L’approche interactionnelle en France et en Suisse
L’analyse conversationnelle est un courant interactionniste qui est née à Genève (ROULET et al.) et à Lyon (KERBRAT ORECCHIONI et al.) dont les sources d’approvisionnement théoriques sont les conversations américaines. Le discours est maintenant conçu comme une négociation, ce qui permet d’appréhender sa structure et son fonctionnement. Le discours est donc une entité complexe ayant une dimension linguistique (en tant que texte), une dimension sociologique (en tant que production en contexte), et une dimension communicationnelle (en tant qu’interaction finalisée). Pour ce qui est de l’analyse conversationnelle, EDDY ROULET développe un modèle portant sur deux composantes : l’analyse hiérarchique et l’analyse conversationnelle. L’analyse hiérarchique se fait à travers trois niveaux fondamentaux : D’abord, l’acte de langage c’est l’action verbale minimale effectué par un locuteur, associé par un tour de parole. Pour Austin tout énoncé est un acte de parole qui contient trois composantes : le locutoire (le dire), l’illocutoire (le faire), le perlocutoire (l’effet produit sur son interlocuteur). Ainsi l’énoncé « je te promets de venir demain » est une forme engageante même si elle ne garantit pas totalement que cet événement aille se produire : il peut y avoir une série d’empêchements imprévisibles, ou il se peut que l’intention soit plutôt de rassurer que de s’engager vraiment. Ainsi à travers un même énoncé, plusieurs buts sont poursuivis, le but illocutoire (effet espéré de l’action, par exemple neutraliser la personne) et le but perlocutoire (effet espéré sur l’allocutaire, lui faire peur). Ensuite l’échange est la plus petite unité dialogale, (deux personnes aux moins y participent) appelé aussi unités vedettes. Le minimum pour pouvoir parler d’un échange, c’est d’avoir deux énoncés produits par deux locuteurs différents : une demande d’information et la réponse, un échange de salutations. Et enfin, l’intervention qui correspond à la contribution d’un locuteur au tour d’un échange. Elle peut correspondre au tour de parole mais pas toujours le cas. Le locuteur peut se sentir menacer, déstabiliser parfois et qui le pousse à couper la parole à l’autre pour se défendre. Les relations entre ces divers éléments, en particulier les liens entre les interventions font l’objet de l’analyse fonctionnelle, qui cherche à mettre en évidence la fonction illocutoire de chaque élément d’un échange ainsi que les fonctions interactives qui lient les constituants de chaque intervention. Les fonctions interactives permettent d’expliquer, dans chaque cas d’intervention complexe, le rôle argumentatif d’un constituant. Reposant sur le modèle de ROULET.E, la recherche de l’école de Genève porte d’une part sur la stratégie mise en œuvre par les interlocuteurs et d’autre part sur la formation des conditions d’enchainement et d’interprétation qui détermine l’articulation du discours. Il y’a dans ce cas deux principes fondamentaux qui permettent de rendre compte de la structure et du fonctionnement d’un discours: la complétude interactionnelle et la complétude interactive : La complétude interactionnelle et la complétude interactive. Selon le premier principe, tout discours oblige ses participants à satisfaire les rituels d’ouverture, de clôture et de satisfaction afin d’aboutir à un double accord permettant de clore la négociation. L’analyse de discours est envisagée d’une part suivant l’axe de négociation, c’est-à-dire la recherche d’un accord, et d’autre part selon une interprétation qui focalise l’attention sur les critères de cohésion et de cohérence. La poursuite d’un discours n’est pas toujours possible car un interlocuteur peut demander un renseignement au cours d’une conversation. C’est dire que la poursuite du dialogue nécessite des négociations secondaires afin d’aboutir. La complétude interactive est obtenue après des échanges bien négociés. L’approche conversationnelle qui fait appel aux notions de cohérence et de pertinence a été surtout développée par Jacques MOESCHLER qui s’est inspiré de la théorie cognitive de la communication ébauchée par SPERBER et WILSON (1986), à laquelle il emprunte le concept de pertinence. La notion de pertinence conditionnelle illustre le fait que ce qui relie les parties des paires adjacentes n’est pas une règle de bonne formation, mais la mise en place d’attentes spécifiques auxquelles, il faudra répondre. La cohérence n’est pas vue comme principe ou cause organisationnelle de la conversation, mais comme l’effet résultant d’un certain nombre d’attentes interactionnelles. L’intérêt pour le chercheur, c’est d’analyser les procédures d’attentes employées par les participants d’une conversation.
