALEXPORT
2-1 : Les indicateurs financiers
2-1-1 : Le résultat net de la société
2-1-2 : Le chiffre d’affaires de la société
2-1-3 : La part de marché de la société
2-2 : L’absentéisme
2-3 : L’implication des employés
2-3-1 : La motivation chez WALEXPORT
CHAPITRE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
SECTION I : DISCUSSIONS
1-1 : Analyse des résultats et interprétations
1-1-1 : Discussions au niveau du micro environnement
1-1-2 : Discussions au niveau de la macro environnement
1-1-3: Discussions au niveau de la culture d’entreprise
1-2: Analyse FFOM
1-2-1 : Sur l’environnement global de l’entreprise
1-2-2 : Sur la culture d’entreprise
1-2 Vérification des hypothèses
SECTION 2 : RECOMMANDATIONS
2-1 : Recommandations sur la culture d’entreprise
2-1-1 : Conseils sur la rémunération
2-1-2 : Conseils sur la stratégie
2-1-3 : Conseils sur la communication entre le personnel qui ont des visions différentes
2-1-4 : Conseil sur les règlements dans l’entreprise
2-2 : Recommandations sur les services
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
COURS
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE I : Organigramme de la société WALEXPORT
ANNEXE II : La matrice SWOT
ANNEXE III : Pyramide sociale de besoins de l’homme
ANNEXE IV : CHARGEMENT DE VEHICULES SUR UN RORO (ROLL ON / ROLL OFF).. XIII
ANNEXE V : QUESTIONNAIRES
A /RENSEIGNEMENTS GENERAUX
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