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Evolution de la structuration politique et économique
Cette entreprise néo-impérialiste (qui se dissimuleaujourd’hui sous le concept de mondialisation) est beaucoup plus marquée en Afrique .Elle se manifeste à travers les institutions financières internationales : le Fonds monétaire international et la Banque mondiale. Celles-ci ont imposé des Programmes d’ajustement structurel(PAS) à 39 pays africains au moins. Ces PAS ont été prescrits comme des remèdes miracles pour tousles maux , sans tenir compte des spécificités des malades et des maladies.
Les résultats ont été médiocres sinon désastreux croissance:l n’a cessé de régresser, les équilibres financiers sont restés fragiles, les mouvements de capitaux se font au détriment de l’Afrique, le secteur privé local reste minable, le chômage et la pauvreté se sont amplifiés, le taux de scolarisation a baissé et la mortalité infantilea augmenté, l’Etat étant soumis à une discipline budgétaire de remboursement de la dette.
En d’autres termes les Etats africains se retrouvent devant un dilemme : comment satisfaire les attentes des populations et celles des institutions financières en même temps ?
Dans la mesure où les principales forces qui contrô lent les économies africaines sont extérieures à l’Afrique, le jeu démocratique apparaît simplement comme un réponse partielle aux aspirations des peuples en vue d’apaiser les tensions et continuer le processus d’exploitation capitaliste et parachever l’intégration à l’économie mondiale. Dans cette perspective, les transitions démocratiques ont été confiées à une nouvelle classe dirigeante constituée essentiellement de « technocrates » qui sont en fait des anciens collaborateurs des institutions financières internationales.
exigence démocratique et bonne gouvernance
C’est essentiellement de la part des spécialistes des relations internationales, et plus particulièrement des spécialistes des rapports Nord-Sud, que la relation entre gouvernance et démocratie a fait l’objet d’investigations et d’interrogations. Cependant, ces travaux restent fortement tributaires du paradigme de la « bonne gouvernance » tel qu’il est défini par les institutions financières internationales dispensatrices d’aides aux pays en développement.
En effet, ce paradigme inclut une exigence de démocratisation formelle et le respect des droits de l’homme aux côtés de la « bonne et saine gestion » des affaires publiques. La plupart des travaux menés cherchent à identifier et à évaluer les effets générés par l’imposition de ce paradigme dans les pays en voie de développement. Les exigences de « good governance » débouchent-elle, dans les pays étudiés, sur davantage de démocratie ? Quels effets de telles exigences produisent-elles sur les régimes politiques de ces pays ? Les chercheurs qui se sont penchés sur ces questions mettent en évidence queel paradigme de la « good governance » est loin de produire les effets escomptés en matière de démocratisation.
Elle montre notamment que les références à la démocratie et à la société civile sont, au sein des institutions financières internationales, essentiellement orientées, dans une optique néolibérale, vers la disqualification et l’amenuisement de l’Etat et l’encouragement des groupes privés. Examinant ce qu’il se passe concrètement dans les pays d’Amérique latine, elle rend compte que l’appui des organisations de bénévoles,le développement des formes concrètes de citoyenneté et la promotion de la démocratie s’avère, au bout du compte, assez faible. De surcroît, l’opposition récurrente du peuple à l’Etat peut, dit-elle, conduire à saper des pans essentiels de responsabilité civique fondés sur les notions de « domaine public » ou de « bien commun », essentielles à l’instauration de véritables régimesdémocratiques.
La gouvernance en panne de démocratie ?
D’un côté, il est permis de se demander si les transformations qui affectent l’espace local, et dont tente de rendre compte la notion de gouvernance urbaine, ne portent pas directement atteinte à la démocratie représentative. La complexification de l’action publique, sa fragmentation, son incohérence, son bricolage, son impuissance, sa privatisation, mais aussi le dilemme de l’absence de responsabilité collective ne sont-ilspas autant d’éléments susceptibles de constituer un péril pour la démocratie représentative fondéeursla présupposition d’élus responsables devant le corps électoral ?
Sans doute n’est-il pas abusif de mettre en perspective le retrait de l’action publique caractéristique de la gouvernance avec la désaffection croissante des citoyens à l’égard de la vie politique. La baisse continue de la participation électorale, doit être aussi interrogée en relation avec cette complexification et cette fragmentation de l’action publique devenue de moins en moins lisible tant pour les savants que pour les profanes.
