La dynamique du secteur informel : financement et accumulation

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

La théorie du chômage

Les études portant sur le secteur informel ont bienévoqué que les activités souterraines sont considérées comme une sorte de refuge pour les chômeurs. Il est donc important de savoir son fondement théorique.

Théorie néoclassique du chômage a. Mécanisme

Selon le courant néo-classique, le chômage provient des rigidités du fonctionnement du marché du travail. Pour eux, le travail est un bien comme un autre et qui s’échange sur un marché. La confrontation se fait entre l’offre de travail, qui est une fonction croissante du salaire réel, des salariés et la demande de travaildes entrepreneurs. Une hausse de salaire peut se traduire par une offre supplémentaire ou bien une réduction, le salarié dans ce dernier cas a une préférence pour le loisir. De même, il existen utaux de salaire d’acceptation ou salaire de réservation, plus exactement un taux de salaire minimum à partir duquel un individu donné passe d’une offre de travail nul à une offre de travail positive.
Du côté de la demande de travail, elle dépend de laproductivité marginale du travail et du salaire réel. L’entrepreneur demande du travail jusqu’au point où le bénéfice réalisé par une unité supplémentaire de travail compense le coût dutravail supplémentaire. Contrairement à l’offre de travail, la demande est une fonction décroissante du salaire réel. Si les conditions de concurrence pure et parfaite sont respectées sur lemarché du travail, il existe un niveau de salaire d’équilibre qui permet la satisfaction de ‘offrel et de la demande de travail. Si l’offre de travail est supérieure à la demande de travail, la baisse du salaire conduit certains offreurs à sortir du marché du travail et des demandeurs à entrer sur le marché. A l’inverse, lorsque la demande est supérieure à l’offre, le salaire augmente ce qui provoque l’abondance d’offreurs de travail et la sortie de demandeurs de travail. Si un déséquilibre persiste, c’est en raison de l’existence de rigidités qui empêchent le salaireedse fixer à son niveau d’équilibre et ainsi la réduction de l’écart entre l’offre et la demande detravail. Les dysfonctionnements ou rigidités
Secteur informel outil ou obstacle pour le développement ?
sont de plusieurs types : existence d’un salaire minimum, indemnisation du chômage, syndicats, législation sur la protection de l’emploi, politique fiscale et prélèvements sociaux. Il en résulte que le chômage est d’abord et avant tout volontaire.

Limites

Cette approche néoclassique présente une contradiction vis-à-vis de la réalité des PED. Le marché peut présenter des lacunes et le chômage ne provient pas seulement de la rigidité du fonctionnement du marché de travail. De plus, il sepeut aussi que l’Etat n’est pas en mesure de fournir les infrastructures nécessaires pour absorber la totalité des forces de travail, c’est-à-dire que quelque soit les salaires fixés, le chômage peut avoir toujours lieu dans la situation d’une manque de capital physique. En outre, dans les pays avancés, l’utilisation des techniques nouvelles peut créer du chômage en réduisant le travail humain en substitution des machines (théorie du chômage et progrès techniques).
A part cette approche néoclassique du chômage, les keynésiens apportent aussi d’autre point de vue sur cette approche.

Théorie keynésienne du chômage

Selon Keynes et à sa suite les keynésiens, le chôma ge n’est pas dû à un mauvais fonctionnement du marché du travail. Ils contestentl’idée de l’existence d’un marché du travail au sens néo-classique. Les salariés ne peuvent offri un travail en fonction d’un salaire réel puisqu’ils ne maîtrisent pas les prix des biens et des services. Ils négocient seulement un salaire nominal. Ce sont les entrepreneurs qui fixent les prix des biens et des services. Le niveau d’emplois dépend des décisions des entrepreneurs qui cherchent à maximiser leur taux de profit en fonction d’un univers incertain où ils anticipent l’offre et la demande globale. En conséquence, le niveau d’emploi peut ne pas correspondre au niveau du plein emploi. Si la demande effective (au sens anticipée) est faible, les entrepreneurs fixeront un niveau de production faible et toute la population active ne trouvera pas forcément d’emploi.
Apres avoir vu ces différents concepts du chômage qui sont jugés être une cause du secteur informel, un des ses caractères significatifs est aussi le manque de qualification. Cette situation peut être une raison du non évolution oude stagnation de ce secteur. Il est donc indispensable d’en parler.
Secteur informel outil ou obstacle pour le développement ?