Définition des concepts
L’interaction verbale : L’interaction verbale renvoi à toute forme d’échange verbale qui met en contact deux ou plusieurs individus en situation d’échange. ERVING GOFFMAN le définit comme « une suite d’évènement dont l’ensemble constitue un « texte » produit collectivement dans un contexte déterminé ». L’interaction est donc un échange d’information, d’émotion et d’énergie nécessitant une entré en contact entre deux ou plusieurs personnes. L’interaction est une mise en scène entre des interlocuteurs où les comportements des uns agissent sur ceux des autres. C’est à travers cette relation coordonnée des deux pôles d’une conversation, qu’un sujet parlant met en œuvre dans le jeu interlocutoire, une procédure interactionnelle déterminée par des rôles préalablement établies et des règles précises dont l’application relève de la compétence des interlocuteurs.
L’argumentation : L’argumentation est une activité langagière omniprésente qui permet à l’individu de prouver ou de réfuter une opinion, un fait, dont le seul but est de faire persuader ou convaincre son interlocuteur. Chacun de nous s’est trouvé un jour devant une situation quelconque ou il a senti le besoin de faire adhérer son opinion son point de vue qu’il soit devant un sujet de dissertation, dans un discours tenue devant une assemblé ainsi de suite. L’argumentation considère l’interlocuteur, non comme un objet à manipuler mais comme un alter ego auquel il s’agira de faire partager sa vision. Agir sur lui, c’est chercher à modifier les diverses représentations qu’on lui prête, en mettant en évidence certaines choses, en occultant d’autres, en proposant de nouvelles GRIZE 1990, 41. Dans les termes de CHARAUDEAU, tout acte de langage émane d’un sujet qui gère sa relation à l’autre (principe d’altérité) de façon à l’influencer (principe d’influence) tout en devant gérer une relation dans laquelle le partenaire a son propre projet d’influence ( principe de régulation ) CHARAUDEAU 2005 : 12. L’argumentation est donc un discours chargé d’émotion et de persuasion dont l’unique intérêt est de faire adhérer son opinion et pousser l’autre à agir différemment.
L’émotion : « Chacun sait ce qu’une émotion jusqu’à ce qu’on lui demande d’en donner une définition. A ce moment-là, il semble que plus personne ne sache ». FEHER RUSSELL 1984 Définir l’émotion n’est pas une chose aisée dans la mesure où le concept n’existe pas comme une entité psychologique tout que pour la psychologie la mémoire n’existe pas en tant que telle. Depuis l’antiquité, Platon le considère comme : « un évènement perturbateur de la raison », pour Emanuel Kant « elle est liée à la maladie de l’âme », Darwin nous évoque « le comportement adaptatif et évolutif des espèces » et jean Paul Sartre nous parle, « d’un modèle d’existence de la conscience ». L’émotion est maintenant considérée comme un facteur explicatif déterminant du comportement humain. Elle est générée par un objet ou un évènement et comporte plusieurs composantes : la cognition, la physiologie, l’expression motrice, les tendances à l’action et le sentiment subjectif. C’est donc tout évènement qui perturbe notre esprit mais de façon passagère.