D’un autre côté, les formes de démocratie participative auxquelles la notion de gouvernance fait, parfois référence, ne sont pas sans poser question. Un certain nombre d’interrogations et de réserves quant aux relationsentre gouvernance et démocratie se posent : quelle place les relations partenariales impliquée par la gouvernance laissent-elles à ceux qui sont à l’extérieur ? La démocratie ne s’en trouve-t-ellepas minée ? Le développement de formes et d’activités démocratiques susceptibles d’assurer uncontrôle civique sur la gouvernance locale, reste entièrement à construire.
La perspective d’une gouvernance ouverte faisant une large place au débat public en lieu et place d’une gouvernance limitée aux cercles décisionnels étroits des institutions et des décideurs économiques est également évoquée. Cependant, ilayaussi le hiatus qui existe entre, d’une part, ce qui se joue dans les forums de débat mobilisantles citoyens ou l’opinion et, d’autre part, ce qui se joue dans les arênes de la décision, le plus souvent fermées, techniques et fonctionnelles. Ce hiatus est celui de la difficile conciliation entre deux principes de justification antagonistes particulièrement récurrents dans les organisationspubliques locales : d’un côté, une exigence démocratique orientée vers la libre expression de oust et, de l’autre, une exigence d’efficacité technique orientée vers la nécessité de mener à bien, dans un temps raisonnable, un certain nombre de projets et d’opérations.
Monographie des communes concernees par le projet
Bien que nous nous soyons focalisée sur la Commune Rurale de Tsaraotàna, il nous faut dire que le projet auquel nous avons pris part possède un caractère intercommunal. Voilà pourquoi nous avons tenu à présenter Tsaraotana avec ses liens dans la position géographique et humaine. Avant de commencer l’étude monograhie des communes concernées par le projet, il nous semble nécessaire d’avoir un appercu sur l’étendu de la région Menabe
Apercus sur la region de menabe
La région Menabe couvre une superficie de 48 860 km², pour prés de 400 000 habitants, soit une densité de 8 hab/km² . Le taux de croissance démographique est de 2,4%, légèrement en dessous de la moyenne nationale (2,8%). A l’origine, la population était composée essentiellement de Sakalava ; au cours du siècle précédent, une vague de migration successive a ramené d’autres ethnies à s’implanter dans la région. Les Vezo ont occupé les zones littorales pour ses activités de pêche, les Bara ont été attirés par l’étendue despâturages pour s’adonner à des activités agro-pastorales, les originaires du Sud-Est (Masikoro, Antemoro, Antesaka) pour les cultures sur baiboho et de décrues ainsi que les cultures pluviales sur brûlis (hatsaka), les Antandoy, pour l’élevage et l’agriculture itinérante, le Betsileo pour la riziculture et la polyculture sèche, le salariat agricole, les Merina pour la riziculture et le commerce.
Le district de Belo sur Tsiribihina est localisé dans la partie nord ouest de la région, et pour une superficie de 7668 km² représente 16% de ’ensemble de la région, la population de la commune s’élevant à 12 423 habitants équivaut à 15 % de la totalité du district pour une densité de 1,6 habitant/km². La population est composée pour plus de la moitié de migrants s’adonnant principalement aux activités agricoles, à l’élevageet une partie à la pêche.
Le climat est caractérisé par une saison chaude etpluvieuse de novembre à avril, et une saison moins chaude mais sèche de mai à octobre. La température moyenne annuelle est de 24°8C. La moyenne pour le mois le plus chaud est de 27°7C, et pour le mois le plus frais de 21°5C. La pluviométrie moyenne annuelle est de 780mm. Les mois les plus humides sont janvier et février et les plus secs entre mai et septembre .Le district est exposé à des dépressions tropicales et/ou cyclones entre décembre et mars, avec des vents très forts et de fortes précipitations inondant les champs de cultures.
La commune est traversée par le fleuve Tsiribihina et la rivière Manambolo qui irrigue tout au long de son passage d’immenses plaines fertiles favorables aux cultures vivrières, industrielles et commerciales. Il alimente également plusieurs lacs poissonneux.
Deux grandes catégories de sol sont présentes dansla Commune : sur les bordures côtières du Canal de Mozambique, des sol halomorphes, plus à l’intérieur vers l’Est des sols d’apport (alluvions brutes ou peu évolués formant des sols ed baiboho) et des sols hydromorphes dans les plaines de Belo/Tsiribihina, réputés pour leur fertilité, où entre autres, des cultures industrielles (tabac) ont été développées dans le passé par desrandesg sociétés coloniales.