Théorie sur le capital humain

Mécanisme

L’idée de base de la théorie du capital humain, développée par Gary Becker, prix Nobel 1992, est de considérer que du point de vue de l’individu, l’éducation est un investissement. La valeur de celui-ci dépend directement du coût monétaire de l’éducation et des gains futurs anticipés procurés par l’information. L’investissement en capital humain est un investissement profitable du point de vue de la société et de l’économie. Autrement dit, l’éducation procure aussi des gains sociaux, supérieurs aux gains privés. Cette externalité positive justifie pour certains l’intervention de l’État sinon dans l’économie du moins dans la prise en charge du système éducatif. Pour l’employeur, la distinctionentre éducation générale et formation spécifique de l’individu revêt une importance capitale. En effet, la formation spécifique augmente la productivité de l’individu seulement chez son employeur. Ce dernier peut par conséquent récupérer le fruit de l’investissementu’elleq constitue.

Limites vis-à-vis du secteur informel

Généralement, la formation professionnelle est absente dans le processus de production des activités informelles. Il se présent avec un bas niveau d’éducation surtout dans les PVD. Ce qui explique la faible productivité de ces unités de production à cause de l’incapacité de l’absorption des nouvelles technologies qui va permettre à la croissance de la production.
Le capital humain ou la formation professionnelle fait parti des éléments que le secteur informel doit se munir pour le perfectionnement des activités. Ainsi, l’étude de la population est aussi un moyen permettant d’analyser son développement.

Théorie sur la population

Les économistes ont des visions différentes enversla population. Il y a ceux qui admettent la nécessité de la croissance démographique pour relancer la croissance. Par contre, il y en a ceux qui la considère comme un blocage pour le développent du pays.

Théorie malthusienne

L’ouvrage de Malthus, Essai sur le principe de population (1798) dont la première édition était anonyme, est d’abord un critique contre les partisans de la loi sur les pauvres. Selon lui, la population croît selon une progression géométrique(double tous les vingt-cinq ans) tandis que
Mémoire de maitrise Page 9
Secteur informel outil ou obstacle pour le développement ?
les subsistances suivent une progression arithmétique. Dans ce cas, la population accroit plus vite que la production. Pour ce faire, la consommation des agents économiques est en baisse et peut ne pas satisfaire à leur besoin. Dès lors, soit la population accepte volontairement de limiter sa croissance, soit la population sera détruite par la guerre, la famine, la peste. Aider les pauvres revient à encourager la croissance démographique et à terme sa destruction.
Pour Malthus, La croissance démographique ne suit pas la logique de la croissance économique. Cette situation peut aggraver la pauvreté chez les PVD. C’est pour cette raison aussi que la plupart de la population s’abrite dans l’informalité.

Théorie marxiste de la population

Selon Marx, la surpopulation n’est pas liée à une démographie trop dynamique des classes des plus pauvres de la société. Elle résulte du mode d’organisation des économies et de la répartition des richesses. La surpopulation est le produit du mode de production capitalistique parce qu’elle est utile à l’accumulation de richesses. Les capitalistes ont, en effet, intérêt à avoir des hommes en trop qui constitueron l’armée de réserve industrielle. Cette dernière permet un maintien d’un taux de chômage élevé et bloque le niveau de salaire. Ce dernier reste ainsi au minimum vital et permet l’augmentation de la plus-value. La pauvreté est une logique du mode de production capitaliste et non d’un excès de population.
L’accroissement démographique peut être absorbé àonditionc que le système de répartition des revenus se trouve modifié. Toute politique démographique serait ainsi inutile.
Dans les PED (pays en développement), la population ne constitue pas une arme pour le développement à cause de l’impossibilité de l’épargne qui va ensuite bloquer l’investissement. Après avoir essayé d’évoquer cesapproches théoriques ayant des rapports au secteur informel. Il est indispensable de connaitre ses traits caractéristiques à savoir son origine, son dynamisme, les causes ainsi que les conséquences de cette activité.
Secteur informel outil ou obstacle pour le développement ?

