La déconfessionnalisation et la séparation d’avec l’action catholique 

La méthode de travail utilisée

L’observation

La bibliothèque : son fonctionnement, son personnel

Avant de commencer toute enquête quelle qu’elle soit auprès du public, j’ai d’abord entrepris un travail d’observation. Les premières observations que j’ai Élites sont celle de la bibliothèque de Linselles mais aussi de plusieurs autres BPT des environs afin d’avoir une petite comparaison. Ce que j’entends par observer la bibliothèque, c’est observer l’environnement dans lequel évoluent les lecteurs, c’est à dire la bibliothèque en tant que lieu et tout ce qu’il contient, et c’est aussi observer celles qui contribuent à son fonctionnement, je veux parler des bibliothécaires.
Cette observation du lieu, consistait à prendre des notes sur le contenu de la bibliothèque que ce soit sur les livres possédés ou sur le mobilier et le matériel utilisés. Je voulais voir ce qui était mis à la disposition du public par exemple en matière de lecture sur place, de fichiers ou encore d’autres supports d’information comme l’ordinateur par exemple. Je voulais également voir comment les différents livres étaient proposés aux lecteurs : s’ils sont rangés par ordre alphabétique, selon la classification Dewey ou encore selon l’âge, voir comment la signalétique se présentait mais aussi voir la diversité faible ou forte du choix proposé. Une dernière chose m’intéressait, c’était de voir l’information transmise au sein de la bibliothèque qu’il s’agisse d’informer sur les derniers achats en cours, sur les modalités d’inscription, sur des articles de journaux sur certains livres ou encore sur des manifestations culturelles internes ou externes à la bibliothèque. Ces différents points d’observation avaient pour but de me faire une idée de l’environnement que côtoient les lecteurs, de mieux comprendre les facilités ou les difficultés qu’ils peuvent rencontrer pour comprendre le fonctionnement de la bibliothèque (pour s’inscrire, trouver un livre, se renseigner).
Une deuxième observation est venue s’ajouter à celle du contenu du local c’est l’observation des bibliothécaires et de leur travail auquel j’ai participé.
J’ai appris à connaître, les 4 bibliothécaires certifiées (c’est à dire qui ont suivie la formation donnée par l’UNCPBT et qui ont eu le diplôme de bibliothécaire pour tous), et les sept aides bibliothécaires et le travail qu’elles effectuent durant les permanences mais aussi durant leur réunion de travail. Je me suis intéressée à toutes les étapes de leur travail : du choix des livres à acheter jusqu’à sa mise en rayon, de l’accueil et de l’accompagnement du public dans sa démarched’emprunteur.
Cette observation m’a permis tout d’abord de comprendre les efforts qui sont faits pour satisfaire au mieux le public en ce qui concerne le choix des livres et la facilité pour les retrouver dans les rayons, puis, de voir toute l’attention apportée à l’accueil et l’écoute du public.
Ces deux éléments d’observation, je les ai menés aussi à la Bibliothèque de Bondues et à celle de Neuville en Ferrain, à la seule différence que pour Linselles l’observation ne s’est pas faite en une fois mais tout au long de mon stage.
En ce qui concerne la BPT de Linselles, il convenait ensuite d’observer comment les personnes qui la fréquentent se comportent face aux livres et aux éléments d’informations qu’elle leur propose.