Les principales activités économiques sont l’agriculture, l’élevage et la pêche. En terme de superficie, l’agriculture vivrière est prépondérante, avec large dominance de la riziculture, irriguée dans sa majeure partie à partir de réseaux d’infrastructures traditionnelles ou modernes pour certains périmètres, le tout permettant une double culture dans l’année. Les autres cultures vivrières sont le manioc, le maïs (sur brûlis ou dans le baiboho) et la patate douce. Les cultures de rentes sont : les légumineuses à graines (haricot, lentilles, tsiasisa, pois du Cap) et dans une moindre mesure, les cultures industrielles dont l’arachide, la canne à sucre et le tabac.
Le sous-secteur de l’élevage est prédominé pat l’élevage bovin en grande partie extensif, mais avec un certain nombre de bœufs dressés pour l e travail de sol, notamment pour la riziculture. D’autres espèces animales sont élevées, entre autre le porc (destiné essentiellement au marché des Hauts Plateaux) et les petits ruminants(ovins, caprins).
Les activités de pêche sont de deux sortes : i) lapêche maritime traditionnelle des zones côtières (poisson, crabes, crevettes), et ii) la pêche continentale sur le fleuve Tsiribihina, et les lacs (poisson, crevettes).
Les activités touristiques et écotouristiques sonten plein essor dans le district, à savoir, la descente du fleuve Tsiribihina, les gorges du Manambolo, et les Parc Nationaux (Tsingy et Bemaraha).
ETUDE AGRO SOCIO-ECONOMIQUE sur les COMMUNES CONCERNEES
Rappelons que notre terrain d’étude est la Commune de Tsaraotana, mais cela n’empeche que nous avons aussi collecté des informations sur les deux autres Communes concernés par le meme projet telles que : Berevo et Antsoha.
Ces trois Communes sont rattachées administrativement au district de Belo sur Tsiribihina, et regroupant 25 fokontany.
Situation démographique
L’ensemble des 3 communes couvre une superficie de 1847 km², soit le quart de l’étendue du district de Belo sur Tsiribihina, pour une population de 26 567 habitants en 2006, avec une densité moyenne de 14 habitants/km². Pour les 3 communes, les populations sont inégalement reparties. La plus forte concentration se trouve à Tsaraotana avec une densité de 25 hab / km², et Berevo avec 8 hab / km² est la plus faiblement peuplée. Cette forte concentration à Tsaraotana s’explique par la présence des nouveaux aménagements hydro- agricoles et la proximité du fleuve Tsiribihina. Avec les autochtones (Sakalava) qui en dehors de la riziculture sont des pêcheurs, la population est composée dans sa majeure partie de migrants, dont :
– à Antsoha, des Antemoro et Antesaka (Sud Est) prati quant la riziculture, la culture de légumineuses à graines (lentilles, tsiasisa) et l’élevage bovin (ethnie Bara) et volailles ;
– à Tsaraotana, des Antemoro, Antesaka, et Betsileo, qui avec l’opportunité de vaste terrain des cultures cultivent le tsiasisa, haricots et surtout le riz dans le périmètre de Manambolo ;
– à Berevo, des Antandroy, s’adonnant à la culture d’ arachide, maïs et à l’élevage ; des Betsileo et Antesaka (Sud Est) à la riziculture, à la culture d’arachide, l’élevage et la pêche ;
Infrastructures sociales et services
· Education
Les 3 communes sont dotées de 21 écoles primaires ourp les 25 fokontany, pour un effectif de 3513 élèves en 2006, soit en moyenn près de 167 élèves par école.
Seule, Berevo est pourvue d’une école secondaire, avec 680 élèves.
On en déduit que le taux de scolarisation est moyennement faible. Presque la moitié des enfants scolarisables ne fréquente pas l’école. Ceci pourrait s’expliquer par l’enclavement de ces communes, surtout Tsaraotana.
· Santé
Les communes sont pourvues chacune d’un CSB2. Cependant, le CSB2 de Tsaraotana est le seul qui a un médecin, on décompte alors pour les 3 communes seulement un médecin, une sage-femme, et un aide sanitaire pour 26567 habitants et un infirmier pour 10700 habitants. Ce taux de couverture sanitaire est très faible et on en déduit que l’accès au service sanitaire est encore un luxe. Les locaux sont vétustes et non entretenus. Les matériels médicaux sont insuffisants. Ceci pourrait s’expliquer par l’encla vement de ces communes.
Faute de soins adéquats l’état de dénutrition, surtout des enfants et les mères est assez critique et l’on assiste à une propagation des mala dies indicatrices d’une situation sanitaire alarmante dont la tuberculose, les diarrhées, le paludisme et les IST6. A noter les soins et consultations traditionnelles sont largement pratiqué dans la zone.
