LA GLANDE THYROÏDE A L’ETAT NORMAL

LA GLANDE THYROÏDE A L’ETAT NORMAL

LA GLANDE THYROÏDE A L’ETAT NORMAL

La thyroïde est une glande endocrine impaire et médiane située à la face antérieure du cou, en regard des deuxième et troisième anneaux trachéaux, auxquels elle est rattachée par le ligament de Gruber. Elle comporte deux lobes latéraux réunis ensemble par un isthme d’où nait de manière inconstante le lobe pyramidal (ou lobe de Lalouette) sous forme d’un prolongement supérieur un peu latéralisé à gauche et suivant le tractus thyréoglosse (Figure 1). La forme habituelle de la glande thyroïde est celle d’un H ou d’un papillon. Son poids est d’environ 20 à 30g. Son volume est sujet à de grandes variations individuelles liées au morphotype, à l’âge, au sexe et à la charge en iode. La consistance de la glande est souple et élastique, sa couleur rougeâtre (RyndakSwiercz, 2010). 1.1. Rapports anatomiques Le corps thyroide présente une face antérieure convexe vers l’avant recouverte par l’aponévrose cervicale moyenne et les muscles sous-hyoidiens. La face postérieure concave est appliquée sur les faces antérieures et latérales de la trachée et du larynx. Les extrémités supérieures sont situées en regard du bord postérieur du cartilage thyroide, les extrémités inférieures se trouvent à quelques centimètres du sternum. Ces rapports sont sujets à variation selon l’implantation haute ou basse da la glande (Ryndak-Swiercz, 2010). 1.2. Vascularisation 1.2.1. Vascularisation artérielle Elle est assurée par les artères thyroidiennes supérieure, moyenne et inférieure (Figure 2). L’artère thyroidienne supérieure est la plus volumineuse, il s’agit de la première collatérale de la carotide externe. Elle chemine vers le bas pour rejoindre le pôle supérieur du lobe thyroidien au contact duquel elle se trifurque en branches interne, postérieure et supérieure. La branche interne s’anastomose avec son homologue controlatérale tandis que la branche postérieure s’anastomose avec une branche de l’artère thyroidienne inférieure ipsilatérale. L’artère thyroidienne inférieure est une collatérale du tronc bicervicoscapulaire né de l’artère sousclavière. Elle croise la face postérieure de la carotide primitive puis se divise elle aussi en trois branches au contact du pole inférieur du lobe latéral : • La branche sous-isthmique réalise une anastomose avec son homologue controlatérale. • La branche postérieure rejoint la branche postérieure de l’artère thyroidienne supérieure. • La dernière branche pénètre le lobe latéral. L’artère thyroidienne moyenne est inconstante. 1.2.2. Vascularisation veineuse Le drainage veineux thyroidien est essentiellement assuré par la veine jugulaire interne qui reçoit le tronc thyro-linguofacial dans lequel se déverse la veine thyroidienne supérieure. Celle-ci suit globalement le même cheminement que l’artère thyroidienne supérieure. Latéralement au lobe nait la veine thyroidienne moyenne se jetant elle aussi dans la veine jugulaire interne. Les veines thyroidiennes inférieures drainent la partie inférieure des lobes et de l’isthme et gagnent le tronc veineux brachio-céphalique (Ryndak-Swiercz, 2010). 1.2.3. Vascularisation lymphatique Le drainage lymphatique est important à connaitre notamment pour la prise en charge chirurgicale des cancers thyroidiens. En effet, 70% des cancers papillaires très lymphophiles, s’accompagnent d’une atteinte ganglionnaire. Les vaisseaux lymphatiques sont satellites des veines thyroidiennes. Deux groupes ganglionnaires principaux sont ainsi individualisés : – Le compartiment central comprenant les ganglions sus et sous-isthmiques, récurrentiels et médiastinaux supérieurs. – Le compartiment latéral avec les chaines jugulaires internes et spinales. L’atteinte des ganglions sus-claviculaires est rare et tardive. L’existence d’une possibilité de drainage lymphatique croisé est à connaitre (Ryndak-Swiercz, 2010). 1.3.Innervation Le corps thyroide est en contact intime avec le nerf laryngé récurrent, moteur pour les cordes vocales et la bouche de Kilian. A gauche, ce nerf issu du nerf vague a un trajet cervical et thoracique puisqu’il passe sous la crosse aortique et remonte vers le larynx en s’appliquant sur la face antérolatérale gauche de l’œsophage. A droite, son trajet reste uniquement cervical, il contourne par le dessous l’artère sous-clavière avant de remonter dans l’angle trachéo-oesophagien. Ces nerfs doivent donc être disséqués minutieusement lors de la chirurgie thyroidiennes, leur lésion pouvant être responsable de l’apparition d’une dysphonie par paralysie des cordes vocales. Le nerf laryngé supérieur nait lui aussi du nerf vague et se divise en deux branches : l’une interne assurant la sensibilité du larynx, l’autre externe, motrice pour le muscle cricothyroidien et sensitive pour la portion sous glottique du larynx (Ryndak-Swiercz, 2010).