L’observation du public

Pour observer le public je me suis penchée sur plusieurs points. Le premier était de m’intéresser au comportement des gens vis à vis du local lui-même. Ensuite, j’ai observé leur comportement vis à vis des livres et enfin vis à vis des bibliothécaires.
Pour le premier point, je voulais voir comment les gens s’appropriaient « l’espace bibliothèque » c’est à dire voir si les lecteurs utilisaient la possibilité qui leur était offerte de lire sur place, voir aussi s’ils utilisaient la BPT seulement comme un lieu de passage ou aussi comme un lieu de séjour où l’on peut s’informer en utilisant par exemple l’ordinateur. Je voulais observer le comportement des gens face à ce qui leur était offert et comment ils s’en servaient. Par exemple voir si les lecteurs s’installent à une table juste le temps de lire le résumé d’un livre, lire entièrement un livre ou discuter d’un roman, d’un auteur avec quelqu’un d’autre. Cette observation des gens dans ce lieu m’a amenée à regarder comment ils se comportaient les uns par rapport aux autres, voir s’ils se comportaient dans la bibliothèque comme étant dans un lieu de travail où règne le silence ou s’ils voyaient là un lieu de rencontre et de sociabilité.
Par la suite, j’ai également voulu observer le comportement des lecteurs mais cette fois-ci vis à vis du fonds documentaire. Ce qui m’intéressait, c’était d’essayer de comprendre la démarche qu’une personne réalise pour trouver un livre. Il s’agissait de voir dans un premier temps si la personne se débrouille seule ou si elle demande conseil aux bibliothécaires, puis dans un deuxième temps de voir comment le choix se fait, en fonction de quels critères.
Dans le premier temps je voulais savoir si les gens cherchent directement dans les rayons, s’ils se servent des fichiers ou s’ils ont besoin d’une aide du personnel. Pour le reste, ce qui m’intéressait, était de voir si les lecteurs fouillent dans toute la bibliothèque ou s’ils se dirigent dans un rayon précis comme celui des romans, celui des BD ou plutôt celui des documentaires, mais c’est aussi de voir s’ils ont un auteur ou un thème qu’ils lisent tout le temps ou s’ils préfèrent varier leur lecture. Enfin, j’ai également observé le comportement des gens vis à vis des nouveautés, voir ceux qui y jettent un œil de temps en temps ou ceux qui ne lisent que ça et qui ne cherchent plus dans les rayons.
Pour terminer cette observation du public, je me suis intéressée à l’attitude des lecteurs vis à vis du personnel de la bibliothèque. Je voulais savoir quels rapports il y avait entre les deux, si les lecteurs se comportaient avec les bibliothécaires seulement comme si elles étaient, juste là pour enregistrer les prêts et les retours de livres, s’ils les sollicitaient ou pas pour un renseignement. Je voulais voir aussi l’ambiance qu’il y a au sein de la bibliothèque entre le public et les bibliothécaires, si c’est plutôt une ambiance chaleureuse où tout le monde se parle de livres mais aussi de tout ou si l’ambiance est tendue où le rapport ressemble à un rapport client (le lecteur qui vient louer un livre) fournisseurs (les bibliothécaires qui fournissent les livres).
Après l’utilisation de l’observation j’ai entrepris de me servir de l’enquête pour compléter mon étude du public.

La méthode de l’enquête

L’enquête par interview

«Dans le cadre d’une enquête, les psychosociologues utilisent la procédure d’interview pour étudier les sentiments, les préférences, les représentations ou les actions des gens. On encourage les personnes à s’exprimer aussi complètement que possible, et on enregistre leurs dires sur un magnétophone. Ce sont des enquêtes par interview. »4. Loin de me considérer ou de vouloir me prendre pour une psychosociologue, j’ai décidé d’utiliser moi aussi la méthode de l’interview afin d’essayer de déterminer quelle représentation de la bibliothèque les personnes qui la fréquentent se font et quels types de lecteurs ils étaient susceptibles d’être. Pour se faire, durant certaines permanences, j’ai entrepris d’interviewer les lecteurs qui se présentaient J’ai d’abord questionné, munie seulement d’un bloc note et d’un stylo, un homme puis une femme tous deux retraités mais face à la difficulté de prendre réellement des notes tout en étant attentive aux paroles des interviewés, je me suis par la suite munie d’un dictaphone en complément. Mon interview était basée sur des questions préétablies, mais il arrivait parfois que je me laisse emporter par la conversation et que d’autres questions viennent compléter celles du départ ou que les personnes me parlent de certains éléments intéressants sur lesquels je n’avais pas pensé les interviewer. Je n’ai pas vraiment utilisé de critères de sélection pour choisir les personnes que j’allais interroger. J’ai aussi bien interrogé des enfants que des adultes, des femmes comme des hommes. En fait le choix s’est fait de lui-même en fonction des personnes qui acceptaient ou non d’être interviewées. Si le nombre de personne est très faible (j’ai interviewé 2 hom¬ mes, une femme et 2 petites filles), cela est du à la difficulté de faire des interviews dans de bonnes conditions et au peu d’expérience que j’avais dans ce domaine. Les interviews se sont déroulées à la bibliothèque au milieu du brouhaha des personnes présentes.
A ces interviews de lecteurs j’ai pensé bon d’ajouter l’interview des bibliothécaires qui m’a servi plutôt «d’entretien exploratoire ». Ca m’intéressait d’avoir le point de vue des bibliothécaires sur la bibliothèque, sur les lecteurs et cela m’a permis d’obtenir également des renseignements divers sur le fonctionnement des BPT. Lors d’une de leur réunion du lundi après-midi, deux des bibliothécaires ont accepté de répondre à plusieurs questions classées en fonction de renseignements que je voulais obtenir soit sur les BPT en général, soit sur celle de Linselles, sur leur façon de travailler, et enfin sur les lecteurs.
Puis, pour terminer ce travail d’enquête par interview, j’ai entrepris celle du docu¬ mentaliste du collège Henri Matisse qui se trouve en face de la BPT de Linselles. Pourquoi, ai-je choisi de l’interviewer ? C’était simplement dans le but d’avoir un avis d’un professionnel de la lecture chez les jeunes car je me suis rendu compte que peu de jeunes venaient à la BPT et que cela faisait d’ailleurs parti des regrets des bibliothécaires. M Hadamisky, m’a permis d’émettre quelques hypothèses et de mieux comprendre le comportement des jeunes, face à leur fréquentation des bibliothèques et à leur goût ou non pour la lecture.
Tous ces éléments m’ont permis de mettre en place des hypothèses et de soulever quelques réflexions. J’ai donc décidé d’entreprendre de distribuer un questionnaire aux lecteurs afin de tenter de vérifier mes hypothèses par des données complémentaires.