L’ethos : Une notion qui a été développée par Aristote, et repris par beaucoup de chercheurs dans l’analyse du discours, elle représente aujourd’hui le moyen de persuasion de l’auditoire. Selon Barthes (1970. 35) « l’ethos désigne les traits de caractère que l’orateur doit montrer à l’auditoire pour faire bonne impression ». Du point de vue d’AMOSSY « toute prise de parole implique la construction d’une image de soi ». C’est donc une image que le locuteur donne lui-même dans son discours pour assurer son efficacité. ARISTOTE insiste sur le fait que l’ethos fait partie des mécanismes que l’orateur utilise pour persuader sa cible. Pour lui, l’ethos est une image qui se réalise dans le discours, une image de soi que l’orateur donne à travers son discours. C’est là, le moment qui ouvre un grand débat qui continue de nos jours: l’ethos est une image discursive ou une donnée extratextuelle. Pour Aristote l’image de soi est donnée seulement dans l’analyse du discours. Par ailleurs, Ducrot inspiré de la théorie d’Aristote, dit que ce qui est important, c’est de ne pas confondre les instances entrainées dans le discours avec les êtres empiriques qui se situent en dehors du langage. C’est-à-dire analyser un locuteur dans le discours ce n’est pas d’analyser ce qu’il dit de lui mais les apparences que ces paroles lui confèrent. DOMINIQUE MAINGUENEAU, nous explique que : « ce que l’orateur prétend être, il le donne à entendre et à voir: il ne dit pas qu’il est simple et honnête, il le montre à travers sa manière de s’exprimer. L’ethos est ainsi attaché à l’exercice de la parole, au rôle qui correspond à son discours, et non à l’individu «réel», appréhendé indépendamment de sa prestation oratoire» 1938 : 138 : la représentation de soi dans le discours. Par ailleurs ERVING GOFFMAN, explique que pour présenter une bonne image de soi le locuteur développe différents types de stratégies et de mécanismes pour convaincre et persuader son cible. Il emploi la notion de face et là défini comme étant « la valeur sociale positive qu’une personne revendique effectivement à travers la ligne d’action que les autres supposent qu’elle a adoptée au cours d’un contact particulière ».
Pathos : « Pathos » vient du latin qui signifie passion aujourd’hui renvoi à une souffrance, un supplice que la personne ressent lors d’une situation d’échanges ou de contact entre deux ou plusieurs individus. Le terme ethos renvoi à une multitude de dimension, il signifie le fait de subir, de souffrir et d’éprouver et commence à designer la souffrance physique, la douleur ou la maladie, comme l’atteste l’usage du latin chrétien. Mais elle dépasse l’idée de souffrance physique avec l’acceptation de souffrance morale provoquée par toute affection de l’âme au début du XIII ème siècle. C’est vers le XIII ème siècle, que la notion de pathos prend précisément l’idée de « souffrance torturante provoquée par l’amour » RONSARD 1569. La passion est donc considérée comme tout ce qui s’oppose à la raison car elle émane d’un sentiment, d’un désire que la personne morale ou physique éprouve. Le pathos est un moyen visant à persuader, adhérer ou convaincre un publique faisant appel à l’émotion. Le pathos est en ce sens la capacité à faire ressentir une émotion imaginaire à l’auditoire. La manière la plus commune d’y parvenir est d’utiliser la narration ou de raconter une histoire qui modifie la logique rationnelle en un objet palpable et présent. Les valeurs, les croyances et les idées de l’orateur sont intégrées à l’histoire et absorbées par l’auditoire à travers l’imaginaire de la narration.
Logos : « Le logos, c’est tout, ce dont il est question. Tout jugement est une réponse à une question qui se pose, et il est composé de termes qui sont formés comme condensés à des questions qui ne se posent plus et grâce auxquels communiquer est possible ». Le logos, tout comme les autres composantes, articule ainsi du posé et du nouveau, du sens problématique et du sens établi. Donc le Logos c’est la persuasion par le raisonnement, il utilise la logique, le raisonnement, la preuve et les faits pour soutenir un argument. Bref c’est en quelque sorte l’exercice de la raison.