Glandes parathyroides

La thyroïde est une glande endocrine impaire et médiane située à la face antérieure du cou, en regard des deuxième et troisième anneaux trachéaux, auxquels elle est rattachée par le ligament de Gruber. Elle comporte deux lobes latéraux réunis ensemble par un isthme d’où nait de manière inconstante le lobe pyramidal (ou lobe de Lalouette) sous forme d’un prolongement supérieur un peu latéralisé à gauche et suivant le tractus thyréoglosse (Figure 1). La forme habituelle de la glande thyroïde est celle d’un H ou d’un papillon. Son poids est d’environ 20 à 30g. Son volume est sujet à de grandes variations individuelles liées au morphotype, à l’âge, au sexe et à la charge en iode. La consistance de la glande est souple et élastique, sa couleur rougeâtre (RyndakSwiercz, 2010). 1.1. Rapports anatomiques Le corps thyroide présente une face antérieure convexe vers l’avant recouverte par l’aponévrose cervicale moyenne et les muscles sous-hyoidiens. La face postérieure concave est appliquée sur les faces antérieures et latérales de la trachée et du larynx. Les extrémités supérieures sont situées en regard du bord postérieur du cartilage thyroide, les extrémités inférieures se trouvent à quelques centimètres du sternum. Ces rapports sont sujets à variation selon l’implantation haute ou basse da la glande (Ryndak-Swiercz, 2010). 1.2. Vascularisation 1.2.1. Vascularisation artérielle Elle est assurée par les artères thyroidiennes supérieure, moyenne et inférieure (Figure 2). L’artère thyroidienne supérieure est la plus volumineuse, il s’agit de la première collatérale de la carotide externe. Elle chemine vers le bas pour rejoindre le pôle supérieur du lobe thyroidien au contact duquel elle se trifurque en branches interne, postérieure et supérieure. La branche interne s’anastomose avec son homologue controlatérale tandis que la branche postérieure s’anastomose avec une branche de l’artère thyroidienne inférieure ipsilatérale. L’artère thyroidienne inférieure est une collatérale du tronc bicervicoscapulaire né de l’artère sousclavière. Elle croise la face postérieure de la carotide primitive puis se divise elle aussi en trois branches au contact du pole inférieur du lobe latéral : • La branche sous-isthmique réalise une anastomose avec son homologue controlatérale. • La branche postérieure rejoint la branche postérieure de l’artère thyroidienne supérieure. • La dernière branche pénètre le lobe latéral. L’artère thyroidienne moyenne est inconstante. 1.2.2. Vascularisation veineuse Le drainage veineux thyroidien est essentiellement assuré par la veine jugulaire interne qui reçoit le tronc thyro-linguofacial dans lequel se déverse la veine thyroidienne supérieure. Celle-ci suit globalement le même cheminement que l’artère thyroidienne supérieure. Latéralement au lobe nait la veine thyroidienne moyenne se jetant elle aussi dans la veine jugulaire interne. Les veines thyroidiennes inférieures drainent la partie inférieure des lobes et de l’isthme et gagnent le tronc veineux brachio-céphalique (Ryndak-Swiercz, 2010). 1.2.3. Vascularisation lymphatique Le drainage lymphatique est important à connaitre notamment pour la prise en charge chirurgicale des cancers thyroidiens. En effet, 70% des cancers papillaires très lymphophiles, s’accompagnent d’une atteinte ganglionnaire. Les vaisseaux lymphatiques sont satellites des veines thyroidiennes. Deux groupes ganglionnaires principaux sont ainsi individualisés : – Le compartiment central comprenant les ganglions sus et sous-isthmiques, récurrentiels et médiastinaux supérieurs. – Le compartiment latéral avec les chaines jugulaires internes et spinales. L’atteinte des ganglions sus-claviculaires est rare et tardive. L’existence d’une possibilité de drainage lymphatique croisé est à connaitre (Ryndak-Swiercz, 2010). 1.3.Innervation Le corps thyroide est en contact intime avec le nerf laryngé récurrent, moteur pour les cordes vocales et la bouche de Kilian. A gauche, ce nerf issu du nerf vague a un trajet cervical et thoracique puisqu’il passe sous la crosse aortique et remonte vers le larynx en s’appliquant sur la face antérolatérale gauche de l’œsophage. A droite, son trajet reste uniquement cervical, il contourne par le dessous l’artère sous-clavière avant de remonter dans l’angle trachéo-oesophagien. Ces nerfs doivent donc être disséqués minutieusement lors de la chirurgie thyroidiennes, leur lésion pouvant être responsable de l’apparition d’une dysphonie par paralysie des cordes vocales. Le nerf laryngé supérieur nait lui aussi du nerf vague et se divise en deux branches : l’une interne assurant la sensibilité du larynx, l’autre externe, motrice pour le muscle cricothyroidien et sensitive pour la portion sous glottique du larynx (Ryndak-Swiercz, 2010).

