La descendance de jean Nicolas Eugène vaireaux

Géographie

Michelet perçoit l’âme de l’Ardenne comme « sombre », c’est que l’ardoise la couvre d’un habit de deuil ». L’Ardenne l’inquiète, car l’on ne voit jamais la fin de la forêt, « le bois se referme » derrière soi, c’est « une mer montante », « un océan ». Les intérieurs, secs et chaleureux, s’opposent à l’humidité diffuse des plateaux boisés, des vallées sinueuses.
En 1855, ce sont 50,000 stères de bois qui sont extraites chaque année du massif forestier qui borde la commune. On est bien au cœur de la forêt, celle qui nous chauffe et nous fait travailler.
La Sormonne est le principal cours d’eau du canton et se jette dans un bras de la Meuse. La géologie des sols et des cours d’eaux en fait un lieu privilégié pour la production naturelle de la tourbe. Cette tourbe est brune, de bonne qualité et sert de chauffage. Et bien évidemment, la composition du territoire en a fait un lieu d’exploitation de carrières.
Les terrains liassiques et ardoisiers composent le sol en grande partie. Un premier étage de terrain ardoisier (du quartzite et du schiste grenus), sur un premier étage de terrain liassique : calcaire argileux, sur un deuxième étage de terrain liasique : calcaire sablé très utile pour la fabrication de moellons et dalles ; avec du sable jaune et rouge pour de la construction, du moulage de la fonte ; et sur un terrain moderne avec une terre argilo-sableuse jaune pour du sable fin pour les plafonneurs par exemple.
En 1855, 41kms de chemin de fer reliant Hirson (Aisne) à Mézières (chef-lieu des Ardennes) traversent le canton de Renwez où les trains s’arrêtent en gare de Lonny-Renwez.
Selon le site du CNRTL , il s’agit du même mot que « gué » mais avec conservation du [w] initial, commune aux langues d’oil septentrionales et qui a évolué en [g] en français.
Il est issu du vieux bas francique *wad« endroit guéable » que l’on peut restituer d’après le vieux haut allemand et le moyen néerlandais watde même sens. Ils correspondent au latin vadum. Les termes gué et dialectal weissont aussi attestés au sens de « mare, abreuvoir » dès le XIIIe siècle.
La toponymie locale témoigne d’un riche passé : « chemin de la Motte », « rue du Chaufour », « chemin de l’Épinette », « rue du Cheval-Blanc », « rue de la Pisselotte », et « rue de La Boutillette » par exemple.

Origine médiévale

Renwez est un village assez ancien, que des fouilles historiques attestent. On retrouve des mentions de son existence dès le début du XIVe siècle dans quelques documents. En effet, il figure dans un Pouillé de 1306 parmi les bénéfices du doyenné d’Aulnois.
On parle ici de quelques maisons dans une clairière, sur les terres boisées d’un fief du seigneur de Montcornet. Il s’agit vraisemblablement d’un territoire pris sur la forêt après le XIIe siècle, lorsqu’il y eu une vague d’expansion des terres cultivables. La forêt d’Ardenne ne présente déjà plus ses profondeurs impénétrables et cette étendue gigantesque décrite par Jules César, dans la Guerre des Gaules.
En 1236, il est fait référence à la liberté selon la loi de Renwez dans une charte accordée aux habitants de Gédinne (Belgique) par Baudouin, seigneur d’Orchimont. Le village a donc rapidement bénéficié de libertés spécifiques , et d’une limitation des droits de son seigneur, de nature sans doute à stabiliser une population sur ces nouvelles terres.

