La fréquence de présence des entreprises agroalimentaires françaises sur les marchés internationaux en 2007 

Les recherches de Costas Arkolakis et Marc-Andreas Muendler (Exporters and their products: A collection ofEmpirical Regularities, 2012)

Costas Arkolakis et Marc-Andreas Muendler (2012), ont étudié dans leur article un ensemble de régularités empiriques, qui caractérisent l’activité d’exportation des entreprises de quatre pays (Brésil, Chili, Danemark et Norvège), et ils ont confirmé la minorité des entreprises qui arrivent à surmonter les coûts d’entrée sur les marchés à l’exportation quelque soit le pays.
Ils ont utilisé alors d’une façon cohérente des bases de données des échanges internationaux de quatre pays (Brésil, Chili, Danemark et Norvège), et ils se sont focalisés sur les produits manufacturés des firmes industrielles, dans le but d’une comparaison ultérieure des résultats à ceux des Etats-Unis et de la France.
Pour chaque pays exportateur des quatre pays choisis (Brésil, Chili, Danemark et Norvège), Costas Arkolakis et Marc-Andreas Muendler (2012), ont utilisé les données de firmes à trois dimensions (deux marges extensives et une marge intensive ), les pays de destination et les produits exportés.
Ils ont décomposé aussi les exportations totales en quatre composantes, et ils ont régressé ces dernières sur la taille des marchés de destination (GDP) et la distance en appliquant la méthode des moindres carrées ordinaires.
Costas Arkolakis et Marc-Andreas Muendler (2012), ont trouvé comme résultats, que le nombre de firmes qui atteignent un nombre donnéde destinations baisse relativement d’une manière douce, d’un grand nombre de firmes qui servent seulement un seul marché (le marché local dans cette étude) à un petit nombre d’entreprises qui servent un grand nombre de marché. Cerésultat nous donne une idée sur la difficulté à exporter, c’est-à-dire on a que peu de firmes qui arrivent à surmonter les obstacles à l’exportation. Autrement dit, Costas Arkolakis et Marc-Andreas Muendler (2012), ont trouvé qu’on a seulement quelques firmes qui atteignent les petits marchés, tandis que beaucoup de firmes exportent vers un nombre limité de grands marchés, ce qui montre que les exportateurs font face à des coûts d’entrée importants sur les marchés à l’exportation, et plus précisément sur les petits marchés, et que les grands marchés attirent beaucoup d’exportateurs d’un pays source donné.
La relation positive et solide qui existe entre lataille d’un marché de destination et la présence d’un grand nombre d’exportateurs des différents pays sources, peut être expliquée par deux facteurs. Premièrement, comme le marché de destination est de grande taille, il devient plus probable que les entreprises des différents pays sources s’attendent à des gains qui excèdent les coûts d’entrée sur ce marché. Deuxièmement, les grands marchés favorisent la formation des réseaux commerciaux qui à leurtour facilitent l’entrée des firmes des différents pays sources.
Sur un grand marché à l’exportation comme les Etats-Unis, on a un nombre important de firmes exportatrices, mais parmi ces firmeson trouve peu de grandes entreprises avec des ventes importantes, et beaucoup depetites firmes avec peu de ventes, cela peut être expliqué par l’importance des coûts de marketing à lesquels les petites entreprises ne peuvent pas faire face, si elles veulent atteindre des consommateurs additionnels dans le marché international.
À coté de cela, les entreprises les moins productives, et qui sont généralement les petites entreprises, paieraient de faibles coûts demarketing pour atteindre seulement peu de consommateurs à une destination donnée, mais aussi choisissaient de vendre seulement peu de produits à ces consommateurs.

Les données

Pour mener à bien cette étude, un ensemble de données nous a été fourni sous forme de différentes bases provenant de différentes sources.
Ces séries de données contiennent des informations relatives aux entreprises agroalimentaires Françaises de 1996 à 2007, avec de nombreuses variables permettant l’explication de la réalité et des déterminantsdes exportations françaises, quelques unes liées aux différents produits exportés et destinations atteintes, et d’autres liées aux caractéristiques de la France et de l’ensemble des marchés internationaux.
Ce chapitre est divisé en trois sections. La première section nous renseigne sur les sources de nos données et évalueles informations contenues dans les différentes bases de données et leur adéquation avec les exigences del’étude. La deuxième section décrit ensuite les différentes étapes et traitements que nous avons effectués sur les données pour créer une série de données adaptées à l’analyse. La dernière section montre une image de la base de données finale.
Les différentes bases de données seront traitées sous un logiciel économétrique STATA.