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Table des matières

Introduction
CHAPITRE 1 : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
I. LA GLANDE THYROÏDE A L’ETAT NORMAL
1. Corps thyroïde
1.1. Rapports anatomiques
1.2. Vascularisation
1.2.1. Vascularisation artérielle
1.2.2. Vascularisation veineuse
1.2.3. Lymphatiques
1.3. Innervation
2. Glandes parathyroides
2.1. Localisation et structure
2.2. Biosynthèse de la parathormone
2.3. Biosynthèse de la protéine sécrétoire parathyroïdienne
3. Histologie de la thyroïde
3.1. Cellule folliculaire
3.2. Cellule parafolicullaire
4. Physiologie de la thyroïde
4.1. Biosynthèse des hormones thyroidiennes
4.1.1. Structure des hormones thyroidiennes
4.1.2. Rôle de l’iode
4.1.3. Transport des hormones thyroïdiennes
4.2. Régulation de la fonction thyroidienne
4.2.1. Rôle de l’hormone thyréostimulante antéhypophysaire
4.2.2. Hormones thyroïdiennes
4.2.3. Rôle de l’iodure
4.2.4. Autres facteurs régulant la fonction thyroidienne
II. LA GLANDE THYROÏDE A L’ETAT PATHOLOGIQUE
1. Le nodule thyroïdien
1.1. Définition
1.2. Epidémiologie
1.3. Pathogénie
1.4. Evaluation clinique
2. Goitre simple et nodulaire
2.1. Définition
2.2. Epidémiologie
2.3. Pathogénie
2.4. Evaluation clinique
3. Les thyroïdites
3.1. Définition
3.2. Classification des principales thyroidites
3.2.1. Thyroidite aigue infectieuse
3.2.2. Thyroidite subaigue de De Quervain
3.2.3. Thyroïdites lymphocytaires auto-immunes
3.2.3.1. Thyroïdite lymphocytaire chronique de l’enfant et l’adolescent
3.2.3.2.Thyroïdite atrophique
3.2.3.2. Thyroïdite silencieuse ou indolore
3.2.3.3. Thyroïdite auto-immune asymptomatique
3.2.4. Thyroïdite de Riedel
4. Cancers de la thyroide
4.1. Introduction
4.2. Classifications des cancers thyroidiens
4.2.1 Classification anatomopathologique de l’OMS 2004
4.2.1.1. Principes de la classification actuelle
4.2.1.2. Les différents types de carcinomes thyroïdiens
4.2.1.2.1. Tumeurs malignes épithéliales
4.2.1.2.1.1. Carcinomes papillaires
4.2.1.2.1.2. Carcinomes vésiculaires
4.2.1.2.1.3. Carcinome peu différencié
4.2.1.2.1.4. Carcinome indifférencié ou anaplasique
4.2.1.2.1.5. Carcinome médullaire
4.2.1.2.2. Tumeurs malignes non épithéliales
4.2.1.2.2.1. Lymphome
4.2.1.2.2.2. Métastases intrathyroïdiennes
4.2.1.2.2.3. Tumeurs rares
4.2.2. Classification pTNM
4.3. Apport et intérêt de la biologie moléculaire
4.4. Epidémiologie et étiopathogénie des cancers thyroidiens
4.5. Circonstances de découverte du cancer thyroidien
4.5.1 Nodule
4.5.2. Adénopathie cervicale
. 4.5.3. Métastases à distance
4.5.4. Découverte fortuite sur une pièce de thyroïdectomie
4.6. Diagnostic du cancer thyroïdien
4.6.1 Examen clinique
4.6.2. Examen paraclinique
4.6.2.1. Les hormones et leurs dosages
4.6.2.2. L’échographie
4.6.2.3. La cytoponction
4.6.2.4. La scintigraphie
4.7. Formes cliniques du cancer thyroidien
4.7.1. Microcancer
4.7.2. Cancer de l’enfant
4.7.3. Cancer du sujet âgé