ANTHROPONYMIE

Dans toute étude généalogique familiale, il est intéressant de se pencher quelques instants sur l’analyse des graphies phonétiques des membres de la famille étudiée. Tout au long du travail de recherche réalisé sur une seule branche, les VAIREAUX, il apparaît des changements notables : VAIREAUX- VERREAUX – VEROX – VERREAU – VEREAU
S’agissait-il de changements vocaliques ou phonologiques ? Y a-t-il un lien entre son et sens ? Il serait dangereux de faire de la paléontologie linguistique, c’est-à-dire faire des déductions sur la culture, le mode de vie, et la localisation géographique des peuples qui portent ce nom tel qu’on leur a certainement attribué entre le XIVe et le XVIe siècle. Cependant, si selon Jean Tosti , il pourrait s’agir d’une variante de l’ancien français verel (= verrou, cadenas), et donc le surnom d’un serrurier :
Le rapprochement avec le verre n’est cependant pas à exclure totalement. En effet, en ancien français le verbe Verrer signifie « garnir de vitres, de verrières ». Se peut-il que ce nom soit dérivé du métier ? On trouve dans le dictionnaire du Moyen-Age : *..rompirent de nuit huys, fenestres et* **verraulx** *de la maison dudit Clais Ceurff pour le tuer murdrièrement (MOLINET, Chron. D.J., t.2, 1474-1506, 285). »*
Il peut également s’agir d’un dérivé d’une forme régionale. Le parler ardennais est une langue orale qui fait partie de la langue champenoise. Le mot VERRAT qui désigne un cochon mâle, en français au Moyen-Age, a également le même sens que le mot oral en ardennais. Il devient avec l’accent de la région, une phonétique en /O/ = le « a » se prononce « â », pas loin du « o »). Or le sanglier est le symbole du département des Ardennes, car il y a toujours été présent dans ses forêts. VERRAT devient donc VERROT en langue parlée et la graphie phonétique s’expliquerait par les nombreuses libertés des scribes.
La concentration, au niveau national, du patronyme VAIREAUX est bien majoritairement dans les Ardennes, avec une présence en Meurthe et Moselle, qui est issue de la branche ardennaise et dans l’ouest de la France sans que j’ai pu déterminé un quelconque lien pour le moment.
Par ailleurs, on retrouve le patronyme de VERREAULT en [Français Canada] avec l’orthographe modifiée comme cela se fit beaucoup à cette époque qui prouve bien la longue existence de ce patronyme. Regardons de plus près les membres VAIREAUX qui nous occupent pour ce travail de généalogie familiale.

Génération I

L’histoire de l’ascendance de Jean Nicolas Eugène VAIREAUX peut être racontée grâce à l’acte de mariage de ses arrière-grands-parents paternels, André VAIREAUX (Sosa 8) et Yvonnette TOURY (Sosa 9), le lundi 21 novembre 1707, à Renwez.
Les jeunes mariés ont publié un ban et obtenu la dispense des deux autres. Aucun intervalle protogénésique ne vient expliquer cette précipitation, à moins qu’il n’y ait pas eu recensement d’une naissance mort-né de leur premier enfant.
Les deux pères sont décédés, seules leurs mères sont présentes. Les jeunes gens ne savent ni lire ni écrire et signent d’une croix ce premier acte de leur vie conjointe. Sont témoins à cette union, Jean LAURAIN et Jean THIERRY, certainement son oncle maternel ou son grand-père paternel ?
André est baptisé le vendredi 3 septembre 1683 et il est le fils de Jean VAIREAUX (Sosa 16), et de Jeanne THIERY (Sosa 17)comme l’atteste cet acte de mariage. Il apparaît dans une table récapitulative annuelle des naissances entre 1669 et 1812. Malheureusement l’acte n’est pas disponible.
En ce qui concerne ses parents, j’ai retrouvé un acte de sépulture de Jeanne THIERYle 17 mars 1735 décédée à l’âge de 78 ans et qui pourrait tout à fait correspondre à la mère d’André.
Le travail de recherche pour déterminer la fratrie commence par l’étude de la même table. Elle est incomplète, déchirée et ne permet pas de retrouver tous les actes qui combleraient les lacunes.
En étudiant d’autres actes de cette même période, j’ai découvert par hasard qu’une certaine Marie VERREAU épouse de François MANGIN, marie son fils André en 1707 à Renwez. L’acte stipule qu’elle est de la paroisse d’Harcy. Le prénom de son enfant me fait croire à un lien familial. Je décide donc de chercher dans ce village les membres de cette famille.
Grâce à l’étude généalogique faite par Maurice Cochart, née du relevé du cahier du curé Boulet de toutes les familles de la paroisse Saint Martin d’Harcy entre 1630 et 1746, j’ai pu constater qu’une famille VERREAU résidait dans ce petit village appartenant au même marquisat de Montcornet.
Á l’âge adulte, André exerce la profession de manouvrier. Dans cette contrée du royaume de France, cela équivaut à être embauché à la journée : l’été, à travailler dans les champs, de la fenaison en juin jusqu’à la fin des récoltes en octobre. Et pour le reste des saisons, il pouvait être embauché à la tâche dans de petits ateliers ou dans une carrière d’ardoise, voire à l’année.
Je n’ai pas pu trouver d’information qui aurait pu nous donner des indications sur leur lieu exact d’habitation dans le village ou dans des lieux dits autour. Cela pourra faire l’objet de futures recherches.
André est enterré au cimetière le 20 mars 1728 à l’âge de 44 ans. Son dernier enfant Jean Jacquesa tout juste 19 mois.
Durant ces quelques années, le village a continué à accueillir de nouveaux habitants, puisque l’on compte 210 feux en 1710.
Elle est la fille unique de Nicolas VASSAL (Sosa 10), maçon de profession, baptisé le 25 janvier 1701 et de Marie LAURAIN (Sosa 11)baptisée le 19 mars 1705. Nicolas VASSAL et sa femme Marie LAURAIN se sont mariés le 10 février 1727 à Cliron. On se souvient qu’un certain Jean LAURAIN était témoin de mariage des parents de Jean Jacques en 1707. Marie est bien la fille de Jean LAURAIN (Sosa 22) et de Marie BOCHET (Sosa 23) comme le déclare l’acte de mariage. Cependant il n’a pas été possible d’établir avec certitude qu’il s’agissait dans les deux cas du même Jean LAURAIN. Aucun indice d’âge ni de lien de parenté. Néanmoins, la coïncidence interpelle et une recherche plus approfondie pourrait peut-être permettre d’établir le lien familial.
Les parents de Marie Magdeleine VASSAL meurent très jeunes. Marie LAURAIN décède le 23 février 1728 et Nicolas VASSAL connaîtra le même sort 7 jours plus tard, le 02 mars . Marie Magdeleine n’est même pas âgée de 3 mois. Ses parents avaient respectivement 27 et 22 ans lorsqu’ils succombent peut-être des suites de maladie foudroyante, au vu de l’écart entre les 2 ou bien peut-être des suites d’un accident ? On rapporte également un épisode d’hiver glacial dans l’est de la France en 1728. Peutêtre est-ce là l’origine de leur mort…
Qui a élevé Marie Magdeleine VASSAL?
Son grand-père maternel, Jean LAURAIN est veuf de Jeanne PASQUIER en 1728. Leur second fils, son parrain, Jacques (Martin) VASSAL a 22 ans (°1706-1766). Il est d’ailleurs seul témoin de la famille VASSAL le jour de son mariage. Il est célibataire à cette date. Sa marraine, sa tante paternelle, Marie Magdeleine VASSAL, a 29 ans et est aussi célibataire.