La situation politique au Sénégal de 2000 à 2014
Le Sénégal est un pays de l’Afrique de l’ouest situé entre la Mauritanie, le Mali, la Gambie, les deux guinées (Conakry et biseau) et l’océan atlantique. Apres les indépendances, en 1960, le Sénégal adopte un régime parlementaire et Senghor poète à la renommée mondiale est élu président de la république. Apres quarante ans au pouvoir entre Senghor et son prédécesseur Abdou Diouf, l’alternance de 2000 met fin à au régime socialiste. Abdoulaye Wade opposant historique et démocratique accède au pouvoir à la tête d’une coalition de partie. L’alternance politique du 19 mars 2000 a constitué un grand évènement démocratique. Ce grand changement de personnel dirigeant a été conçu comme une opportunité historique de mise en place d’un régime politique plus parlementaire que présidentiel, d’une nouvelle république et au-delà d’un nouvel ordre politique social. La volonté que le nouveau régime a fait au peuple, de rompre avec l’ancien régime pour assoir un nouvel ordre politique et social a été l’origine d’une nouvelle ère mondiale. C’est pourquoi la communauté internationale et la presse ont été réunies pour saluer avec beaucoup de satisfaction l’alternance qui s’est produit dans le pays suite aux élections présidentielles jugées transparentes et honnête. Le Sénégal a toujours bénéficié de l’image d’un pays pacifique et démocratique. En 2012, le président sortant était persuadé de gagner au premier tour convaincu qu’il était encore d’être populaire qu’en 2007 lors de sa seconde candidature. Il avait remporté la victoire au premier tour avec plus de 55% des voix exprimées. Le directeur de campagne électorale présidentielle en 2007 était MACKY SALL, malheureusement, il tomba en disgrâce avec le président de la république maitre ABDOULAYE WADE, après avoir convoqué son fils devant l’assemblée nationale pour la gestion du sommet de l’ANOCI (organisation conférence islamique) en 2008. Poussé à la porte, il démissionne du PDS et créa son propre parti(APR) juste un mois après. Quelque mois après, c’est autour de CHEIKH TIDIAGNE GADIO ministre des affaires étrangères depuis l’alternance de 2000 d’être débarqué en 2009. Toutes ces exclusions sont liées au pouvoir que le président Wade ne cesse de s’accorder à son fils Karim WADE depuis sa réélection en 2007. Battu dans son propre bureau de vote lors des élections municipales et rurales de mars 2009, Karim est nommé ministre d’Etat par son père en mai 2009 puis ministre de l’énergie en octobre 2010, ministre d’Etat, Ministre de la Coopération Internationale, des Transports Aériens, des Infrastructures et de l’Energie, Karim Wade est aujourd’hui surnommé par les Sénégalais « ministre du ciel et de la terre ». L’ANOCI, qui devait être la rampe de lancement du fils du Président, a été une véritable catastrophe. Corruption, surfacturation, mauvaise gestion en ont été les principaux maux. Ainsi en tenant coute à coute à placer son fils à la tête du pays, Wade devient la question principale de l’opposition et de la société civile. Il a été vivement combattu et sera battu au second tour par une grande coalition nommée « BENNO SIGGIL SENEGAL » ayant à la tête son ex-premier ministre MACKY SALL. Ce dernier accède au pouvoir et nous promet un véritable changement aussi bien dans le plan économique social, politique et démocratique. D’ailleurs, le 29 février 2012, le candidat MACKY SALL en conférence de presse à l’hôtel Radisson dans l’entre deux tour disait : « Comme nous aspirons à une démocratie vivante, si je suis élu pour 7 ans, j’ai pris l’engagement de réduire le mandat à 5 ans et de l’appliquer à mon mandat en cours ». Il avait aussi promis de renforcer la démocratie et la transparence dans la gestion de la cité, la liberté d’expression et la liberté de marche seront encadrées. Juste deux ans au pouvoir, on assiste à une violation de la loi, dont le pouvoir sortant est en premier victime. En 2014, l’opposition, plus particulièrement, le parti démocratique sénégalais devait organiser un meeting, mais qui finalement était interdit par l’Etat sous prétexte qu’il y’a menace terroriste dans la sous-région mais aussi, le sommet de l’OCI doit se tenir dans le pays donc il faut assurer la sécurité des personnes et des biens. C’est pourquoi en 2014, on assistait à des tensions politiques non seulement entre le pouvoir et l’opposions mais aussi la société civile. Comment se fait-il donc que depuis notre indépendance jusqu’à présent, nous avons les mêmes discours, les mêmes têtes, une injustice sans cesse, une instrumentalisation de nos lois et règlements ? Pourquoi dans un état aussi démocratique comme le Sénégal, les lois sont utilisées non pour rétablir l’ordre social mais pour opprimer et restreindre la liberté des citoyens ? C’est ainsi, que nous avons choisi comme corpus, le DEBAT, sur la télévision futur media animé par MAMADOU IBRA KANE ayant comme invité LUC SARR de l’APR, ASSANE BA du PDS, FATOU JAGNE SENGHOR d’ARTICLE 19 et de MAITRE DIENE NDIAYE de l’AMNESTY INTERNATIONAL section sénégalaise. Apres avoir traité ces différentes questions, nous allons passer à notre troisième et dernier chapitre concernant l’analyse proprement dit.