Les sources de données et évaluation des informations

Notre étude nécessite des données relatives aux différentes entreprises agroalimentaires françaises et aux caractéristiques des différents pays de destination. Dans cette section nous allons décrire les différentes sources denos données et évaluer les informations fournies par ces dernières.
Les données relatives aux entreprises agroalimentaires françaises :
La base de données des douanes françaises, fournie par l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), contient des informations concernant les entreprises agroalimentaires françaises exportatrices. Les variables clés que nous allons utiliser durant notre étude sont les suivantes :
-Les exportations : Pour chaque année de 1996 à 2007, nous avons les données concernant les exportations en valeur et en quantité de chaqueentreprise agroalimentaire française et pour chaque produit.
-Les destinations : Nous avons aussi les destinations atteintes par chaque entreprise, pour chaque produit et pour chaque année de 1996 à 2007.

La série de données finale

Après les différents traitements que nous avons effectués, et les fusions entre les différentes bases de données disponibles, on a eucomme résultat une base de données finale, comportant des informations sur les exportations etles caractéristiques des entreprises agroalimentaires françaises, ainsi que les caractéristiques de leurs marchés de destination. Par exemple pour chaque entreprise française nous avons des informations concernant sa taille, la valeur et le volume de ses exportations et cela pour chaque produit et chaque destination de 1996 à 2007. De même, pour chaque pays de destination, nous avons des données concernant sa taille, exprimées par son Produit Intérieur Brut (PIB en dollars), la distance qui le sépare de la France exprimée par le nombre de kilomètre entre la capitale de la France et les capitales des différents pays de destination, et nous avons enfin des variables indicatrices qui nous montrent certaines caractéristiques que partage ou pas la France avec le reste des pays, par exemple la langue, la colonie….etc.

Les exportateurs français et leurs produits

Tout au long de ce travail, on s’intéressera aux entreprises agroalimentaires françaises et aux produits exportés par ces dernières vers tous les pays du monde. On mettra ainsi l’accent sur la présence des entreprises et des produits français sur les marchés internationaux, sur la distribution des exportations et des produits entre les différentes entreprises agroalimentaires françaises, et sur les relations qui existent entre les différentes marges du commerce et les caractéristiques des pays de destination et des entreprises exportatrices. Nous allons traiter les différentes bases de données à l’aide du logiciel économétrique STATA, qui nous permettra de faire différentes régressions et différents graphiques, montrant la  réalité et les déterminants de l’activité d’exportation en France dans le secteur agroalimentaire.

La présence des entreprises agroalimentaires Françaises sur les marchés internationaux en 2007

On présentera dans cette section les destinations que les entreprises agroalimentaires Françaises atteignent, et les caractéristiques des marchés qui attirent un nombre important d’exportateurs français.

La fréquence de présence des entreprises agroalimentaires françaises sur les marchés internationaux en 2007

Nous allons tracer le nombre d’entreprises agroalimentaires en France contre le nombre de destinations que ces dernières atteignent en 2007. Nous utiliserons alors comme nombre d’entreprises, le nombre des entreprises agroalimentaires françaises exportatrices, et comme nombre de destinations, le nombre des marchés étrangers que ces dernières atteignent, contrairement à C.Arkolakis et M.-A.Muendler (2012).
La figure N°01 représente les données en log-log. Le nombre de firmes qui atteignent un nombre donné de destinations baisse relativement d’une façon douce, et passe d’un grand nombre d’entreprises qui servent seulement un seul marché, à une poignée d’entreprises qui réussissent à atteindre plusieurs marchés internationaux. Ce résultat reflète la difficulté que rencontrent les entreprises pour exporter vers plusieurs destinations.

La taille des marchés de destination

Dans cette sous-section, nous allons relier l’entrée sur les marchés internationaux aux caractéristiques des pays de destination, et plus particulièrement à la taille de leurs marchés, et cela pour avoir une idée sur l’attraction qu’exerce la taille d’un marché sur les entreprises étrangères et sur les produits offerts par ces dernières.
Pour atteindre cet objectif, on utilisera le PIB de chaque pays de destination comme mesure de sa taille de marché. On fera recours alors aux bases de données que nous avons déjà fusionnées, afin d’avoir les grandeurs dont on a besoin.
Dans un premier temps, nous allons étudier l’entrée des entreprises agroalimentaires françaises sur les marchés des pays de destination, ensuite on analysera l’entrée des produits sur ces marchés.

