LA FAMILLE DES PSITTACIDES

LA FAMILLE DES PSITTACIDES

COMPORTEMENT REPRODUCTEUR 

La puberté

L’âge de la puberté est très variable en fonction de l’espèce, mais, de manière générale, plus l’espèce est de grande taille, plus la puberté est tardive. Elle est d’environ deux ans, par exemple, pour le Perroquet gris du Gabon (34), de 18 mois pour les Platycerques, et de presque 5 ans pour les grands Aras .Durant cette période, les bouleversements hormonaux et les instincts naturels opèrent un changement radical de comportement chez le jeune. L’agressivité est souvent le signe le plus frappant de ces changements. Un oiseau, qui atteint la maturité sexuelle, quitte son unité familiale. Il n’a alors de cesse de trouver un partenaire pour se reproduire, et créer une nouvelle famille (41).

Saison de reproduction

Pour les espèces vivant dans les régions désertiques et semi-désertiques, où le climat et la photopériode sont stables, le rythme de la reproduction est régi par les pluies (37). Les parades nuptiales commencent dès les premières averses, de telle sorte qu’il y ait suffisamment d’eau pour les petits. En Australie, par exemple, les Perruches ondulées pondent entre août et janvier dans les régions méridionales, et entre juin et septembre dans les régions du nord (86). D. Alderton (4) affirme, cependant, que les Perruches ondulées peuvent s’accoupler à n’importe quelle période de l’année, pourvu que les conditions soient favorables.Dans les régions de forêt tropicale qui ne subissent pas de grandes variations saisonnières et où il pleut tout au long de l’année, ce ne sont pas les pluies qui déterminent la saison des amours. Cependant les perroquets de ces régions se reproduisent toujours à la même époque de l’année. Ainsi, les perroquets du sud du Brésil et de l’Argentine, de Bolivie et du Paraguay commencent à se reproduire en décembre, ceux de Colombie et du Venezuela en janvier, et ceux du Mexique, de Cuba et des Bahamas en mai. (37, 69, 86) En général, une nourriture abondante et un accroissement de la durée du jour produisent des bouleversements hormonaux, et sont le signal de l’arrivée d’une période propice à la reproduction (54, 68).Dans les régions tempérées, c’est la photopériode qui régit le cycle de reproduction. Les parades nuptiales ont lieu au printemps, lorsque la durée de jour augmente (37).

Un couple pour la vie ?

Les Psittacidés sont des oiseaux réputés pour leur fidélité : une fois le couple formé, les deux partenaires peuvent rester ensemble leur vie durant (29). Chez les Cacatoès, les liens du couple sont très forts tout au long de l’année : les conjoints restent toujours très proches l’un de l’autre, et ils passent la majeure partie de la période chaude de la journée à se toiletter mutuellement (4). Chez certaines espèces, si l’un des deux membres du couple meurt, le survivant peut décider de rester seul au sein de la colonie, et de ne pas rechercher de nouveau compagnon. Mais il peut aussi se laisser mourir, comme c’est le cas chez les Inséparables (48). Certains comportements spécifiques, comme le toilettage mutuel, et en particulier du lissage des plumes de la tête, visent à renforcer le lien existant entre les deux partenaires (4, 29). En couple, les Psittacidés voyagent toujours ensemble et dorment côte à côte (53). Par ailleurs, ils se défendent mutuellement. En cas de danger, l’un des deux avertit l’autre, qui doit s’enfuir instantanément. S’il tarde à fuir, cependant, il risque de recevoir des coups de bec incitatifs de la part de son conjoint (29). La compatibilité entre les deux partenaires est vitale pour le succès de la reproduction chez les grandes espèces (4). Mais il existe tout de même des couples homosexuels, comme chez les Inséparables (34).
Les Psittacidés ne sont pourtant pas tous monogames, ni très attachés à leur conjoint. La Perruche à collier rose mâle (Psittacula krameri), par exemple, ne supporte la présence rapprochée d’une femelle que lors de la saison de reproduction (4). Par ailleurs, dans un groupe d’Amazones, espèces pourtant réputées monogames, un mâle a été observé en train de faire fuir un autre mâle déjà accouplé, et de prendre sa place dans le nid, avec sa femelle (53). Chez les Perruches calopsittes, il arrive que deux mâles prennent soin d’une seule femelle : pendant que l’un d’eux s’accouple avec elle, l’autre s’occupe du ravitaillement, ou bien, lorsque le premier surveille le nid et les œufs, le second toilette la femelle, etc. Les rôles, par la suite, sont inversés, chacun des mâles attendant son tour pour s’accoupler (53). Certaines Perruches ondulées femelles, quant à elles, s’accouplent parfois avec plusieurs mâles : les huit ou neufs oisillons qui naîtront auront alors des pères différents (4). Le Kéa, enfin, est même plus souvent polygame que monogame (4).