Les deux jeunes fiancés ont dû obtenir la permission

du grand vicaire de Monseigneur l’Archevêque de Reims, pour se marier pendant la période interdite de l’Avent, après la publication des 3 bans comme l’exige le rite de l’Eglise. Est-ce une coquetterie de la part de Marie Magdeleine de vouloir à tout prix célébrer ses noces le jour de son 24eme anniversaire ?
Pour sceller leur union, ni Marie Magdeleine, ni Jean Jacques ne savent signer. Ils marquent donc d’une croix leur acte de mariage.
Leur famille s’agrandit tout juste un an après leur union avec l’arrivée d’une première fille. Puis une deuxième 2 ans plus tard, une troisième 4 ans après celle-ci et enfin, 8 ans après leur dernier enfant, le fils naît. Sur une période de 13 ans, ce sont 4 enfants qui viendront combler une mère fille unique, et un père, dernier d’une fratrie nombreuse mais élevé sans père. Malheureusement, l’histoire se répète.
Jean Jacques VAIREAUX meurt le mardi 8 mars 1768 à l’âge de 41 ans. Les témoins sont son frère Jean François VAIREAUX et son cousin Jean Baptiste VASSAL, en plus du déclarant l’abbé Jean Oudin. Son dernier fils, Jean Baptiste VAIREAUXa 2 ans et grandira sans son père.

LE COUPLE VAIREAUX-LAURENT

Le premier mariage

Le lundi 3 mars 1855, à 8 heures du matin, Jean Nicolas Eugène VAIREAUX, dit Eugène, s’est présenté avec Marie Jeanne Hortense Larmigny, dit Hortense, à la maison commune de Renwez, devant l’officier de l’état-civil, Jean-Nicolas Lefebre-Millet pour célébrer leur union en présence de leurs familles. Il y a fort à parier que lors de la célébration paroissiale, Eugène et Hortense ont voulu honorer une coutume locale : à peine la messe terminée, les nouveaux époux quittent précipitamment la place qu’ils avaient occupé pendant la cérémonie et courent vers l’autel sous les rires de l’assemblée. En effet, le premier qui baisait la nappe avait, dès ce moment, le droit de « porter la culotte » pendant toute la durée du mariage et ce jusqu’à sa mort.
Marie Jeanne Hortense est née le 25 décembre 1813 à Renwez, fille de Hyppolite Larmigny, manouvrier et de Marie Jeanne Gérard. Un premier lien existe déjà avec la famille de son futur mari puisqu’Auguste VAIREAUX est témoin de cette naissance.