Conclusion de la première section

Les résultats de cette première analyse montrent la complexité de l’activité d’exportation, qui se manifeste à travers certaines constatations reflétant la réalité des échanges internationaux en France. Ainsi, dans le secteur agroalimentaire on a un nombre faible d’entreprises exportatrices qui atteignent un nombre important de marchés, par contre on a beaucoup d’entreprises qui exportent vers un nombre limitéet faible de marchés.
Autrement dit, en France Peu de firmes atteignent les petits marchés et beaucoup d’entreprises exportent vers un nombre limité de grands marchés. On peut dire alors que les grands marchés attirent un nombre importantd’exportateurs que les petitsmarchés. Ces constatations confirment que les exportateurs font face à des coûts d’entrée sur les marchés internationaux.
Ces coûts sont plus importants sur les marchés de petite taille!
Plusieurs explications peuventêtre données. Par exemple, comme la taille d’un marché est importante, il devient plus probable que les entreprises étrangères attirent des profits qui excédent les coûts d’entrée sur ce marché. Une autre explication est possible, les grands marchés favorisent la formation des réseaux commerciaux qui facilitent l’entrée des entreprises étrangères. Les résultats de cette première analyse sur les entreprises agroalimentaires françaises sont similaires aux résultats trouvés par C.Arkolakis et M.-A.Muendler (2012), lors d’une même étude sur quatre différents pays (Brésil, Chili, Norvège et Danemark). Ils sont aussi conformes aux résultats trouvés par Andrew B.Bernard et al. (2007), dans leur article « Firms in International Trade ».

La distribution des exportations totales et des produits entre les entreprises françaises

Dans cette deuxième section, ons’intéressera à la distribution des exportations totales et des produits, entre les différentes entreprises agroalimentairesfrançaises exportatrices. On se focalisera sur un seul marché de destination ; les Etats-Unis; qui représente le plus grandmarché international en terme de taille, comme le montre les figures N°02 et N°03.

La distribution des exportations totales vers les Etats-Unis en 2007

Nous allons étudier dans un premier temps les variations des exportations entre les exportateurs agroalimentaires français vers les États-Unis, pour cela on classera les entreprises exportatrices selon la somme de leurs exportationsvers les États-Unis en 2007, et on calculera pour chaque percentile d’exportateurs la somme des exportations correspondantes, et on tracera cette dernièreen log contre les différents percentiles correspondants comme le montre la figure N°04.

Les exportations totales (Tfr,d)

D’après les résultats qui figurent dans le tableau N°10, les deux variables PIB et distance sont significatives, et donc elles expliquent bien les exportations totales de la France vers les différents pays du monde. Ainsi, une augmentation du PIB du pays de destination de 1%, fait augmenter les exportations agroalimentaires françaises vers ce pays de 0.44%. Inversement, une augmentation de la distance entre la France et un pays de destination de 1%, fait baisser les exportations agroalimentaires françaises de 0.66%.
Ces résultats sont conformes aux résultats attendus d’une estimation d’une équation de gravité. Le commerce entre deux pays est positivement lié aux poids des deux pays et négativement lié à la distance.

Le nombre d’exportateurs (Mfr,d)

Comme dans le cas des exportations totales, le nombre d’exportateurs en France avec des expéditions vers un pays donné, est positivement lié au PIB du pays importateur, et négativement lié à la distance qui sépare la France de ce pays. Une augmentation du PIB du pays importateur de 1%, engendre une augmentation du nombre d’exportateurs français vers ce pays de 0.3%. Une augmentation de la distance de 1%, engendre une diminution du nombre d’exportateurs français de 0.48%.
On peut dire alors que, plus un pays dedestination a un poids important, plus son marché international est grand, et plus cela attire les entreprises agroalimentaires françaises.
Ce résultat confirme ceux trouvés auparavant sur la relation positive et croissante entre le nombre d’exportateurs français par part de marché et la taille des marchés de destination (voir figure N° 02).
Nous avons cité auparavant les arguments qui peuvent expliquer l’attirance des entreprises par les grands marchés, et ils sont généralement la formation des réseaux commerciaux sur les grands marchés, favorisant ainsi l’entrée des entreprises étrangères, et la probabilité d’avoir des profits supérieurs aux coûts d’entrée sur les marchés de grande taille.
Même si la taille d’un marché de destination a un effet positif sur le nombre d’exportateurs français présents sur ce marché, on remarque que la distance a un effet négatif et plus important, du coup un marché lointain n’attirera pas assez d’exportateurs français,même s’il est grand.

Le nombre de produits (Gfr,d)

La taille d’un marché de destination (PIB) et la distance qui sépare la France de ce marché, influencent significativement le nombre total de produits exportés de la France vers cette destination. Une augmentation du PIB du pays importateur de 1%, fait augmenter le nombre de produits exportés de la France versce pays de 0.19%, et une augmentation de la distance de 1%, engendre la diminution du nombre de produits exportés de 0.42%. Ce résultat confirme aussi ceux trouvés auparavant, sur la relation positive et croissante entre le nombre de produits français par part de marché, et la taille des marchés de destination (voir figure N° 03).
Ainsi, on peut dire que généralement sur les grands marchés, comme on a beaucoup d’entreprises, on a une variété plus large de produits que sur les marchés de petite taille. Cette large variété de produits peut avoir comme explication, la concurrence acharnée sur les grands marchés avec un nombre important d’entreprises, ce qui pousse ces dernières à innover et à proposer des produits différents afin de survivre.
Comme pour le cas du nombre d’exportateurs, l’effet de ladistance sur le nombre de produits exportés à destination est plus important que l’effet de lataille du marché. Ainsi, un grand marché lointain, n’attirera pas assez d’exportateurs, etdonc automatiquement on aura une variété de produits moins large.