Parade nuptiale

Un oiseau prêt à s’accoupler est reconnaissable : il étale sa queue, il abaisse son corps et ses ailes contre le support, ses pupilles se dilatent et contractent successivement, il parade, il danse, et il régurgitent dans le bec de son partenaire (68). Chez de nombreuses espèces, les conjoints manifestent leur affection en s’agrippant le bec (99). Le toilettage mutuel est aussi un élément essentiel de la parade nuptiale : un des oiseaux sollicite son compagnon en abaissant la tête vers lui et en ébouriffant ses plumes. Chez les Amazones, les Inséparables et les Perruches ondulées, ce toilettage concerne la tête et l’encolure. Les représentants des genres Aratinga, Brotogeris, Ara et Cacatoe toilettent plus souvent la tête, les ailes et la queue. (53) Les deux oiseaux du couple jouent souvent ensemble : ils se bécotent, posent leurs pattes les unes sur les autres, ou simulent la copulation. (53) Nourrir son partenaire en régurgitant le contenu du jabot, qui est un mélange de liquide et d’aliments non digérés, est un autre moyen de montrer son affection. Pour cela, l’oiseau secoue la tête de bas en haut pour faire remonter les aliments du jabot vers la cavité buccale, puis dépose son offrande dans le bec de son compagnon (67). Les mâles nourrissent souvent les femelles, ce qui consolide les liens du couple. Chez quelques Amazones, Conures, Inséparables et Perruches ondulées, ce phénomène peut parfois survenir tout au long de l’année, même en dehors de la saison sexuelle.

