La grande valeur marchande des holothuries

INTRODUCTION

Madagascar, reconnu comme un véritable sanctuaire paradisiaque de la nature qui possède une faune et une flore sans égal au monde. L’île abrite une grande variété d’espèces tant végétales qu’animales, aussi bien terrestres que marines, souvent introuvables ailleurs.La pêche aux holothuries est une activité traditionnelle à Madagascar (Conand et al., 1997). Depuis 1921, sous la conduite du groupe Chinois et d’Hindous, les Malgaches se livraient déjà à la collecte d’Holothurie sur de nombreuses Côtes de Madagascar (Petit G, 1930). Les stocks mondiaux d’holothuries ont décliné au fil des ans, en particulier à cause d’une surexploitation dans de nombreux pays. Les pêcheries d’holothuries ont connu des cycles où les prises totales diminuaient malgré l’augmentation de l’effort de pêche. Cela a entraîné une surexploitation de la ressource et de faibles revenus pour les communautés côtières (Ibarra et Soberon 2003).

La grande valeur marchande des holothuries, leur facilité de récolte, leur biologie particulière, la dynamique de leur population et leur habitat de prédilection font que ces animaux sont facilement surexploités (Bruckner et al. 2003). Cette surpêche risque  également de faire disparaitre certaines espèces de l’habitat marin, notamment celles présentant une valeur commerciale élevée.Comme bien d’autres écosystèmes, les récifs coralliens connaissent un déclin dans le monde entier, soumis à de nombreuses perturbations naturelles (cyclones) et/ou anthropiques (surexploitation des produits de la mer, réchauffement climatique, destruction des biotopes etc.) (Nystrom et al. 2000). La dégradation de ces biotopes se caractérise par une diminution du recouvrement corallien entraînant l’apparition croissante de pinacles coralliens morts et algaux. Les holothuries jouant un rôle important dans le recyclage des nutriments (Bakus, 1973 ; Conand, 1993).On a noté à travers les études socio-économique effectuées par l’organisme Community Centred Conservation et même le Business Plan de Madagascar National Parc le mentionne que la pêche aux holothuries fait partie des principales pressions humaines que subit le Parc Nosy Hara .De ces études découlent également la connaissance des régulations du Parc et des législations de pêche d’une part, et d’autre part l’importance de cette activité qui constitue une des principales sources de revenus de la population riveraine du Parc.On prête de plus en plus attention aux effets du commerce international sur l’environnement, notamment dans les situations où la conservation de la biodiversité s’oppose à des industries axées sur l’exportation, telles que la pêche. Même de nombreuses petites pêcheries ne font pas exception.

Lorsqu’une ressource naturelle représente une importante source de revenus pour les pêcheurs artisanaux, l’effort de pêche augmente rapidement et les stocks de poissons sont surexploités (Grainger ; Garcia 1996) Il apparaît que de 1979 à 1986 les exportations ont fluctué entre 10 et 56 tonnes. Les données sur les exportations récentes montrent une très forte augmentation, celles-ci ayant même dépassé 500 tonnes. Ces données sont cependant insuffisantes pour diagnostiquer et analyser la surexploitation actuelle, car la filière pêche est complexe et une analyse aux différents niveaux est nécessaire (Conand, 1997a et 1997b). Afin de trouver une solution, les Nations Unies ont organisé la Conférence internationale sur la pêche responsable, qui a eu lieu à Cancun, au Mexique, pour faire suite à la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement. Lors de cette conférence, les pouvoirs publics Malgache se sont engagés à protéger la biodiversité marine.Le Parc Marin de Nosy Hara est situé dans la partie Nord -Ouest de Madagascar. Il est caractérisé par un paysage très diversifié formé par des ilots karstiques et basaltiques, des récifs coralliens, des blancs sableux, des zones d’herbier de phanérogames, des plages et des savanes. Le Parc est relativement riche en biodiversité associée aux divers habitats. Il abrite les espèces phares comme les tortues marines, le dugong, et l’aigle pêcheur.