L’enquête par questionnaire

Pour préparer mes questionnaires je me suis servie de l’ouvrage de Claude Javeau, L’enquête par questionnaire : manuel à l’usage du patricien, mais aussi du questionnaire que j’avais établi Tannée dernière afin de voir les questions qu’il était intéressant de reprendre et celles qu’il fallait oublier ou reformer. Le livre de Claude Javeau m’a servi pour voir les étapes à suivre dans la réalisation puis la diffusion de mes questionnaires.
J’ai d’abord cherché ce que je voulais montrer, quels éléments il était intéressant de relever pour affirmer ou infirmer mes hypothèses. Puis, j’ai cherché à quel public allait s’adresser mon questionnaire. Il fallait voir si j’allais distribuer le questionnaire à tous les lecteurs quel que soit leur âge, leur ancienneté d’inscription dans la bibliothèque etc. De là est venue la formulation des questions qui ont données naissance à deux questionnaires différents. En effet, j’ai décidé d’en établir un pour les adultes et un pour les enfants avec plus ou moins les mêmes questions mais adaptées à leur compréhension et parfois des questions plus en rapport avec leur âge, comme qui décide de leur présence à la bibliothèque ou qui décide de leur lecture.
Puis, j’ai effectué la mise en page du questionnaire en mettant en introduction qui j’étais et pour quelles raisons j’effectuais cette enquête. Pour faciliter les choses car je n’ai pas l’habitude, j’ai préféré ne pas me servir de codage du questionnaire.
Une fois le questionnaire établi, il me restait à choisir la méthode pour le distribuer au public. J’ai préféré utiliser ce qu’on appelle «le questionnaire d’administration directe » c’est à dire «que le sujet note lui-même ses réponses» ce qui laisse aux personnes plus d’autonomie pour répondre, ils se sentent moins influencés par moi.