Nidification

La plupart des perroquets nichent dans des cavités creusées dans des troncs d’arbres, dans le sol, ou dans des termitières parfois encore habitées, comme c’est le cas chez les Perruches pygmées . En revanche, quelques rares espèces, dont le Perroquet hibou, nidifient directement sur le sol entre les herbes (4, 48). Les Perruches souris, elles, construisent un nid collectif avec des rameaux épineux où chaque couple dispose d’un logement séparé. Elles ne sont alors plus contraintes de trouver un trou dans un arbre pour nidifier (4), ce qui constitue une exception chez les Psittacidés (4, 29, 48, 83). Chez les Perruches de Monk et les Conures de la Reine de Bavaria, plusieurs couples d’une colonie participent à la construction d’un nid commun, et nichent ensemble (53). Les Perruches pygmées, quant à elles, élisent souvent domicile dans des termitières, dont elles bouchent les communications avec les galeries de leurs occupants d’origine. Le nid, situé entre trois et cinq mètres au-dessus du sol, comprend une entrée longue et étroite et une chambre de couvaison, placée à un étage un peu supérieur. Mâle et femelle passent la nuit dans cette chambre pendant la couvaison. Des observateurs ont dénombré jusqu’à six occupants dans une même chambre, sans pouvoir déterminer s’il s’agissait d’individus matures ou juvéniles (86). Certains perroquets chassent même les propriétaires d’un nid et se l’approprient. Psittacula himalayana, par exemple, s’empare du nid des Pics verts, en Afghanistan (4). L’abris des Psittacidés est généralement simple, les œufs étant, le plus souvent, déposés à même le fond de la cavité. Certaines espèces, cependant, comme Probosciger spp., Agapornis spp., ou Loriculus spp., tapissent le fond du nid avec divers matériaux : ce sont des copeaux de bois pour l’Inséparable à tête grise, par exemple, ou des brins d’herbe, des poils et des plumes (4, 48, 83, 86). Les matériaux ainsi déposés permettent de caler les œufs et d’éviter qu’ils ne roulent et ne se cognent (4). De nombreux perroquets réutilisent le même nid d’une année sur l’autre (48).
Le site du nid doit être choisi avec précaution. Les prédateurs tels que les singes, les serpents, ou les lézards, ne doivent pas accéder trop facilement à la nichée (4). Chez les grands Aras, par exemple, la colonie est divisée en deux zones : la zone centrale, qui abrite les nids et les couples reproducteurs, et la zone périphérique, qui regroupe les oiseaux ne se reproduisant pas. Cette deuxième zone constitue un espace tampon qui assure la pérennité de l’espèce : en présence d’un danger, les oiseaux de la périphérie peuvent alerter et protéger les couples et leurs nichées (53). Chez les grands Aras, toujours, il existe une organisation temporelle de l’aire de reproduction. Plusieurs couples construisent et préparent l’aire de nidification, mais seulement un tiers de la colonie se reproduit en une saison.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIER CHAPITRE : LA FAMILLE DES PSITTACIDES
1.1. Historique
1.2. Origines géographiques
1.3. Systématique et description succinctes
1.3.1. Les Nestors
1.3.2. Les Perroquets de Pesquet
1.3.3. Les Cacatoès
1.3.3.1. Genre Probosciger
1.3.3.2. Genre Calyptorhynchus
1.3.3.3. Genre Callocephalon
1.3.3.4. Genre Cacatoe
1.3.3.4.1. Le grand Cacatoès à huppe jaune
1.3.3.4.2. Le Cacatoès des Moluques
1.3.3.4.3. Le Cacatoès rosalbin