Historique ,classification et importance au niveau local, régional et national de l’holothurie

Ces individus, plus communément appelés « concombres de mer » ou « bêches de mer » ou encore « holothuries », appartiennent à la classe des Holothuroidea (Bainville, 1834). D’une manière générale, elle appartient à deux familles à savoir :
 Holothuridae
 Stichopodidae .

Famille : Holothuridae ; genre : Holothurie nobilis et Holothurie fuscogilva : elles atteignent les meilleurs prix, mais elles sont en général assez peu abondantes, entraînant un effort de pêche élevé.

Famille : Holothuridae ; genre : Holothuria scabra : leur cours est plus variable, mais leur abondance dans les zones littorales permet de les classer en première catégorie (espèce à forte intérêt commercial). C’est cette espèce qui fournit actuellement la grande majorité des captures mondiales. Dans plusieurs pays de l’Océan Indien c’est la seule espèce la plus exploitée.

Famille : Holothuridae ; genre : Thelenota ananas : l’intérêt de cette dernière dépend des variations du marché, où la demande a récemment beaucoup augmenté, mais ses cours restent inférieurs à ceux des espèces de la première catégorie, cela veut dire qu’elle est en deuxième catégorie (espèce à intérêt commercial moyen).

Famille : Stichopodidae ; genre : Stichopus variegatus : cette espèce est effectivement de grande taille, a un tégument épais et est assez fréquente dans des eaux littorales. Elle est surtout très abondante et classée en quatrième catégorie à cause de son  intérêt commercial très faible. Parmi les 122 espèces d’holothuries recensées à Madagascar par Cherbonnier dix (10) espèces seulement sont exploitées dans la région de DIANA et .27 espèces ont été recensées dans le Parc marin Nosy Hara selon le Plan de gestion du Parc 2012.

La collecte d’holothurie existe depuis le début du siècle à Madagascar. A cette époque la collecte est pratiquée à pied (simple ramassage à la main durant la marée basse), même les enfants, les femmes peuvent les ramasser. Ce produit n’a pas encore eu de valeur commerciale en ce moment là dans notre pays.Quelques années plus tard (en 1990) le marché mondial de la bêche-de-mer a connu une véritable explosion. Cet échinoderme a été de tous temps très recherché par la civilisation asiatique. La population chinoise surtout, le consomme ou l’utilise traditionnellement. Les holothuries sont connues sous le nom : « concombre de mer », en latin « Cucumis marinus ».D’autres appellations : « Trépang » ou « Bêche de- mer », « Dingadingana », « Sea cuncumber » et sont considérées à tort comme toxiques. Certaines civilisations des îles Marchall et de Guan utilisent une variété d’holothurie afin d’empoisonner les poissons (Smith, 1947 et Frey, 1951).Considérée comme un régénérateur corporel voire même aphrodisiaque, l’holothurie est comestible et consommée sous forme de produit sec (Trépang ou bêche-de-mer) obtenue par une préparation simple de cuisson et de séchage, elle est ensuite additionnée à divers plats et offre ainsi une marque de politesse envers les invités.

D’autres part, elles sont mangées crues (Samoa, Wallis, Palau), grillées (Papousia-Nouvelle- Guinée) ou cuite dans du lait de coco (Fidji).Récemment, sur une île du Detroit de Torres, s’est installée une petite industrie pharmaceutique, utilisant des holothuries dans la composition d’un médicament destiné à soulager l’arthrite (Johannes,comm…,pers.) L’exploitation des holothuries à Madagascar servait à satisfaire les besoins locaux d’immigré asiatique, mais surtout à l’exportation vers les pays asiatiques. Les techniques étaient généralement enseignées dans l’ « île continent », par des chinois. Grâce à ces techniques Madagascar a un label acquis de savoir- faire. La demande est principalement chinoise et Japonaise et, ce depuis la fin de la seconde guerre mondiale et surtout depuis ces dernières années, nombreux pays tirent profit de cette ressource en l’exportant. Vu l’importance de la bêche-de-mer sur le marché international, le peuple malgache a découvert une autre technique plus sophistiquée pour pouvoir capturer ce produit. Les pécheurs utilisent11 les moyens d’embarcation comme : vedette, pirogue à moteur de grande puissance (+20 CV) avec de matériel de plongée scaphandre autonome : compresseur, bouteille, masque, tuba, palme).Actuellement, la législation malgache a interdit l’usage de scaphandre autonome. Il est important de souligner que l’utilisation de ce matériel permet facilement aux plongeurs de ramasser davantage ces produits au fond de la mer. Ce qui conduit à la raréfaction de certaines espèces.Conscient d’un tel phénomène, le gouvernement malgache a banni l’usage de scaphandre.