Les changements

Tout d’abord on peut s’intéresser aux CSP des personnes ayant répondus au questionnaire. Si les retraités font toujours parti des professions les plus citées, fait nouveau, on trouve également en tête des cadres, des professions libérales et des lycéens.
Ensuite, l’intérêt pour d’autres supports a changé chez les enfants. D’après les questionnaires, on s’aperçoit qu’en 2000,40 % des enfants ne s’intéressaient en 1er choix qu’aux CD et à rien d’autre alors qu’en 2001, si les CD sont toujours cités par 44 % des enfants, les CD ROM le sont également par la moitié d’entre eux. Mais pour les données de 2001 on ne peut plus par¬ ler de 1er choix puisque les enfants n’ont pas classé leurs réponses.
Dans l’ancienne bibliothèque, il n’était pas possible de lire sur place, ce qui aurait semble-t-il plu aux enfants puisque 70 % de ceux ayant répondu au questionnaire en 2000 ont répondu oui à la question sur la possibilité de lire sur place. Par contre, en 2001, alors que des tables et des chaises sont à la disposition du public, le pourcentage d’enfants déclarant utiliser cette possibilité n’est que de 44,4 %.
Toujours dans le cadre de l’environnement dans lequel se trouve le lecteur, on peut s’intéresser à la signalétique. Si on s’intéresse au nombre de personnes la trouvant très satisfaisante, on s’aperçoit que la nouvelle bibliothèque satisfait encore plus qu’avant que ce soit chez les adultes comme chez les enfants. Il n’y a plus d’insatisfait chez les enfants et chez les adultes l’écart entre les très satisfaits et les satisfaits s’est réduit, on est passé d’une différence de plus de 50 points en 2000 contre une différence de plus de 15 points en 2001.
En ce qui concerne la présence des enfants à la bibliothèque : les parents ayant des enfants de moins de 15 ans se rendant à la bibliothèque déclaraient, pour la majorité, en 2000 que ces derniers y allaient d’eux même, alors qu’en 2001 les réponses sont mitigées 6 personnes déclarent décider pour leurs enfants et 5 déclarent les laisser libres de venir ou pas. Pour le choix des livres, c’est pareil. En 2001, la moitié déclare laisser leurs enfants libres d’emprunter ce qu’ils veulent et l’autre moitié déclare choisir parfois pour eux. En 2000, la plupart déclaraient laisser choisir. Cette solution est semble-t-il la plus pratiquée du point de vue cette fois des enfants puisque sur 18 enfants interrogés en 2001, 17 déclarent choisir seul leurs livres sans contrôle des parents.

Dès lors quelles hypothèses peut-on émettre ?

Les objectifs fixés sont-ils atteints ?

Lors de mes nombreuses conversations avec les bibliothécaires et notamment lors de leur interview, elles m’ont confiée les objectifs qu’elles s’étaient fixés.
Leur premier objectif et d’ailleurs sûrement celui de tous bibliothécaires est de pouvoir satisfaire au mieux les lecteurs.
Ce qu’elles entendent par satisfaire les lecteurs, pour reprendre les propos d’Eric Sutter c’est : «pouvoir accéder à des heures pratiques, être bien accueillis, trouver facilement dans les catalogues ou sur les rayonnages, disposer d’ouvrages récents et adaptés à la préoccupation, pouvoir consulter dans des conditions agréables ou emprunter pour une durée suffisante. »2 Bien entendu ceci «dépend [en effet] de la contribution du personnel. »3 En somme, il con¬ vient de fournir un service de qualité et une bibliothèque adaptée aux besoins des lecteurs.
Pour le premier point, on peut d’abord s’intéresser aux heures d’ouverture, les bibliothécaires essayent de faire un maximum de permanences. Elles ont rajouté une permanence le mardi matin de 10h30 à llh30.
Même, si le public semble satisfait des horaires (d’après les questionnaires, pour la plus grande parti dans entre eux, ils ont répondu être très satisfaits ou satisfaits) les bibliothécaires, quant à elles, souhaiteraient pouvoir agrandir certaines des plages horaires afin de toucher un plus large public.
Le délai d’emprunt ne pose pas de problème puisque la majorité le trouve largement suffisant. De plus les bibliothécaires savent l’adapter si nécessaire. Par exemple pour les grandes vacances, elles allongent le temps d’emprunt qui passe à un mois au lieu de trois semaines.
L’accueil est lui aussi satisfaisant d’après la majorité des personnes interrogées, certaines le trouvent même très satisfaisant. Chez les adultes comme chez les enfants, aucune personne n’a dit n’être pas satisfaite de l’accueil qui leur est réservé. Si on s’intéresse à nouveau à la démarche des lecteurs pour trouver un livre, on pourrait penser que le contact avec le personnel ne se fait pas très bien puisque personne ne dit en premier choix demander conseil à la bibliothécaire et certains disent chercher seulement dans les rayons. Je crois que cela est dû à une habitude des lecteurs de ne demander conseil qu’en dernier recours et non pas dû à un problème de communication. De plus, la plupart ont leurs auteurs, leurs thèmes préférés et ne lisent que ça. Par contre, d’autres ne cherchent pas et empruntent exclusivement les nouveautés.
Toutefois, on ne peut pas dire que le personnel ne soit jamais sollicité. Parfois, des personnes demandent si la bibliothèque possède d’autres livres d’un même auteur qu’ils viennent de lire. Il arrive aussi que des personnes échangent leurs impressions avec un membre du personnel sur un livre qu’ils ont tous deux lu. Il y a donc une ambiance conviviale entre les lecteurs et les bibliothécaires.
Pour ce qui est de l’information des lecteurs, tout est fait pour qu’il soit au courant d’un maximum de choses. Les derniers achats sont inscrits à différents endroits de la bibliothèque et sur différents supports : sur le panneau d’affichage à l’entrée, sur les fenêtres de la bibliothèque et visibles de l’extérieur, ainsi que dans les catalogues de nouveautés qui répertorient mois par mois les achats depuis 1998. Des plaquettes d’informations concernant les modalités d’inscription et de prêt sont distribuées aux nouveaux inscrits et à toutes personnes en faisant la demande. Les horaires d’ouvertures sont affichés à l’extérieur de la bibliothèque ainsi qu’à l’intérieur et sur des marque-pages accompagnés des coordonnées de la bibliothèque et mis à la disposition du public. Pour ce qui est des conditions de consultation des CD ROM, une feuille informative est affichée sur les fenêtres de la bibliothèque, à l’intérieure de celle-ci ainsi que sur le panneau d’affichage du centre culturel.
L’information est donc relativement bien diffusée au sein de la bibliothèque qui transmet même à ses lecteurs des informations concernant d’autres événements culturels.
En ce qui concerne la bibliothèque et sa collection de livres, de nombreux efforts ont été mis en place pour offrir un cadre agréable et une collection qui réponde au mieux aux goûts divers des gens. Comme on a pu le voir dans la présentation de la bibliothèque, la nouvelle est plus spacieuse, ce qui a permis de disposer les livres de façon à ce que chacun trouve aisément ce qu’il cherche. Dans l’ensemble les personnes interrogées, questionnaires surtout et interviews, adultes comme enfants sont unanimes pour dire que la bibliothèque est beau¬ coup plus «agréable », qu’il y a plus de «clarté », que les «livres sont moins serrés » et qu’il est donc «plus facile de s’y retrouver » et chez les enfants le petit mobilier semble bien plaire aussi avec ses couleurs gaies.4 L’effort de signalétique semble être très apprécié, et si pendant un certain temps la signalisation de l’ordinateur est passée inaperçue, une nouvelle a été mise en place avec des affiches plus grandes et des affichettes explicatives plus nombreuses mises à divers endroit de la bibliothèque.