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Table des matières
1. Contexte
2. Choix du thème
3. Choix du terrain
4. Objectifs
5. Problématique
6. Hypothèses
7- Méthodologie
7.1.- Concepts et instruments d’analyse
7.2.- Echantillonnage
7.3.1.- Les entretiens
7.3.2.- Le questionnaire
8- Plan du document
PREMIERE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE
Introduction partielle
CHAPITRE 1 : LA DEMOCRATIE PARTICIPATIVE PAR RAPPORT AUX CARACTERISTIQUES DE TSARAOTANA
1.1.- Approche théorique de la démocratie participative
1.1.1.- Constat général sur les situations socioéconomiques en Afrique
1.1.2.- Evolution de la structuration politique et économique
1.1.3.- exigence démocratique et bonne gouvernance
1.1.4.- La gouvernance en panne de démocratie ?
1.2.- Monographie des communes concernees par le projet
1.2.1. Apercus sur la region de menabe
1.2.2. ETUDE AGRO SOCIO-ECONOMIQUE sur les COMMUNES CONCERNEES
1.2.2.1. Situation démographique
1.2.2.2 Infrastructures sociales et services
1.2.2.3. Agriculture
1.3 Etudes du trafic
1.3.1. Les infrastructures routières
1.3.2 Estimation du trafic
CHAPITRE 2 : METHODOLOGIE DE L’ETUDE
2.1. MODE DE RECUEIL DES INFORMATIONS
2.1.1. OUTILS ET TECHNIQUE UTILISES
2.1.1.1. LE QUESTIONNAIRE
2.1.1.2. ECHANTILLONNAGE
2.1.1.3. REPERAGE DE LA POPULATION CIBLE POUR LE QUESTIONNAIRE
2.1.2. Les caractères Socio-démographiques
2.1.2.1. Les caractères des données objectives
2.2. Les caractéristiques des données Semi objectives
2.2.1 Caractéristique par le niveau d’instruction des personnes enquêtées
2.2.2 Caractéristique socio-professionnelle
2.2.3. LES DIFFICULTES RENCONTREES
2.2.4. LES SOLUTIONS APPORTEES
2.2.5. LES LECONS TIREES
DEUXIEME PARTIE MANIFESTATION DE L‘APPROCHE PARTICIPATIVE A TRAVERS LE PROJET
Introduction partielle
Chapitre 3 : PRESENTATION DU PROJET
3-1- CONTEXTE GENERAL
3-1-1-LE PROJET D’APPUI AU DEVELOPPEMENT DE MENABE ET DU MELAKY (AD2M)
3-1-2-Les Objectifs du projet
3.2. GENERALITES DU PROJET DE REHABILITATION
3.2.1. Les Objectifs Spécifiques :
3.2.2. Historique du Projet
3.3. OBJECTIFS DU PROJET DE RECONSTRUCTIONTION DE LA PISTE
3.3.1. CONTENU DE LA DEMANDE ET JUSTIFICATIONS DU PROJET
3.3.2. L’ORGANISME DE FINANCEMENT
3.3.2.1. Les stratégies du FIDA pour la réduction de la pauvreté en Afrique
3.3.2.2. Politique de ciblage du FIDA : atteindre les ruraux pauvres
3.4. LE CHOIX DE LA METHODE D’APPROCHE PAR L’ORGANISME DE FINANCEMENT : FIDA
3.5. L’IMPLICATION DES COMMUNAUTES DANS L’ENTRETIEN DES INFRASTRUCTURES
3.5.1. Fondamentaux du projet :
3.5.2. STRATEGIE ET DEMARCHE
3.5.3. LES ACQUIS
3.6. PERCEPTION DE L’APPROCHE PARTICIPATIVE
3.6.1. Pour l’organisme de financement
3.6.2. Pour l’organisme résponsable du projet
3.6.3 Pour les personnels administratifs
CHAPITRE 4 : PROSPECTIONS SUR L’ENCLAVEMENT
4.1. PRESENTATION DU PROJET
4.1.1.Localisation du projet
4.1.2. Historique du projet
4.1.3. Projet proposé par la commune
4.2. Importance de désenclavement selon le PlanRégional de Développement(PRD)
4.2.1. Objectifs du projet
4.2.2. Etat de la piste avant le demarrage du projet
4.2.3. Étude socio- organisationnelle
4.4. Critères de sélection pour financer la construction de la piste compte tenu des limitations budgétaires
4.5. Connexion au réseau routier de la région et de la région voisine
4.6. Pôle de développement économique
4.7. Complémentarité avec d’autres projets intercommunaux ou communaux
4.8. Processus ayant abouti au choix final de pistes a rehabiliter
4.8.1. visite prealable de reconnaissance par les orrganismes responsables du projet