Donc, désormais, les pêcheurs utilisent une simple plongée en apnée en employant des masques, des tubas, des palmes. S’ils plongent pendant la nuit, ils emploieront de lampe de poche bien cirée tout au tour et recouvert de préservatif, protège contre l’eau.A Ampasindava, la pêche à l’holothurie occupe 70 à 80% de la population totale. Les exportateurs locaux qui collaborent avec leurs clients étrangers mettent à la disposition des collecteurs de grosses sommes d’argent pour qu’ils organisent le ramassage d’holothurie dans les villages de pêcheurs.

Biologie et écologie

L’holothurie « gris », Holothuria scabra (Jaeger, 1833), est une des espèces les plus abondantes et la plus largement répartie dans les fonds meubles des régions de l’Indo Pacifique (Hamel et al. 2001).Son corps est ovale et mou, mais sa paroi dure (tégument) peut être consommée. Elle présente une couleur crème sur sa partie inférieure alors que sa partie supérieure, souvent grise à beige, est très ridée (Fig. 5). Les holothuries sont des animaux peu mobiles, qui se déplacent lentement sur le fond grâce à des tentacules appelées podia. L’holothurie « gris » avancerait d’environ un mètre par jour. Sa taille peut atteindre 35 cm, et son poids jusqu’à 1000 g. La longueur à la première maturité sexuelle (c’est-à-dire à laquelle on considère que la moitié de la population peut se reproduire) est estimée à 16 cm, pour un poids d’environ 185 g (Conand, 1989). L’écologie des holothuries adultes est encore mal connue à l’heure actuelle.

En particulier, le seuil biologique de densité pour la reproduction varie selon les espèces. Il semble que la densité minimum soit comprise entre 10 et 50 individus par hectare, répartis en groupes pour assurer le succès de la reproduction : les holothuries « gris » matures devraient ainsi être présentes en groupes de plus de 10 individus séparés les uns des autres de moins de 5 à 10 m (Bell et al. 2008). Il est par ailleurs communément admis que les holothuries « gris » ont un rythme d’enfouissement et d’alimentation au cours de la journée en réponse à des facteurs environnementaux (Conand, 1989 ; Mercier et al. 1999 et 2000 ; Shiell et Knott, 2008). Le savoir local des pêcheurs confirme que les holothuries ont tendance à se déplacer à marée montante ou descendante. Cependant les connaissances à ce sujet restent éparses. D’après des études de Mercier et al. (2000), les holothuries « gris » auraient tendance à s’enfouir au levée du jour et à sortir la nuit. Ces mouvements seraient également dépendants des taux de salinité : elles pourraient s’enfouir en cas de fortes pluies sur les platiers à marée basse qui entraînent une désalinisation des eaux de surfaces. D’autre part, l’augmentation de la température de l’eau favoriserait l’activité chez cette espèce. Ces rythmes seraient de plus variables selon les stades de maturité des individus. Ces connaissances n’ont pas été confirmées pour autant, une étude plus récente (Shiell et Knott, 2008) montre que l’enfouissement serait plus fort le matin, et relatif l’après-midi.