1.3.3.5. Genre Nymphycus
1.3.4. Les Perru hes Pygmées
c 1.3.5. Les Loris
1.3.5.1. Tribu des Psittaculirostrini
1.3.5.2. Tribu des Trichoglossini
1.3.5.2.1. Genre Trichlogossus
1.3.5.2.2. Genre Domicella
1.3.5.2.3. Genre Charmosyna
1.3.5.2.4. Genre Glossopita
1.3.6. Les Perroquets-hiboux
1.3.7. Les Perroquets proprement dits
1.3.8.1 Tribu des Platycercini
1.3.8.1.1. Melopsittacus undulatus
1.3.8.1.2. Genre Neophema
1.3.8.1.3. Genre Psephotus
1.3.8.1.4. Genre Platycercus
1.3.8.2. Tribu des Loriini
1.3.8.2.1. Genre Psittacula
1.3.8.2.2. Genre Agapornis
Figure 1
1.3.8.3. Tribu des Loriculini
1.3.8.4. Tribu des Psittacini
1.3.8.4.1. Genre Coracopsis
1.3.8.4.2. Genre Psittacus
1.3.8.4.3. Genre Poicephalus
1.3.8.4.4. Genre Pionus
1.3.8.4.5. Genre Amazo a
n 1.3.8.5. Tribu des Araini
1.3.8.5.1. Genre Brotogeris
1.3.8.5.2. Genre Myopsitta
1.3.8.5.3. Genre Aratinga
1.3.8.5.4. Genre Ara
1.3.8.5.5. Genre Anodorhynchus
1.4. Réglementation et conditions d’acquisition
1.5. Choisir le compagnon idéal
1.5.1. Sauvage ou d’élevage ?
1.5.1.1. Psittacidés capturés dans la nature
1.5.1.1.1. De la liberté à la captivité
1.5.1.1.2. Caractère de l’oiseau sauvage
1.5.1.2. Psittacidés élevés en captivité
1.5.1.2.1. Déroulement de l’élevage
1.5.1.2.2. Avantages de l’élevage
1.5.1.2.3. Inconvénients de l’élevage
1.5.1.2.4. Choisir le bon fournisseur
1.5.2. Choix de l’espèce
1.5.2.1. Critères de choix liés à l’environnement
1.5.2.1.1. Environnement matériel
1.5.2.1.1.1. Espace disponible
1.5.2.1.1.2. Intérieur ou extérieur
1.5.2.1.1.3. Voisinage
1.5.2.1.2. Environnement humain
1.5.2.2. Critères de choix liés aux disponibilités du maître
1.5.2.2.1. Budget disponible
1.5.2.2.2. Expérience exigée
1.5.2.2.3. Travail exigé
1.5.2.2.4. Attention exigée
1.5.2.2.5. Longévité
1.5.2.3. Critères de choix liés à l’espèce
1.5.2.3.1. Nombre d’oiseaux
1.5.2.3.2. Cohabitation entre espèces
1.5.2.3.2.1. Cohabitation avec d’autres Psittacidés
1.5.2.3.2.2. Cohabitation avec d’autres oiseaux
1.5.2.3.2.3. Cohabitation avec d’autres animaux
1.5.2.3.3. Espèces parlantes
1.5.2.3.4. Choisir un oiseau affectueux
1.5.2.3.5. Espèce active ou calme ?
1.5.2.3.6. Choix du sexe
1.5.3. Choix individuel
1.5.3.1. Choisir le bon lieu d’achat
1.5.3.2. Age de l’oiseau
1.5.3.3. Comportement de l’oiseau sur le lieu d’achat
1.5.4. Acquérir un seul ou plusieurs oiseaux ?
DEUXIEME CHAPITRE : LE COMPORTEMENT NORMAL DES PSITTACIDES
2.1. La vie en communauté dans le milieu naturel
2.1.1. Modes de vie en fonction du milie
2.1.1.1. La vie dans les forêts tropicales
2.1.1.2. La vie dans les savanes australiennes et africaines
2.1.2. Comportement social
2.1.2.1. Une vie au sein d’une colonie
2.1.2.1.1. Définition
2.1.2.1.2. Rôles et avantages
2.1.2.1.2.1. Rôle dans la protection individuelle
2.1.2.1.2.2. Rôle dans la recherche alimentaire
2.1.2.1.2.3. Rôle dans la reproduction
2.1.2.1.2.3.1. Recherche d’un partenaire sexuel et stimulation du couple
2.1.2.1.2.3.2. Défense du nid et du territoire
2.1.2.1.2.3.3. Elevage des jeunes
2.1.2.1.2.3.3.1. Imprégnation
2.1.2.1.2.3.3.2. De l’éclosion au sevrage
2.1.2.1.2.3.3.3. Apprentissage de la hiérarchie
2.1.2.1.3. Liens entre les membres et hiérarchie
2.1.2.1.3.1. Différentes organisations hiérarchiques
2.1.2.1.3.2. Modifications de l’ordre hiérarchique
2.1.2.1.3.3. Manifestations, conséquences et intérêts d’une organisation hiérarchique