4.7.4. Cancer chez la femme enceinte
4.7.4.1. Découverte d’un cancer thyroidien pendant la grossesse
4.7.4.2. Survenue d’une grossesse chez une femme traitée pour cancer thyroidien
4.8. Les grands types du cancer thyroïdien
4.8.1. Les cancers différenciés
4.8.1.1. Cancer papillaire
4.8.1.2. Cancer vésiculaire
4.8.2. Cancer indifférencié ou anaplasique
4.8.2.1. Etiologie
4.8.2.2. Epidémiologie
4.8.2.3. Diagnostic
4.8.2.4. Traitement
4.8.3. Le cancer médullaire de la thyroide « CMT »
4.8.3.1. Connaissance physiopathologique du CMT
4.8.3.2. Circonstance de découverte du CMT
4.8.3.2.1. Formes apparemment sporadiques
4.8.3.2.2. Formes familiales
4.8.3.2.3. Phéochromocytome
4.8.3.2.4. Hyperparathyroïdie
4.8.3.2.5. Néoplasie Endocrinienne Multiple de type 2B (NEM-2B)
4.8.3.2.6. Autres manifestations
4.8.3.2.7. Métastases
4.8.3.3. La calcitonine humaine
4.8.3.3.1. Structure, synthèse et rôle physiologique
4.8.3.3.2. Récepteur de la calcitonine
4.8.3.3.3. Gène de la calcitonine et peptides associés
4.8.3.3.4. Dosage de la calcitonine
4.8.3.3.4.1. Valeur de calcitoninémie de base
4.8.3.3.4.2. Test de stimulation de la calcitonine
4.8.3.3.4.3. Dosage de la calcitonine in situ
4.8.3.3.5. Bilan génétique
4.8.3.3.6. Bilan d’extension
4.8.3.3.7. Anatomie pathologique du CMT
4.8.3.3.7.1. Caractéristiques générales
4.8.3.3.7.2. Cytoponction préopératoire
4.8.3.3.7.3. Examen extemporané
4.8.3.3.7.4. Pièges diagnostiques
4.8.3.3.7.5. Comportement du pathologiste vis-à-vis d’un CMT
4.8.3.3.7.6. Éléments du pronostic
4.8.3.3.7.7. Cancers médullaires mixtes
4.8.3.3.7.8. Cancers familiaux
4.8.3.3.7.9. Hyperplasie à cellules C (HCC)
4.8.3.3.7.10. Micro-cancer médullaire de la thyroïde (< 1 cm)
4.8.3.3.8. Pronostic du CMT
4.8.3.3.9. Mutations impliquées
4.9. Facteurs de risque du cancer thyroidien
4.9.1. L’irradiation
4.9.2. La carence en iode
4.9.3. La prédisposition génétique
4.9.4. Autres facteurs de risque
4.9.4.1. Goitre endémique
4.9.4.2. Antécédents de pathologie thyroidienne bégnine
4.9.4.3. Facteurs hormonaux et reproduction
4.9.4.4. Polluants et perturbateurs de la fonction thyroidienne
4.10. Facteurs pronostiues du cancer thyroidien
4.10.1. Caractéristiques du patient
4.10.1.1. Age au diagnostic
4.10.1.2. Sex-ratio
4.10.1.3. Antécédent familial de cancer thyroidien
4.10.2. Tumeur initiale
4.10.2.1. Taille de la tumeur
4.10.2.2. Type histologique
4.10.2.3. Multifocalité
4.10.2.4. Invasion vasculaire
4.10.2.5. Envahissement extrathyroidien
4.10.2.6. Métastases ganglionnaires
4.10.2.7. Métastases à distance
4.11. Apport de l’immunohistochimie
CHAPITRE 2 : PATIENTS ET METHODES
I. Patients
II. Méthodes
1. La cytoponction
1.1. Identification de la cytoponction
1.2. Technique de cytoponction
2. Les prélèvements
2.1. Identification des prélèvements
2.2. Réception et enregistrement des prélèvements
2.3. Conservation des prélèvements
2.4. Fixation des prélèvements
2.5. Macroscopie
3. Technique histologique
3.1. Définition