4.8.2 Approche par les causes
4.8.3. La question de la priorisation
4.8.4. Priorisation par paire.
4.9.1.- Analyse d’impact
4.9.2.- PLAN DE GESTION ENVIRONNEMENTALE
4.9.2.1.- Personnel et règlement interne
4.9.2.2.- Hygiène des installations pour les employés
4.9.2.3.- Gestion des produits dangereux et des hydrocarbures
4.10.- La gestion des ressouces naturelles a l’echelle des terroirs villageois
4.10.1.- Conclusion et recommandations
CHAPITRE 5 :DEMARCHE PARTICIPATIVE DANS LE PROJET DE DEVELOPPEMENT
5.1.- La participation dans le développement
5.1.1. Les strategies d’approche participative de programme et projet de developpement
5.1.2. L’Approche Participative, l’administré et l’administration
5.1.3. L’initiative de la décision dans l’AP
5.1.3.1. La population, initiatrice du projet
5.1.3.2. est-ce qu’il y a une intervention administrative
5.2. Le dina
5.2.1. Importance du Dina
5.2.2. La culture du Dina
5.2.3. Le Dina à l’épreuve des faits
5.3. L’ASSOCIATION DES USAGERS
5.4. L’ASSOCIATION « TIako Mandroso » (TIM)
5.5. Le processus de reponsabilisation
TROISIEME PARTIE : perspectives offertes par la mise en oeuvre du projet
CHAPITRE 6 : Avantages, inconvénients, impacts positifs attendus
6.1.- Avantages et Impacts positifs attendus
6.2.- Inconvénients
6.3.- Evaluation de la faisabilite organisationnelle et analyse des parties prenantes
6.3.1.- Les experiences en matiere d’organisation communautaire
6.3.2. Constat sur le fonctionnement des structures de gestion des travaux communautaires
6.3.2.- L’implication des beneficiaires au processus de la prise de decision en amont
6.3.3.- Définition de l’apport bénéficiaire
6.3.3.- Validation des apports bénéficiaires
6.3.4.- Organisation de la réalisation des apports
6.3.5.- Intégration de l’approche genre
6.4.- Réunion de restitution pour les responsables communaux et représentants des fokontany
6.4.1.- Evaluation des apports bénéficiaires
6.5.- DISPONIBILITE ET CAPACITE DE LA MAIN D’OEUVRE LOCALE
6.6.- roles et résponsabilite des PARTIES PRENANTES
6.7.- Approche systémique
6.7.1.- La question de la rentabilité
6.7.2.- La question environnementale
6.7.3.- Croissance démographique et conséquence sur l’environnement
6.7.4.- Combinaison agriculture-élévage: Menabe
6.7.5.- L’identification et l’implication des decideurs
CHAPITRE 7 : PROPOSITION DE STRUCTURE ET D’ORGANISATION DE LA GESTION
7.1.- La mobilisation des parties prenantes
7.1.1.- La structure de gestion
7.2.- Approche Participative- association- population bénéficiaire
7.2.1.- Mode d’existence d’une association
7.3.- La strategie du fida a madagascar
7.3.1. La cellule technique
7.3.2. Les ressources financières
7.4. Analyse economique du projet de rehabilitation
7.4.1. GENERALITES SUR L’ANALYSE ECOMOMIQUE
7.4.2. HYPOTHESES D’UNE EVOLUTION SANS PROJET
7.4.3. Perspective d’evolution dans une situation sans projet de reconstruction
7.4.4. Avantages quantifiables financièrement
7.4.5. Avantages non quantifiables financièrement
7.5. PERSPECTIVES CONFEREES DANS LE SECTEUR AGRICULTURE
7.5.1. EXTENSION DES SUPERFICIES CULTIVEES
7.5.2. AMELIORATION DU RENDEMENT
7.5.3. AMELIORATION DU PRIX DE VENTE AUX PRODUCTEURS
7.5.4. MISE EN OEUVRE DES DIFFERENTS PROJETS DE DEVELOPPEMENT
7.6. Perspectives conferees dans le secteur « elevage bovin »
7.7. Hypothèse liées à la consommation en produits de première nécessité
7.8.- Recommandation
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES CARTES ET FIGURES
LISTE DES ABREVIATIONS
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