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Table des matières
INTRODUCTION 
PRESENTATION DU SUJET ET DE LA METHODE DE TRAVAIL 
I Le choix du sujet et des concepts utilisés
1 Le choix du sujet
2 Définitions
II La méthode de travail utilisée
1 L’observation
1-1 La bibliothèque, son fonctionnement, son personnel
1-2 Le public
2L’enquête
2-1 Par Questionnaire
2-2 Par Interview
DESCRIPTIF DU RESEAU CBPT 
I L’union nationale…
1 Son historique
1-1 Ses débuts au sein de l’ACGF
1-2 La déconfessionnalisation et la séparation d’avec l’action catholique
2 Fonction et rôle des BPT
2-1 Son fonctionnement
2-2 Le développement de l’accès à la culture pour tous
II L’Association Nord Flandres… ?
1 L’association départementale
1-1 Présentation générale
1-2 Ses activités
2 Un exemple de BPT : celle de Linselles
2-1 La BPT avant juillet 2000
2-2 Septembre 2000 : inauguration du nouveau local
L’EVOLUTION DE LA BPT DE LINSELLES 
I Présentation de la bibliothèque
1 La bibliothèque d’hier
1-1 Son local
1-2 Son fonds
2 La bibliothèque d’aujourd’hui
2-1 Son local
2-2 Son fonds
II Présentation du public
1 Quel type de public pour l’ancienne BPT ?
1-1 Les données sociales
1-2 Leur rapport à la bibliothèque et aux livres
2 Nouvelle bibliothèque, nouveau public ?
2-1 Les données sociales
2-2 Leur rapport à la bibliothèque et aux livres
INTERPRETATION DES RESULTATS DE LA RECHERCHE 
I Les résultats de la comparaison
1 Les constances
2 Les changements
II Dès lors, quelles hypothèses peut-on émettre ?
1 Les objectifs fixés sont-ils atteints ?
2 Quelles améliorations peut-on apporter ?
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE
DOCUMENTS ANNEXES

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