Les différents aspects du secteur informel

Depuis 1923, C’est la conférence internationale des statisticiens du travail, qui se fait dans tous les cinq ans, qui est en charge de la définition des concepts de population active et de leur révision.

Les origines du concept du secteur informel et la récente définition

L’emploi informel et l’économie informelle font parti des thèmes centraux de la conférence Internationale du travail de Juin 2002. Cette discussion fait l’objet de nouvelles définitions et permet de réétudier ses origines.

Origines du concept du secteur informel

Depuis la révolution industrielle en Europe dans les années 70, les employeurs sont incités à utiliser la forme dépassée du salariat (exemple :ravailt à domicile). Parallèlement, l’invention du chômage date de cette période où les travailleurs salariés permanents perdaient leur emploi, d’autres connaissent de longues périodes de non emploi en alternance avec des périodes d’emploi en raison des crises cycliques. Ce nouvel intérêt pour l’auto emploi, selon le BIT (bureau international du travail) et l’OCDE (organisation de coopération pour le développement économique) est que dans les pays industrialisés constituait une sorte d’écho à l’accroissement rapide de l’emploi dans le secteur informel dans les pays pauvres. Le rapport du BIT sur le Kenya explique l’absence des créations d’emplois dans le secteur moderne qui ne provoque pas une augmentation insoutenable du chômage et par la suite invente le concept du secteur informel en tant que catégorie majeure pour l’analyse des marchés de travail dans les PVD.

Définitions

Malgré la diversité des travaux portant sur ce secteur informel, il n’est pas toujours facile de l’analyser. Plusieurs définitions existent puisque différents critères sont utilisés dans la littérature économique pour le définir mais on vaen évoquer seulement trois :
Secteur informel outil ou obstacle pour le développement ?
Selon P. Hugon : « le secteur informel est constitué des activités à petite échelle où le salariat est limité, le capital est faible mais où la vente de biens et services donne lieu à la circulation monétaire ».
D’après la BM (banque mondiale), c’est « l’ensemble constitué des activités dans lesquels les Entreprises ne sont pas suffisamment grandes pour avoir accès au financement des banques ou des organismes de financement public sans une assistance spéciale ».
La définition adaptée à Madagascar : c’est « l’ensemble des unités de production non constitué en société, qui ne possèdent pas de numéro statistique et / ou ne tiennent pas de comptabilité écrite formelle ». L’obtention d’un numéro statistique constitue la première étape obligatoire sur la voie de la légalisation d’une unité économique.
En raison de la multiplicité de la signification dusecteur informel, les tentatives de définition sont malheureusement limitatives par rapport à la p ratique des activités informelles.

Les acteurs correspondants

Les principaux acteurs des activités informelles sont les gens qui sont exclus du système officiel. Ils sont regroupés selon leur type d’activités qu’ils entreprennent, soit à titre primaire soit secondaire. On dit primaire si c’est la seule source de revenu de l’individu et secondaire dans le cas ou le revenu du travail est à titre com plémentaire. On a trouvé dans ce secteur l’ensemble du secteur de production existant dans le secteur moderne : secteur primaire, secteur secondaire, secteur tertiaire qui se rassemble à des unités de production informelles. L’économie informelle est plus appropriée que le secteur informel dans la mesure où il recouvre plusieurs secteurs de l’activité économique.