Charte de l’Environnement

Le Gouvernement Malagasy a adopté la Loi portant Charte de l’Environnement Malagasy en 1990. Elle se rapporte notamment aux objectifs du développement durable que le monde entier s’est fixé. Le terme de développement durable se traduit par le maintien des fonctions écologiques des différents écosystèmes, l’amélioration de l’efficacité économique et l’assurance de l’équité sociale. C’est dans cette vision qu’il a été décidé que tout projet d’investissement, public ou privé, susceptible de porter atteinte à l’environnement doit être soumis, soit à une étude d’impact environnemental, soit à un programme d’engagement environnemental selon la nature technique, l’ampleur du projet et la sensibilité de son milieu d’implantation conformément au décret relatif à la Mise en Compatibilité des Investissements avec l’Environnement (MECIE).Conformément à l’article 10 de la loi N°90-033 du 21 décembre 1990 portant Charte de l’Environnement Malagasy, et à la loi n° 97-012 du 06 juin 1997 modifiant et complétant certaines de ses dispositions, les projets d’investissements publics ou privés susceptibles de porter atteinte à l’environnement doivent faire l’objet d’une étude d’impact environnemental(EIE) La Charte de l’environnement présente la politique nationale de l’environnement, notamment les principes généraux et les dispositions opérationnelles. Elle est la base juridique de la prise en compte de la dimension environnementale dans les projets.

La charte décrit les règles fondamentales dont devront s’inspirer toutes les actions nationales ou régionales, collectives ou individuelles, dont l’objectif est de protéger l’environnement ou de promouvoir une activité économique ou sociale pouvant avoir pour conséquence une atteinte  préjudiciable à l’environnement. En même temps que la prescription des études d’impact, la loi a établi les principes fondamentaux de la gestion de l’environnement comme le droit à l’information, la participation des citoyens à la gestion et la responsabilité environnementale, considérées comme concepts novateurs. En son article premier, elle fixe le cadre général d’exécution de la politique de l’environnement. Elle définit l’environnement par un ensemble des milieux naturels et artificiels y compris les milieux humains et les facteurs sociaux et culturels qui intéressent le développement.

En son article 10, elle affirme que « les projets d’investissements publics ou privés, qu’ils seraient soumis ou non à autorisation ou à approbation d’une autorité administrative, susceptibles de porter atteinte à l’environnement doivent faire l’objet d’une étude d’impact compte tenu de la nature technique et l’ampleur desdits projets ainsi que de la sensibilité du milieu d’implantation. Cette loi a entraîné l’élaboration des textes d’application dont les décrets 92-926 et 95-377 du 23 mai 1995. Ces textes définissent la procédure d’études d’impact, et sont prorogés par le Décret n° 99/954 du 15 décembre 1999 relatif à la Mise En Comptabilité des Investissements avec l’Environnement (MECIE) et ses modificatifs du 2004-167 du 03 février 2004.

CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS 

Le parc marin Nosy Hara abrite des ressources halieutiques considérables dont les concombres de mer, il est caractérisé par de nombreux îlots, des côtes rocheuses des récifs coralliens, des bancs sableux et des zones d’herbier de phanérogames marines, Cette une zone favorable au développement de ces animaux.Ce rapport relate le mode d’exploitation des holothuries dans le Parc et révèle également les impacts de cette activité sur l’environnement. La méthodologie s’est focalisée sur une analyse préliminaire et des collectes de données sur terrain sans entreprendre des recherches approfondies tant du point de vue écologiques et social. D’après cette étude, 15 espèces d’holothuries sont les plus exploités dans le village d’Ampasindava et parmi les espèces qui ont une valeur marchande élevés à Madagascar sont présentes : Holothuria scabra, Holothuria fuscogilva, Thelenota ananas, Actinopyga echinites et Holothuria nobilis.L’abondance de chaque espèce est liée aux habitats. Au total cinq espèces ont été relevées à Nosy lakandava et la densité est faible.