2.1.2.2. La communication au sein du groupe
2.1.2.2.1. Les vocalises
2.1.2.2.2. Les comportements amicaux
2.1.2.2.3. Les comportements agressifs
2.1.2.2.3. Les comportements déplacés
2.1.3. Comportement reproducteur
2.1.3.1. La puberté
2.1.3.2. Saison de reproduction
2.1.3.3. Un couple pour la vie ?
2.1.3.4. Parade nuptiale
2.1.3.5. Nidification
2.1.3.6. Copulation
2.1.3.7. Ponte
2.1.3.8. Couvaison
2.1.4. Comportement alimentaire
2.1.5. Toilettage et hygiène corporelle
2.2. Une adaptation forcée à la vie domestique
2.2.1. L’oiseau à la maison
2.2.2. Comportement social et vie familiale
2.2.2.1. Une nouvelle colonie
2.2.2.2. Communication
2.2.2.2.1. Imitation vocale
2.2.2.2.2. Vocalises
2.2.2.2.3. Attitudes corporelles
2.2.2.2.3.1. L’expression du bien-être
2.2.2.2.3.2. L’expression du plais
2.2.2.2.3.3. Demande d’attention
2.2.2.2.3.4. L’expression du mécontentement et les attitudes agressives
2.2.2.2.3.5. L’expression de la peur ou de l’inséc rité
2.2.2.2.3.6. Les attitudes de défense du territoire
2.2.2.3. Etablissement d’une organisation hiérarchique
2.2.2.3.1. Au sein de la famille humaine
2.2.2.3.2. Au sein d’un grou e d’oiseaux
p 2.2.3. Instinct reproducteur
2.2.3.1. Comportement sexuel chez un oiseau de compagnie solitaire
2.2.3.2. Accoupler deux oiseaux apprivoisés
2.2.3.3. Performances des individus d’élevage
2.2.4. Alimentation
2.2.5. Hygiène et santé
TROISIEME CHAPITRE : LES TROUBLES COMPORTEMENTAUX ET LES COMPORTEMENTS GENANTS DES PSITTACIDES
3 .1. Les comportements pathologiques
3.1.1. Le picage psychogène
3.1.1.1. Définition
3.1.1.2. Epidémiologie
3.1.1.2.1. Espèces prédisposées
3.1.1.2.2. Espèces rarement atteintes
3.1.1.3. Etiologie du picage sychogène
3.1.1.3.1. Solitude et ennui
3.1.1.3.1.1. Ennui
3.1.1.3.1.2. Solitude
3.1.1.3.1.3. Attirer l’attention du propriétaire
3.1.1.3.2. Sentiment d’insécurité
3.1.1.3.2.1. Peur et anxiété
3.1.1.3.2.2. Changement des habitudes
3.1.1.3.3. Oiseaux insuffisamment socialisés
3.1.1.3.4. Frustration sexuelle et hyper-attachement
3.1.1.3.5. Habitudes et vices
3.1.1.4. Signes cliniques
3.1.1.4.1. Comportement de l’oiseau
3.1.1.4.2. Lésions des plumes
3.1.1.4.3. Lésions de la peau
3.1.1.4.4. Répercutions du picage
3.1.1.4.4.1. Répercutions locales
3.1.1.4.4.2. Répercutions générales
3.1.1.4.4.3. Automutilations
3.1.1.5. Diagnostic
3.1.1.5.1. Commémoratifs
3.1.1.5.2. Examen cliniq e
3.1.1.5.2.1. Etat général
3.1.1.5.2.2. Prurit
3.1.1.5.2.3. Examen des plumes
3.1.1.5.2.4. Examen de la peau
3.1.1.5.2.5. Localisation des pertes de plumes
3.1.1.5.2.6. Utilisation du carcan comme d’un moyen de diagnostic
3.1.1.5.3. Examens complémentaires
3.1.1.6. Diagnostic différentiel
3.1.1.6.1. Perte de plumes physiologique
3.1.1.6.1.1. Plaque incubatrice
3.1.1.6.1.2. Soins du plumage
3.1.1.6.1.3. Mue normale
3.1.1.6.2. Mauvaises conditions de détention
3.1.1.6.2.1. Hygiène corporelle déficiente
3.1.1.6.2.2. Ejointage des ailes
3.1.1.6.2.3. Environnement défaillant
3.1.1.6.3. Pertes de plumes d’origine médicale
3.1.1.6.3.1. Affections de la peau et de ses annexes
3.1.1.6.3.1.1. Affections cutanées
3.1.1.6.3.1.2. Affections du follicule plumeux
3.1.1.6.3.2. Déséquilibre alimentaire
3.1.1.6.3.3. Hypersensibilité
3.1.1.6.3.4. Maladies infectieuses
3.1.1.6.3.5. Parasitisme
3.1.1.6.3.6. Intoxication
3.1.1.6.3.7. Déséquilibres hormonaux
3.1.1.6.3.8. Dysfonctionnement d’organe
3.1.2. Morsures et agressivité