Catégorie de travail dans le secteur informel

On a distingué trois sortes de travail dans le secteur informel à savoir :
le travail indépendant dont la personne utilise son propre compte pour faire tourner l’entreprise. Dans ce premier cas, il n’y a pas de salariés permanents mais seulement occasionnels. Il utilise principalement des aides familiaux.
l’auto emploi qui détermine les mêmes conditions que dans le travail indépendant mais il est fonctionné par la seule aide familiale.
les micro-entreprises qui utilisent les salariés permanents mais en petit nombre, c’est-à-dire que l’ensemble des salarié ne dépasse pas au nombre de 10.
Après avoir énumérer les définitions qu’on pourraitattribuer à ce secteur informel ainsi que les acteurs qui participent pour son fonctionnement, il ne faut pas oublier qu’il possède des caractéristiques qui lui sont propres.

Les différentes caractéristiques du secteur informel

Les caractéristiques générales du secteur informel

D’après la définition du BIT, le secteur informel est l’ensemble des petites entreprises individuelles, non capitalistes où se développent les activités créatrices de revenu et qui repose sur les critères suivants :
marché de concurrence non règlementé la facilité d’accès utilisation par des entreprises locales technologie à forte intensité de main d’œuvre propriété familiale des entreprises petite échelle des opérations
Qualification acquise hors du système scolaire officiel.

Caractéristique socio démographique des actifs ud secteur informel

Ce caractère démographique est surtout dominé paralprécarité des emplois féminins. On les trouve principalement parmi les travailleurs à leur compte et les aides familiaux. Par contre, les hommes sont prépondérants chez les associés, slepatrons, les salariés, les apprentis… Les emplois occupés par les femmes sont plus instables que ceux occupés par les hommes. De plus, les femmes disposent moins souvent d’un local spécifique pour leurs activités qui sont souvent exercer sur la voie publique, ou à domicile sans installation particulière ou aussi sur les marchés.

Les structures du secteur informel

Dans ce secteur, ce sont les entreprises familiales, voire individuelles, qui prédominent. Leur salariat est très limité et rarement employé plus de 10 personnes. Presque leurs ressources sont autochtones. Contrairement au secteur moderne, leur force de travail est recrutée à la journée et à la tache. Du côté de l’offre, leur marché est vulnérable et irrégulier à cause de non protection ainsi que sa nature hautement concurrentielle. Par conséquent, le revenu est irrégulier. De plus, l’emplacement est non fixé et on assiste à une absence du système d’assurance ni de la règlementation sociale(patron, aide familial, apprenti)

La dynamique du secteur informel

Si on considère les activités du secteur informel ommec un moyen de survie pour atténuer la pauvreté, il est important de savoir ladynamique de ce secteur en terme de financement et d’accumulation.