3.2. Instruments
3.3. Codage des échantillons
3.4. Dissection
3.5. Identification des cassettes
3.6. Déshydratation
3.7. Substitution
3.8. Imprégnation
3.9. Inclusion
3.10. Coupe
3.11. Etapes préparatoires à la coloration Séchage des lames
3.12 Déparaffinage
3.13. Coloration
3.14. Etapes préparatoires au montage déshydratation
3.15. Montage
3.16. Préparation des plateaux de lecture
3.17. Examen microscopique
4. Technique immunohistochimique
4.1. Définition
4.2. Principe de la technique immunohistochimique
4.3. Différentes étapes de la technique immunohistochimique
4.3.1. Préparation du tissu
4.3.2. Confection des coupes et prétraitement thermique
4.3.3. Déparaffinage
4.3.4. Réhydratation
4.3.5. Démasquage des sites antigéniques
4.3.6. Blocage des activités enzymatiques
4.3.7. Incubation avec l’anticorps primaire
4.3.8. Incubation avec l’anticorps secondaire conjugué HRP
4.3.9. Révélation
4.3.10. Contre-coloration
4.3.11. Observation microscopique
4.4. Réalisation de témoins
5. analyse génétique
CHAPITRE 3 : RESULTATS ET DISCUSSION
I. RESULTATS
1. Données épidémiologiques
1.1. Répartition selon le nombre de cas de cancers thyroïdiens
1.2. Répartition selon le sexe des patients
1.3. Répartition selon l’âge des patients
1.4. Répartition selon le type histologique
1.4.1. Répartition globale
1.4.2. Répartition par année
2. Analyse clinique et histopathologique
2.1. Origine des patients
2.1.1. Par wilaya
2.1.2. Par organisme prescripteur
2.2. Données cliniques
2.2.1. Répartition par sexe
2.2.2. Répartition par âge
2.2.3. Répartition selon les moyens de diagnostic
2.2.4. Répartition selon le siège de la tumeur
2.2.5. Répartition selon le nombre des nodules
2.3. Données anatomo-histopathologiques
2.3.1. Fréquence des cancers thyroidiens parmi les pièces de thyroidectomies
2.3.2. Répartition selon le type histologique
2.3.2.1. Le cancer papillaire
2.3.2.2. Le cancer vésicullaire
2.3.2.3. Le cancer anaplasique
2.3.2.4. Le cancer médullaire
2.3.3. Répartition selon la présence de métastases
2.3.4. Répartition selon les pathogénies associées au cancer thyroidien
3. Analyse immunohistochimique
Evaluation des cas pour confirmation du diagnostic
3.1. Cancer médullaire mixte
3.2. Cancer vésiculaire
3.3. Cancer vésiculaire
3.4. Cancer papillaire
3.5. Cancer papillaire inclus dans un adénome microvésiculaire
3.6. Cancer médullaire CMT
4. Analyse génétique
II. DISCUSSION
1. Répartition selon les moyens du diagnostic
2. Répartition selon le nombre de cas de cancers thyroidiens
3. Répartition selon le sexe
4. Répartition selon l’âge
5. Répartition selon le siège de la tumeur
6. Répartition selon le nombre de nodules
7. Répartition selon le type histologique
8. Répartition selon les métastases
9. Association avec d’autres anomalies
10. Fréquence du cancer thyroidien parmi les pièces de thyroidectomies
Conclusion
Références bibliographiques
Publication scientifique

 

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