L’étude sur le recouvrement benthique a permis de dégager l’état de santé actuelle du site, qui a commencé à se dégrader. La pêche aux holothuries engendre plusieurs impacts négatifs sur l’écosystème. Par ailleurs les concombres de mer ont un rôle important à jouer, tant du point de vue écologique qu’économique. D’après les enquêtes que nous avons entreprises, la principale source de revenu de la population est la pêche aux holothuries mais ces dernières sont exposées à la surexploitation actuellement. L’application des réglementations et la gestion participative entre la population et le gestionnaire ont permis de freiner les aspects négatifs et d’atteindre les objectifs de la pêche durable et équitable.Ainsi donc dans le court terme, il convient de renforcer la communication et la sensibilisation de la population sur les régulations du Parc et la législation de la Pêche, renforcer la surveillance de la Pêche, redynamiser le Comité Local du Parc et renforcer leur capacité pour leur prise de responsabilité et la mise en place de Dina telles sont les mesures d’atténuation pour remédier aux problèmes de la surexploitation des holothuries.

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Table des matières

INTRODUCTION
I. MILIEU D’ETUDE
I.1. Localisation et statut du parc nosy hara
I.2. Description du milieu physique
I.2.1. Hydrographie
I.2.2. Climat
I.2.3. Précipitation
I.2.4. Température
I.2.5. Vent
I.2.6. Insolation
I.3. Description du milieu biologique
I.3.1. Flore
I.3.2. Faune
I.3.3. Présentation de l’holothurie
I.3.3.a. Historique, classification et importance au niveau local, régional et national
I.3.3.b. Biologie et écologie
I.3.3.c. Mode de reproduction
I.3.3.d. Rôles écologiques
I.4. Description du milieu humain
I.4.1. Population et
démographie d’Ampasindava
I.4.1.a. Historique
I.4.1.b. Population
I.4.1.c. Population jeune
I.4.2. Aspect culturel
I.4.2.a. US et Coutumes
I.4.2.b. Activités socio-économiques et environnement
I.5. Cadre législatif

I.5.1. Charte de l’Environnement
I.5.2. Décret MECIE
I.5.3. Code des Aires Protégées
I.5.4. Législation de la pêche
I.5.5. Conventions internationales
II. METHODOLOGIE 
II.1. Etudes préliminaires
II.1.1. Etude bibliographique et webographique
II.1.2. Etude cartographique
II.1.3. Démarche participative et règlementaire
II.1.4
. Choix et localisation d’un site d’étude
II.2. Collecte des données sur terrain
II.2.1. Enquête socio-
économique sur l’holothurie
II.2.2. Relevé écologique
II.2.2.a. Notion des secteurs, sites et stations
II.2.2.b. Codification
II.2.2.c. Transect linéaire
II.2.2.d. Méthode de Comptage visuel
II.2.2.e. Collecte de données benthos
II.2.2.f. Méthode d’évaluation des impacts écologique
II.3. Traitement des données statistiques
II.3.1. Analyse des données faunistiques
II.3.2. Traitement des données cartographiques
III. RESULTATS ET INTERPRETATIONS
III.1. Caractéristique de sites d’études
III.2. Resultats des enquêtes
III.2.1. Mode d’exploitation
III.2.1.a. Organisation des pêcheurs
III.2.1.b. Types de pêche

III.2.1.c. Technique de traitement
III.2.2. Evaluation socio-économique
III.2.2.a. Espèces exploitées à Ampasindava
III.2.2.b. Prix de chaque espèce
III.3. Resultats écologiques
III.3.1. Abondance des espèces par zonation
III.3.2. Densité des espèces
III.3.3. Recouvrement benthique
III.4. Analyse et évaluation des impacts potentiels
III.4.1. Identification des impacts potentiels
III.4.2. Evaluation des impacts
IV.
DISCUSSION Remarques et observations
IV.1. Sur la méthodologie
IV.2. Sur les résultats
IV.3. Gestion de la pêche
IV .4
.Propositions de mesures d’atténuation des impacts
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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