La séquence de clôture
La séquence de clôture dans un débat fait figure de fermeture de la communication menant à la séparation des interlocuteurs. Il s’agit d’annoncer et d’organiser de manière harmonieuse la fin de la rencontre notamment au moyen d’échanges. Dans cette dernière partie, MAMADOU IBRA KANE met fin au débat juste après un échange houleux, entre ASSANE BA et LUC SARR. C’est le moment donc où le journaliste adresse des remercîments à l’ensemble des invités pour leur disponibilité, aux téléspectateurs qui suivaient le débat mais aussi à l’équipe technique qui a contribué à la réalisation et la réussite de ce débat. Voici la séquence mettant fin à l’interaction formulée par le journaliste. 178 MAMADOU IBRA KANE : « voilà ça se termine comme ça toujours au Sénégal un débat politique. Merci à nos chers invités FATOU JAGNE SENGHOR, directrice d’article19 Afrique de l’ouest ASSANE BA du comité directeur du PDS LUC SARR du secrétariat national de l’APR et conseil politique du chef de l’État et enfin MAITRE DIENE NDIAYE d’Amnesty international section sénégalaise. Merci à l’équipe technique autour de VIEU DIOUF réalisateur mais aussi à BARKA BA pour la thématisassions de cette émission et les invitations lancées à nos honorables convives autour de cette table merci à vous de nous avoir suivi ce soir bon soir ». Dans cette séquence, il y’a donc des mots de remercîments, de contentements, et de satisfactions formulés par le journaliste en l’occurrence des invités, du staff technique et les téléspectateurs. C’est un sentiment de joie et d’émotions éprouvé par le journaliste après la réussite de la réalisation de cette émission. Après avoir, étudié le débat, voici les différentes types d’émotion qui ont été identifié dans le corpus : la peur, la joie, la tristesse, l’amour, la surprise et la colère. Ces différents aspects ont été manifestés par des expressions, des termes d’adresses, des cris, des disputes entre autres.
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Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE 1 : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE
1.1 Problématique
1.1.1 Contexte et justification
1.1.2 Question de la recherche
1.1.2.1 Question principale
1.1.2.2 Questions spécifiques
1.1.3 Objectif de la recherche
1.1.3.1 Objectif principal
1.1.3.2 Objectif spécifiques
1.1.4 Hypothèse de la recherche
1.1.4.1 Hypothèse principale
1.1.4.2 Hypothèse spécifique
1.1.5 Revue de littérature
1.2.1 Théories de bases
1.2.2 Définition des concepts
CHAPITRE 2: LA COMMUNIATION POLITIQUE MEDIATISEE
2.1 Définition
2.2 Les fonctions de la communication politique
2.3 L’influence des medias dans la communication politique
2.4 La situation politique au Sénégal de 2000 à 2014
CHAPITRE 3 : ANALYSE DU CORPUS
3.1 La transcription du corpus
3.2 Présentation du corpus
3.3 L’analyse proprement dit des données recueillis
3.3.1.1 La séquence d’ouverture
3.3.1.2 Le corps du débat ou de l’interaction
3.3.1.3 La séquence de clôture
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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