3.1.2.1. Définition
3.1.2.2. Epidémiologie
3.1.2.2.1. Espèces concernées
3.1.2.2.2. Age
3.1.2.2.3. Variations individuelles
3.1.2.3. Etiologie
3.1.2.3.1. Peur
3.1.2.3.2. Jalousie et défense du conjoint
3.1.2.3.3. Rancœur envers un individu
3.1.2.3.4. Perturbations hormonales
3.1.2.3.4.1. Maturité sexuelle et saison de reproduction
3.1.2.3.4.2. Frustration sexuelle
3.1.2.3.4.3. Mue
3.1.2.3.5. Agressivité intraspécifique
3.1.2.3.6. Défaut d’éducation
3.1.2.3.7. Dominance
3.1.2.3.8. Défense du territoire
3.1.2.3.9. Manque d’attention
3.1.2.3.10. Perturbation des habitudes
3.1.2.3.10.1. Repas en retard
3.1.2.3.10.2. Repos insuffisant
3.1.2.3.10.3. Réveil difficile
3.1.2.3.10.4. Mauvaise humeur
3.1.2.3.11. Morsures sans agressivité
3.1.2.3.11.1. Perte d’équilibre, instabilité
3.1.2.3.11.2. Douleur
3.1.2.3.11.3. Exploration buccale incontrôlée
3.1.2.3.11.4. « Les doigts, c’est bon comme des Fingers »
3.1.2.3.11.5. Morsures par jeu
3.1.2.3.11.6. Morsures par hyper-excitation
3.1.2.4. Signes cliniques
3.1.2.4.1. Assaut
3.1.2.4.2. Manifestations physiques et comportementales
3.1.2.4.3. Manifestations vocales
3.1.2.4.4. Puissance de la morsure
3.1.2.5. Evolution
3.1.3. Troubles comportementaux liés à la position hiérarchique
3.1.3.1. Définition
3.1.3.2. Epidémiologie
3.1.3.2.1. Espèces prédisposées
3.1.3.2.2. Age
3.1.3.2.3. Sexe
3.1.3.3. Etiologie
3.1.3.3.1. Vis à vis d’autres oisea x
3.1.3.3.2. Vis à vis de personnes
3.1.3.4. Manifestations comportementales
3.1.3.4.1. Chez l’oiseau sauvage prélevé dans la nature
3.1.3.4.2. Chez l’oiseau apprivoisé
3.1.3.4.2.1. Refus d’obéir
3.1.3.4.2.2. Possessivité
3.1.3.4.2.3. Défense du territoire
3.1.3.4.2.4. Agressivité
3.1.3.4.3. Evolution
3.1.4. Les troubles comportementaux d’origine sexuelle
3.1.4.1. Etiologie
3.1.4.1.1. Empreinte
3.1.4.1.2. Perturbations hormonales
3.1.4.1.3. Hyper-attachement
3.1.4.1.4. Domestication
3.1.4.2. Epidémiologie
3.1.4.2.1. Espèce
3.1.4.2.2. Age
3.1.4.3. Signes cliniques et manifestations comportementales
3.1.4.2.1. Régurgitation
3.1.4.2.2. Masturbation
3.1.4.2.3. Ponte chronique
3.1.4.2.4. Troubles de la couvaison et de l’élevage
3.1.4.2.5. Frustration sexuelle
3.1.4.2.5.1. Agressivité
3.1.4.2.5.2. Vocalises
3.1.4.2.5.3. Toilettage excessif, picage et automutilation
3.1.4.2.5.4. Baisse de l’état général
3.1.4.2.6. Dominance
3.1.4.2.7. Comportement destructeur
3.1.4.4. Diagnostic différentiel
3.1.4.4.1. Régurgitations
3.1.4.4.2. Picage
3.1.4.4.3. Vocalises
3.1.4.4.4. Agressivité
3.2. Comportements gênants
3.2.1. Vocalises
3.2.1.1. Définition
3.2.1.2. Epidémiologie
3.2.1.2.1. Espèces prédisposées
3.2.1.2.2. Espèces moins sujettes au bruit
3.2.1.3. Etiologie
3.2.1.3.1. Communication
3.2.1.3.1.1. Comportement naturel de communication intraspécifique
3.2.1.3.1.2. Communication avec l’entourage
3.2.1.3.1.3. Demande d’attention
3.2.1.3.1.4. Comportement de parade nuptiale
3.2.1.3.2. Vocalises défensives
3.2.1.3.2.1. Expression du mécontentement
3.2.1.3.2.2. Cris de frayeur
3.2.1.3.2.3. Cris de protection et d’avertissement
3.2.1.3.2.4. Défense et contrôle du territoire
3.2.1.3.2.5. Dominance
3.2.1.3.3. Douleur
3.2.1.4. Diagnostic
3.2.1.4.1. Anamnèse
3.2.1.4.2. Diagnostic différentiel
3.2.1.5. Evolution
3.2.2. Le comportement destructeur
3.2.2.1. Epidémiologie
3.2.2.2. Etiologie
3.2.2.3. Manifestations
3.2.2.4. Conséquences

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