Le rôle des enfants

 Dans ces fosses anciennes, les enfants, les « faiseleux », ceux des ouvriers le plus souvent, étaient présents en masse. Ils étaient encore plus de mille dans les Ardennes vers 1860.Ils n’avaient pour tout paiement que les débris de fabrication et parfois quelques morceaux de bonnes pierres qui leur étaient abandonnées. Ils en tiraient les faisiaux.
Agés de 12 ou 13 ans, levés à cinq heures du matin, été comme hiver, devaient après une longue marche en forêt, allumer le feu dans les baraques, porter les outils à la forge, préparer de grande quantité de café, préparer les débris d’ardoise qui encombraient les ateliers de fendage. Chacun avait une demi heure de liberté avant le repas de quatre heures et prenait ensuite une leçon auprès d’un fendeur.
L’apprentissage était long. Cela menait l’enfant habitué à la vie de la fosse, bon gré mal gré, à prendre la place à la suite d’un accident ou de la retraite forcée d’un ouvrier à très courte espérance de vie.
Qu’aurait-il pu faire d’autre ? En France, les sept années de service militaire subies à la fin du XIXe à la suite d’un tirage au sort défavorable en ont sauvé quelques-uns.
Certains en retiraient cependant une certaine fierté : les dangers encourus, la reconnaissance d’un véritable savoir-faire et des périodes de gains. L’obligation de scolarité jusqu’à 12 ans votée en 1883 et surtout l’interdiction du travail des enfants dans les ouvrages souterrains (en novembre 1892) a changé la donne pour la formation et le recrutement dans ces établissements, d’une main d’œuvre adaptée à l’outillage.

Les femmes

Les Ardennaises de cette époque, soucieuses d’assurer le pain quotidien à une progéniture souvent nombreuse ne ménageaient pas leur peine. Elles aidaient les hommes dans les travaux de la forêt, aux champs et à la fabrique. Il n’existe pas de statistiques sur leur importance dans les effectifs ardoisiers dans les siècles passés mais un récit de J. Vialet, en 1760, raconte que c’est par dizaine qu’il faut sans doute compter le personnel féminin chargé de ce travail de pompe (l’épuisement des eaux). Depuis toujours, le portage des débris fut aussi confié à des femmes. Elles ont poussé la brouette et porté la hotte chargé de « fouégés ». Ce sont elles qui également triaient, comptaient et rangeaient les ardoises fabriquées, aidées de leurs « gamins ». Elles chargeaient la marchandise sur les véhicules à destination des bateaux sur la Meuse.
C’étaient là des travaux de manœuvres, des besognes très peu rémunérées. La paie d’une année équivalait à peu près à celle d’un fendeur durant un mois. La loi du 15 mai 1874 interdisant l’emploi du personnel féminin dans les travaux souterrains a sans doute réduit l’embauche des femmes déjà diminuée par l’utilisation de machines hydrauliques et de la vapeur.

Les difficultés et les risques

Les ouvrages souterrains ont toujours constitué un milieu hostile dans lequel les hommes ont payé un lourd tribu. Dès l’entrée des ardoisières on risquait sa vie. Descendre par de longues échelles fixées au remblais schisteux, inclinées à 50 – 60 degrés, le pic en équilibre sur une épaule, tous les jours, plusieurs fois par jour, dans l’obscurité ou la semi-obscurité et les enduits boueux sur le plan de glissement le rendaient dangereux malgré les habitudes acquises.
Le milieu de travail est humide et froid. L’eau suinte de partout dans les cavités profondes. Le danger pouvait venir de l’effondrement d’un remblais mal monté. L’équipement individuel est sommaire, de vieux vêtements, des chaussures plus robustes que confortables et souvent usagées et une casquette pour toute protection. Le 12 nivôse, an 10, le préfet des Ardennes souhaite la présence dans le département d’un ingénieur des Mines, chargé de constater les infractions à la sécurité et prévenir les accidents.

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Table des matières
REMERCIEMENTS 
SUJET DU MÉMOIRE 
AVANT-PROPOS 
SOMMAIRE 
INTRODUCTION 
LE VILLAGE DE RENWEZ 
Géographie
Toponymie
Origine médiévale
Description héraldique de l’écu de la ville de Renwez
Population
Les fléaux habituels : la guerre, le feu, la peste
Vie religieuse
Vie économique
Vie quotidienne
 L‘habitat
 Mœurs et coutumes
ANTHROPONYMIE 
L’ASCENDANCE DE JEAN NICOLAS EUGENE VAIREAUX
Arbre des ascendants
Génération I
Génération II
Génération III
LE COUPLE VAIREAUX-LAURENT
Le premier mariage
Les ardoisières de l’Ardenne
Les Hommes : ceux du fond, ceux des baraques
Le rôle des enfants
Les femmes
Les difficultés et les risques
Les maladies, l’alcoolisme
Les grèves
Un exemple de rapport d’extraction
Le second mariage
LA DESCENDANCE DE JEAN NICOLAS EUGENE VAIREAUX
Arbre des descendants
Génération V
Mouleur en sable
La vie tragique des travailleurs
Les troubles sociaux
Le secours
La première guerre mondiale
Le Chemin des dames
Génération VI Des enfants Belges ?
La maison rue d’Alsace
Génération VII
L’immigration du labeur
METHODOLOGIE ADOPTEE 
CONCLUSION 
TABLE DES ILLUSTRATIONS 
BIBLIOGRAPHIE

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