Le financement

Malgré son caractère informel, il se trouve dans la rareté à l’accès aux sources officielles de financement, c’est-à-dire qu’il n’ex iste pas de crédits nécessaires pour la mobilisation des investissements. De ce fait, il ne dégage que peu de rentabilité. Par conséquent, il doit chercher d’autres sources de financements comme l’épargne personnel du patron. Il peut aussi rassembler l’apport en capital dans le milieu familial. En outre, il est possible que ce soient les clients eux-mêmes qui fournissent des matières premières de manière à verser en avance la valeur de l’achat qu’ il fera ultérieurement.
Le tableau ci-dessous nous permet de dire que la majeure partie du financement du secteur informel est formé par l’épargne, le don et l’héritage qui représente à peu près les 88.3% du total. Il vérifie aussi l’inaccessibilité des activités informelles à des sources de financement bancaire.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE Les généralités du secteur informel
CHAPITRE 1 : ESSAI DE SYSTEMATISATION THEORIQUE
Section I : La théorie sur le changement structurel
1. L’approche dualiste de Lewis
a. Fondement
b. Mécanisme
c. Critiques
2. Le nouveau dualisme
Section II : L’illusion du capitalisme industriel naissant
1. Interprétation marxiste de l’armée industriel de réserve
a.Mécanismes
b. Les différentes formes de surpopulation relative da Marx
2. Interprétation wébérienne
3. Limites de ces concepts
Section III : La théorie du chômage.
1. La théorie néoclassique du chômage
a. Mécanisme
b. Limites
2. La théorie keynésienne du chômage
Secteur informel outil ou obstacle pour le développement ?
Section IV : La théorie du capital humain
1. Mécanisme
2. Limites vis-à-vis du secteur informel
Section V: La théorie sur la population
1. La théorie malthusienne
2. La théorie marxiste
CHAPITRE 2 : LES DIFFERENTS ASPECTS DU SECTEUR INFORMEL
Section I : Les origines du concept du secteur informel et la récente définition
1. Origines du concept du secteur informel
2. définitions
3. Les acteurs correspondants
4. Les catégories de travail dans le secteur informel
Section II : Les différentes modalités du secteur informel
1. Les caractéristiques générales
2. Les caractéristiques socio démographique
3. Les structures du secteur informel
Section III : La dynamique du secteur informel : financement et accumulation
1. Le financement
2. L’accumulation
a. Un secteur involutif
b. un secteur évolutif
3. Le capital
Section IV : Les fondements et conséquences de l’économie informelle
1. Les fondements
2. Les conséquences
a. Sur le plan fiscal
Secteur informel outil ou obstacle pour le développement ?
Mémoire de maitrise Page 4
b. Sur le plan économique
c. Sur le plan social
DEUXIEME PARTIE Les différents aspects du secteur informel dans l’agglomération d’Antananarivo
CHAPITRE 1 : LES DIFFERENTES PORTEES DU SECTEUR INFORMEL
Section 1 : Le modèle de développement des économies informelles
1. Structure du secteur informel dans la grande ville
2. La dynamique de création d’emplois
3. Le poids du secteur informel
4. Les rôles et place du secteur informel dans l’économie Antananarivienne
Section II : Son insertion dans le système productif
1. En aval : les fournisseurs
2. En amont : la demande ou les clients
Section III : Les principaux avantages liés au secteur informel
1. Les caractéristiques positives du secteur informel
2. Le principe du choix des consommateurs
3. Le rôle incontournable du secteur informel dans la lutte contre la pauvreté
CHAPITRE 2 : LES LIMITES DU SECTEUR INFORMEL
Section I : Les faiblesses du secteur informel
1. Les conditions d’activités
2. Les difficultés
3. Les caractéristiques négatives
4. L’enjeu et problématique engendré par le secteur informel du marché
Section II : L’Etat et l’informel
1. Le secteur informel et les registres administratifs
2. Les raisons de non enregistrement
CHAPITRE 3 : LES PERSPECTIVES D’AVENIR DES ACTIVITES INFORMELLES
Section I : Le processus d’évolution du secteur informel
1. La tendance à l’optimisme des activités informelles
2. La différence entre secteur formel et informel
Section II : La transition de l’informel vers la PME
1. La transition et la logique du développement
2. Les obstacles de la transition
TROISIEME PARTIE La tentative d’une mise en place d’une politique de développement
CHAPITRE 1 : LES DIFFERENTES CAUSES DE L’INFORMALISATION
Section I : Les principaux fondements du secteur informel
1. Excès de l’offre de travail
2. Insuffisance du capital humain
3. Les pressions fiscales
CHAPITRE 2 : LES SOLUTIONS ADOPTEES
Section I : Les moyens utilisés
1. Partenariat public- privé
2. Fiscaliser le secteur informel
3. Lutter contre la corruption
4. Mise en place du travail décent
Section II : Formaliser l’informel
Secteur informel outil ou obstacle pour le développement ?
1. Les démarches officielles pour obtenir un statut légal
2. Les principes de la promotion de l’informel
3. Objectifs de la formalisation
4. Les obstacles dans l’intégration de l’économie formelle
5. Solutions
6. Vers une approche macroéconomique de ce secteur
Section III : Le secteur informel et la formation professionnelle
1. Importance de la formation
2. Les priorités
CONCLUSION
Liste des abréviations
Liste des tableaux
Bibliographie

Télécharger le rapport complet