La fraction des combinaisons firme-produit avec des exportations positives (Ufr,d)

Plus la taille d’un marché de destination est grande, moins la fraction des combinaisons entreprise/produit ; ou bien autrement dit la fraction des couples entreprise produit effectifs ; est importante, c’est-à-dire sur les grands marchés, on a un nombre important d’entreprises et de produits, mais apparemment et d’après ce résultat, on a que quelques entreprises qui proposent une panoplie de produits très large, les autres offrent un nombre limité de produits, ce qui est cohérentavec les résultats précédents, et confirme l’existence en France de peu de grandes firmes exportatrices avec un large éventail de produits, et beaucoup de petites entreprises avec une panoplie de produits limitée.
Cela peut être expliqué par la tension concurrentielle qui existe sur les marchés de grande taille avec un nombre important d’entreprises, cette tension pousse les firmes à se  spécialiser dans des portefeuilles de produits limités. Ainsi une augmentation du PIB de 1% engendre une baisse de la fraction de 0.18%.
À coté de cela, plus le pays de destination est lointain, plus la fraction des combinaisons entreprise/produit est importante, pour une augmentation de la distance de 1%, la fraction augmente de 0.33%. Ce résultat est aussi cohérent avec ceux trouvés précédemment. Plus le marché international est lointain, plus les coûts des exportations sont élevés, ce qui influence les prix à la hausse et la demande à la baisse, engendrant ainsi moins d’entreprises et de produits par rapport aux marchés proches. Ce nombre limité d’entreprises sur les marchés lointains, fait baisser la concurrence et donc permet à toutes les entreprises de proposer une gamme de produits large, ou bien de proposer presque tous les produits qui existent sur le marché. On peutdire alors que, le peu d’entreprises existantes sur les marchés lointains proposent plusieurs produits, parmi le peu de produits existants.

Estimation d’un modèle Tobit avec des effets fixes

Nous allons estimer dans cette deuxième sous-section un modèle Tobit, qui est un modèle économétrique utilisé pour expliquer une relation entre une variable dépendante censurée et une ou plusieurs variables indépendantes. Il a été proposé par James Tobin (1958).
On suppose que « Y » est une variable censurée (on ne dispose pas de toutes les observations sur l’ensemble de l’échantillon pour la période de l’étude, autrement dit plusieurs observations de cette variable sont nulles) et « X » un ensemble de variables qui ont un impact sur « Y »

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Table des matières
Remerciements
Table des matières
Liste des abréviations 
INTRODUCTION
I. Revue de littérature : Hétérogénéité des firmes et marges du commerce
1. L’étude réalisée par Marc J.Melitz (The impact of trade on intra-industry reallocations and aggregate industry productivity, 2003)
2. L’étude réalisée par Thomas Chaney (DistortedGravity: The Intensive and Extensive Margins of International Trade, 2008)
3. Les travaux de Andrew B.Bernard et al. (Firms in International Trade, 2007)
4. L’article de Andrew B.Bernard et al. (Trade, product turnover and quality: The Margins of US Trade, 2009)
5. Les recherches de Costas Arkolakis et Marc-Andreas Muendler (Exporters and their products: A collection of Empirical Regularities, 2012)
II. Les données
1. Les sources de données et évaluation des informations
2. Les étapes de traitement des données
3. La série de données finale
III. Les exportateurs français et leurs produits 
1. La présence des entreprises agroalimentaires Françaises sur les marchés internationaux en 2007
a) La fréquence de présence des entreprises agroalimentaires françaises sur les marchés internationaux en 2007
b) La taille des marchés de destination
2. La distribution des exportations totales et des produits entre les entreprises françaises
a) La distribution des exportations totales vers les Etats-Unis en 2007
b) La distribution des produits exportés vers les USA en 2007
3. Les marges du commerce et les caractéristiques des marchés de destination
a) Les marges à l’exportation et la gravité (1996 à 2007)
b) Le nombre moyen de produits exportés par les entreprises françaises vers un marché étranger donné et la taille des marchés de destination
4. Estimation d’un modèle linéaire de probabilité et d’un modèle Tobit
a) Estimation d’un modèle de probabilité linéaire avec des effets fixes
b) Estimation d’un modèle Tobit avec des effets fixes
Conclusion 
BIBLIOGRAPHIE 
Liste des tableaux 
Liste des schémas
Liste des graphiques

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